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Suisse : à propos de la “tolérance” musulmane

Puisque tous nos médias en sont à récriminer sur ce honteux peuple de Suisse, il convient de rétablir quelques réalités.

Par exemple, le canton de Vaud avait interdit aux enseignants vaudois de faire apprendre aux enfants des chants de Noël chrétiens, sur demande de musulmans.

Profiant de cette victoire, le président du PDC a déclaré qu'il allait proposer à ses collègues du parlement d'interdire la burqa :

"Le message du Conseil fédéral doit être clair. La charia n’a pas sa place en Suisse. Toutes les formes de discrimination envers les femmes doivent être bannies. Il ne doit y avoir aucune exception à la scolarité obligatoire, aux cours de religion et de sport – inclus la natation pour les filles".

Les médias ne parlent pas des suicides

dans la police, pourtant 2 fois plus importants que chez France Telecom.

Non aux “minarets-baïonnettes”

Communiqué de Bernard Antony :

"Français et chrétiens, nous nous réjouissons profondément de la grande victoire démocratique du peuple suisse pour dire non à la multiplication des minarets-baïonnettes dans la confédération helvétique et ce avec un taux de participation exceptionnel. Le premier ministre turc Erdogan ne déclarait-il pas il y a peu : «Les mosquées sont nos casernes, les citoyens nos soldats, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes» ? On se souvient de l’usage atroce de ces baïonnettes dans une indicible cruauté généralisée que fit l’armée turque pour génocider en 1920 99 % des deux millions de chrétiens arméniens, chaldéens et grecs qui avaient réchappé aux tueries antérieures.

Le libre pays suisse a résisté aux énormes pressions de tout le système politico-médiatique, capitalo-mondialiste et aussi aux indécentes prises de position des hiérarchies religieuses au sein desquelles l’épiscopat catholique islamo-collaborationniste s’est illustré par sa veule mais très active médiocrité. La victoire du peuple suisse constitue encore aussi un révélateur de plus du fossé qui se creuse entre les peuples et les oligarchies financières et idéologiques qui en occupent les gouvernements, les administrations, les médias et même les églises pour broyer les identités nationales et les libertés. Le peuple suisse a voté contre une très réelle volonté d’avance impérialiste islamo-turque et pour épargner demain à ses enfants les tragédies du Liban et des Balkans.

L’évidence démocratique s’impose qu’il faudrait organiser partout en Europe le même référendum. On pourra admettre des minarets dans nos pays le jour où l’on pourra à nouveau bâtir librement des églises et pratiquer la foi chrétienne dans les pays dominés par l’islam, et notamment en Turquie et en Arabie saoudite. Pourquoi y a t-il une grande mosquée à Rome et pas la moindre église à Médine, à La Mecque et dans toute l’Arabie ?"

L’avortement est le plus grand destructeur de la paix

L'abbé Lelièvre publie l'intégralité du discours de Mère Teresa lors de la réception du Prix Nobel de la paix en décembre 1979, il y a 30 ans. En voici un extrait significatif :

"Le plus grand destructeur de la paix, aujourd'hui, est le crime commis contre l'innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu'est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ? L'Écriture déclare elle-même : «Même si une mère peut oublier son enfant, moi, je ne vous oublierai pas. Je vous ai gardés dans la paume de ma main.» Même si une mère pouvait oublier… Mais aujourd'hui on tue des millions d'enfants à naître. Et nous ne disons rien. On lit dans les journaux le nombre de ceux-ci ou de ceux-là qui sont tués, de tout ce qui est détruit, mais personne ne parle des millions de petits êtres qui ont été conçus avec la même vie que vous et moi, avec la vie de Dieu. Et nous ne disons rien. Nous l'admettons pour nous conformer aux vues des pays qui ont légalisé l'avortement. Ces nations sont les plus pauvres. Elles ont peur des petits, elles ont peur de l'enfant à naître et cet enfant doit mourir ; parce qu'elles ne veulent pas nourrir un enfant de plus, élever un enfant de plus, l'enfant doit mourir.

T Et ici, je vous demande, au nom de ces petits… car ce fut un enfant à naître qui reconnut la présence de Jésus lorsque Marie vint rendre visite à Elisabeth, sa cousine. Comme nous pouvons le lire dans l'Evangile, à l'instant où Marie pénétra dans la maison, le petit qui était alors dans le ventre de sa mère tressaillit de joie en reconnaissant le Prince de la Paix.

C'est pourquoi, aujourd'hui, je vous invite à prendre ici cette forte résolution : nous allons sauver tous les petits enfants, tous les enfants à naître, nous allons leur donner une chance de naître. Et que ferons-nous pour cela ? Nous lutterons contre l'avortement par l'adoption. Le Bon Dieu a déjà si merveilleusement béni le travail que nous avons fait, que nous avons pu sauver des milliers d'enfants. Et des milliers d'enfants ont trouvé un foyer où ils sont aimés. Nous avons apporté tant de joie dans les maisons où il n'y avait pas d'enfant !

