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Les Parisiens sous l’occupation de la ‘culture’ de gauche

L’exposition «Les Parisiens sous
l’occupation», constituée de photographies d’André Zucca, qui
travaillait pour le journal nazi Signal, et dans laquelle on voit des Parisiens vivant
normalement, fait scandale selon l’intelligentsia de gauche.
Pour le public, cette agitation est ridicule, voire «stérile». Surtout, les gens en ont assez d’être pris pour des idiots. Un visiteur déclare :

"On peut faire la part des choses nous-mêmes".

MJ

La France, dramatique consommatrice de cannabis

32 tonnes d’herbe sont produites de façon artisanale, soit un joint sur neuf, tantôt en plein champ, tantôt sous les néons d’un
appartement. Une étude réalisée pour la Mission interministérielle de
lutte contre les drogues et les toxicomanies
(Mildt) mesure l’ampleur de ce phénomène. La valeur marchande de cette herbe made in France est
évaluée à 160 millions d’euros, en estimant le gramme à 5€.

Au total, 140
000 personnes consomment du cannabis exclusivement produit sur le sol
français
. L’an
dernier, les policiers ont procédé à environ 1 600 interpellations pour
détention de graines ou de pieds, tandis que 115 «cultivateurs» ont été
arrêtés pour trafic. Avec 1,2 million d’usagers réguliers, la France est en tête
des pays européens pour la consommation de cannabis. A 17 ans, un
garçon sur six et une fille sur quinze
déclarent fumer régulièrement
des joints.

Michel Janva

Ordinations à Rome

Dimanche 27 avril, à 9h30 en la Basilique vaticane, le Saint-Père présidera la messe d’ordination de 29 diacres du diocèse de Rome. A cette occasion, on peut lire le message du Cardinal Hummes, Préfet de la Congrégation pour le Clergé, pour la journée Mondiale de prière pour la sanctification des prêtres, qui aura lieu le 30 mai 2008. Extraits :

Hummes "Je voudrais […] rappeler la priorité de la prière par rapport à l’action, dans la mesure où c’est de celle-ci que dépend la profondeur de l’action. De la relation personnelle de chacun avec le Seigneur Jésus dépend grandement la mission de l’Eglise. La mission doit donc être nourrie par la prière: « Le moment est venu de réaffirmer l’importance de la prière face à l’activisme et au sécularisme dominant » (Benoît XVI, Deus Caritas est, n. 37). […]

L’unique mesure adaptée, face à notre sainte Vocation, est la radicalité. […] Le don même du célibat sacerdotal est à accueillir et à vivre dans cette dimension de radicalité et de pleine configuration au Christ. Toute autre position, par rapport à la réalité de la relation avec Lui, risque de devenir idéologique. […]

Nous sommes fidèles, très chers confrères, à la célébration quotidienne de la Très Sainte Eucharistie, non seulement pour remplir un engagement pastoral ou répondre à une exigence de la communauté qui nous est confiée, mais en raison du besoin personnel absolu que nous en ressentons, comme de l’air, comme de la lumière pour notre vie, comme l’unique raison appropriée à une existence accomplie de prêtre. […]

Curedars_2 Le Peuple qui nous est confié afin que nous l’éduquions, le sanctifions et le gouvernions, n’est pas une réalité qui nous distrait de «notre vie», mais il est le visage du Christ que nous contemplons quotidiennement, comme l’époux contemple le visage de sa bien-aimée, comme le Christ contemple l’Eglise, son Epouse. Le peuple qui nous est confié est la voie incontournable de notre sainteté, c’est-à-dire la voie par laquelle le Christ manifeste la gloire du Père à travers nous. […] Nous nous souvenons des paroles du saint Curé d’Ars, Patron des Curés: «Si j’avais déjà un pied au ciel, et que l’on venait me dire de retourner sur la terre pour travailler à la conversion des pécheurs, j’y retournerais bien volontiers. Et s’il était pour cela nécessaire de rester sur la terre jusqu’à la fin du monde, en me levant toujours à minuit, et que je souffrais comme je souffre, je consentirais de tout cÅ“ur»"

Michel Janva

Le MPF plaide pour un revenu parental d’éducation

Le MPF réagit aux mesures anti-famille :

"Le MPF demande au Gouvernement la mise en place d’une véritable politique familiale qui passe, à l’évidence et de manière profondément symbolique, par le maintien de la Carte famille nombreuse à la SNCF et celui des majorations des allocations au moment où les enfants deviennent adolescents. Premier cadre d’éducation, de protection et d’entraide, la famille assure une mission d’intérêt national, sans oublier son rôle fondamental dans le financement des retraites et de la protection sociale. Le MPF souhaite l’instauration d’un Revenu parental d’éducation de 1000 € nets mensuel, d’un quotient familial pour les retraites à partir du 3ème enfant, la mise en place de modes de garde adaptés ou encore la création d’un prêt familial à taux zéro pour l’accession à la propriété. Investir pour les familles, c’est investir dans l’avenir."

