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L'Eglise : L'Eglise en France

Un “on” épiscopal particulièrement inquiétant

G Lu dans la lettre de Paix Liturgique cet étrange propos de Monseigneur Gueneley, évêque de Langres, qui répondait à un fidèle qui, alors qu'il lui demandait d'instaurer dans son diocèse la forme extraordinaire du rite romain, insistait en le suppliant de suivre la voie montrée par le Pape, à l'instar de ce que font bon nombre d'évêques :

"Monseigneur Centène, on l’a fait plier. Monseigneur Aillet, on lui donne trois ans. Après, nous verrons. Dominique Rey, son diocèse finira par couler !!!"

La conférence épiscopale débute aujourd'hui à Lourdes. Sans doute Mgr Gueneley aura-t-il l'occasion d'expliciter ce propos.

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48 commentaires

  1. Si Mgr de Langres voulait bien, au lieu de donner des avis machiavéliens, voulait bien respecter la liberté religieuse et la liberté de conscience des catholique, il aurait fait beaucoup pour la paix.
    Merci d’avance, Monseigneur. Avec mon profond respect.

  2. “des catholiques”, bien évidemment, et non “des catholiques”. Avec mes excuses.

  3. Tout ce clergé triomphant dans les années 70-80 a désormais peur de voir la Tradition de la Sainte Eglise (au sens large, pas uniquement en matière liturgique) reprendre le dessus, dans un mouvement inéluctable. Vivement que cette génération de prêtres passe la main.

  4. “Dominique Rey, son diocèse finira par couler”, pas avant celui de Langres de Monseigneur Gueneley… Il suffit de voir le nombre d’ordinations, on reconnait l’arbre à ses fruits.
    Mon Dieu, donnez-nous de saints évêques
    (c’est autorisé le costume-cravate pour un Mgr ?)

  5. Est-ce la vérité, et si oui, il va falloir redoubler de prières!

  6. Magnifiques paroles d’évêques pleines de sagesse et de bienveillance…
    Et Mgr Gueneley, on lui donne combien de temps?

  7. Je suis peiné, sidéré par cette réponse de l’Evêque de Langres.
    Comment un Evêque peut-il à ce point “désobéir” au Pape.
    Car c’est bien de désobéissance qu’il s’agit en l’occurence!
    Qui peut agit à Rome DIRECTEMENT ?
    Et,surtout, il nous faut aussi prier pour toute l’Eglise et pour le St-Père, les Evêques et les Prêtres afin que les voies de la Providence se réalisent pleinement dans l’Unité recherchée.

  8. Costume-cravate… L’habit ecclésiastique est laissé à la discrétion des conférences épiscopales. Depuis les années 70, en France, il est demandé de s’habiller de noir et de blanc. Le costume-cravate est un choix symptomatique de certains mais conforme aux canons en vigueur… Ceci-dit, si on regarde les tableaux datant de l’Ancien-Régime, on constate que la soutane est alors plutôt un habit de choeur… On dira donc que Notre Seigneur de Langres est un prélat Ancien-Régime… Ce qu’on peut comprendre de plusieurs façons bien sûr. Notre Seigneur Gueneley donne trois ans à Mgr Aillet avant quoi ? Allez savoir? La pourpre, cela me paraît un peu optimiste… Son âge à lui, en revanche, ne lui en donne plus que quatre, il me semble, avant d’appartenir à l’histoire…

  9. Si les propos de Msg Guéneley sont vraiment cela, j’ai (h)on(te) pour cette église-là qui n’est pas l’église universelle, l’église catholique et apostolique dont le première vicaire est le très Saint Père.
    Comment peut-on dire des choses pareilles quand on est évêque!
    C’est vraiment le diable qui veut séparer les membres de l’église catholique. Mais c’est aussi la lassitude de la vieillesse qui fait parler ainsi l’évêque de Langres, car c’est très dur d’être en permanence entouré des mêmes non religieux qui ont squattés les instances dirigeantes et éloignent du réel les évêques de France.
    Bravo à Monseigneur Rey et Monseigneur Ailet et les autres qui auront un autre combat à mener que celui des bigots et bigots soixantehuitards, mais celui de vivre en dhimmis de l’islam conquérant en France, et ne pas vouloir la messe en latin sera bien illusoire et dépassé à ce moment là.
    Se tromper de combat est déjà n’être vraiment plus à la page.

  10. Cet évêque est en falgrant délit de désobéissance au Magistère, comme de trop nombreux autres membres de la CEF et plus généralement des catholiques, qu’ils soient dans la hiérarchie de l’ordre ou de simples laïcs.
    Pas de cravate! le col romain et la soutane, sinon rien.
    Quand ces gens auront quitté le terrain qu’ils occupent en faisant la révolution permanente dans l’Eglise et en la dévastant, ils auront laissé d’immenses champs de ruines dans les âmes et sur les territoires ecclésiastiques.