C'est pourquoi, aujourd'hui, en présence de Sa Majesté et devant vous tous qui venez de pays différents, je vous le demande : prions tous d'avoir le courage de défendre l'enfant à naître et de donner à l'enfant la possibilité d'aimer et d'être aimé. Et je pense qu'ainsi —avec la grâce de Dieu — nous pourrons apporter la paix dans le monde. Nous en avons la possibilité. Ici, en Norvège, vous êtes — avec la bénédiction de Dieu — vous êtes assez à l'aise. Mais je suis sûre que dans les familles, dans beaucoup de nos maisons, peut-être que nous n'avons pas faim pour un morceau de pain, mais peut-être qu'il y a quelqu'un dans la famille qui n'est pas désiré, qui n'est pas aimé, qui n'est pas soigné, qui est oublié. Il y a l'amour. L'amour commence à la maison. Un amour, pour être vrai, doit faire mal."

A diffuser à vos élus, médecins…

Véronique Besse s’engage contre le PaCS

Le député MPF Véronique Besse prend position contre le PaCS :

"Je considère en effet que le PACS a des conséquences particulièrement néfastes sur notre société. Toutes les études le prouvent : le « non-mariage » a sur les ménages un coût très lourd, et pas seulement d'un point de vue économique. Il fait subir aux personnes, et en premier lieu aux enfants, de multiples souffrances à la fois affectives, psychologiques et identitaires. Le « démariage » institué par le PACS et censé accroître nos libertés, est en réalité source d'instabilité identitaire et d'encadrement juridique pour les familles. Je compte alerter le gouvernement sur le coût du PACS pour notre société et demander une étude parlementaire sur le sujet afin d’en évaluer sérieusement et objectivement les conséquences et de sensibiliser mes collègues députés sur le sujet."

La foi des militaires

De Mgr Luc Ravel, nouvel évêque aux Armées, ordonné hier :

Quel message spirituel souhaitez-vous faire passer aux militaires en ces temps de guerre en Afghanistan ?
Ce message que l'aumônier de Coëtquidan avait dit pendant mon service militaire : 'Jésus n'a pas trouvé de plus belle foi en Israël que celle du centurion' (cf. Mt 8, 5-13). C'est l'occasion pour les personnes qui ont du mal à se situer vis-à-vis de l'armée ou de la police de se remettre en question en ne confondant pas l'Evangile avec une recherche de la paix béate et inconsciente."

Interdiction des minarets : et la France ?

La France compte à ce jour dix minarets. Pour le moment. Le secrétaire général de l'UMP, Xavier Bertrand, a estimé dimanche, qu'il n'était «pas certain que l'on ait forcément besoin de minarets» pour pratiquer l'islam. De fait, pour pratiquer l'islam, il n'y a même pas besoin de mosquée. Marine Le Pen a demandé aux «élites de cesser de nier les aspirations et les craintes des peuples européens».

La tour de la grande mosquée de Paris grimpe à 30 mètres, à Créteil, elle atteint 25 mètres. À Strasbourg, le minaret est oublié pour l'instant, faute de moyens. Mais «si la communauté le souhaite, elle aura son minaret», s'est engagé Roland Ries, le député maire PS, le 27 novembre. La future grande mosquée de Marseille a prévu le sien.

La démocratie est dangereuse

C'est la conclusion de Jean Quatremer, suite au vote suisse. On comprend pourquoi Jean Quatremer est un européiste forcené, farouche opposant de la ratification par référendum du traité constitutionnel. Cet homme a peur du peuple :

"la démocratie directe fait la preuve de son extrême dangerosité. En laissant s’exprimer la peur de l’autre, le refus de la rationalité, l’intérêt immédiat, le référendum est décidément un instrument dangereux aux mains des démagogues de tous poils. On comprend mieux pourquoi plusieurs pays démocratiques l’ont tout simplement interdit."

Le peuple pense mal ? Il faut dissoudre le peuple. Comme en démocratie populaire…

La fausse liberté de Bernard Kouchner

Bernard Kouchner a déclaré lundi, suite au vote suisse :

"Je suis un peu scandalisé par cette décision [qui] est négative pour ce qui concerne les inquiétudes même des Suisses parce que si on ne peut pas construire de minarets, cela veut dire qu'on opprime une religion. J'espère que les Suisses reviendront sur cette décision assez vite. C'est une expression d'intolérance et je déteste l'intolérance".

Interrogé pour savoir s'il était en faveur de l'interdiction de la burqa en France, le ministre a répondu "ne pas savoir". La burqa "est une atteinte aux droits des femmes". Maintenant qu'on se promène en burqa dans la rue, c'est aussi une liberté élémentaire, a-t-il dit.