Jérôme Rivière s’en prend à la pseudo-secrétaire d’Etat à la famille :

"La famille traditionnelle, elle n’aime pas ça ! Ce n’est un secret pour personne, et elle l’affirme depuis plusieurs années que ce soit à propos de l’homoparentalité ou du mariage pour les homosexuels. Mais aujourd’hui elle va plus loin. Non contente de vouloir affirmer que l’Etat a pour mission de modifier ce qui constitue le cercle traditionnel de la famille, elle attaque les familles qui ont des enfants et organisant la suppression de la carte famille nombreuse de la SNCF. […]

Quelle est la politique familiale de ce gouvernement ? Pourquoi ces cafouillages permanents, et que masquent ces tergiversations incessantes sur des sujets essentiels ? 70 millions d’euros d’économie nous dit-on ! Et le milliard de l’AME ? Même cet argument financier est spécieux. Enfin, j’entends dire ici et là […] que la carte famille nombreuse est un avantage social… … cela signifie-t-il qu’il n’y a plus de politique familiale ? La carte était conçue comme un élément d’une politique en faveur de la famille et non comme un avantage social au sens de la politique sociale d’un gouvernement. La notion de famille fait-elle peur à ce point à la majorité parlementaire ?"

Michel Janva (via e-deo)

Pire que Chirac vous connaissez ?

Oui : il s’appelle Sarkozy. Jacques Chirac, en avril 2003, un an après sa réélection, recueillait 58% de jugements positifs sur son action. Nicolas Sarkozy n’en recueille que 28% ! 72% des Français se disent mécontents de son bilan. 35% seulement considèrent que Nicolas Sarkozy a tenu, durant l’année écoulée, les engagements qu’il avait pris durant sa campagne présidentielle (contre 65%).

En bref, "ensemble tout est possible" ; ensemble, mais sans Sarkozy.

Michel Janva

Le dimanche c’est repos !

Le juge des référés du tribunal de grande instance d’Aix-en-Provence a interdit à plusieurs magasins installés sur la zone commerciale de Plan-de-Campagne (Bouches-du-Rhône) d’ouvrir le dimanche,

"sous astreinte de 50.000 euros par dimanche en infraction".

Au total, 133 arrêtés autorisant des magasins à ouvrir le dimanche et signés par le préfet des Bouches-du-Rhône Michel Sappin à l’été 2007 ont été invalidés.

MJ

Henri Tincq, le petit diablotin

On le voit sautiller de joie derrière ces lignes :

"Aucun accord avec [entre la Fraternité Saint Pie X et] Rome n’est possible, conclut Mgr Fellay, dont la lettre et le ton employé seront accueillis avec un déplaisir certain au Vatican et une irritation croissante de l’aile traditionaliste favorable à un dialogue et une réconciliation".

On imagine le journaliste ricaner de plaisir en écrivant ces lignes, se réjouissant d’une division…

Michel Janva

Nouvelle ouverture à gauche : Christiane Taubira

Nicolas Sarkozy a confié à Christiane Taubira, députée (app-PS) de Guyane, une mission pour réfléchir aux moyens de faire des Accords de partenariats économiques "un atout du partenariat" entre l’Union européenne et les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique. Cette mission devrait aboutir à la présentation d’un rapport pour le 15 juin 2008.

Michel Janva

Le chiffre du jour

Et même de l’année, voire du siècle, c’est l’ineffable trou de la Sécu : selon le bilan de la commission des comptes, il a atteint 9,5 milliards d’euros contre 8,7 milliards en 2006. Mais restons optimistes : il reste inférieur aux prévisions de 11,7 milliards établies en juillet 2007. Ouf !

En 2007, la croissance des dépenses de santé s’est envolée de 4,2 %. L’autre source principale du déficit provient de l’aggravation des comptes de la branche vieillesse, dont le déficit est passé de 1,855 milliard d’euros en 2006 à 4,57 milliards d’euros en 2007 : c’est la mise à la retraite massive de la génération du baby-boom. Le déficit de la branche des accidents du travail et des maladies professionnelles est amplifié par les provisions du fonds de cessation anticipé des travailleurs de l’amiante. Seul point "positif", les comptes des allocations familiales se sont rétablis avec un léger excédent de 200 millions d’euros… en raison d’une légère baisse des naissances ! Mais on comprend pourquoi l’Etat veut récupérer ce magot.

Michel Janva

Infractions en hausse ou la police travaille-t-elle plus ?

