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Culture de mort : Avortement / Culture de mort : Euthanasie

Veut-on entourer et honorer la Vie humaine ou promouvoir sa destruction en prétendant que c’est un progrès ?

Veut-on entourer et honorer la Vie humaine ou promouvoir sa destruction en prétendant que c’est un progrès ?

Communiqué de SOS Tout-Petits :

Veut-on entourer et honorer la Vie humaine ou promouvoir sa destruction en prétendant que c’est un progrès ?

La question vaut pour la promotion de l’avortement légalisé comme pour celle de l’euthanasie et du suicide assisté.

Qu’a t’on fait en France il y a plus de quarante ans ? On a souligné à l’envi la détresse de certaines femmes enceintes pour en faire l’argument principal en faveur de l’avortement légalisé.
Madame Veil affirmait avec force en 1974 : »aucune femme ne recourt de gaieté de coeur à l’avortement » et « C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame ».
Alors, pourquoi promouvoir le drame ?

A-t-on développé d’importants secours et une forte prime de naissance pour aider les femmes et les dissuader d’avorter ?

Non. On s’est même empressé d’ignorer la condition de détresse qui figurait dans la loi ; elle n’a donné lieu à aucun contrôle et on l’a finalement supprimée en 2014 pour promouvoir le droit discrétionnaire de toute femme enceinte, dans le délai légal qui est aujourd’hui de 14 semaines de la conception, de mettre à mort le petit être humain qu’elle a l’honneur de porter pour le protéger et le chérir.

Voulait-on apporter un secours ou créer un effroyable droit ?

La réponse est dans les faits.

La même chose est en train de se reproduire pour la fin de vie.

Depuis des années on a laissé se dégrader les moyens médicaux, et les soins palliatifs annoncés ne sont pas du tout au niveau souhaitable.

Au lieu de redresser vigoureusement tout cela, que fait-on ? On prépare l’opinion à l’euthanasie et au suicide assisté !

L’instinct de conservation est suffisamment fort pour qu’on ait toujours regardé la volonté de se donner la mort comme un signe d’extrême détresse ou de dérangement mental, mais non de liberté. Achève-t-on celui qui a manqué son suicide, pour respecter sa liberté ?

Pour le chrétien, c’est un devoir de respecter sa propre vie et, à juste titre, il voit dans les derniers instants une ultime épreuve avant sa libération et la rencontre avec son Créateur.

Au lieu de promouvoir les soins palliatifs, l’assistance médicale, morale et spirituelle, va-t-on encore créer un effroyable droit ?

La réponse sera dans les faits.

La force de ceux qui méprisent la Vie humaine n’est faite que de la faiblesse de tous les autres, qui ont le devoir impérieux de leur résister.

Ne nous étonnons pas du déchaînement des violences et méditons l’avertissement prophétique de sainte Mère Teresa de Calcutta, quand elle reçut le Prix Nobel de la Paix le 10 décembre 1979 :

« Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? »

« …la défense et la promotion de la Vie ne sont le monopole de personne mais bien le devoir et la responsabilité de tous » ( Jean Paul II Evangelium Vitae, 1975)

« Le chrétien est, par conséquent, continuellement appelé à se mobiliser pour faire face aux multiples attaques auxquelles est exposé le droit à la vie » (Benoît XVI, février 2007)

« Je vous le dis ; quiconque se sera déclaré pour moi devant les hommes, le Fils de l’homme aussi se déclarera pour lui devant les anges de Dieu… » (Saint Luc, 12,8)

Jacques Bay
Vice-président de SOS Tout-Petits

A la suite de son fondateur, le Docteur Dor, SOS Tout-Petits nous invite à prier publiquement le Rosaire en réparation.

SOYONS NOMBREUX

Prochain Rosaire : A Paris, à 14 h.30, le samedi, au croisement du boulevard du Montparnasse et de l’avenue de l’Observatoire (RER B Port-Royal), le 14 octobre

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