Demain, il laissera les musulmans appliquer "librement" la charia en France.

Frontière ténue entre journalisme et politique

Françoise Degois, journaliste au service politique de France Inter
chargée de suivre le PS, a démissionné ce mois-ci pour prendre le poste de
conseillère spéciale au cabinet de Ségolène Royal
à la présidence de la région Poitou-Charentes. Véronique Lafont,
grand reporter aux informations générales de TF1 a été nommée conseillère pour la presse et la
communication au cabinet de Roselyne Bachelot. Ces "transferts" sont en fait habituels.

  • David Kessler, ancien directeur de France-Culture, aujourd'hui conseiller à la culture et à l'éducation auprès de Bertrand Delanoë.
  • Le député Vert Noël Mamère est un ex-présentateur du journal d'Antenne 2
  • Jean-Jacques Servan Schreiber et François Giroud,
    deux dirigeants emblématiques de L'Express, devinrent
    ministres pendant le septennat de Giscard
  • Philippe Vasseur,
    éditorialiste au Figaro, a été élu député en 1986, avant de devenir
    ministre de l'agriculture dans le gouvernement Juppé, en 1995.
  • Alain
    Trampoglieri et Françoic Bonnemain, journalistes à France Inter, ont rejoint la Mairie de Paris sous la direction de Jacques Chirac
    avant de revenir dans l'audiovisuel.
  • Dominique Baudis, journaliste sur
    FR3 puis TF1, a été élu député et maire de Toulouse sous l'étiquette
    centriste , avant d'être nommé par Jacques Chirac à la présidence du
    Conseil supérieur de l'audiovisuel, puis à l'Institut du monde arabe.
  • Nommé à Matignon en 1984, Laurent Fabius fit alors appel à un quarteron de journalistes pour s'occuper de sa communication : Jean-Gabriel Frédet, Bernard Poulet, Jean-Paul Besset et Denis Pingaud, tous quatre venus du Matin de Paris et les trois derniers de la mouvance trotskiste.
  • François Bayrou a pour proche conseiller Philippe Lapoustelle, ancien rédacteur en chef de RMC. Sans parler de Jean-Marie Cavada ou Jean-François Kahn. Alain Duhamel ne l'a pas rejoint, mais il a déclaré publiquement voter Bayrou
  • Catherine Pégard, ex-chef du service politique du Point, a rejoint l'équipe de Nicolas Sarkozy à l'Elysée dès son élection.
  • Myriam Lévy, reporter au Figaro, a intégré l'équipe du premier ministre, avec le titre de conseillère en communication.
  • Jean-Marc Plantade, ex-rédacteur en chef adjoint du Parisien, est conseiller en communication de Christine Lagarde.
  • Georges-Marc Benamou, ancien directeur du journal mitterrandiste Globe Hebdo, et éditorialiste à Nice-Matin, a été nommé conseiller audiovisuel de Nicolas Sarkozy.

L’archevêque de Tolède dénonce la loi sur l’avortement

Mgr Braulio Rodriguez Plaza, archevêque de Tolède et Primat d’Espagne, a fait distribuer ce dimanche une lettre dans toutes les paroisses de son diocèse. Extrait :

"Derrière
la loi en cours de discussion sur l’avortement, […] se cache un plan ambitieux
d’introduction [dans la législation espagnole] de la dite « santé
sexuelle et reproductive Â». Il s’agit là de la terminologie politique
et législative utilisée depuis la Conférence de Pékin, en 1995, qu’est
en train d’imposer avec une telle ardeur le parti au pouvoir. A partir
de là on a justifié dans le monde des stérilisations massives, la
propagation de l’avortement précisément en tant que « droit de la
femme Â» ; mais encore l’occultation de l’information sur les effets
abortifs de produits présentés et diffusés comme contraceptifs, la
restriction des droits de la conscience pour les médecins et les
personnels sanitaires
. Cela vous dit quelque chose ?

[…] Ils vont obliger la communauté éducative à dispenser l’éducation
sexuelle conforme aux directives du gouvernement du moment.
Et celles
du gouvernement actuel, nous les connaissons déjà : elles constituent
une ingérence dans les droits des parents dont on doit respecter les
convictions par rapport à l’éducation de leurs enfants. […] le ministère de la Santé […] est en train
d’élaborer une norme législative qui obligera tous les centres
éducatifs, sans exception, à dispenser cette éducation sexuelle à tous
les élèves. La formation en la matière ne sera pas dispensée par les
professeurs de ces centres, mais par le personnel sanitaire désigné par
l’Administration et par les professionnels que le gouvernement voudra
bien juger capables et qu’il accréditera. Et hors de question que les
centres éducatifs contestent leur idéologie. […] C’est
ainsi que l’Etat s’immisce de nouveau dans l’intimité des élèves,
puisque l’exercice de la sexualité appartient à la sphère personnelle
et affecte les valeurs et les convictions, et, par voie de conséquence,
la liberté idéologique et la liberté de la conscience.