  11. qui a dit que la vieillesse est un naufrage ? l’évêque de Bayonne est bien issu des communautés St Martin? je ne me fais certainement pas de souci pour lui, tout en jalousant les bayonnais !

  12. Comment peut-on parler ainsi… je suis scandalisé par ces propos, et souhaite que ces faits remontent jusqu’au Saint Père.

  13. Quelle tristesse,et quelle honte!C’est bien le moment de se taper dessus entre catholiques…Comme chacun sait, les séminaires refusent du monde..
    Mgr de Langres étant à Lourdes,je me permets de lui suggérer respectueusement de boire et de se laver à la source, et même, pourquoi pas, de faire un tour aux piscines.Il y a parfois des miracles à Lourdes, savez-vous?…et à défaut l’eau pure et (très) fraiche de la source peut rafraichir des idées rances au relent soixanthuitard!
    Prions la Sainte Vierge pour tous nos évêques!

  14. “ON” laisse entendre qu’il s’agit de plusieurs prélats partageant son opposition au directives du Saint-Père ! j’ose espérer que leur nombre est réduit et que le renouveau de l’Eglise de France (bien que freiné par leurs attitudes) leur permettra de rentrer au bercail et de s’amender.

  15. Pour répondre à Hubert (bonne fête Hubert !), la Conférence épiscopale de France a effectivement publié un document autorisant les ecclésiastiques à se vêtir “en noir et blanc” (ou plutôt, sans col romain mais avec un signe distinctif).
    MAIS… le document n’a jamais été approuvé par Rome. Donc nul et non avenu.

  16. Sur quoi aurait donc plié Mgr Centène, évêque de Vannes si je ne m’abuse? En ce qui concerne la Haute-Marne, où sévit cet évêque septuagénaire et malfaisant, que les fidèles aillent de préférence à Joinville, couvent des Annonciades, 22 av Irma Masson, messe du dimanche à 10 heures.

  17. C’est quand même curieux, on a longtemps pensé qu’une fois tous les diocèses pourvus d’évèques nommés par JP II, les choses iraient beaucoup mieux !
    Ce n’est hélas, pas le cas de ce Mgr, pourtant consacré en 2000, c’est à dire hier
    Sur le site de son diocèse, il propose de le contacter par mail:
    [email protected]

