Le gender pour masquer l’échec du système scolaire français
Lu dans Le Figaro :
"Alors que le
nombre de sorties sans qualification du système éducatif ne cesse
d'augmenter et que le taux de chômage des jeunes atteint des niveaux
records dans notre pays ; alors que les études nationales et
internationales démontrent depuis plus de quinze ans que l'école ne
parvient plus à remplir ses missions fondamentales - l'enseignement de
la lecture, de l'écriture et du calcul -, 40 % des jeunes entrant au
collège sans maîtriser ces compétences et près de 20 % d'entre eux
sortant du système éducatif illettrés ; que les politiques éducatives
menées en France depuis vingt ans ont hissé notre école au rang des plus
inéquitables des pays de l'OCDE… cette rentrée scolaire sera marquée du
sceau de l'instauration de la théorie du genre à l'école primaire."
Panthéon : consultation des Français
Philippe Bélaval,
Président du Centre des monuments nationaux, a reçu mandat du chef de l'Etat d’associer les Français sur les prochaines personnalités qui mériteraient, à l’avenir,
d’être honorées au Panthéon, cette église qui fut volée par la Révolution et jamais restituée.
Les résultats de cette consultation n’ont valeur ni de
référendum, ni de sondage. Pas fou : imaginez une forte demande en faveur, par exemple, d'Hélie de Saint-Marc… Cette consultation devrait éclairer (?) les conclusions du
rapport.
Benoît XVI a réuni le “Ratzingerschülerkreis”
Comme chaque année, et malgré sa retraite, Benoît XVI a réuni fin août ses
anciens étudiants du "Ratzingerschülerkreis" pour une session théologique. Cette année, ils ont planché
sur la théologie de leur maître. Puis, ce dimanche 1er septembre,
Benoît XVI a célébré la messe en la chapelle du gouvernorat de la Cité du Vatican. Il leur a dit notamment :
« Dans l’histoire, tous cherchent la bonne place : sur la scène de la
vie, chacun veut trouver sa place. Mais la question est : quelle place
est la bonne et laquelle est juste ? La première place peut rapidement
devenir une très mauvaise place et cela, non seulement lors du jugement
dernier, mais déjà sur cette terre.L’échelle qui établi ce qui est une bonne ou une mauvaise place, c’est
Jésus. Celui qui sera poussé devant, donc à la première place, doit être
conscient du danger. Il doit d’autant plus avoir le regardé fixé sur
Dieu, se mesurer à lui, à la responsabilité qu’il a des autres, il doit
devenir celui qui sert, celui qui sait en vérité se mettre aux pieds des
autres, et ainsi être celui qui béni et devient béni. Je pense que tout
cela doit passer par le cœur, lorsque nous regardons Celui qui est le
premier être de la Création et celui né dans une étable et mort sur une
croix. Les bonnes places sont auprès de Lui et selon sa mesure, malgré
les places vers lesquelles la vie nous mène.Cruciale est la responsabilité devant Lui et la responsabilité de
l’amour, de la justice et de la vérité. Selon l’Evangile, la dernière
place de Jésus, la croix, est la vraie élévation. Comprendre et accepter
ce mystère de l’élévation et de l’abnégation fut la prière de Jésus.Finalement, l’esprit chrétien de la gratuité est nécessaire Ã
l’humanité. Les plus grandes choses de la vie – l’amour, l’amitié, les
biens, le pardon – nous ne pouvons pas les acheter, elles sont
gratuites, tout comme Dieu nous comble gratuitement. Au nom de la
justice dans le monde, nous ne pouvons jamais oublier le don gratuit de
Dieu, ce perpétuel donné et recevoir.Humble et infiniment grande est la aussi la liturgie de l’Eglise : elle
signifie que nous nous approchons de la multitude des anges et des
saints, dans un rassemblement festif, dans la joie festive de Dieu. Oui,
là où est célébrée la liturgie, là est Sion, la montagne de Dieu, que
l’humanité recherche indéfiniment, et qui nous permet d’entrer dans la
Lumière et auprès de Dieu."