Marathon de confessions à Mexico

Un "marathon de confessions" organisé samedi par l'archevêque de
Mexico à l'approche de Noël a réuni 4.000 à 5.000 fidèles dans la
cathédrale de la capitale. L'imposante
cathédrale du centre historique de Mexico a accueilli de longues files de pénitents
jusqu'à la nuit pour cette occasion où les prêtres étaient autorisés
"exceptionnellement" à absoudre les péchés graves, y compris
l'avortement. L’avortement étant un péché dont l’absolution est « réservée » à
l’évêque et aux prêtres pénitenciers, comme le veut le code de droit
canonique.

Ingérence de musulmans de France sur le vote suisse

La grande mosquée de Lyon a déploré le résultat du référendum par lequel les Suisses ont décidé d'interdire la construction de nouveaux minarets chez eux :

"Il s'agit d'un vote d'intolérance, tournant le dos aux bases juridiques les plus constantes qui, à travers le monde, garantissent la liberté de religion. J'appelle à une réaction de tous les musulmans, des fidèles de toutes les religions, et de tous les démocrates, au niveau européen, pour s'opposer à ce que ce vote, contraire aux fondements du droit, devienne une loi".

M Kamel Kebtane, recteur de la grande mosquée de Lyon, est un grand démocrate. Ils vont tenter de refaire le coup du Traité constitutionnel européen.

Dans la tradition musulmane, le monde est divisé en deux parties: Dar al-Salam, la «Maison de la paix» et Dar al-Harb, la «Maison de la guerre». Les ouléma musulmans affirment que les cinq appels à la prière quotidiens doivent être effectués pour qu'une zone soit considérée comme Dar al-Islam. L'implantation de minarets qui permette les cinq appels à la prière quotidiens est donc un élément important pour qu'une partie du monde Dar al-Harb, la «Maison de la guerre» devienne Dar al-Islam, la «Maison de la paix».

Entrée dans le temps de l’Avent

B

Hier, dans son homélie des vêpres, le Saint-Père a proposé une réflexion sur la
signification de l’Avent : présence, visite, attente…. L’Avent nous
dit que Dieu est là, qu’il ne s’est pas retiré du monde et qu’il vient nous
visiter de diverses manières. L’Avent est un temps liturgique fort qui nous
invite à maquer une pause en silence pour saisir la présence de Dieu, nous
qui sommes accaparés par nos multiples activités. Puis il a exhorté les fidèles à espérer
au-delà de la "carrière" ou de la "position sociale" sous
peine de se retrouver face à un présent qui "reste vide" de sens
. L'homme:

"quand il est enfant veut grandir, quand il devient adulte il
aspire à la réalisation et au succès (…) Puis vient le temps où il
découvre avoir espéré trop peu, surtout s'il ne lui reste plus rien à
espérer au-delà de la profession ou de la position sociale […] Si le temps n'est pas rempli d'un présent riche de sens, l'attente
risque de devenir insupportable
".

Le Père Blet est décédé

B Le P. Pierre Blet, 91 ans, jésuite, historien renommé (son dernier ouvrage : Richelieu et l'Eglise, Via Romana), défenseur savant et précis de la mémoire de Pie XII (Pie XII et la seconde guerre mondiale, Perrin, Pie XII et la seconde guerre mondiale d'après les archives du Vatican,
Perrin), s’est éteint la nuit dernière, près du Vatican, à l’hôpital du
Saint-Esprit, des suites d’un infarctus.

RIP

Le Pen affirme l’identité chrétienne contre l’islam

De Jean-Marie Le Pen, en conférence de presse à Carpentras :

P "C’est, en ce moment, la foire de la Saint Siffrein. Alors, en ces
temps de débat -récupération ! – sur l’Identité nationale, quoi de plus
roboratif que de constater la ferveur avec laquelle les Carpentrassiens
fêtent la Saint Siffrein et honorent ainsi une tradition comtadine
séculaire ! Voilà, en effet, près de 5 siècles que la foire de la Saint
Siffrein existe…
Elle tire son nom de celui de l’évêque du VIIe siècle de Carpentras,
Saint Siffrein, qui donna également son patronyme à la Cathédrale
érigée entre 1405 et 1519. Face à la «discrimination positive» de M.
SARKOZY et aux trahisons répétées de M. BESSON en matière de lutte
contre l’immigration clandestine, nous disons «halte à l’escroquerie
électorale sur l’Identité
» et nous affirmons haut et fort avec le
peuple provençal : «Provence, terre chrétienne séculaire et française,
voilà notre identité !
» […]

Et l’Islam radical, qui tente d’asservir les populations immigrées
avant de se retourner et de s’en prendre définitivement aux
Institutions françaises, est un élément fondamental de la menace
concrète qui pèse sur notre identité
. Trois valeurs, typiquement françaises, se trouvent ainsi bafouées :

  • la laïcité, combattue par la mise en place de la Charia, au départ dans les « quartiers » ;
  • la citoyenneté unique, directement attaquée par le concept de
    dhimitude (citoyenneté de seconde zone, réservée aux non-musulmans) ;
  • la souveraineté de la Nation française, à laquelle s’oppose directement la « Oumma » (ou « internationale islamique »).