Le nombre de gardes à vue explose : de 2000 à 2007, leur nombre a gonflé de moitié pour atteindre 562 083 en 2007. Elles durent de plus en plus longtemps : celles de courtes durées (moins de 24 heures) représentent les trois quarts, mais celles de plus de 24 heures ont bondi de 73,8%. Le délai maximum est de 48 heures (96 heures et même jusqu’à six jours pour les personnes soupçonnées de terrorisme). Les motifs qui provoquent le plus ces gardes à vue sont :

  • les infractions aux conditions générales d’entrée et de séjour des étrangers : 25 983 gardes à vue en 2000 et 72 572 en 2007, soit une augmentation de 179 %.
  • l’usage de stupéfiants : 42 883 personnes en 2007 contre 27 233 en 2000.

Michel Janva

Famille : les AFC s’engagent

Les associations familiales catholiques lancent une pétition pour défendre la famille, cellule de base de la société :

Afc "En éduquant leurs enfants, les familles, et notamment les familles nombreuses, dépensent pour des enfants qui seront la richesse et le dynamisme de la société de demain. Pourtant, en quelques semaines :

  • Tentative de désengagement de l’Etat pour la carte familles nombreuses
  • Nouveau coup de rabot au pouvoir d’achat des allocations familiales (revalorisation de 1% au 1er janvier 2008)
  • Une réduction de 600 € des majorations des allocations familiales pour adolescents
  • Mise sous conditions de ressources des allocations familiales dans les propositions du rapport Attali
  • Une éco pastille sans prise en compte de la taille des familles
    Ce sont autant de mises en cause inacceptables de la solidarité et même de la justice envers les familles qui éduquent des enfants alors que la société entière bénéficiera de ces investissements pour produire les richesses ou payer les retraites de demain. Ces mesures mettent à mal la compréhension de la raison d’être de la solidarité envers les familles.
  • Ces grignotages incessants et trop faciles imposent notre vive et profonde réaction : pour dire non aujourd’hui, et pour construire une politique ambitieuse de solidarité envers les familles demain. Exigeons une réponse claire en faveur de la solidarité envers les familles. Exigeons une réponse qui assure une bonne distinction entre l’assistance d’urgence pour les plus pauvres et la nécessaire solidarité préventive pour les familles. Il faut aider plus les familles aujourd’hui pour gagner plus demain."

    Michel Janva

    Nouvel échec au Liban

    Tandis que Bernard Kouchner vient de renouer le contact avec la Syrie (avec qui les relations avaient été rompues en décembre 2007), la 18e séance d’élection d’un président de la République libanaise aujourd’hui par le Parlement a été reportée sine die.

    Nicolas Sarkozy avait décidé de suspendre les relations avec Damas, tant que le gouvernement syrien ne démontrerait pas qu’il était prêt à laisser le Liban élire un président de consensus.

    Michel Janva

    Le PS gouverne toutes les zones urbaines

    Lu dans Présent :

    "Le Parti socialiste s’est félicité lundi d’avoir été élu à la tête de « toutes les communautés urbaines d’agglomérations de plus de 500 000 habitants », a indiqué lundi l’eurodéputé Stéphane Le Foll."

    MJ

    La dhimmitude ne passera pas

    Louis Chagnon, ce professeur d’histoire traîné dans la boue en 2004 pour avoir enseigné à ses élèves quelques vérités sur Mahomet, vient d’être réhabilité par la justice.

    Michel Janva

    Travailleurs clandestins : l’affaire des négriers modernes

    Le Conservateur s’insurge contre ces patrons qui utilisent des immigrés clandestins :

    "Ce sont des négriers modernes, ni plus ni moins … […] Ces petits patrons-voyous veulent donc non seulement sauver leur peau en obtenant une amnistie pour leurs crimes, mais également se présenter comme des amis du genre humain. Eux qui exploitent des clandestins, eux qui se refusent à embaucher des français. Le pouvoir d’achat des français est sous pression, et ces gens exploiteraient toutes les failles du système pour maintenir les salaires au niveau minimum ?! Non seulement il faut refuser ces demandes de régularisation, mais il faut sanctionner férocement ces exploiteurs, liquider leur commerce et les faire payer. […] Terminons par un mot sur l’attitude des syndicats, dont les cellules locales soutiennent ces actions. Ces gens sont des MALADES. Ne pas comprendre que ce trafic de clandestins écrase à la baisse les salaires, démolit l’ascenseur social et déglingue le marché du travail".