Quand François Hollande voulait éviter la guerre
C'était en 2003, il était dans l'opposition :
"La guerre peut-elle être évitée ? Face à la détermination américaine
de recourir à bref délai à la force, face à l’inconstante volonté de
désarmer manifestée par l’Irak, il est vrai que les chances de la paix
peuvent apparaître faibles. A moins que l’on ne pense, comme beaucoup
ici, que la primauté du droit, les Nations unies et les opinions
publiques peuvent encore l’emporter sur le déchaînement irréfléchi des
armes…
[…] Comment faire admettre qu’une guerre
serait nécessaire pour chasser un dictateur lorsqu’on en tolère,
encourage, voire utilise tant d’autres, notamment dans cette même région
du monde ? Comment faire partager l’idée d’une intervention militaire
au prétexte que les résolutions des Nations unies seraient
insuffisamment respectées, lorsque la seule puissance capable de se
faire entendre dans la région reste indifférente à bien d’autres
manquements tout aussi graves ? Pourquoi deux poids et deux mesures,
comme le demandait déjà François Mitterrand en 1991 ?Nous devons donc continuer dans la voie du désarmement par la paix.
La France a pris en ce sens des initiatives que les Nations unies ont
approuvées. Il faut soutenir jusqu’au bout ce refus de la guerre.[…] Nous n’en sommes certes pas encore là , mais le moment décisif
approche. C’est pourquoi, au nom des socialistes, je demande qu’un autre
débat soit prévu ici, cette fois avec vote, avant que la France n’ait Ã
faire connaître sa décision.[…] Face à la stratégie américaine, qui n’est rien d’autre que le retour
de l’impérialisme et de l’unilatéralisme […] il convient de
mettre en place un monde multipolaire fondé sur le droit, seule
protection du faible contre le fort. La France doit promouvoir le droit international, mais aussi les
institutions internationales et leur capacité d’agir. La lutte pour une
autre mondialisation est inséparable de la lutte pour la paix. C’est le
même combat. […]"
Bayeux : une statue de la Vierge décapitée
Une statue de la vierge Marie, située non loin de l'hôpital de Bayeux
et du musée de la tapisserie, a été décapitée dans la nuit de vendredi Ã
samedi.
Accueil de Michel Sapin à Caen jeudi 29 août
Le collectif LMPT du Calvados avait choisi la formule "veilleurs debouts" pour accueillir le ministre du travail.
Hôtel de ville bouclé, 20 flics en civil (BAC en renfort) transformés en gardes barrières qui "contiennent" 15 veilleurs debouts alignés sagement sous le soleil…
Le débarquement du ministre se fait loin du public mais en présence de la presse 'officielle' : cette photo illustre un gouvernement "hors-sol" avec Sa presse et Sa France-d'en-haut: très très loin du pays réel…
Veut-on devenir des révolutionnaires de salon ou bien de véritables veilleurs ?
Philippe Arino est plutôt déçu de la veillée de samedi soir :
"Veut-on
devenir des révolutionnaires de salon ou bien de véritables veilleurs ?
À un moment donné, il va falloir choisir, agir, arrêter de devenir une
parodie de nous-mêmes (les « Choristes bis » qui font un spectacle de
fin d’année et qui invitent des « personnalités »).Notre
soirée de clôture à la Concorde n’avait rien d’une veillée des
Veilleurs. Et je ne dis pas ça parce que je serais vexé de ne pas avoir
pu parler : au contraire : je devais parler, c’était prévu ; j’avais
envie de rappeler le Réel, les raisons concrètes de notre présence, le «
pour quoi nous sommes là ? ». Pour dire que les pro-mariage-pour-tous
avaient des gros problèmes avec la mémoire (je m’apprêtais à faire
mention de la place de l’amnésie et de l’oubli dans les œuvres de
fiction qui parlent d’homosexualité). Puis devant tant d’amnésie de la
part des Veilleurs eux-mêmes ce soir (c’est quand même dingue que, pour
une soirée dédiée à la Mémoire, on n’ait pas entendu une seule fois les
mots « mariage pour tous » et « Loi Taubira » : enterrées ! Il fallait
le faire ! Génial pour clôturer l’année de combat et fuir en avant avec
le « Gender » !), je me suis barré avant. Je ne veux pas que les