Dès lors, il n’est pas étonnant que certains spectacles s’observent
de façon chronique, pour ne pas dire structurelle dans nos cités :

  • que des élèves refusent de se plier à la règle commune ou d’assister à certains cours sous des prétextes religieux.
  • Que des femmes doivent se voiler pour traverser certains quartiers, sous peine d’être importunées ou violentées.
  • Que des horaires de piscine doivent être aménagés pour certaines
    communautés et des accoutrements aquatiques prétendument religieux
    doivent être acceptés contre tout hygiène et bon sens.

Parallèlement, grâce au laxisme et parfois aux encouragements des élus, les mosquées prolifèrent :

  • après la mosquée d’Orange dont «le patron et ses fils auraient mis sur pied un vaste réseau de prostitution»,
  • après celle de Montfavet «dont les riverains ne veulent pas»,
  • une troisième mosquée sur Carpentras dont «on ne connaît pas l’origine des fonds !» va voir le jour."

Jésus-Christ concerne tous les hommes

Extrait des paroles de Benoît XVI avant l'Angélus de ce jour :

B "Le Concile insiste sur le fait que le centre
de la liturgie est le Christ, comme le soleil autour duquel, comme les
planètes, tourne la Bienheureuse Vierge Marie – plus proche – et donc les
martyrs et les autres saints
qui «chantent à Dieu dans le ciel une
louange parfaite et intercèdent pour nous
».

Voilà la réalité de l'Année liturgique vue, pour ainsi dire, «du côté de
Dieu
». Et du côté – disons-nous – de l'homme, de l'histoire et de la
société ? Quelle importance peut avoir tout cela ? La réponse nous est
suggérée justement par le chemin de l’Avent, que nous commençons
aujourd'hui. Le monde d'aujourd'hui a besoin surtout d'espérance : les
peuples en voie de développement en ont besoin, mais aussi les pays
économiquement développés.
Nous nous apercevons de plus en plus que nous
nous trouvons sur un seul bateau et devons nous sauver tous ensemble.
Nous nous rendons surtout compte, en voyant s'écrouler de nombreuse fausses
sécurités, que nous avons besoin d'une espérance fiable, et celle-ci se
trouve seulement dans le Christ, qui, comme le dit la Lettre aux Hébreux, «est le même hier, aujourd'hui, et éternellement». Le Seigneur Jésus est venu dans le passé, il vient dans
le présent, et viendra dans l'avenir. Il embrasse toutes les dimensions du
temps, parce qu'il est mort et ressuscité, il est « Vivant » et,
alors qu'il partage notre précarité humaine, il reste toujours et nous offre
la stabilité même de Dieu. Il est « chair » et « roc » comme
Dieu. Quiconque aspire à la liberté, à la justice, à la paix peut se relever
et lever la tête, parce que dans le Christ la libération est proche comme nous le lisons dans l'Évangile d'aujourd'hui.
Nous pouvons par conséquent affirmer que Jésus Christ ne concerne pas
seulement les chrétiens, ou seulement les croyants, mais tous les hommes,
parce que Lui, qui est au centre de la foi, est aussi le fondement de
l'espérance
. Et tout être humain a constamment besoin de l'espérance."

Sidaction vs Téléthon : la fausse querelle

Lu sur Monde et Vie :

"L’hostilité de Bergé et de Line Renaud au Téléthon se fonde essentiellement sur le pactole empoché chaque année par l’Association Française contre les Myopathies (AFM), unique bénéficiaire du Téléthon : soit environ 100 millions d’euros (102,3 en 2007, 95,2 en 2008), quand le Sidaction n’en rapporte que 5.
Jaloux, Bergé ? Accusant le Téléthon de « parasiter la générosité des Français d’une manière populiste » – un qualificatif qui sent son Front national et devrait suffire à faire peser de lourds soupçons sur le Téléthon –, il propose sans ambages de « mutualiser » les dons de la recherche – autrement dit de partager le gâteau.
C’est se moquer des donateurs, qui sont assez grands pour choisir la cause qu’ils veulent soutenir. Si le Sidaction reçoit moins de dons que le Téléthon, peut-être est-ce en raison des prises de positions politiques voyantes de certaines associations de lutte contre le Sida et des actions provocatrices qu’ont conduites certaines d’entre elles, comme Act-up.