    Arnaud Folch n’est pas en reste :

    "Le gouvernement vient d’enjoindre aux Préfets d’étudier « positivement » leur demande. C’est, selon moi, une double faute. Grave. La première : céder devant des grévistes occupant illégalement leur lieu de travail. Le seconde, encore plus grave : accorder une prime aux fraudeurs. Car, enfin, si ces clandestins ont produit des papiers à l’Assedic, à l’ANPE, à la Sécu et leurs employeurs, c’est qu’ils étaient… faux ! Un délit puni, en théorie, de plusieurs années de prison… La (triste) morale de l’histoire : pour se faire régulariser quand on est « sans papier », il faut devenir… « faux-papier » ! C’est ça, la récompense au mérite ? Pis que scandaleux, pitoyable…"

    Michel Janva

    L’Evangile au quotidien se développe

    Le lien est situé en haut à gauche de ce blog. L’Evangile au Quotidien annonce que 300.000 personnes reçoivent chaque matin l’Evangile et son commentaire dans l’une des douze versions linguistiques et liturgiques proposées :

    Eaq "Notre objectif est la diffusion de l’Evangile au plus grand nombre, car, diffuser l’Evangile, c’est ouvrir la voie à la Parole et à la Grâce de Dieu. L’Evangile au Quotidien s’est développé comme la « Graine de moutarde » de la parabole […]. Au premier jour, vous n’étiez que 10 abonnés choisis parmi nos amis. Depuis, de bouche à oreille, vous êtes devenus 300 000, dans le monde entier […]. Quant à nous, nous sommes devenus une équipe d’une trentaine de personnes réparties dans le monde entier. Nous sommes composés en majorité de laïques, mais aussi de religieux appartenant à divers ordres réguliers (OSB, SJ, C.Ss.R., Carmes Déchaux, FMJ).

    Avec la Grâce de Dieu et votre aide, si vous le souhaitez, nous pouvons relever de nouveaux défis. Le premier que nous souhaitons vous faire partager est la diffusion du service en Chine. […] Pour mener à bien ce projet, nous sollicitons votre aide et votre soutien. Tout d’abord, votre  prière, puis, si certains sont intéressés par ce projet, prenez contact avec nous (page contact sur le site). Par ailleurs, nous recherchons des personnes italiennes pour aider à la version italienne. Proposer un abonnement à ses proches et parler de l’Evangile au Quotidien autour de soi est un moyen concret d’évangélisation. Vous pouvez abonner vos amis depuis le site […].

    Enfin, si cela vous est possible, vous pouvez également contribuer au financement du service. La plus grande partie du budget est reversée à des communautés monastiques qui nous aident à choisir et à traduire chaque jour les commentaires. Le reste est affecté aux dépenses informatiques et aux frais de développement. L’Evangile au Quotidien n’a aucun salarié."

    L’Evangile au Quotidien propose aussi une brève biographie du saint du jour.

    Michel Janva

    La France un Etat de droit ?

    Une délégation de la CGT représentant les travailleurs clandestins en grève a reçu l’assurance hier soir du ministère de l’immigration que les 5 préfectures concernées par la grève "allaient étudier positivement" les dossiers de ces salariés. Didier Chenet, président du Synhorcat (Syndicat national des hôteliers restaurateurs cafetiers et traiteurs, syndicat adhérent du Medef et de la CGPM, Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises), s’est déclaré pour une "régularisation massive" :

    "Si on régularise au cas par cas et qu’on traîne cela trop longtemps cela veut dire que les chefs d’entreprises vont devoir licencier, pour nous cela sera un non sens et une perte économique".

    Ivan Rioufol s’interroge :

    "Visiblement, la politique du gouvernement contre l’immigration clandestine n’impressionne pas les sans-papiers. Il était devenu usuel de les voir manifester au grand jour pour leur régularisation. Cette fois, ils ont engagé des mouvements de grève […]. A cette occasion se dévoile le consensus qui existe entre l’extrême gauche et le monde patronal sur la question de l’immigration. Nombreux sont en effet les employeurs qui soutiennent, pour des raisons économiques, ces demandes de régularisations, tout en admettant avoir été abusés par de fausses cartes d’identités qu’une loi de 2007 leur fait obligation de vérifier. […]

    Comment un Etat de droit peut-il tolérer de voir ses règles ouvertement violées ? Comment un parlement peut-il accepter de voir ses textes remis en question ? Comment l’opinion peut-elle comprendre que des emplois, généralement peu qualifiés, soient donnés à des clandestins alors qu’il existe près de trois millions de chômeurs et que les jeunes s’angoissent pour leur avenir ? […] Nicolas Sarkozy osera-t-il taper du poing sur la table, jeudi soir à la télévision ? Les paris sont ouverts."

    Michel Janva

    Les CRS apprennent l’art de ne pas commettre de bavure

    C’est à Rennes que les CRS viennent apprendre à dominer le stress, à doser l’usage de leurs armes et à intervenir sous l’oeil des caméras, afin d’être formés aux émeutes urbaines. 3 semaines d’une formation intensive destinée aux chefs de groupe (5 ou 6 hommes) et de section (3 ou 4 groupes).