  18. Le “on”, ce doit être ces clercs fossoyeurs de la foi qui n’ont que le mot “charité” dans la bouche tout en programmant volontairement la chute des vocations et de la pratique religieuse en France.
    Source : Denis Crouan, Association Pro Liturgia. Extraits (un peu long mais mérite d’être lu) :
    Dans les années 1970-90, un certain clergé français nous a longtemps demandé, à nous fidèles laïcs, d’être des chrétiens “adultes”, “responsables”, qui “osent une parole forte”. Mais quand nous, simples fidèles laïcs, au nom de l’exercice de notre responsabilité et de notre liberté de parole, nous nous sommes parfois autorisés à déclarer que la crise que traverse aujourd’hui l’Eglise, en France, est en grande partie imputable au clergé – et plus précisément aux évêques -, ça a dérangé. Brutalement, on n’a plus voulu de chrétiens “adultes”: on a préféré des fidèles bêlants et l’on a accusé ceux qui osaient parler de manquer de charité ou de semer la division. Comme si le manque de charité n’avait pas d’abord été le fait de ceux qui ont refusé aux fidèles la liturgie et la catéchèse que l’Eglise voulait leur garantir; comme si la division n’était pas née de l’éclatement de la liturgie et, par la suite, de l’effondrement des paroisses puis de la division des paroissiens; comme si le clergé local, victime de l’absence de formation solide et atteint du syndrome anti-romain, n’avait pas eu sa part dans la crise actuelle.
    Nos propos dérangent essentiellement un certain “clergé hexagonal” qui tente depuis des années de faire croire que tout a toujours été fait – et vraiment bien fait – pour que les enseignements de Vatican II soient appliqués partout, dans toutes les paroisses, à toutes les messes, à tous les niveaux des diocèses. En réalité, il faut bien, au nom de la vérité, dire que non seulement les enseignements du Concile n’ont pas été appliqués en France, mais qu’en plus – ce qui est au fond bien plus grave – les fidèles qui voulaient les appliquer ont été réduits au silence, montrés du doigt, expulsés – oui, proprement expulsés – des paroisses, au motif qu’ils n’étaient plus dans la mouvance de la pastorale qui devait s’y faire pour, disait-on, “bâtir l’Eglise de demain”.
    Propos exagérés, diront certains? En aucune façon, hélas. Nous avons sous les yeux de très nombreux documents qui prouvent l’exactitude des faits avancés. De plus, des ouvrages commencent à être publiés dont l’objectivité ne saurait être mise en cause: tous font état d’un véritable laisser-aller que, dans les années 1960-80, les évêques de France, dans leur grande majorité, ont laissé s’installer ou même ont encouragé. (1)
    […] Venons-en à la liturgie et à la pastorale qui s’y rapporte. A la suite de Vatican II, le Missel romain actuel rappelle, sans la moindre ambiguïté, que personne, même prêtre, n’a le droit d’ajouter, de retrancher ou de modifier quoi que ce soit dans la liturgie. Où voit-on cette règle être respectée? Nulle part. Même nos évêques ne la respectent pas, préférant le plus souvent s’adapter aux habitudes liturgiques de la communauté paroissiale locale qui les accueille, au lieu d’habituer la communauté en question à accueillir l’authentique liturgie de l’Eglise. Oui, force nous est de constater que la liturgie romaine célébrée par un pasteur diocésain français est toujours plus ou moins transformée en autre chose que ce que doit être la liturgie romaine. A quelques rares exceptions près. De façon générale, il y a donc eu, à la suite de Vativan II, et il y a encore, dans nos paroisses, ce qu’on est bien obligé d’appeler une vaste “imposture liturgique”. N’est-ce pas là ce qui, paradoxalement, a incité certains fidèles à se dire davantage attentifs aux enseignements du Souverain Pontife que ne le sont parfois certains pasteurs de France?
    Les enseignements du Concile n’ont pas été appliqués en France, disions-nous. Et pour étayer cette affirmation, pour comprendre les raisons de cette “trahison” du Concile, il suffit de rappeler ici ce qui s’est fait aussitôt après Vatican II: non pas en quelques endroits, comme on a voulu le faire croire, mais bien dans la totalité des paroisses et des séminaires de France. Oui, dans la totalité des paroisses et des séminaires! Ce qui prouve bien que la chute des vocations et de la pratique religieuse était sinon voulue, du moins programmée. Dans les paroisses, ce sont des tables de communion, des confessionnaux, des autels qui ont été démolis (on a connu des tabernacles de chapelles baroques transformés en niches à chiens!); ce sont des prie-Dieu ou des agenouilloirs qui ont été supprimés; ce sont des objets liturgiques qui ont été donnés aux araignées des placards de sacristies ou même jetés et brûlés, ou encore vendus à des antiquaires: calices, ciboires, burettes, chasubles, encensoirs, ostensoirs, missels, antiphonaires… etc. Pourtant, le Concile n’avait jamais demandé que l’on fasse ça.
    Encore dans les paroisses, c’est la messe en latin qui fut interdite; c’est le chant grégorien qui fut déclaré inchantable, puis incompréhensible, et enfin illicite; ce sont des organistes qui furent remplacés par un magnétophone posé sur l’autel; ce sont des choristes qui furent mis à la porte et remplacés par des fidèles usurpateurs d’une responsabilité en liturgie pour laquelle ils n’avaient généralement aucune compétence… etc. Pourtant, le Concile n’avait jamais demandé que l’on fasse ça.
    Toujours dans les paroisses, il a fallu faire des rondes autour de l’autel, taper des mains durant les chants, se donner une poignée de main, remplacer tous les chants traditionnels et aimés des fidèles par des refrains inconsistants, sans cesse nouveaux et inchantables (bien que composés par des “spécialistes” autoproclamés de la pastorale liturgique); il a fallu participer aux absolutions collectives, aux messes anticipées du samedi soir, aux “messes de jeunes” animées par un orchestre bruyant (et parfois désaccordé); il a fallu accepté que les messes soient remplacées par des A.D.A.P. alors même qu’un prêtre était présent… etc. Pourtant le Concile n’avait jamais demandé que l’on fasse ça.
    Résultat: des prêtres âgés qui ne faisaient que ce que l’Eglise leur demandait de faire et qui se refusaient à suivre des directives pastorales qui leur semblaient contraires au Concile ont été lâchés par les évêques et proprement harcelés par des vicaires épiscopaux qui pourtant n’avaient que le mot “charité” en bouche. Certains de ces vieux prêtres ont été contraints de prendre une retraite anticipée, ont été sommés de s’isoler, et ont même été interdits de célébrer la messe en public. Quant aux fidèles qui demandaient une stricte application des directives conciliaires qu’on leur refusait, ils ont par la force des choses formé la masse des “silencieux de l’Eglise”, masse rapidement prise en otage par une poignée d’autres fidèles sortis d’on ne sait où pour former un véritable “politburo” ayant ses ramifications dans toutes les instances diocésaines. Parmi ces “silencieux de l’Eglise”, quelques uns ont fini par s’habituer tant bien que mal à la dévastation liturgique à laquelle ils assistaient, mais beaucoup d’autres, lassés, abattus, ont décidé de quitter les lieux sur la pointe des pieds. […] Ces départs massifs n’ont d’ailleurs pas gêné les instances diocésaines puisque, d’une part, ils laissaient une plus grande liberté de manoeuvre aux démolisseurs déjà en place, et d’autre part ils permettaient de lancer un grand slogan: “Aux messes dominicales, nous n’avons plus le nombre, mais nous avons gagné en qualité et en ferveur”.
