Un rapport intitulé Fin de vie : privilégier une éthique du soin, publié mercredi par la Commission des affaires sociales du Sénat, souligne la position de la majorité sénatoriale favorable à un renforcement de la loi Claeys-Leonetti mais opposée à l’« aide active à mourir ».
Les sénatrices LR Christine Bonfanti-Dossat et Corine Imbert, rapporteurs de la mission, qualifient l’« aide active à mourir » envisagée par le Gouvernement de « réponse inappropriée et dangereuse à une demande diffuse et équivoque ». De son côté, Michelle Meunier (SOC) a émis une opinion dissidente. Le consensus est très large sur la nécessité de développer les soins palliatifs à la fois dans le monde politique et médical.
Dans son rapport, la majorité sénatoriale a également remis en cause le cadrage du débat qui aurait nui à sa « clarté » en multipliant les « lieux de réflexion ». Pourtant, la situation de la fin de vie en France « n’exige pas » de nouvelle loi, conclut le rapport en affirmant que « les soins palliatifs seraient en capacité de répondre aux souffrances de patients et à la prise en charge nécessaire en fin de vie ».
VIVANT
Bein si, il faudrait revenir sur la non-alimentation hydrique issue du léonétisme franc-maçon.