    L’art du CRS est celui de la mesure : bien doser le « GTPI », le « geste technique professionnel d’intervention ». Retenir parfois son « tonfa » (le bâton à poignée latérale) et autres attributs. Pour immobiliser, ne pas abuser du « blinitz », cette boule de pâte qui vous arrive tel un coup de poing. Pour se désencercler, ne pas gaspiller de « DMP », la grenade aux dix-huit patins de caoutchouc. Ne pas forcer non plus sur les lacrymos… La crainte permanente, c’est l’accident. La bavure.

    Pour être CRS, il faut bien sûr aimer l’ordre et être prêt à l’affrontement physique. Mais quarante années ont passé depuis Mai 68. Aujourd’hui, en banlieue, des CRS souvent bacheliers affrontent des adolescents, voire des enfants, entre 22h et 3h du matin. L’un d’eux raconte Villiers-le-Bel :

    "Les jeunes nous ont attirés dans la cité et on s’est fait tirer dessus ! Vous vous dites «ce n’est pas possible». On a eu une quinzaine de blessés dans notre compagnie de CRS. On n’a pas pété les plombs : dans quel autre pays voit-on ça ?"

    Michel Janva

    Les communistes insultent Jeanne d’Arc

    Après l’insulte des manifestants chinois, les conseillers municipaux communistes d’Orléans viennent d’annoncer leur intention de boycotter le défilé du 8 mai qui célèbre, chaque année, la libération de la ville par Jeanne d’Arc.

    MJ

    Pascal Sevran n’est pas mort

    Voilà une désinformation de taille : hier, Europe 1, France 2, Morandini (Direct 8), Wikipédia et d’autres ont annoncé le décès de Pascal Sevran. Fausse information : Pascal Sevran se repose en famille. Cela fait désordre tout de même et avec ce genre de couac, on peut se demander si le reste de "l’information" n’est pas très régulièrement du même acabit.

    Michel Janva

    Le Cardinal Ricard et l’euthanasie

    L’archévêque de Bordeaux estime que la véritable dignité est de développer les soins palliatifs. Extraits :

    "Des personnes expriment leur désir de ne plus souffrir, disent leur souhait de mourir et demandent, pour ceux qui les aideraient à mourir, une dépénalisation de la loi sanctionnant l’euthanasie. Il nous faut tout d’abord respecter le drame humain vécu par ces personnes et éviter de les juger. Nous avons à les porter, elles et leur famille, dans la prière. Mais, les questions soulevées, souvent par ces personnes elles-mêmes, dépassent la singularité des cas particuliers. L’émotion ne doit pas remplacer la réflexion. D’autant plus que ces situations douloureuses, qui sont orchestrées par les médias, sont relayées par des groupes très actifs qui militent depuis quelques années en France pour la dépénalisation de l’euthanasie et le droit de « mourir dans la dignité ». […]

    1. Il ne s’agit pas d’une modification anodine. Toute notre législation et toute l’éthique médicale vont dans le sens du respect de la vie. Donner la mort y introduit un bouleversement plus profond qu’il n’apparaît.
    2. Est-il possible à une haute autorité de juger vraiment de la gravité plus ou moins grande des situations ? Qu’en est-il des souffrances morales ? Qui peut se prononcer avec autorité en ce domaine ?
    3. On parle d’encadrement très strict. N’y aura-t-il pas toujours une demande pour élargir les conditions d’une réponse positive ? Après avoir voté une telle loi, les Belges aujourd’hui demandent un élargissement des conditions initiales qui avaient été mises à ces autorisations d’euthanasie. Je ne crois pas que les garde-fous tiennent longtemps. On le voit bien dans le domaine de la bioéthique.
    4. Si on entre dans la voie d’une dépénalisation de l’acte de donner la mort, n’ira-t-on pas, très vite, de situations codifiées et précisées à une généralisation de l’acte. N’oublions pas que la loi sur l’avortement a commencé ainsi. La dépénalisation de l’acte abortif face à des situations dramatiques a abouti à l’étendre à bien d’autres cas et dans la mentalité de beaucoup à parler d’un « droit à l’avortement ».
    5. Si l’euthanasie devait se généraliser dans notre société, ne risque-t-on pas de la voir utilisée pour de toutes autres raisons que celles qui sont aujourd’hui évoquées. N’oublions pas le poids des contraintes économiques sur tous les établissements de santé. Ne sera-t-on pas tenté de dire que le coût financier pour maintenir en vie des personnes incurables n’est pas justifié ? […]
    6. A propos de Chantal Sébire, il a été dit qu’elle n’avait le choix, si elle continuait à vivre, qu’entre des douleurs terribles ou un coma qui la priverait de sa conscience. A été occulté ainsi tout le traitement de la douleur qui se fait dans le cadre des soins palliatifs. Or, dans ces services des milliers de personnes malades bénéficient d’un accompagnement de santé et d’écoute qui adoucit leur existence en fin de vie. Des médecins m’ont dit que des malades qui étaient entrés en service de soins palliatifs avec une demande d’euthanasie ne la formulaient plus après quelque temps de présence. « Mourir dans la dignité » n’est pas forcément ce que l’on croit ! Ces soins palliatifs ne sont pas suffisamment développés en France. Ils ont bien sûr un coût économique. Mais n’y a-t-il pas là un enjeu à la hauteur des véritables exigences humanistes de notre société ? Plus que dans une dépénalisation de l’euthanasie, c’est là que se situe un vrai combat pour l’homme aujourd’hui."