    […] Dans les grands séminaires diocésains (devenus par la suite interdiocésains en raison d’une baisse des vocations que l’on a mis du temps à reconnaître), on n’a admis que des jeunes au caractère assez faible pour pouvoir être manipulés par des Supérieurs déjà totalement gagnés aux idées de la pastorale nouvelle. Les séminaires se sont alors transformés en sortes de colonies de vacances pour jeunes en mal d’identité et en lieux de formatage des esprits, le but étant de faire en sorte que le futur clergé des diocèses de France devienne hostile à tout ce qui vient de Rome. Une hostilité qu’il fallait entretenir au nom du fonctionnement de la “pastorale de demain”, laquelle était assurée – disait-on – de porter des fruits à la seule condition de jeter par-dessus bord tout ce qui s’était fait jusqu’ici. Pourtant, le Concile n’avait jamais demandé que l’on fasse ainsi. Encore dans les séminaires, il fallait que les futurs prêtres soient formés par des professeurs totalement opposés à la liturgie et à toute forme de dévotion: vouloir ou même simplement participer à une messe célébrée selon le Missel romain était un critère de non-vocation. Souhaiter un minimum de chant grégorien était un symptôme d’intégrisme dangereux. Simplement évoquer les enseignements du pape déclenchait des rires sarcastiques. Etre issu d’une paroisse réputée classique devenait suspect. Refuser d’inventer des prières eucharistiques et de chambouler l’ordonnancement de la liturgie eucharistique était rédhibitoire. Refuser de participer à des célébrations eucharistiques où prêtres et pasteurs protestants “concélébraient” pour des raisons d’ “ouverture à l’autre” ou d’ “oecuménisme” était passible d’exclusion. Etaient strictement interdits: l’agenouillement au cours des messes, la récitation du chapelet, l’adoration eucharistique, le port des vêtements liturgiques prescrits, la communion dans la bouche… Autant de pratiques ou de signes caractéristiques d’une religion passéiste dont il fallait au plus vite se débarrasser. Etait fortement conseillée la lecture de “Témoignage Chrétien” ou l’adhésion à un mouvement d’Action Catholique ayant des connivences avec le socialo-communisme et permettant d’organiser des réunions au cours desquelles il était possible de célébrer une Eucharistie sur la table de cuisine de deux ou trois religieuses vivant “en communauté de base” dans une H.L.M. Etaient interdites: la fréquentation d’abbayes réputées “conservatrices” (Solesmes, Kergonan, Saint-Wandrille… ) et la lecture de “L’Homme Nouveau” ou de “L’Ami du Clergé”, publications jugées trop attachées aux enseignements de Rome. Pourtant, le Concile n’avait jamais demandé que l’on fasse ainsi.
    Toujours dans les séminaires diocésains, les études se limitaient à toucher un peu à tout sans véritablement approfondir quoi que ce soit. En sorte que les candidats au sacerdoce finissaient par avoir sur toutes les questions des opinions élaborées à partir d’une connaissance très superficielle et souvent fragmentaire des problèmes. Celui qui avait lu deux pages d’une revue qui contestait l’enseignement magistériel se prenait ipso facto pour un grand théologien, tout comme celui qui savait gratter quelques notes sur une guitare se voyait élevé au rang de spécialiste du chant liturgique. Par contre, les séminaristes semblaient soigneusement éviter les conférences d’un niveau élevé, sur tel ou tel sujet; probablement avaient-ils la crainte d’être dépassés ou de paraître ignorants. Ce qu’ils étaient assez souvent. La seule discipline qui avait alors le vent en poupe était l’exégèse biblique. Mais pas n’importe laquelle: uniquement celle élaborée par une certaine “intelligentsia” qui, à la suite de Bultmann et du mouvement de “démythologisation”, en venait à enseigner que le Christ, le Messie, le Fils de Dieu annoncé et adoré par l’Eglise n’était qu’une construction tardive ayant peu ou rien à voir avec le “Jésus de l’histoire”. A partir d’un tel enseignement, tout pouvait être librement remis en question, à commencer par tout ce qu’enseignait l’Eglise elle-même depuis ses origines. Pourtant, le Concile n’avait jamais demandé qu’il en soit ainsi.
    Résultat: dans les séminaires diocésains de France, de très nombreux jeunes, pour des raisons souvent fallacieuses, ont été découragés d’aller jusqu’au terme de leur vocation. Ceux qui étaient considérés comme trop “traditionnels” tout simplement parce qu’ils se montraient ouvertement attachés à l’enseignement de l’Eglise, du pape, du Concile, furent exclus. Exclus? Non, pas vraiment. On se contentait de différer sans cesse l’année de leur ordination, en souhaitant qu’ils finissent ainsi par comprendre qu’ils feraient mieux de quitter les lieux d’eux-mêmes. Ainsi pouvait-on dire en haut-lieu que personne n’a jamais été exclu d’un séminaire: les candidats à la prêtrise étaient simplement partis d’eux-mêmes, librement, après avoir réfléchi et compris que leur place n’était pas dans l’Eglise telle que souhaitée par l’autorité diocésaine. La chute des vocations devenait ainsi la faute à pas de chance. Jusqu’où l’hypocrisie ne serait-elle pas ainsi allée pour sauvegarder des apparences! …
    C’est l’enchevêtrement de ces faits qui explique en grande partie que nous ayons actuellement, en France, un clergé atone donnant souvent l’impression d’être dépassé par les événements, d’être incapable de comprendre pourquoi les fidèles désertent les messes paroissiales désarticulées et désacralisées soi-disant faites pour eux, alors qu’ils se pressent pour participer à une messe célébrée par un pape qui souhaite remettre de la dignité, du silence, de la beauté, de l’adoration… et même du latin dans la liturgie. Ce clergé-là, qu’il soit paroissial ou épiscopal, semble même incapable de comprendre pourquoi les jeunes générations se passionnent pour une expression liturgique de la foi que les générations précédentes ont voulu à tout prix démolir en prétendant même qu’il fallait en passer par une telle dévastation pour retrouver le vrai visage de l’Eglise.
    Il reste un dernier point à éclaircir: ces faits étaient-ils limités à quelques paroisses et séminaires ou étaient-ils généralisés? Force nous est de répondre que la situation décrite ici correspond à ce qui fut fait dans l’ensemble des diocèses et des paroisses de France. Ce qui prouve bien qu’il y avait d’une part, un mot d’ordre visant à faire en sorte que l’enseignement conciliaire soit systématiquement détourné, bafoué, (…) si l’on cherche les déclarations des évêques diocésains de cette époque post-conciliaire, on ne trouve pas une seule ligne, pas un seul mot, pas un seul discours engageant les prêtres – directeurs de séminaires, curés de paroisses, vicaires épiscopaux, responsables diocésains… – à suivre fidèlement les enseignements de l’Eglise en matière doctrinale, liturgique, ou encore catéchétique. Rien: dans les diocèses, il ne règne alors qu’un assourdissant silence épiscopal, malgré les plaintes des fidèles qui s’ajoutent désormais à celles du Souverain Pontife.
    Pro Liturgia

