C'est le décompte au 13 avril.
La première loi proscrit l’avortement après vingt semaines de gestation.
La seconde restreint le recours à l’avortement (légal aux États-Unis)
- obligeant les bénévoles ou les employés travaillant dans des organisations (associatives ou commerciales) s’occupant des grossesses chez les mineures de signaler systématiquement à l’autorité (police, justice) ces cas assimilés à des abus sexuels sur des mineurs,
- exige des avortoirs de fournir à leurs clientes une documentation stipulant que « l’avortement supprime la vie d’un être humain plénier, autonome et unique ».
L’État dispose désormais du pouvoir légal de poursuivre ceux qui ont procuré ou subi un avortement postérieur aux vingt semaines de gestation et exige le consentement parental explicite pour tout avortement envisagée sur une mineure.
Sancenay
good news: si la France pouvait demeurer également suiviste en ce domaine , on s’en contenterais bien.