Veilleurs se transforment en gala, avec robe de soirée, célébrités,
petits fours, petits CRS et musique de salon ! Je ne suis pas là pour
ça. Notre résistance ne doit pas se figer en posture esthétique. C’est
ridicule. Nous devons demander l’abrogation de la loi Taubira, encore et
toujours. Nous devons parler du mariage pour tous, sans s’égarer vers
les lois qui en découlent. Et oui, plus que jamais, je crois que les
veilleurs doivent être des lieux de FORMATION, car nous sommes loin
d’être formés ! Le Gender découle de notre non-dénonciation de
l’hétérosexualité.Pas
un intervenant pendant dans la Veillée de ce soir pour nous expliquer
les raisons de nos Veillées, les raisons de notre présence (Si quelqu’un
débarquait, jamais il n’aurait pu deviner que nous étions opposés au «
mariage pour tous »). Nous n’avons entendu que des beaux couplets sur
l’importance de l’engagement (ouais, cool : si on ne dit pas pour quoi,
nous sommes bien avancés…), sur la beauté de notre mobilisation (mais
pour quoi sommes-nous mobilisés au juste?), sur les vertus de la liberté
et du combat pour ses idées (oui, mais lesquelles ?). Désolé, mais moi,
je ne suis pas venu « parce qu’il faut s’engager et que c’est important
». On peut philosopher longtemps sur la beauté de la combativité, sur
la grandeur du volontarisme et de la résistance. Mais merde, pour quoi
c’est beau ? Ce n’est pas beau en soi. Ça dépend du combat ! On n’est
pas présent juste pour brasser des concepts et redire des définitions
encyclopédiques. Nous sommes là pour nous battre concrètement contre des
lois injustes car elles banalisent la différence des sexes qui, quand
elle est vraiment accueillie, est le meilleur pour exister, aimer et
transmettre la vie ! Si nous n’expliquons pas pour quoi nous sommes lÃ
et pourquoi nous continuons de nous opposer à ces lois-là , nous ne
serons jamais compris des journalistes et nous dériverons vers
l’abstraction poétique. Quel ennui ! et surtout, de quoi a-t-on l’air ? […]Une
remontrance n’est ni une remise en cause ni un constat d’échec. J’aime
les Veilleurs, et ça reste les MEILLEURS. La soirée d’hier a été un beau
travail et une réussite puisque nous étions 5000, et c’est déjà génial.
Je renouvelle mon
admiration pour ceux qui en sont les instigateurs. Maintenant, pour
l’avenir, préparons des veillées dignes de ce nom, qui dépotent
vraiment, et ne nous reposons pas sur nos acquis."
Le chocolat blanc, c’est raciste
Les excités de l'antiracisme n'ont vraiment pas d'autre métier à faire.
Les bienheureux martyrs de septembre 1792
Nous fêtons les 191 martyrs, dont 3 évêques, 178 prêtres
diocésains ou religieux, 4 diacres, un clerc tonsuré, un frére des
Ecoles chrétiennes, et 4 laïcs qui vivaient dans des maisons
religieuses, victimes des massacres de Paris,
béatifiés en 1926 (parmi plus de 3000 victimes des massacres de
septembre). Ces martyrs sont loin d'être les seuls de la Révolution française.
Le décret du 26 août proclamait :
"L'Assemblée Nationale,
considérant que les troubles excités dans le Royaume par des prêtres non
assermentés, est une des premiéres causes du dangers de la patrie
(…) décréte qu'il y a urgence".
Il fallait, pensaient les
Révolutionnaires, en finir avec "le fanatisme, la superstition et
l'obscurantisme".
Le 2 septembre, Danton avertit que le tocsin donnerait
le signal de la "charge sur les ennemis de la patrie". Le cardinal J.-M.
Lustiger expliquait :
"Ces martyrs,
victimes de la Révolution, sont une des données particulières de la mémoire catholique
française. Ils ont sacrifié leur vie, ils ont subi une pression injuste,
ils ont été pourchassés et massacrés en raison de leur conviction
religieuse".
Le dimanche 2 septembre, les révolutionnaires ordonnèrent aux prisonniers qui se trouvaient dans le jardin pour
leur promenade journalière de se rassembler dans la chapelle "pour une
vérification d'identité". On les fit passer par un petit couloir et, sur
le perron qui existe encore, ils furent massacrés.