  19. Quelqu’un saurait-il nous dire
    a) si le diocèse de Langres possède encore un séminaire
    b) dans l’affirmative, combien de séminaristes y sont formés en ce moment ?
    Merci par avance.

  20. Si je comprends bien, c’est l’évêque qui parle comme ceci. C’est scandaleux.
    Cependant, j’ai ouïe dire que Paix Liturgique ne prenais pas toujours des gants pour discuter avec les ecclésiastiques, d’où un très possible ton hargneux. Il serait bon et honnête d’en dire plus à ce sujet, je veux rester persuadé que Monseigneur Gueneley a une raison “humaine” de s’emporter ainsi.
    “Là ou il y a de l’homme, il y a de l’hommerie”.
    Prions pour l’unité de l’Eglise.

  21. malheureusement, s’il est un diocèse au bord de l’extinction, c’est bien celui de Langres dont le chef est Mgr Gueneley (aucune ordination depuis des années, un manque cruel de prêtres, des paroisses et une pratique religieuse en voie d’extinction, un diocèse moribonde spirituellement…). prions pour nos évêques aveugles qui entraînent leurs diocésains dans leur sillage… et leurs erreurs d’appréciation sur l’Eglise !

  22. Il n’est pas le seul évêque “voyou”. Mais Langres ? n’est pas là d’où est issu le célèbre Gaillot ? Gaillot propulsé par Mgr Dalloz, ex-arhevêque de Besançon, qui avait mis en oeuvre la destruction systématique de notre diocèse. Résultats : Eglise La Madeleine, la plus grande église de Besançon, réunissait à la grande messe le dimanche 4à500 fidèles il y a une dizaine d’années. Dimanche dernier 85 paroissiens. C’est pas formidable cela? Est-ce nécesaire de conclure?

  23. Il semble avoir les coudées plus que franches notre bon pasteur !
    Quand il dit “on” (le coulera), qui est ce “on” ?
    De quels moyens disposent un évêque pour couler un diocèse “déviant” ?
    Ils doivent encore être nombreux dans l’Eglise pour qu’il affiche autant de certitudes.
    Est ce le sens des prophéties : l’Eglise sera habité par l’ennemi, etc….. Je ne parle pas du Vatican car après tout ce qui constitue le Vatican n’est ce pas l’Eglise personnifiée par ses évêques ?
    C’est drôle quand on sait que certains prélats africains sont proches de la tradition car ce Mgr aurait pu dire : “l’évêque de Ouagadoudou on le connait, on aura sa peau et on fera couler son diocèse”. L’Eglise est dans un “trip rwandais” hutus contre tutsis ?

