Partager cet article

Pays : Espagne

Un coma de 11 ans

Lu ici :

"Le 12 décembre 2004, Jesus Aparicio est victime d'un terrible accident de la route qui va le plonger dans le coma durant onze années. Le 27 août 2015, l'Espagnol se réveille enfin auprès de sa maman alors présente à son chevet."

Le reste de l'article ne dit rien d'intéressant. Le journaliste ne s'est visiblement pas demandé comment cet espagnol a pu se réveiller après avoir végété durant 11 années.

Partager cet article

5 commentaires

  1. Et la conclusion n’est pas qui si on peut se réveiller après un coma de 11 ans, on peut peut-être aussi sortir d’un état pauci-relationnel qui ne dure que depuis moins de dix ans? Logique, pourtant, non?

  2. C’est tout à fait le cas de Vincent Lambert. La même histoire ! Que le CHU de Reims en prenne de la graine et n’interrompt pas la vie de Vincent.
    Vincent doit vivre et aller dans un centre spécialisé où il sera suivi médicalement et retrouvera ses forces tout doucement.

  3. Le pire c’est que même si Vincent Lambert retrouvait tout à coup la pleine santé, les tenants de la culture de mort, ceux qui s’acharnent à vouloir mettre à mort M Lambert ou d’autre (les autres) personnes dans la même situation de handicap ne remettront pas en cause leurs conclusions et leur condamnation à mort.
    D’où mes questions :
    D’où peut venir une telle cécité ?
    Sachant que la pensée droite a déserté le champ public, et que donc convaincre semble impossible, que nous reste t il pour ramener nos contemporains à la raison ?

  4. Entendu ce midi sur France-(dés)Info : un sommet de l’art de désinformer… (info de midi)
    Le journaliste : les soins de Vincent Lambert le maintiennent en vie (alors qu’il est autonome)
    L’ancien boucher – pardon médecin de Vincent Lambert – a parlé du coût de Vincent Lambert bien plus important que le coût du nouveau porte-parole de l’hôpital (90 k€). Bien sûr, il ne voulait pas en parler parce que c’est indécent… Mais il n’en a pas parlé tout en en parlant… du grand art.
    Je vous passe le reste…
    Si j’étais malade à Reims, je saurai où ne pas aller pour ne pas me faire soigner…

  5. Le CHU de Reims n’a rien à envier aux lazarets jouxtant les camps aux HLPSDNH.

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services