Aujourd’hui :
Le policier, auteur du tir mortel sur Nahel, dont le décès le 27 juin après un contrôle routier avait déclenché une semaine d’émeutes en France, a été enfin remis en liberté sous contrôle judiciaire mercredi.
Lundi dernier :
Une décision de justice rendue lundi concernait un mineur impliqué dans un refus d’obtempérer le 2 mai dernier à Nantes. Ce jour-là, il avait percuté et traîné au sol un policier sur «une vingtaine de mètres» alors qu’il était au volant d’une voiture, volée quelques jours avant.
Au moment de lâcher prise, la tête du policier avait «violemment heurté le bitume» et ce dernier avait perdu connaissance. Transporté au CHU de Nantes, le policier en était ressorti avec un «traumatisme crânien» et des points de suture. «Mon collègue a eu 30 jours d’ITT (Incapacité totale de travail, NDLR). En octobre, il a passé une IRM qui a démontré qu’il avait des zones mortes (sic) au niveau de son cerveau».
Il a été condamné à… 35 heures de travaux d’intérêt général. Le parquet a annoncé son intention de faire appel.
LANASPRE
ce qui est curieux dans ce genre d’affaire c’est qu’il n’y a jamais de “fuites” d’informations dans la presse?? A savoir que le nom des ces “magistrats” commissaires politiques n’apparaissent jamais alors que le policier impliqué dans l’affaire Nahel etait en tout cas connu de la racaille…et que la famille a du certainement demenager
URGENT de fermer l’ecole de la magistrature,veritable usine à formater leurs petits BOUDAREL!!
ThMortier
Il faut tout de même rappeler que le policier qui a tué le délinquant Nael était un ancien de la BravM, des voyous, décoré par Lallement, persécuteur de la manif pour tous, et appartenait à une unité de police condamnée pour faux en écriture publiques. Et les conditions de ce tir mortel sont particulièrement discutables.
Cela n’enlève rien à l’effarant verdict de cette seconde décision de justice.
Il faut alors se souvenir que la justice française est gangrenée par certaines fraternelles, comme la police d’ailleurs, et que cela explique bien des choses.