  24. J’ai parcouru Paix Liturgique ce matin, et je découvre les réactions aux propos de cet évèque.
    Si ce qui a été relaté à son sujet est exact, il s’est vraiment trompé de vocation!

  25. Pardon, mais je ne comprends rien à ce qu’il a voulu dire : “Monseigneur Centène, on l’a fait plier. Monseigneur Aillet, on lui donne trois ans. Après, nous verrons. Dominique Rey, son diocèse finira par couler !!!”
    ça veut dire quoi, en clair ?

  26. Après s’être trompé durant des décennies, il est vrai qu’il est difficile de le reconnaitre, surtout à son âge. D’où cette hargne (sinon cette haine). Se retrouver face à de jeunes couples bien dans leur peau, chrétiens sans honte et plein de santé, met ce pauvre prélat face à 40 ans d’échecs. Dur, dur !

  27. je crois qu’une interview de ce pauvre homme à la charité relookée au goût du monde devrait intéresser certains marchands de papier qui ont un sens tout à fait convergeant de “l’écoute et de la tolérance”.
    Assurément cet homme là au look oecuménique
    façon synchrétisme, n’est pas catholique, pas davantage orthodoxe, éventuellement protestant hard trend, bien qu’il ne semble guère se réfèrer à la bible.
    Est-il bien religeux en fait?

  28. Pour Mgr Centène, c’est sans doute cette affaire “du départ de 2 prêtres de la communauté de St Martin à la demande de l’évêque.” Véridique?
    http://www.leforumcatholique.org/message.php?num=500320

  29. On a du mal à croire qu’un évêque puisse tenir de semblables propos.
    Lui et ses confrères réfléchissent en ce moment à Lourdes à “l’indifférence religieuse et à la visibilité de l’Eglise” dans leurs diocèses vides de prêtres. Comment peuvent-ils ne pas tirer les leçons de leurs erreurs, énumérées dans le terrible tableau dressé par “Pro Liturgia”, auquel on pourrait ajouter la suppression d’un petit catéchisme des diocèses de France, remplacé par des “parcours” inconsistants, ce que le Concile n’avait jamais demandé non plus ?

  30. Concernant Mgr Centène, dont la nomination avait suscité tant d’espérances en 2005, force est de remarquer qu’on ne l’entend plus guère… Pouvait-il faire autrement que de “plier” ?
    S’il est vrai que Paix-liturgique est excessivement acerbe à l’égard des évêques (et pas toujours les pires, je pense particulièrement aux attaques à l’encontre de Mgr Aumonier l’année dernière… voilà pourtant un évêque que beaucoup aimerait avoir), je ne vois pas l’information serait fausse… Compte tenu des échos que risque d’avoir cette affaire, un tel procédé la décrédibiliserait totalement.
    Le pire dans cette histoire est sans doute qu’un petit tiers de la conférence épiscopale pense la même chose mais ne le dit pas (on ne citera pas de nom par charité…).
    On peut évidemment écrire à ce “père évêque” pour lui faire part de notre indignation mais on doit surtout (ou également) prier pour ces bons évêques que nous avons et pour que les autres se convertissent.

  31. « Le prêtre doit être reconnu avant tout par son comportement mais aussi par sa façon de se vêtir, pour rendre immédiatement perceptible à tout fidèle et même à tout homme son appartenance à Dieu et à l’Eglise. Lorsque l’habit du prêtre n’est pas la soutane, il doit être différent de la manière de se vêtir des laïcs. » (Directoire pour le Ministère des Prêtres du 24 janvier 1994).
    Can. 284 – Les clercs porteront un habit ecclésiastique convenable, selon les règles établies par la conférence des Évêques et les coutumes légitimes des lieux.
    Sans commentaire…

  32. Merci à Bertrand pour cette bonne info avec lien. Gourin est un endroit paumé où l’on organise des rave parties pour l’édification de la jeunesse locale. Si même la Communauté Saint Martin, pourtant tradi modérée, est chassée du coin, ce doit être pour une reprise en mains par des progressouillards patentés. Merci à l’évêque de Langres et à ses potes “ON”. “ON” et pas “OM”, le son forable des hindous qui symbolise Krishna. A partir de combien de doses d’ecstasy entend-ON OM?