Une équipe de Canal+ à la veillée du 31 août
Une équipe de CANAL PLUS (LE
PETIT JOURNAL) un journaliste, un cameraman, un preneur de son ont passé
plusieurs heures sur la place de la Concorde à filmer les Veilleurs
avant et pendant la Veillée. Ils étaient à l'affût des images politiquement incorrecte. Ils ont surtout eu un long entretien de Gaultier, l'un des
principaux animateurs des Veilleurs-marcheurs que d'autres ont fort
opportunément filmé aussi :
Gaultier veilleur par Cyrille014
c'est là que ça coince car ce qu'ils ont vu et entendu ne cadre pas du
tout avec ce qu'ils attendaient ou doivent démontrer (prières de rues,
homophobie, etc.). Ils
n'ont pu que constater que leurs idées reçues volaient en éclats et
qu'il s'agissait d'un mouvement culturel, pacifique, intelligent ouvert
sur le monde, altruiste… Alors il va falloir faire bosser les monteurs.
Retraites : le dogme de la répartition
De Michel de Poncins :
"Des faits nouveaux sont intervenus
sur le front des
retraites. La
grande parlotte nationale
annonçée par le gouvernement est bien en route. Des
promesses sont formulées. Tous les moyens
seront mis sur la table pour sauver la répartition ;
celle-ci est considérée comme le nec plus
ultra dans le domaine des retraites car elle est supposée reposer sur
un
contrat entre les générations. S'ajoute la chimère de l'égalité.
Constatons que
ce magma idéologique fut partagé par d'anciens gouvernements ainsi que
l'habitude des parlottes ne débouchant sur rien de vraiment nouveau
sinon des
rapiéçages.L'existence d'un prétendu contrat est
un gros mensonge. Un
contrat implique une signature après négocation. Rien de tel ici. Il y
eût au
sortir de la guerre une action de force étatique obligeant les salariés
Ã
verser des cotisations dans des caisses spéciales, contre la promesse
de
toucher un jour une pension ; dans la suite, le système fut étendu Ã
d'autres
catégories que les salariés. L'éxécution de la promesse elle-même
dépend du bon
vouloir changeant des gouvernements qui sont, pour leur part, soumis
aux
élections. S'ajoute la floraison des régimes spéciaux dont le nombre et
la
complication sont difficiles à cerner.La répartition contrairement à la
capitalisation est
tributaire de la démographie. De ce fait, le pouvoir n'a aucun mal Ã
sonner la
trompette d'alarme pour un avenir relativement proche et chacun y va de
ses
statistiques plus ou moins pessimistes.Le pouvoir, alors, pianotte sur tous
les paramètres comme
les précédents gouvernements l'ont fait : durée de cotisation, impôts,
âge de
départ, charges des entreprises, CSG ; chaque note de la gamme suscite
des
hurlements. Les partenaires sociaux
savent bien, toutefois, que le système est à bout de souffle et qu'il
faudra
passer à la casserole. Le seul espoir est, après la parlotte, de passer
la
patate chaude à d'autres.Dans ce paysage, il est une
nouveauté, c'est la pénibilité
que le pouvoir veut prendre en compte. Il dénombre dix causes de
pénibilité et
songe même à l'ouverture pour chacun d'un compte de pénibilité. Nous
voici avec
la promesse de beaux contentieux car
personne ne pourra fixer juridiquement
les degrés de pénibilité réels.Un fait nouveau est récemment
intervenu. Un journaliste des
médias officiels a oser poser à un syndicaliste, Jean-Claude Mailly, la
question dangereuse : la capitalisation ne pourrait-elle pas être
envisagée au
moins à titre partiel ? Le syndicaliste l'a balayé en disant : trop
tard. Ce trop tard n'est pas vrai. La
répartition détruit la
richesse au fur et à mesure qu'elle se crée puisque l'argent est
distribué
aussitôt que récolté. La capitalisation crée la richesse par les
investissements auxquels se livrent les gestionnaires soit directement,
soit
par des fonds de
pension. Il est
évidemment nécessaire que les épargnes
contractuelles bénéficient du même statut fiscal et social que les
cotisations
dans la répartition. En refusant la capitalisation, nous arrivons à une
situation aberrante :
les grandes
entreprises du CAC 40 sont soumises au bon vouloir des fonds de pension
de
Californie ou d'ailleurs.Des expériences de passage à la
capitalisation ont été
menées dans plusieurs pays. Celui du Chili est intéressant. Le passage
reposait
sur le volontariat et fut largement suivi. L'influence bénéfique sur le
PIB fut
telle que l'on put sans dommage payer les pensions de ceux qui étaient
restés
dans le système ancien.Les syndicats détestent la
capitalisation et adorent la répartition.