    Michel Janva

    L’évêque-président du Paraguay

    L’évêque suspendu et président élu du Paraguay, Fernando Lugo, a demandé pardon hier à l’Eglise catholique :

    "Si mon attitude et ma désobéissance aux droit canon ont causé de la douleur, je demande sincèrement pardon aux membres de l’Eglise".

    La loi paraguayenne n’autorise pas comme candidats des ministres du culte en exercice. Pour pouvoir se présenter, il avait présenté en décembre 2006 sa démission au Vatican qui l’avait refusée en lui rappelant que son engagement était "pour la vie". Il avait renoncé à son sacerdoce en 2006 pour conduire la coalition de gauche, l’Alliance patriotique pour le changement (APC), aux élections générales organisées dimanche, dont il est sorti vainqueur. Il avait été sanctionné pour désobéissance par le Vatican avec une suspension a divinis, qui lui interdit d’exercer le sacerdoce.

    Dans un communiqué diffusé une semaine avant les élections par la Nonciature apostolique à Asuncion, il était indiqué que la suspension a divinis est bien "une sanction" du Vatican. Le Vatican affirmait aussi qu’une victoire de Fernando Lugo à la présidentielle ne changerait pas "la mesure disciplinaire de sa susupension a divinis".

    Déjà, en 2004, alors Ã©vêque de San Pedro, il s’était fait remarqué pour son soutien à la théologie de la libération : Jean-Paul II l’a alors mis à la retraite anticipée Ã  52 ans.

    Michel Janva

    Addendum 21h15 : un porte-parole de la Conférence épiscopale du Paraguay a précisé :

    "Fernando Lugo est évêque, et c’est pour toujours. Il reste évêque en ce qui concerne l’Eglise, c’est Monseigneur Lugo. Il est actuellement suspendu +a divinis+, il s’agit d’une suspension temporaire".

    Pourquoi des allocations familiales ?

    • Af Les allocations familiales sont basées sur le principe de solidarité entre les salariés n’ayant pas enfants et ceux qui en ont. A l’initiative de certaines entreprises, puis dans un cadre légal et obligatoire, une cotisation a été prélevée sur les salaires ou le revenu des travailleurs indépendants et une allocation versée en fonction du nombre d’enfants.

    Les allocations ont pour objet de compenser, tout au moins partiellement, les charges créées par les enfants. Elles ont pour justification le service rendu par les familles à la collectivité en lui donnant les producteurs, les consommateurs et les contribuables de demain.

    Cette reconnaissance du service rendu n’a évidemment rien de commun avec le devoir de solidarité envers ceux que les hasards de la naissance ou de la vie ont mis dans l’incapacité de subvenir à leurs propres besoins : la naissance d’un enfant ne peut et ne doit être assimilée à un handicap physique ou aux effets d’un tremblement de terre.

    La création d’une multitude d’allocations affectées a servi de cheval de Troie pour introduire la notion de plafond de ressources, qu’il s’agisse de l’allocation logement, de l’allocation du jeune enfant ou du complément familial. Il y a eu ainsi détournement de l’objet des allocations familiales. Ces allocations, dont la différenciation n’a de justification que sociale, auraient dû, et devraient, être financées par des fonds sociaux et non par des fonds familiaux.

    • Le quotient familial consiste, dans son principe, à répartir fictivement entre les membres, parents et enfants mineurs, d’une même famille le revenu de ceux qui en perçoivent un. L‘objectif est que chacun soit imposé sur ce qu’il a gagné, après division par un nombre de parts, fonction de l’importance de sa famille. Le taux de l’impôt sur le revenu étant progressif, son montant sera moindre dans les familles où les revenus sont inégaux (ce qui est particulièrement le cas de celles qui ont des enfants en bas âge et dont l’un des conjoints ne travaille pas). Au contraire, si chaque personne d’un foyer avait un revenu identique et droit à une part, l’impôt à payer serait le même avec une déclaration groupée ou avec des déclarations séparées.