  33. le pauvre diocèse de Langres fondé au IVe s. n’a que deux séminaristes. il faut demander à l’évêque de confirmer ou démentir ces propos que j’ai du mal à lui prêter. je connais très bien ce diocèse à la dérive où les vieux prêtres sont liquidés, les abbayes qui veulent fonder (fontgombault, la pierre qui vire et en dernière date les chanoines réguliers de gap partis à la grasse)expulsées par le presbyterium divisé en deux tendances dont une totalement en guerre contre le Magistère et la Papauté. On se fout des simples fidèles, mon grand père est mort cette année en étant sûr d’avoir une messe or nous y avons renoncé pour la paix de la paroisse !!!!
    la clique qui occupe le siège depuis [MMgr] Dalloz et Taverdet, vieillit mais a fait un travail de sape considérable. il n’y a plus personne dans les églises, les vocations sont découragées. la croix de la haute-marne a embauché cette année un rédacteur athée et relaie les activités syndicales plutôt que les livres de spiritualité. depuis plusieurs années, l’objectif de catholiques et du clergé de langres est de… virer le maître-autel au fond du choeur pour la place et la perspective ! quand le niveau est tellement bas et le refus de recevoir l’air frais du dehors, on ne mérite que de mourir. des anticléricaux ne feraient pas mieux.
    les plans sont cependant près : fusion du diocèse avec celui de Troyes qui n’est pas plus fameux. de l’administratif ! de la cravatte ([Mgr] guéneley met le col romain quand ça le chante et n’est pas un mauvais bougre, mais il est entouré par des archi-ézros et golias le donnait très malade le mois dernier ! les amis de mes amis ne sont pas toujours mes amis…)

  34. Peu importe la tenue ! Nous avons fort heureusement quitté la Haute Marne en 2002 : Mgr de Langres, faisant mieux que son predécesseur, a interdit toutes les messes d’enterrement ! (même pour les mères de pretres…)Il faisait partie du cercle Condorcet ( vous connaissez ?) et ne s’en est pas caché lors de sa nomination. Il doit penser à ses “frères” quand il donne un sursis à ses collégues dans l’épiscopat qui sont remarquables. Inutile d’en dire plus : le département meurt, et il fait tout pour faire mourir l’Eglise ( nous avons encore des contacts dans ce beau département)

  35. Bah, vous verrez que M. Gueneley, sur son lit de mort, au moment de recevoir l’extrême onction, présentera le dos de la main, tel Talleyrand, en disant “souvenez-vous que je suis évêque”

  36. Les propos de cet évêque sont édifiants, révélateurs et honteux.
    Mais combien même se sent-il en position de force par ce qu’il fricote avec tel ou tel coterie, ne lui prêtons pas trop d’importance. Méprisons le et prions pour lui.
    Et soutenons avec enthousiasme nos vrais bons Pasteurs !

  37. C’est tout simplement scandaleux. Comment arrive-t-il à prier et à faire prier…

  38. Rien ne sert de s’inquiéter, cette génération d’ecclésiastiques et leur clique de laïcs étaient condamnés avant même d’avoir existés. Leurs églises sont vides, leurs séminaires aussi, ils ont prôné la mort et ils mourront sans aucune descendance. Nos séminaires sont pleins, nous avons des enfants, alors laissons les mourrir! Ils n’auront été que les pitoyables péripéties de l’histoire de l’Eglise. Ils les savent, ils enragent mais il est trop tard pour eux. La nature a horreur du vide, ils incarnent la vacuité…

  39. Quand on a un diocèse qui passe de 445 paroisses en 1998 à 31 aujourd’hui, on se permet pas de la ramener, on se dit qu’on est un incapable, et on remercie Dieu de nous montrer notre misère à travers nos innombrables échecs. […]

  40. En tant que diocésain de Vannes, je peux donner quelques précisions concernant ce que Mgr Gueneley disait à propos de Mgr Centène. Il est vrai que tous les catholiques “sérieux” du diocèse de Vannes ont été plus que cruellement déçus par Mgr Centène. En effet, lors de sa nomination, tous les espoirs étaient permis, cependant, quatre ans après le constat est affligeant.
    S’il est vrai qu’il a réussi à remonter le nombre de vocations, c’est quelque peu de manière “artificielle” en important du séminariste de l’extérieur (même si c’est mieux que rien). En outre, nous pensions qu’en tant que tradi avec une réputation excellente qui le précédait, il aurait fait quelque chose après le motu proprio. Or, il n’en est rien : la situation s’est même dégradée par rapport à mgr Gourvès, son prédécesseur, qui s’il était haï de la plupart de ses prêtres, avait du moins réussi à tenir en laisse les éléments les plus douteux et à faire passer en force grâce à son courage nombre de décisions impopulaires au sein du clergé moderno : messe tradi à Vannes dès 2001,(il n’y en a pas eu d’autre depuis malgré l’importance des demandes) accueil de la communauté saint Martin la même année, prise de position forte sur le rôle de la culture bretonne dans la pastorale (ce que Centène a abandonné après un grand enthousiasme au départ) etc… Mgr Centène qui n’a pas la force d’âme de l’ancien évêque s’est laissé déborder de tous les côté en laissant les modernos retrouver les mains libres. Concernant la communauté saint Martin, celle-ci a rappelé ses trois prêtres qui étaient en exercice dans le doyenné de Gourin, car Mgr Centène n’a donné aucune réponse quand la communauté lui a demandé d’honnorer la promesse que Mgr Gourvès avait faite de lui confier un second doyenné plus central au bout d’une période d’adaptation de quelques années.Il a préféré sacrifier ces trois excellents prêtres sous le conseil ou plutôt l’ordre de son entourage direct. Mgr me l’a lui-même avoué, il se sent prisonnier et comme pris en otage. Second exemple(et il y en a tant d’autres) de la reprise en main de diocèse par les progros : l’affaire de Pentecôte 2009 et des nouvelles orientations pastorales (allez jeter un coup d’oeil sur site officile du diocèse, ça vaut son pesant de cacahuètes)il s’est résigné à une messe-spectacle ‘fraternelle” unique pour tout le diocèse et il a signé (sous la contrainte ? ) des orientations pastorales qui assurément ne sont pas de lui car écrite de le plus pur style naïvo-optimisto-CEF, le même jargon recuit sans cesse même pas français qu’on nous sert en boucle depuis 40 ans. Voilà, je pense, ce qu’entendait l’évêque de Langres par son “on l’a fait plier”; à savoir non seulement ses chers confrères de la conférence des évêques, mais aussi la tendance progressiste et inculte à l’intérieur du diocèse qui y a repris le contrôle.