Surtout, les reproches qu’adresse au Téléthon – et, partant, à l’AFM – l’ancien « ami » d’Yves Saint-Laurent ne sont pas les bons. Les vraies critiques qu’encourt cette association doivent être cherchées ailleurs, dans certaines de ses pratiques, que Pierre Bergé n’évoque pas parce qu’elles ne le choquent probablement pas. Ces pratiques concernent en premier lieu les recherches sur les cellules souches embryonnaires que finance l’AFM, et en second lieu les dérives eugénistes dont elle se rend coupable.
Dans le premier cas, on utilise des êtres humains vivants à des fins de recherche thérapeutiques. Il s’agit de tout petits êtres, issus de la fécondation in vitro, mais comme le disait le professeur Jérôme Lejeune lors d’un procès resté célèbre, à Maryville, aux Etats-Unis, il est impossible de nier que ces embryons sont humains, et qu’ils sont vivants. Tout le génome (l’inné) est en place, ainsi que le message qui doit leur permettre de se développer jusqu’à la naissance et au-delà. Or après avoir été utilisés comme du matériel de recherche, ces être humains-là sont tués.
Cette destruction de vies humaines, réalisée au nom d’un utilitarisme médical et scientifique, n’est même pas utile (ce qui ne suffirait d’ailleurs nullement à la légitimer). Elles n’ont pas permis d’enregistrer de véritables succès contre la maladie, à l’inverse des recherches réalisées à partir de cellules souches adultes ou provenant du sang de cordon ombilical – qui ne tuent donc pas d’embryon humain. Les dérives eugénistes résultent, quant à elles, des diagnostic pré-implantatoires, qui sont réalisés afin de trier les embryons sains et de détruire les autres, ou des diagnostic pré-nataux, qui conduisent à l’avortement des fœtus atteints : on élimine le malade au lieu de le soigner. Les « bébéthons » qui sont présentés comme « guéris » ne le sont pas en réalité, puisqu’ils n’ont jamais été malades ! Ce sont les survivants du tri embryonnaire et de l’avortement prétendument thérapeutique.
Ces dérives-là sont beaucoup plus graves que celles dénoncées par Pierre Bergé. Malheureusement, bien peu de Français s’en émeuvent."

A quoi joue la Conférence de St Vincent de Paul ?

Un lecteur m'informe :

"La fédération nationale des Conseils départementaux
des Conférence St Vincent de Paul (Président Bruno Dardelet ) vient d'envoyer à
tous les présidents de
Conférence St Vincent de Paul une brochure
émise par Martin
Hirsch et intitulée "50 droits contre l'exclusion" , le 49ème
droit étant la contraception et le 50ème accès à l'IVG.

La face arrière de la couverture indique la mention
"édité pour la Société St Vincent de Paul"."

Addendum 30/11 : Réponse de la société Saint Vincent de Paul :

"Le guide "50 droits contre l'exclusion" a été réalisé par l'ANSA en
collaboration avec Martin Hirsch.  Il nous a été proposé comme à toutes les
associations qui luttent contre toutes les formes d'exclusion. Nous avons
accepté un retirage à tarif préférentiel, après débat au sein du Conseil
d'administration (d'où la mention "édition hors commerce réalisée pour la
SSVP
"), car même si nous ne conditionnons pas tous les sujets abordés, notamment
les droits 49 et 50, nous pensons qu'il peut aider les bénévoles de notre
association dans leur mission auprès des plus pauvres. Diffusion ne veut pas
dire caution
. C'est un outil de travail parmi d'autres, il vous appartient donc
de vous en servir avec vigilance et bienveillance dans le respect des
convictions qui sont les nôtres".

L'avortement est tout de même un crime. Imagine-t-on le même argument si la SSVP avait diffusé un guide faisant, dans l'une de ses pages, l'apologie du nazisme ou de la pédophilie ?

La France peut-elle mourir ?

Yves Meaudre a publié un ouvrage intitulé Les Condamnés, Jésus, Jeanne et Louis. Ils comparaissent ensemble devant un tribunal réunissant Caïphe, Pilate, Cauchon, Fouquier-Tinville. En contrepoint, un homme politique du XXIe siècle interroge sa cousine, prieure d'un monastère cartusien. Croit-elle que la fin de l'existence de la France reflète la volonté de Dieu ? Elle lui déclare :

C "Tu m'as demandé de prier pour la France que tu voyais morte. Je t'ai dit, je te répète que, moi aussi, je la crois morte. Il n'est plus en notre pouvoir de la ranimer. Mais son âme, Jean, son âme subsiste ! S'il n'est plus guère possible de se battre sur la place publique -impossible, bientôt ?-, il faut prier, lutter pour conserver notre culture chrétienne, éduquer les enfants -surtout-, leur donner l'amour de la famille, le goût de la patrie, le souci du prochain, chez eux et dans le monde entier ! Du fond de ma chartreuse, je vois se former des réseaux d'amitié qui gardent vivante cette âme. La bougie éclaire peu, c'est vrai, mais dans les ténèbres, elle est une lumière. Ne baisse pas les bras. Bats-toi pour elle mon Jean. Souffre pour elle. Et prie !"