    Famille Il n’en est pas ainsi dans la réalité parce que les enfants, supposés sources de dépenses plus faibles, ne comptent, à l’exception du troisième, que pour une demi-part et parce que la réduction d’impôt introduite par le quotient familial est limitée dans ses effets par un plafonnement. Si l’attribution d’une demi-part seulement aux enfants est discutable, l’inégalité devant l’impôt créée par le plafonnement est injustifiable. Elle peut s’expliquer en revanche tant par le besoin d’argent de l’État que par un comportement démagogique digne de celui ayant conduit, il y a une vingtaine d’année, la SNCF à ne plus appliquer la réduction pour famille nombreuse que sur le prix du billet de seconde. [source]

    Ajoutons quelques extraits du Compendium de la Doctrine sociale de l’Eglise :

    Compendium "Il existe plusieurs façons de rendre concret le salaire familial. Certaines mesures sociales importantes concourent à le déterminer, telles que les allocutions familiales et autres contributions pour les personnes à charge, ainsi que la rémunération du travail au foyer d’un des deux parents." [§250]

    "Dans le rapport entre la famille et le travail, une attention spéciale doit être réservée au travail de la femme dans le cadre de la famille […]. Ce travail […] précisément parce qu’il vise le service de la qualité de la vie et s’y consacre, constitue un type d’activité éminemment personnel et personnalisant, qui doit être socialement reconnu et valorisé, notamment par une compensation économique au moins égale à celle d’autres travaux." [§251]

    "Le service rendu par la société à la famille se concrétise dans la reconnaissance, le respect et la promotion des droits de la famille. Tout cela requiert la mise en œuvre de politiques familiales authentiques et efficaces avec des interventions précises capables de faire face aux besoins qui dérivent des droits de la famille en tant que telle." [§253]

    Michel Janva

    Le Credo du PS, toujours aussi marxiste

    est en ligne. On y lit notamment :

    Ps "Le but de l’action socialiste est l’émancipation complète de la personne humaine et la sauvegarde de la planète. […] L’égalité est au coeur de notre idéal. […] La redistribution permanente des ressources et des richesses est nécessaire pour donner une réalité à l’égalité des droits, offrir à chacun les chances de conduire sa vie, et réduire les écarts de conditions. […] Le progrès, synonyme d’amélioration de la vie humaine, est une valeur fondamentale pour les socialistes. […] Le Parti socialiste est un parti réformiste. Il porte un projet de transformation sociale radicale. […] Le Parti socialiste est un parti internationaliste."

    Michel Janva

    “Famille nombreuse, famille heureuse”

    C’est le titre d’un article paru dans Pèlerin. Extraits :

    "Aujourd’hui, une famille sur cinq seulement choisit de passer le cap du 3e enfant. Quant aux familles de 4 enfants et plus, leur nombre a été divisé par 3 en l’espace de 30 ans. […] La famille nombreuse, c’est une école de la vie ! […] Chaque enfant doit apprendre à se contenir, à s’adapter au tempérament de chacun : le capricieux, le jaloux, le boute-en-train… Le nombre est une richesse à cultiver. […] La famille nombreuse est l’antithèse de l’enfant-roi ! Le bébé découvre, dès sa naissance, la vie en société, à travers l’image rassurante du cocon familial. […] En réalité, plus la famille s’agrandit, plus les rôles sont clairement identifiés. […] Mettre le couvert ou ranger sa chambre fait partie des « services » quotidiens. De petites responsabilités, qui, mine de rien, rendent plus autonome ! […] Les tribus nombreuses cultivent aussi une vertu précieuse : l’esprit de famille. Bien sûr, elles connaissent, comme les autres, disputes et chamailleries. Mais elles apprennent peut-être mieux à pardonner. […]

    Parfois, c’est au regard de la société qu’il faut se confronter, avec cette douloureuse impression d’être montré du doigt. « Rien n’est adapté au-delà de quatre personnes : ni les voitures ni les locations de vacances. Dans les restaurants, on sent vite que nous gênons » […]. Les sacrifices financiers sont également à l’ordre du jour des familles nombreuses. Adieu les loisirs, les sorties culturelles. Trop coûteux ! […] Des enfants […] qui apprennent peut-être ainsi à apprécier l’essentiel. Le renoncement fréquent à un second salaire constitue également un facteur décisif : la moitié des mères de familles de trois enfants et plus ne travaillent pas à l’extérieur. Résultat : « Les familles les plus pauvres sont les familles monoparentales et les familles nombreuses. Avec la flambée des prix de l’immobilier, elles n’ont même plus les moyens de s’offrir de l’espace » […]."

    Et leurs enfants paieront les retraites, même de ceux qui n’ont pas pu ou voulu en avoir.

    Michel Janva

    Etude sur la TVA

    Contribuables associés a rédigé un rapport sur la TVA (pdf, 20p). Quelques chiffres :

    • La charge de la TVA représente 7 % de l’ensemble des richesses créées en une année sur l’ensemble du territoire français
    • Le taux standard de la TVA dans l’Union Européenne oscille entre 15 et 25 %
    • Le taux standard de la TVA au Japon est de 5,5%
    • Le taux standard de la TVA en Espagne est de 16 %
    • La fraude à la TVA se monte chaque année à 60 milliards d’euros dans l’Union Européenne
    • Sur les 12 dernières années, les recettes fiscales de la TVA ont crû trois fois plus vite que l’économie. Conséquence directe : une baisse sensible du pouvoir d’achat.
    • Cet impôt discret représente 153 milliards d’euros soit 47% des recettes fiscales de l’Etat.