  41. Les journaux ,en principe fidèles et raisonnables, qui prennent le risque de faire de la pub pour le denier du culte ou l’appel aux legs dont le fruit sera reversé à de tels imposteurs malfaisants, devraient tout de même se poser des questions et mettre fin à cette complicité de fait.
    Sinon ce seront leur lecteurs qui seront, en conscience, obligés de cesser leur abonnement.

  42. Ce que raconte Uisant est inquiétant…
    Une lettre est partie pour une demande d’explication au Cardinal André Vingt-Trois http://e-deo.typepad.fr/mon_weblog/2009/11/qui-est-ce-on-.html

  43. à Bertrand,
    ce que raconte Uisant paraît tout à fait vraissemblable hélas et recoupe bien des infos convergentes. Mais, à moins de tomber des nues, il n’y a pas lieu de s’en inquiéter , nos frères de l’Est, voire américains également , sauront réveiller notre bonne vielle catholicité embourgeoisée d’europe , en se faisant l’écho de la Grâce.

  44. Cet évêque dit vrai, de manière maladroite évidemment, mais les évêques cités ont choisi le camp de la tradition en retournant leur conception et ce depuis peu ! de fortes pressions politiques sont en cours ! Nous avons tout ce qu’il faut pour s’alarmer pour l’unité d’une conférence épiscopale qui ne prie jamais ensemble avant les conférences.
    Que restera t il de cette Eglise, en attendant les jeunes vont chez les évangéliques !

  45. Les commentaires au sujet du diocèse de Langres me dérangent. Je suis moi même de ce diocèse.
    Le diocèse de Langres est un diocèse rural qui compte 180000 habitants, et c’est un département en crise. L’Eglise n’y est pour rien.
    Oui le nombre de paroisses a grandement diminué. Ce diocèse est composé d’une très grande part de communes de moins de 100 habitants. Et parmi les 10 doyennés rares sont ceux dont la population dépasse 15000 habitants. Donc la réduction du nombre des paroisses organisée par son prédécesseur était obligatoire.
    Actuellement ce diocèse compte 3 séminaristes et non 2. Ce qui fait… 1 séminariste pour 60000 habitants. On peut faire le calcul dans les autres diocèses… Et des jeunes se posent encore la question de la prêtrise.
    Quant aux propos qu’il a pu tenir, il faut tout de même savoir que deux jeunes hommes du nord du diocèse réclament une messe en rite extraordinaire. Mgr Gueneley est harcelé depuis des mois par ces 2 jeunes. Ce qui peut peut être provoquer un certain énervement…

  46. Je suis aussi de ce diocèse…
    Ma femme était musulmane, et lorsqu’elle est devenue catholique, on lui a refusé le baptême, l’évêque l’a simplement pris pour une conne histérique soyons franc.
    résultat : l’évêque de St Dié l’a baptisée, dans un autre village du département ) côté et en était très heureux.
    Ce genre de discours aurais tout à fait pu sortir de la bouche de cet évêque, je lui laisse toutefois le bénéfice du doute. il est impossible à approcher, il vide le diocèse de tout espoir… Les soeur de Chaumont qui étaient notre seule consolation n’y sont plus… la seule communauté chaleureuse du diocèse… les évangéliques/ assemblée de Dieu!
    Aujourd’hui heureusement nous avons déménagé, nous sommes à Londres.. et on respire!

  47. Pour ceux qui n’ont pas suivi l’affaire, voisi le lien vers l’article originel:
    http://www.paixliturgique.com/aff_lettre.asp?LET_N_ID=434

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