Ce qui attend la France se trouve au Canada où, le 1er mars, un juge de la Cour supérieure du Québec a rejeté la demande d’exemption de l’archidiocèse catholique romain de Montréal à une loi québécoise exigeant que tous les centres de soins palliatifs de la province fournissent l’« aide médicale à mourir ».
« Le droit des Québécois de choisir leurs soins médicaux, y compris l’aide médicale à mourir, l’emporte sur toute atteinte à la liberté de religion ».
En février, Mgr Lépine, archevêque de Montréal, avait déposé un recours judiciaire afin que la maison de soins palliatifs et centre de jour St-Raphaël installée dans une ancienne église appartenant à l’archidiocèse, ne soit pas soumise à la loi québécoise sur l’« aide médicale à mourir ». Il estime que cette loi viole la liberté de religion.
Deuslovult
dans ce cas, soit se rebéller, soit fermer le centre…
Gaudete
Les québécois sont encore plus fous enfin leurs députés que les notres , mais ne nous inquiétons pas ça va venir
Sicéron
Pour respecter la liberté de religion et la liberté de conscience du personnel médical, il y a une solution toute simple : que le juge assume sa décision et tue “fraternellement” lui-même.
zongadar
Ces pôôôvres évêques qui se réveillent après la guerre, on a les mêmes. Ils devraient pourtant savoir ce qu’est la fenêtre d’Overton.
lavergne21
C’est ce qui nous attend si l’euthanasie est légalisée : une transgression de plus ou de moins, quelle importance quand la machine est lancée ?