Jeanne Smits nous apprend qu'une nouvelle campagne lancée par la Fédération internationale du Planning familial (IPPF) cherche à éliminer les lois exigeant des personnes infectées par le virus potentiellement mortal du HIV qu'elles informent leurs partenaires sexuels de leur séropositivité. Le Planning s'est associé avec l'organisme onusien de lutte contre le sida ONUSIDA pour combattre ces lois qu'ils accusent de «stigmatiser» les séropositifs. Ainsi, le Planning et l'agence de l'ONU sont en train de dire que la responsabilité d'une personne qui se sait porteuse du virus du sida ne devrait pas être engagée si elle prend sciemment le risque de contaminer son partenaire qui ne la sait pas infectée. Wendy Wright, de Concerned Women for America, souligne :
"Cela montre clairement que l'IPPF juge le sexe illicite plus important que la vie elle-même – et qu'elle est prête à mettre en danger la vie d'autrui pour faire avancer sa politique sexuelle."
Et les mêmes se permettent de critiquer l'Eglise, quand elle affirme que le préservatif n'est pas une solution au Sida !
Fleur de lys
Il y a des jours où je me demande si je comprends bien ce que je lis !!!!
C’est tellement énorme que je n’arrive pas à y croire.
LB
Ces gens là sont des assassins dans tous les sens du terme et devraient être poursuivis comme tels, ils sont aussi révélateur de la “bienfaisance” de l’ONU pour ceux qui pourraient encore douter.
C.B.
Qui donc rappelait que diviser par 5 le nombre de partenaires sexuels suffirait à stopper la progression du sida?