La messe toujours interdite en Arabie

Extrait d'une intervention du Cardinal Tauran :

"Aucun signal positif de la part de l’Arabie Saoudite n’a été donné
en ce qui concerne la possibilité d’obtenir un local pour la
célébration de la messe dominicale
".

Nouvelle année liturgique, nouvelle férule pour Benoît XVI

F "Samedi après-midi, au cours des premières Vêpres de l'Avent, en la Basilique vaticane, le pape utilisera une nouvelle férule. Semblable
dans sa forme à la férule de Pie IX actuellement utilisée celle-ci
peut être considérée comme la férule de Benoît XVI."

C'est ce qu'a annoncé Mgr Guido Marini, à la veille de la célébration avec laquelle s'ouvre l'année liturgique. Don du
Cercle Saint-Pierre, haute de 184 centimètres, elle pèse 2 kilos 530
grammes et elle est plus maniable que celle de Pie IX, en raison des dimensions réduites du bâton et de la
croix. Elle est également plus légère de 140 grammes, et même de 590
par rapport à celle de Jean-Paul II.

BBenoît XVI a commencé par utiliser le bâton pastoral en argent, surmonté
du crucifix introduit par Paul VI et
ensuite également utilisé par les Papes Jean Paul 1er et Jean Paul II. Par
la suite, le dimanche des Rameaux 2008, il a utilisé la
férule dorée en forme de croix grecque, qui a appartenu à Pie IX,
également un don fait au Pape par le Cercle Saint-Pierre en 1877.
L'antique association romaine renouvelle ainsi sa tradition de fidélité
envers le Pape, témoignée depuis sa fondation remontant à 140 ans, dans
le lointain 1869.

Sur la partie avant du nouveau bâton
pastoral de Benoît XVI sont représentés au centre l'agneau pascal, et
sur les côtés de la croix les symboles des quatre évangélistes
Matthieu, Marc, Luc et Jean. Le motif du filet apparaissant sur les bras de la croix rappelle celui de Pierre le pêcheur de Galilée. Sont
gravés sur l'arrière: au milieu, le monogramme du Christ – formée par
les deux premières lettres du mot en grec Christos, X et P entrelacés
ensemble – et aux quatre extrémités, les visages des Pères de l'Église
d'Occident et d'Orient: Augustin et Ambroise, Athanase et Jean
Chrysostome. "L'agneau et le monogramme du Christ placés au centre reflétent l'unité du mystère pascal: la croix et la
résurrection.
" Posant le regard sur l'anneau en-dessous de la
croix, on y trouve: en haut, le nom de Benoît XVI et sur la partie inférieure, celui
des donateurs, à savoir le cercle de Saint-Pierre. Enfin, un ultime
élément significatif se retrouve au sommet du bâton, où sont gravées
les armes du Pape.

Avortement en Espagne : les évêques rappellent l’excommunication

Lors de la conférence de presse de clôture de l’Assemblée de la
Conférence épiscopale espagnole, hier, son secrétaire Mgr Juan
Antonio Martinez Camino a lu à l'intention des journalistes une note
sur le projet de loi libéralisant l’avortement dans ce pays, dite de «
santé sexuelle et reproductive ». Extrait :

"Nulle personne respectueuse des impératifs de la
droite raison ne peut approuver ni donner sa voix à ce projet de loi.
En particulier, les catholiques doivent se rappeler que s’ils le font,
ils se mettent eux-mêmes publiquement dans une situation objective de
péché et que, tant que dure cette situation, ils ne pourront être admis
à la Sainte Communion
"

Mgr Martinez Camino a ensuite répondu aux questions des journalistes. Celui qui aura voté pour la loi actuellement débattue «devra se confesser et rectifier publiquement s’il veut recommencer à communier». «La situation objective de péché se résout par la confession et par la réparation publique du dommage causé».

Un évêque s’engage pour la vie

Vendeeinfos Mgr Castet, évêque de Luçon, a décidé de célébrer chaque samedi, à partir du 5 décembre, à 9h00 une Messe pour la Vie dans sa cathédrale à Luçon.(voir ici)

6e Marche pour la Vie : 17 janvier 2010

MLa mobilisation commence. Rendez-vous à Paris le dimanche 17 janvier 2010, 35 ans jour pour jour après la légalisation du meurtre de l'enfant à naître, à 14h30, place de la République.

Le Collectif s'étoffe cette année de deux nouveaux partenaires: les étudiants pro-vie et les Soignants porteurs d'espérance.

