Violence haineuse par SAR Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme

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La violence haineuse… ça suffit !

Un policier de 28 ans a été lâchement attaqué par des barbares et se retrouve grièvement brûlé à l’hôpital. Une fois passé le sentiment de révolte dans nos cœurs, avec nos compatriotes, nous l’assurons de notre solidarité et de notre sincère compassion. Personne ne mérite une telle torture. Sa famille et ses proches vont l’accompagner dans ce chemin douloureux… avec des cicatrices et séquelles physiques et psychologiques qu’il faudra l’aider à surmonter. Nous pensons bien à lui dans ces moments éprouvants. Nous pensons bien à lui et nous nous souvenons avec émotion du caractère bon enfant, familial et convivial de la « manif pour tous »…

Les gestionnaires gouvernementaux se révèlent davantage chaque jour incapables de juguler la violence par des compromissions complices avec les extrémistes détestant la France et les Français (les collabos grâce à qui ils se sont hissés au pouvoir au second tour de la présidentielle). Ce groupuscule politique de malfaisants diaboliques, sectaires et fanatiques dont certains siègent à l’Assemblée nationale, s’offusquent des tentatives d’assassinats contre nos policiers, comme des novices effarouchés, depuis le soir du 1er mai 2023. Ils tentent de retrouver une virginité car ils veulent se dédouaner par avance des morts possibles à venir en raison de la brutalité de leurs prises de positions et de leurs langages agressifs.

Depuis plusieurs mois, ces nuisibles pervers fomentent une révolution féroce, mettent de l’huile sur le feu avec des propos haineux, encouragent des manifestations ultraviolentes et tentent de placer systématiquement notre police en situation de vulnérabilité pour l’empêcher d’exercer le fondement même de son métier : maintenir l’ordre.

Les tentatives d’assassinats en bandes organisées caractérisent aujourd’hui les manifestations (en marge de celles-ci), avec feux ou mortiers d’artifices en tirs tendus, cocktails Molotov et jets de pierres, de pavés et même de marteaux. Les cris « tout le monde déteste la police » et les affirmations des diviseurs qui montent les Français les uns contre les autres en disant « la police tue » mériteraient d’être reconnus comme délits avec la qualification pénale d’incitation à la haine envers les personnes dépositaires de l’autorité publique. Si la loi n’existe pas, créons-la… pour qu’elle soit appliquée. Par ailleurs, un délit devrait entraîner une peine d’inéligibilité automatique pour 10 ans.

Ces républicains haineux de la France montrent à chaque fois le pire visage de l’être humain. La violence engendrée par l’impossibilité du peuple à se faire entendre appelle une réflexion sur nos institutions et le régime anti-démocratique en place actuellement.

Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme