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Refusez les termes “parent 1” ou “parent 2”

Courrier à envoyer à l'autorité responsable (maire, directeur…), avec copie à Dominique Baudis (7 rue Saint-Florentin
75409 Paris Cedex 08), défenseur des droits :

"Je me permets d’attirer votre attention sur le fait suivant, qui exige de
votre part la réponse la plus rapide possible. Je ne puis en effet rester sans
réagir devant la discrimination dont je suis victime.

Dans le cadre de (activité,
inscription…
), j’ai naturellement dû remplir un dossier administratif,
comprenant le formulaire ci-joint.

Or, il s’avère que ce document administratif comporte les mentions :
« Parent 1 Â» (ou « Représentant
légal 1 Â») et « Parent 2 Â» (ou
« Représentant légal 2 Â»), en lieu et place des mentions :
« Père Â» et « Mère Â», que j’ai bien évidemment rétablies.

Le fait d’exiger que je remplisse, tel qu’il est rédigé, ce formulaire,
préalable obligé à toute mise en œuvre de la procédure administrative que je
sollicite, constitue non seulement une violation directe de la loi n° 2013-404 du 17 mai 2013 ouvrant le mariage
aux couples de personnes de même sexe, mais encore crée à mon encontre un
préjudice moral particulièrement grave dont la collectivité que vous
représentez est responsable.

Pour mémoire :

-         
Le communiqué de presse du Conseil des ministres du 7
novembre 2012 affirme que : « Lorsque cela est strictement nécessaire, les
mots « père et mère » sont remplacés par le mot « parent » et les mots « mari
et femme » par le mot « époux »
. Ces modifications ne sont pas systématiques.
En outre, elles ne concernent pas les actes d’état civil et le livret de
famille, dont la forme n’est pas régie par la loi. Ces actes, ainsi que le
livret de famille continueront à utiliser les termes de « père et mère » dès
lors qu’il s’agira de couples de personnes de sexe différent
 Â» ;

-         
L’exposé des
motifs de ladite loi énonce que : « Lorsque cela s'avère
nécessaire, les mots « père et mère » sont remplacés par le mot « parents » et
les mots « mari et femme » par le mot « époux »
. Ces substitutions concernent
uniquement les articles qui s'appliquent à tous les couples. Dans tous les
autres cas, les articles ne sont pas modifiés : tel est le cas dans l'ensemble
des dispositions concernant la filiation établie par le seul effet de la loi
 Â» ;

-         
L’étude
d’impact de la même loi contient les phrases suivantes, tout à fait explicites :
« La réforme envisagée n’aura pas de conséquence sur les actes d’état
civil
(actes de naissance, de reconnaissance, de mariage et de décès) relatifs
aux couples hétérosexuels
 Â» (§ 4-1.1.3, p. 26) et « S'agissant
des autres branches du droit civil, il conviendra de procéder aux seules
adaptations légistiques strictement nécessaires afin d'adapter les textes qui
visent actuellement « le père » ou « la mère » et de permettre qu'ils puissent
aussi régir la situation des couples de deux pères ou de deux mères
 Â»
(§ 4-1.1, p. 25) ;

-         
De même, la
circulaire du 29 mai 2013 de présentation de la loi ouvrant le mariage aux
couples de personnes de même sexe est on ne peut plus claire : « le
mariage entre deux personnes de même sexe n’emporte aucun effet en matière de
filiation non adoptive
 Â» (§ 1, p. 2) ;

-         
A la tribune
de l’Assemblée Nationale et du Sénat, la Garde des Sceaux, ministre de la
Justice, Madame Taubira, n’a cessé de rappeler que (1) les diverses versions du
projet du Gouvernement n’avaient jamais compris les expressions « parent
1 Â» et « parent 2 Â»
et que (2) les adaptations qui étaient
faites au niveau législatif et qui seraient faites au niveau règlementaires ne
remplaceraient jamais, pour les couples de sexe différent, les mentions du
« père Â» et de la « mère Â» par ces expressions. Le Journal
officiel
des débats des chambres parlementaires fourmille de ces rappels
qu’il est inutile de citer.

Le décret n° 2013-429 du 24 mai
2013 portant application de la loi n° 2013-404 du 17 mai 2013 n’a lui-même
procédé qu’aux seules adaptations terminologiques strictement nécessaires au
regard du vote de la loi.

Est-il enfin besoin de rappeler que l’arrêté du 24 mai 2013 modifiant
l’arrêté du 29 juillet 2011 modifiant l’arrêté du 1er juin 2006 fixant le
modèle de livret de famille (rectificatif) est précisément venu remplacer
l’arrêté modificatif qui venait juste d’être édicté afin de mieux prendre en
compte le fait qu’il existe aujourd’hui deux types de mariage en droit français,
en instituant deux livrets de famille différents ?

Les couples continuant à se fonder sur l’altérité sexuelle bénéficient en
effet d’une loi spéciale dérogatoire à la loi générale, en vertu du nouvel
article 6-1 du code civil, issu de l’article 13 de la loi du 17 mai 2013, qui
exclue le titre VII du livre Ier du code civil de la réforme que la
loi opère. Ainsi, non seulement l’intention du législateur, constante et
manifeste, a été de préserver les couples de sexe différent de toute atteinte à
leur droit élémentaire de voir reconnue leur altérité sexuelle comme origine de
la filiation de leurs enfants, mais encore la lettre même de la loi impose,
oblige et exige que tous les actes administratifs devant prendre en compte la
filiation ainsi établie au regard des règles du code civil, respectent cette
altérité sexuelle.

Si la loi générale use de termes génériques, identiques à ceux utilisés
pour la loi spéciale des couples de même sexe, il n’en est donc pas de même
pour la loi spéciale des couples de sexe différent. Or, les formulaires
administratifs sont tenus de prendre en compte ces différences linguistiques
,
qui forment l’expression même du droit fondamental reconnu aux couples fondés
sur l’altérité sexuelle de continuer à rendre public et opposable à
l’administration ce fait.

La violation de ce droit fondamental constitue une discrimination abusive
et une rupture d’égalité devant la loi
et le service public, principe général
du droit et principe à valeur constitutionnelle. Elle constitue également une
violation de mon droit à mener une vie familiale normale, protégé et garanti
par la Constitution française (dixième alinéa du Préambule de la Constitution
de 1946, cf. décision du Conseil
constitutionnel n° 2012-248 QPC du 16 mai 2012, 5ème considérant)
et la Convention de sauvegarde des
droits de l'homme et des libertés fondamentales de 1950 (article 8). Vous
ne sauriez l’ignorer.

En outre, l’utilisation des expressions « Parent 1 Â» (ou « Représentant légal 1 Â»)
et « Parent 2 Â» (ou « Représentant
légal 2 Â») introduit une inégalité manifeste entre les parents que je ne
peux partager
. En se référant à une numérotation, ces expressions créent en
effet nécessairement une inégalité, là où les mentions « Père Â» et
« Mère Â», en ne signifiant que l’altérité sexuelle, consacraient
l’égalité des parents.

En conséquence, je demande que, dans les plus brefs délais, vous mettiez
à ma disposition, comme à celle de tout couple de sexe différent usager des
services publics gérés par votre collectivité, des documents administratifs et
des formulaires conformes à la loi du 17 mai 2013 et comportant les termes
« père Â» et « mère Â», à l’exclusion de tous autres.

En application de l’article 21 de
la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs
relations avec les administrations, en l’absence de réponse de votre part dans
les deux mois de la réception de la présente demande, je devrais considérer que
vous m’opposerez un refus implicite de modifier lesdits documents
administratifs et de les mettre à disposition.

Ce faisant, je me verrais
contraint d’user de toutes voies de droit afin de faire cesser la
discrimination dont je suis victime, de faire annuler tout acte illégal que
vous auriez pris et, le cas échéant, de voir engager votre responsabilité afin
de réparer le préjudice que je subis injustement."

Le Grand Journal de Canal+ provoque la colère des gauchistes

Hier, dans leur émission du 13 septembre, "Le Grand
Journal", Antoine de Caunes et Jean-Michel Aphatie, ont reçu successivement l’abbé Pierre-Hervé Grosjean, qui n'est pas vraiment un progressiste, Robert Ménard, candidat soutenu par le FN à
Béziers aux municipales, et qui n'est plus vraiment de gauche, et le directeur de "Valeurs actuelles", Yves de Kerdrel, qui n'est pas non plus un journal pour bobos. Voilà de quoi provoquer l'ire de gauchistes, parmi lesquels Thierry de Cabarrus (lequel ne fait d'ailleurs pas la différence entre une soutane et un clergyman). Mais la question qu'il pose est sans doute assez juste :

"Aujourd’hui, je m’interroge : "Le Grand Journal", dont les résultats
d’audience sont sans doute assez décevants, espère-t-il surfer sur la
vague prétendument "droitisante" de la société française
telle qu’elle
nous est régulièrement annoncée par "Le Figaro" ou "Valeurs actuelles" ?"

Syrie : l’intervention militaire s’éloigne

Les États-Unis et la Russie (sans la France) ont validé aujourd'hui à Genève un plan sur les armes chimiques syriennes. Damas a une semaine pour présenter une lise précise de ses armes chimiques.
Les deux pays sont également d'accord pour appliquer le chapitre 7 de l'ONU (qui permet le recours à la force) en cas de non-respect par Damas du plan approuvé.
Washington a confirmé "son adhésion à un règlement pacifique" de la crise.

François Hollande, laissé sur le carreau par les 2 grands, doit s'exprimer demain soir au 20h de TF1. Il n'a pas d'autre choix que d'approuver ce plan, malgré la déclaration de Laurent Fabius de ce jour.

16 septembre : accueil de Vincent Peillon à Marseille

Le Ministre de l’Education Nationale
Vincent Peillon sera à Marseille
lundi 16 septembre.

Soyons nombreux à l’accueillir….RDV
à 12H00
Lycée Saint Exupéry
,
529 chemin de la Madrague ville
13015 Marseille.

Pas de mascarade de mariage pour les futurs maires FN

Lors de l'université d'été du FN, Marie-Christine Arnautu demande aux éventuels futurs maires FN de ne pas célébrer de mariages entre personnes de même sexe. Elle assure qu'elle ne le fera pas à Nice, où elle est candidate.

Affluence à l’Université de LMPT : pas assez de places assises

U

Tugdual Derville intervient sur la dignité humaine :

"Notre dignité humaine est inviolable, elle nous dépasse, ne nous appartient pas. Nous travaillons pour l'Histoire !"

"La vulnérabilité humaine est au cœur même de sa dignité!"

D

L’Université de LMPT ne lâche rien

 

Les libertés éducatives et l’objection de la conscience sont les vecteurs de la reconstruction d’une société juste

Thibaud Collin intervient à l'Université d'été de La Manif Pour Tous. Voici son intervention :

C"Mes chers amis,
Vous me permettrez de vous appeler ainsi car ce qui nous réunit tous ce matin est un amour commun, celui du bien de notre pays. Malgré nos différences, nous partageons une même détermination : la recherche du bien de notre société passe par la recherche du bien de l’être humain, du bien intégral de chaque être humain.

Ce qui nous réunit ce matin malgré nos différences, est d’avoir partagé une même aventure : l’opposition résolue et pacifique à une loi inique. Nous avons perdu la bataille législative. Beaucoup s’interrogent. Que faire ? Où orienter nos forces ? Questions auxquelles diverses réponses légitimes peuvent être apportées.
La lutte contre cette loi a été l’occasion de nombreuses prises de conscience qu’il s’agit maintenant de déployer dans leurs tenants et aboutissants. Il s'agit d'identifier les sources du mouvement qui a porté cette loi car là gisent les raisons de notre échec législatif. Il s'agit d'y reconnaître autant de chantiers à entreprendre, de défis à relever, dès aujourd'hui.

Je voudrais succinctement en pointer trois sans prétendre être exhaustif :
La première source est, à mon sens, une vision tronquée de la personne, vision selon laquelle le corps sexué n’est qu’un matériau de la liberté individuelle elle-même soumise à des désirs indéfinis
. C'est en retrouvant une juste intelligence de l’unité de la personne sexuée que chacun d'entre nous pourra contribuer au bien de notre pays et des personnes qui y habitent. Des décennies de mentalité contraceptive ont occulté aux yeux de beaucoup l’union essentielle des trois dimensions de la sexualité humaine : dimensions relationnelle (don réciproque des époux), jouissive (plaisir et épanouissement personnel) et procréative (transmission de la vie et accueil de l'enfant fruit de ce don mutuel). Éduquer à l’intégration de ces trois dimensions, témoigner qu’il est possible et heureux de la vivre, n’est-ce pas une tâche certes exigeante mais exaltante ? La revendication au mariage et la filiation pour les personnes ayant une orientation homosexuelle a été portée et légitimée par une vision et une pratique éclatée de ce qui se joue dans l'union conjugale. Peut-être n'avons-nous pas assez mis au centre de nos discours des derniers mois ce thème de la conjugalité comme étant le lieu d'où la différence sexuelle reçoit en plénitude toute sa vérité. Notre échec nous invite à ouvrir les yeux. Pourquoi ne pas investir notre énergie dans ses multiples associations qui depuis de longues années courageusement et modestement se consacrent à l'éducation affective et sexuelle ?

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Les journées du patrimoine commencent par la défense de la famille

Depuis ce matin, plus de 1000 volontaires et sympathisants de La Manif Pour Tous sont réunis au Parc Floral de Vincennes (Paris) pour la 1ère université d’été du mouvement né à l’automne 2012 en opposition au projet de loi Taubira de mariage et adoption pour les personnes de même sexe.

A l'ouverture de l'Université d'été de La Manif Pour Tous, Ludovine de La Rochère a déclaré que, en 15 jours, 37535 personnes ont répondu au questionnaire de sympathisants. Parmi lesquels 93% veulent continuer à s'engager avec LMPT.

L
Ici, les sweat interdits sont acceptés !

S
Puis Chantal Delsol revient sur la notion de progrès dans les sociétés. C'est ce WE les journées du Patrimoine. Les journées du patrimoine commencent par la défense de notre patrimoine le plus cher : la famille.

Et pourquoi pas aussi une taxe d’habitation implicite pour les SDF ?

Gabrielle Cluzel donne des idées au gouvernement. Puisqu'il a réussi à marier des personnes de même sexe, il devrait pouvoir faire payer des loyers aux SDF.

Les cours Alexandre Dumas pour l’instruction et l’éducation des jeunes en banlieues

 

Un prêtre attaqué à l’acide

Un prêtre catholique a été hospitalisé
vendredi à Zanzibar, au large de
la Tanzanie, après avoir été aspergé d'acide. L'agression s'est produite au moment où le père Joseph
Mwang'amba sortait d'un cybercafé de la région de Mlandege. Le président tanzanien Jakaya Kikwete a estimé que les
tensions religieuses apparues dans l'archipel à majorité musulmane
menaçaient la paix dans l'ensemble du pays.

La question sociale a été abandonnée par les classes de droite et de gauche

Extraits d'un un entretien avec le géographe et sociologue Christophe Guilluy,
publié le 19 juillet 2013 dans le quotidien Le Figaro :

"La France a un immense problème où l’on passe d’un modèle
assimilationniste républicain à un modèle multiculturel de fait, et donc
pas assumé. Or, les politiques parlent républicain mais pensent
multiculturel
. Dans la réalité, les politiques ne pilotent plus vraiment
les choses. Quel que soit le discours venu d’en haut, qu’il soit de
gauche ou de droite, les gens d’en bas agissent. La bipolarisation
droite-gauche n’existe plus en milieu populaire
. Elle est surjouée par
les politiques et les catégories supérieures bien intégrées mais ne
correspond plus à grand-chose pour les classes populaires.

Les classes populaires ne sont donc plus ce qu’elles étaient…

Dans les nouvelles classes populaires on retrouve les ouvriers, les
employés, mais aussi les petits paysans, les petits indépendants. Il
existe une France de la fragilité sociale. On a eu l’idée d’en faire un
indicateur en croisant plusieurs critères comme le chômage, les temps
partiel, les propriétaires précaires, etc. Ce nouvel indicateur mesure
la réalité de la France qui a du mal à boucler les fins de mois, cette
population qui vit avec environ 1 000 euros par mois. Et si on y ajoute
les retraités et les jeunes, cela forme un ensemble qui représente près
de 65 % de la population française. La majorité de ce pays est donc
structurée sociologiquement autour de ces catégories modestes. Le gros
problème, c’est que pour la première fois dans l’histoire, les
catégories populaires ne vivent plus là où se crée la richesse. […]

La sociologie du FN est une sociologie de gauche. Le socle électoral
du PS repose sur les fonctionnaires tandis que celui de l’UMP repose sur
les retraités, soit deux blocs sociaux qui sont plutôt protégés de la
mondialisation
. La sociologie du FN est composée à l’inverse de jeunes,
d’actifs et de très peu de retraités. Le regard porté sur les électeurs
du FN est scandaleux. On les pointe toujours du doigt en rappelant
qu’ils sont peu diplômés. Il y a derrière l’idée que ces électeurs
frontistes sont idiots, racistes et que s’ils avaient été diplômés, ils
n’auraient pas voté FN.

Les électeurs seraient donc plus subtils que les sociologues et les politologues… ?

Les Français, contrairement à ce que disent les élites, ont une
analyse très fine de ce qu’est devenue la société française parce qu’ils
la vivent dans leur chair. Cela fait trente ans qu’on leur dit qu’ils
vont bénéficier, eux aussi, de la mondialisation et du multiculturalisme
alors même qu’ils en sont exclus.
Le diagnostic des classes populaires
est rationnel, pertinent et surtout, c’est celui de la majorité. Bien
évidemment, le FN ne capte pas toutes les classes populaires. La
majorité se réfugie dans l’abstention.

Vous avancez aussi l’idée que la question culturelle et identitaire prend une place prépondérante.

Les Français se sont rendu compte que la question sociale a été
abandonnée par les classes dirigeantes de droite et de gauche
. Cette
intuition les amène à penser que dans ce modèle qui ne les intègre plus
ni économiquement ni socialement, la question culturelle et identitaire
leur apparaît désormais comme essentielle. Cette question chez les
électeurs FN est rarement connectée à ce qu’il se passe en banlieue. Or
il y a un lien absolu entre la montée de la question identitaire dans
les classes populaires « blanches » et l’islamisation des banlieues. […]"

L’Occident corresponsable du génocide des filles en Inde

Lu sur C-Fam :

"L’élimination
massive des petites filles en Inde par le biais de l’avortement
sélectif et de l’infanticide peut être mis sur le compte des programmes
coercitifs institués sur le fondement des prévisions alarmistes des
démographes, des agences de l’ONU, et des militants de l’avortements des
pays riches, dont les Etats-Unis.

« L’avortement
sélectif pratiqué en raison du sexe, une politique violente, vile et
délibérée, et imposée au monde par le mouvement favorable au contrôle
des populations et à l’avortement, n’est pas arrivé par accident Â»,
déclarait Chris Smith, député américain siégeant au sous-comité du
Congrès sur l’Afrique, la santé mondiale et les droits de l’homme.

La
séance sur les affaires étrangères à la Chambre des représentants
abordait le thème « les filles qui manquent à l’Inde Â». Les députés se
sont penchés sur les pratiques discriminatoires et sur les conséquences
du taux de répartition des sexes faussé dans la population indienne. Ce
taux fait suite à 37 millions de morts de petites filles, partagés entre
les d’avortements et les infanticides de nouvelles-nées
par leur mère
ou un membre de la famille.

[…] Dr.
George a demandé aux députés américains d’empêcher les entreprises
américaines de faire des profits sur les pratiques sélectives de l’Inde
.
Il visait par exemple les publicités de Google, qui fait la promotion
du tourisme de la sélection sexuelle
. Des témoins ont affirmé que
General Electric avait vendu des milliers d’appareils à échographie aux
cliniques privées
, alors que la sélection sexuelle est illégale dans les
hôpitaux publics.

Pour
comprendre comment l’avortement sélectif s’est répandu dans le monde
entier, Matthew Connelly, professeur à l’Université de Columbia, a
conduit une enquête sur les politiques inspirées par le mythe de
l’explosion démographique, popularisé par le biologiste de Stanford,
Paul Ehrlich. Ehrlich avait appelé de ses vœux le développement de
techniques pour définir le sexe de l’enfant qui permettraient de faire
décroître la population. Cela a permis l’ouverture du premier
département sur la reproduction dans une faculté de médecine indienne.
Celui-ci était financé par les fondations Ford et Rockefeller
.

Le
président du Population Council de l’époque, Sheldon Segal, avait
encouragé les médecins indiens à déterminer le sexe du fœtus dans le but
de faire réduire le nombre de naissances
. Des programmes démographiques
coercitifs ont été ensuite administrés par la fédération du planning
familial, le Fonds de l’Onu pour la population et l’autorité
administrative américaine USAID.
[…]"

05-06 octobre : pèlerinage au Mont-Saint-Michel

CLes 5-6 octobre aura lieu le pèlerinage annuel du chapitre au Mont
Saint-Michel, afin de confier au
grand archange cette année qui commence et tous les combats que nous
aurons à mener ! Ce pèlerinage est ouvert à tous et s'adresse aux
étudiants, jeunes professionnels, leur famille et amis…Comme tous les ans, il y aura la messe le samedi dans la magnifique Abbaye de
la Lucerne, puis la traversée de la baie à pied se fera le dimanche, en compagnie des chanoines de Lagrasse.

Renseignements et inscriptions sur le site du chapitre : chapitresaintmartin.com

15 septembre : comité d’accueil pour François Hollande

Le président de la République est invité dimanche au 20h de TF1. Il s'exprimera depuis l'Hôtel Marigny. Au menu : Syrie, emploi et impôts.

La Manif pour tous vous donne rendez-vous pour un comité d'accueil place Clemenceau (8e arrondissement de Paris), à 19h30.

Les AFC 92 et la charte Peillon : “Laïcité et lutte contre les discriminations”

A lire cette tribune du président des AFC de Haut-de-Seine :

"La charte de la laïcité imposée par Vincent Peillon est habile. C’est une arme de plus que son auteur, un des plus ardents défenseurs de la loi Taubira, a conçue pour combattre les tenants d’une vision traditionnelle de la famille.

Ne soyons pas naïfs et exerçons notre vigilance contre l'irruption à l'Ecole de l'idéologie de "l'égalité de genre" que cette charte veut favoriser.

Après quelques belles phrases sur la laïcité, il est dit benoitement que celle-ci est la panacée qui va permettre aux élèves de « forger leur personnalité, exercer leur libre arbitre,…[les protéger] de tout prosélytisme et de toute pression ». Le rôle des parents n’est évoqué nulle part. On retrouve là le vieux démon de la majorité actuelle selon lequel l’Etat via l’Ecole est le mieux placé pour l’éducation des enfants. De plus, il nous est asséné que « la laïcité assure aux élèves l'accès à une culture commune et partagée Â». Mais sachant que le ministre Å“uvre par ailleurs pour remplacer la vielle morale commune par une nouvelle morale d’Etat « indépendante de tout déterminisme familial Â», on peut donc se demander de quelle culture il s’agit.
Alors que le refus de la violence à l’Ecole ne devrait pas avoir besoin d’être explicité, l'article 9 de la charte fait un rapprochement surprenant entre la laïcité et le rejet « de toutes violences et de toutes les discriminations Â». De fait ce rapprochement est le témoin d’un postulat bien ancré dans l’esprit de nos hauts-fonctionnaires : la lutte contre « les discriminations homophobes Â» est pour eux une des missions prioritaires de l'Ecole
Comme le terme d’homophobie  (forgé de toutes pièces il y a trente ans) fait sciemment l’amalgame entre le rejet des personnes homosexuelles (qui est effectivement condamnable) et l’affirmation que toutes les activités sexuelles ne relèvent pas de la même normalité quant à leur répercutions sociales, les campagnes contre les discriminations homophobes vont s’apparenter à des stages de rééducation. Des associations militantes se feront inviter dans les écoles pour entreprendre un formatage idéologique des enfants : on ne pourra plus mettre en doute le bien-fondé d’une éducation faite par deux mamans ; on n’aura plus le droit d’affirmer que l’enfant doit pouvoir bénéficier de l’altérité sexuelle de ces parents ; cela sera « discriminatoire Â» !
L'article 12, lui est encore plus troublant : afin de garantir l'ouverture la plus objective possible à la diversité des visions du monde « aucun sujet n'est exclu du questionnement scientifique et pédagogique. Aucun élève ne peut invoquer une conviction religieuse ou politique pour contester à un enseignant le droit de traiter une partie du programme Â».  Que se cache-t-il derrière ce questionnement ? On pourrait penser qu’est évoqué l’enseignement de la théorie de l’évolution en classe de biologie, mais il est clair que l’enjeu n’est absolument pas là. Il est plus prosaïquement dans la présentation de la problématique du Â« genre Â» tel qu’il est introduit dans les manuels de SVT de classe de première et surtout dans les futurs cours obligatoires « d’éducation à la sexualité Â» (c’est ce terme que le ministère emploie et non celui d’éducation affective et sexuelle car celle-ci devrait naturellement être effectuée sous le contrôle et avec l’aval des parents). Au nom de la « laïcité Â», il ne sera donc pas permis aux parents d’émettre des objections à ce type de cours obligatoires et à la rhétorique libertaire qui y sera développée" (suite).

Pour Jean-Luc Mélenchon, la liberté d’informer, c’est “criminel”

Fête de l'Humanité sponsorisée par vos radios publiques, qui ont prévu de lui consacrer des émissions quasiment en continu pendant trois jours.

François Fillon et le FN : ni ‘front républicain’, ni le “ni-ni”

François Fillon a rejeté les stratégies de "front républicain" ou de "ni-ni" en cas de duel FN/PS à un deuxième tour :

"Je ne veux plus entendre parler de guerre de partis, de "ni-ni" (ni FN ni PS, ce qui est la ligne officielle de l'UMP), "de front républicain".

François Fillon se dégauchiserait-il ?

Le braqueur de Nice avait déjà été condamné 14 fois

Anthony A., le braqueur de Nice, décédé lors du braquage parce que le bijoutier s'est défendu, possédait un casier judiciaire
déjà bien fourni
, au regard de son jeune âge. Ainsi, il avait
déjà été condamné à quatorze reprises
(dont treize fois par le tribunal
des mineurs) entre janvier 2006 et octobre 2011.

Le jeune homme aurait effectué son dernier séjour en
prison à Grasse entre les mois d'octobre 2011 et d'août 2013, avant de
bénéficier d'un placement sous bracelet électronique. Une surveillance
qui a pris fin moins de quinze jours avant le braquage dans lequel le
jeune homme a perdu la vie
.

La légitime défense n'a pas été retenue pour le bijoutier, qui a été mis en examen pour homicide volontaire. Il a également été assigné à résidence, sous surveillance électronique.

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