La Marche pour la Vie est une marche ouverte à tous , quelles que soient les origines, les convictions philosophiques, politiques ou religieuses. S'imposant comme la plus grande marche annuelle d'Europe en faveur du respect de la vie, la marche pour la vie a réuni en 2009 plus de 10 000 personnes.

La révision prochaine des lois de bioéthique suscite également toutes les inquiétudes au regard de la pérennisation de l'expérimentation sur les cellules souches embryonnaires souhaitée par certains.

A la question de Simone Veil qui, le 26 novembre 1974, lors de son allocution à l'Assemblée Nationale lançait Â«actuellement, celles qui se trouvent dans cette situation de détresse, qui s'en préoccupe ? Trop souvent, elles ne trouvent personne pour les écouter, les éclairer et leur apporter un appui et une protection», le collectif « En marche pour la Vie ! Â» formule la réponse suivante : «ces femmes sont toujours aussi seules et n'ont plus les moyens aujourd'hui d'user d'une liberté vraie et éclairée !»

VLe droit d'accès à une information exhaustive, mentionnant les aides qui sont susceptibles de s'offrir aux femmes enceintes en difficulté, leur permettant d'accueillir la vie qu'elles portent et non de la supprimer, ainsi que les risques médicaux inhérents à l'acte d'avortement lui-même n'existe plus. La femme n'est nullement écoutée, éclairée, protégée. Son discernement est totalement aboli et les pressions autour d'elle en faveur du recours à l'avortement omniprésentes. L'avortement lui est présenté comme l'unique « solution Â» face à une grossesse qualifiée de « non désirée Â» et à l'enfant qu'elle porte qui serait à l'origine de tous les maux. Pourtant, ces maux ne disparaissent pas, mais, pis encore, font leur réapparition, à travers ce qui est désormais largement reconnu comme le syndrome post-avortement et dont les manifestations sont multiples : culpabilité, dépression, insomnies, tendances suicidaires, cauchemars…Une chape de silence collective s'est progressivement installée pour taire cette souffrance sourde qui dérange les égoïsmes.

Le collectif « En marche pour la vie ! Â» appelle à une vaste mobilisation en 2010 pour :

  • exiger le rétablissement du droit d'accès des femmes à une information sereine et exhaustive sur les possibilités d’aide à l’accueil de la vie, premier pas vers une plus grande liberté et dignité de la femme ;
  • la reconnaissance de la dignité de l'être humain de sa conception à sa fin naturelle qui implique ;
    • l'abolition de l'avortement;
    • non la simple révision des lois de bioéthique mais l'interdiction pure et simple de toute forme d'expérimentation ou de sélection sur l'embryon humain.
Mobilisez vos familles, vos amis, vos élus, votre clergé.

Le comité d’éthique allemand appelle à abandonner les “boîtes à bébés”

OknoZycia Un comité de scientifiques allemands chargés de conseiller les responsables politiques sur les questions d'éthique s'est prononcé jeudi contre "les boîtes à bébés" et l'accouchement sous X. Selon ce comité, ces deux mesures :

"sont éthiquement et juridiquement problématiques parce qu'elles portent atteinte au droit de l'enfant de connaître ses origines et d'établir une relation avec ses parents".

Le comité "recommande d'abandonner les boîtes à bébé existantes et les possibilités de naissance anonyme". En contrepartie, il appelle à renforcer l'information publique sur les possibilités d'aide légale pour les femmes enceintes ou les mères en détresse

Pourtant, tous les moyens sont bons pour sauver des vies humaines. On se demande si le comité s'est posé la question de savoir si il n'est pas plus important de sauver la vie d'un enfant même si ce dernier ne connaît pas ses parents ?

Les "boîtes à bébés", créées en 1999 en Allemagne par certains hôpitaux ou organisations religieuses et d'intérêt général pour éviter les meurtres de nouveaux-nés, permettent aux mères d'abandonner leurs nourrissons à des fins d'adoption. Ces "boîtes" existent également en Pologne (photo).

(Source : dépêche AFP)

Le buste de Lénine en vente

comme idée cadeau au Printemps.

Imaginez le tollé s'ils vendaient le buste d'Hitler.

Le meurtre de l’enfant à naître en Espagne

Jeanne Smits nous informe que le projet de loi socialiste de libéralisation de l'avortement, qui veut permettre aux femmes l'avortement à la demande jusqu'à 14 semaines de grossesse et supprimer le consentement parental pour les mineures de 16 ans au moins, a franchi sa première étape. Les 4 amendements proposés par l'opposition, au sujet des mineures et de l'objection de conscience, ont été rejetés.

Les associations pro-vie sont mobilisées. Sans complexe, elles ont renommé le ministre responsable de promouvoir la loi sur l'avortement en Espagne, Bibiana Aido, le ministre de l'extermination des enfants !

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