Le 1er décembre 2021, les 194 membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) se sont mis d’accord pour lancer le processus d’élaboration et de négociation d’une convention, d’un accord ou d’un autre instrument international en vertu de la constitution de l’Organisation mondiale de la santé afin de renforcer la prévention des pandémies et la préparation et la réaction à celles‑ci.
Un organe intergouvernemental de négociation a été mis en place pour présenter un rapport sur l’état d’avancement des travaux à la 76e Assemblée mondiale de la santé en 2023, en vue de l’adoption de l’instrument d’ici 2024.
Ce traité permettra notamment de renforcer le rôle de l’OMS et la coopération internationale et inter-agences en santé, d’améliorer l’accès équitable aux outils de lutte contre les épidémies, tels que les vaccins, traitements, tests de diagnostic et mesures de protection, et de promouvoir l’approche « Une seule santé », qui tient compte des interactions entre santé humaine, animale et environnementale dans le contexte d’érosion de la biodiversité.
Le 22 avril, l’Association des médecins et chercheurs indépendants polonais s’est réunie afin de mettre en garde la population internationale quant à ce projet de l’OMS.
Si sur le papier, cet objectif collaboratif paraît vertueux, ces scientifiques alertent néanmoins sur les risques inhérents à ce programme. Selon eux, ce type de collaboration pourrait être la porte ouverte à la perte de souveraineté pour les pays, ainsi que le risque d’instaurer des états d’urgences amenant à la perte des libertés des citoyens, dès lors qu’une épidémie sera déclarée :
« Que va-t-il se passer quand le chef de l’OMS va appuyer sur le bouton ‘pandémie’ ? Aujourd’hui, nous allons tenter de répondre à ces questions, pour faire prendre conscience aux Polonais d’un réel danger pour leur liberté civique ».
Ces médecins et chercheurs insistent particulièrement sur leur indépendance. Leur manque de confiance en l’OMS provient principalement des conflits d’intérêts qu’ils dénoncent entre les membres de l’organisation et les grands laboratoires pharmaceutiques, producteurs des vaccins, entre autres.
Le Règlement sanitaire international (RSI) révisé de 2005 laisse encore une certaine autorité aux États et exige certaines conditions pour qu’un événement sanitaire dans un État particulier soit considéré comme suffisamment grave au niveau mondial pour que l’État soit contraint de le communiquer à l’OMS. Une fois communiquée, elle devient la prérogative du directeur général de l’OMS de déterminer si elle « constitue une urgence de santé publique », mais en collaboration avec cet État particulier.
Le nouveau traité remédierait aux « faiblesses » ci-dessus du RSI tel qu’il est considéré comme étant, en assurant « une vérification, un suivi et une conformité indépendants ». Compte tenu de la finalité clairement exprimée de l’autonomisation de l’OMS, doit-on en conclure que « indépendant » signifie sous l’autorité de l’OMS plutôt que des États eux-mêmes ? En outre, le RSI couvre « les dangers pour la santé publique et les urgences de santé publique de portée internationale », alors que le traité concernera « tous les dangers », pas seulement les pandémies. Dans ce dernier cas, il prendrait le relais du RSI une fois qu’une pandémie serait officiellement déclarée par l’OMS.
Parmi les principaux contributeurs de l’OMS figurent la fondation Bill et Melinda Gates et l’alliance vaccinale (GAVI) qu’elle a créée en 2000.
Interrogé sur ce projet de traité, Ron DeSantis, le gouverneur de Floride, a déclaré :
« Nous en Floride, il n’est pas question que nous soutenions ce truc de l’OMS, ça n’arrivera pas. Pas question. »
Le sénateur pour la Floride, Marco Rubio, a lui aussi exprimé son désaccord :
« Nous ne devons pas permettre à Biden d’utiliser un “traité pandémique” pour donner le contrôle des décisions sur la santé publique américaine à l’OMS corrompue. »
Deux autres sénateurs, Steve Daines (Montana) et Tom Cotton (Arkansas) ont publié une lettre demandant à Biden de retirer les Etats-Unis de « l’OMS corrompue » qui a fait preuve d’une « abyssale incompétence » lors de l’épidémie de COVID-19, qui a « détruit la crédibilité de l’organisation et sapé la confiance des gens en elle ».
Biem
L’OMS peut déclencher une “pandémie” à volonté.
Son financement est largement assuré par Bill Gates – qui paye décide.
Bill Gates investit massivement dans les industries vaccinales.
Trouvez l’erreur…
Giacomo
Tout traité entraînant une PERTE DE SOUVERAINETE pour la France doit être d’abord approuvé par référendum, comme par exemple on aurait du le faire avec l’infâme Pacte de Marrakech.
Point final.
Giacomo
“C’est pour votre bien” nous sussurera Macron mielleusement et il signera.
“Ayez confiance…” rajoutera le Pape François