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France : Société

Un pays ne peut pas en même temps avoir une politique de mort (euthanasie, avortement, …) et une politique de vie

Un pays ne peut pas en même temps avoir une politique de mort (euthanasie, avortement, …) et une politique de vie

Mais cela, Le Monde ne l’a sans doute pas encore compris :

Un an après les premières mesures censées alléger les services, les problèmes d’engorgement demeurent. Des unités ferment, surtout la nuit, faute de médecins. L’inquiétude grandit avec l’été qui approche.

En mai 2022, le cri d’alerte avait fait réagir. Avant même l’été, 120 services des urgences, soit près d’un sur six, fonctionnaient de manière dégradée et subissaient des fermetures, en premier lieu la nuit et le week-end, avait averti un syndicat d’urgentistes. S’en était suivi le lancement d’une « mission flash » par le président de la République et d’un pack de 41 mesures déployées par le gouvernement à l’été 2022.

Un an plus tard, les urgentistes ne prennent plus la peine de compter. Ni les fermetures perlées de services des urgences faute de médecins, qui sont égrenées chaque semaine dans les pages de la presse locale, à Langon (Gironde), Pontivy (Morbihan), La Ferté-Bernard (Sarthe), Château-du-Loir (Sarthe), au Puy-en-Velay… Ni les patients sur brancard dans les couloirs. Ni les décès « inattendus » dans des conditions d’attente jugées indignes, qu’ils ont essayé cet hiver de comptabiliser pour alerter sur la situation. « On se meurt en silence », entend-on dans la bouche de professionnels, passés de la colère à une forme de résignation.

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2 commentaires

  1. Si la population qui doit mourir et celle qui doit vivre n’est pas la même alors si, c’est possible d’avoir une politique pro-mort d’un côté et pro-vie de l’autre. Mais comme les questions raciales, ethniques et religieuses ne sont pas abordables en république maçonnico-babylonienne et bien les gens rament à comprendre la politique cachée du gouvernement Attali-Bornstein.

  2. “On” se plaint du manque de médecins mais
    -“on” a sciemment exclu des médecins au motif qu’ils refusaient de se faire “piquer” -et ils avaient probablement de bonnes raisons pour cela- (oh, mais ce n’est pas grave, juste quelques milliers, pas grand chose…)
    -“on” décourage par la paperasse, les impôts redondants, ce qui conduit à un exil certains médecins (oh, mais ce n’est pas grave, juste quelques milliers, pas grand chose…)
    Pas grand chose + pas grand chose, ça finit par faire du monde!

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