    Cette taxe ne peut se collecter que grâce à la participation des entreprises. De l’artisan à la multinationale en passant par les PME, la charge administrative liée à la TVA est nécessairement élevée pour toute entreprise. Et la charge économique aussi.

    Puisque la TVA peut être in fine considérée comme un impôt sur le revenu, son impact sur l’emploi est réel. Plus personne ne conteste le sabotage de l’emploi de personnes peu qualifiées par la TVA. C’est d’ailleurs la raison du taux d’imposition réduit sur les produits de certains secteurs de l’économie. Lorsque la TVA est passée de 19,6 à 5,5 % dans le bâtiment, les Français se sont massivement lancés dans des travaux de rénovation devenus accessibles à leurs portefeuilles. Conséquence directe : une série de création de postes rapidement pourvus. Tout indique qu’une réduction de la pression fiscale est indispensable pour favoriser la compétitivité de la France. C’est ce que ne cessent de demander depuis des années les professionnels de l’hôtellerie et de la restauration. Sans succès.

    Michel Janva

    Immigration : les chiffres interdits

    Alors qu’une nouvelle campagne tente d’obtenir du gouvernement la régularisation des clandestins (tous en même temps ou au cas par cas, cela revient finalement au même), dans Présent, Jean Cochet cite Michel Godet, qui a écrit quelques vérités incorrectes dans le JDD. Extraits :

    "près de 20% des jeunes, souvent issus de l’immigration, sont en échec scolaire et relégués dans des quartiers où la violence et les frustrations dominent : le taux de chômage de ces jeunes restera de l’ordre de 40% car beaucoup ne sont pas employables faute d’un minimum de savoir-être. […] Comment les intégrer dans des écoles où 50% à 100% des enfants ne sont pas de langue maternelle française ? Sujet d’autant plus tabou que l’on refuse de savoir que 25% des naissances en France sont d’origine immigrée, cette proportion dépassant les 40% pour l’Ile-de-France. […]

    Le dernier rapport Immigration et présence étrangère en France en 2006 que devait diffuser la Documentation française a été imprimé, retiré de la vente et sera sans doute mis au pilon. Dommage, car il est très instructif : on y apprend par exemple, que les étrangers ne représentent que 8% des actifs de l’Ile-de-France, mais 25% des chômeurs ! (…) Ou encore que la France accorde (…) très généreusement la nationalité française à 140 000 étrangers par an. Cela fait un million de Français en plus par apport migratoire depuis l’an 2000. […]

    Ce rapport est donc officiellement condamné par les grands inquisiteurs de l’idéologie antiraciste à finir en autodafé parce que les chiffres qu’ils montrent «sont différenciés en fonction des origines ethniques et cela est prohibé par le Conseil constitutionnel». […]

    En Espagne, le taux d’emploi des étrangers est supérieur de 7 points à celui des nationaux, alors qu’il est inférieur de 20 points en France. Le taux de chômage des étrangers non européens est trois fois plus élevé que celui des Français. Sur les 2,9 millions d‘étrangers en âge de travailler, à peine un tiers de femmes ont un emploi et un peu plus d’un homme sur deux. Au total, sur cinq étrangers présents sur le territoire, seuls deux ont un emploi. Les Maghrébins représentent 30% des travailleurs étrangers, mais près de la moitié des chômeurs de cette catégorie. » […] Par contraste, les Portugais représentent 24% de la population active étrangère et seulement 7% des chômeurs. Ils ont même un taux de chômage presque deux fois plus faible que celui des Français."

    Michel Janva

    Policiers blessés à Toulouse

    Deux policiers de la Brigade anticriminalité ont été blessés à coups de barres de fer et un troisième par un jet de pierre dans un quartier de Toulouse. Le préfet de Midi-Pyrénées Jean-François Carenco a stigmatisé "des agressions caractérisées contre des policiers depuis la mi-mars".

    MJ

    Les députés UMP sont très déçus par Sarkozy

    Et pour cause, analyse Nicolas Dupont-Aignan :

    "Ils ont fait campagne pour la Ligue du Nord et on leur sort un seau de gauche caviar !"

    MJ

    2020 : entrée de la Turquie dans l’UE ?

    Le commissaire européen à l’élargissement, Olli Rehn, estime que la Turquie pourrait adhérer à l’Union européenne dans "10 à 15 ans" à condition de poursuivre les réformes en cours. L’UE entend ouvrir deux nouveaux chapitres de négociations avec Ankara en juin touchant au droit des entreprises et à la propriété intellectuelle.

    MJ

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