Cela se comprend car le dernier
système leur donne
perpétuellement du
grain à moudre. Avec la capitalisation, ils pourraient certes
intervenir mais
dans un esprit constructif ce qui n'est guère leur habitude. Le pouvoir actuel étant
ficelé par les
syndicats va donc probablement passer à côté de sa chance. Reste l'opposition. Elle pourrait
reconnaître son erreur du
passé et annoncer la capitalisation en cas de retour aux affaires. Ce
serait
l'Aggiornamento. Avec une communication adaptée ce pourrait être un
argument
électoral massif.Y-a-il une opposition ou des fantômes? La question est posée."
Quand les stars lancent une nouvelle mode : la GPA
Lettre ouverte d'Alexandra de la Révolution des Jonquilles :
"Il fut un temps où le mode de vie des acteurs n’était que toléré par la
société. Tenus pour dépravés, les comédiens étaient discrédités à cause
de leur capacité à feindre les émotions et à mentir en déguisant leur
pensée. Contraire au bien commun, mentir était mal. Aujourd’hui, adulés
et rétribués à l’excès, les comédiens véhiculent la réussite, sont un
exemple pour les jeunes de toutes les stars académies et tous nous
parlent d’amour. Sur ce thème, à la pointe du progrès, les artistes
véhiculent une nouvelle mode : celle du surrogate baby. Eh oui, Sarah
Jessika Parker, Nicole Kidman, Ricky Martin ou encore Elton John ont
fait appel à des mères porteuses pour avoir un ou plusieurs bébés.Pour Sarah Jessika Parker, c’était en 2009, l’héroïne de Sex in the
City avait alors 44 ans, un fils de 6 ans, et avouait dans les tabloïds
ne pas arriver à mener une grossesse à son terme. Sarah Jessika Parker
reçut des jumelles. Selon Daily Mail, la mère porteuse s’appelait
Michelle Ross, avait 26 ans et s’était tatouée un triangle bleu et rose
sur son poignet pour marquer sa bisexualité. Elle aurait reçue environ
30 000 euros pour ses prestations et l’agence californienne Growing
Generations, spécialisée dans le commerce de mères porteuses aurait
touché une commission de près de 80 000 euros.En 2011, c’est
Nicole Kidman qui fait appel à une mère porteuse, elle a alors 43 ans.
Ce sera son quatrième enfant, elle avait déjà une fille de deux ans et
deux adolescents adoptés avec Tom Cruise qui ne lui parlent plus. Selon
le Herald Sun, environ 110 000 euros ont changé de main, 20 % auraient
été remis à la mère porteuse. Karen Synesiou du Centre for Surrogate
Parenting organisme en charge de la prestation, avait alors indiqué
qu’il n’y avait pas de bonus en liquide pour les mères porteuses qui
donnaient naissance à des enfants de stars.Le jour de Noël
2010, Elton John, 63 ans, et son partenaire David Furnish, 48 ans, ont
programmé la naissance de « leur » fils Zachary. Elton John avait alors
précisé qu’il ne savait pas qui était le père, car les deux hommes
avaient fourni leur semence pour qu’elle soit mélangée à des ovules
anonymes. Deux ans plus tard, de la même mère porteuse naissait « leur »
second fils, Elijah.Ricky Martin a révélé son homosexualité
en 2010. En 2008, à 36 ans, il a fait appel à une mère porteuse qui a
mis au monde deux garçons fabriqués avec son sperme et l’ovule d’une
donneuse anonyme, à l’époque Ricky Martin était célibataire. A Oprah
Winfrey, le chanteur déclarait qu’il pensait déjà ce qu’il dirait aux
garçons sur leur mère biologique : « je vous voulais si fort dans ma
vie, qu’avec l’aide de Dieu, tout a été possible. Je pense qu’une
famille est basée sur l’amour. Je vous aime et vous m’aimez et c’est la
chose la plus importante. » Depuis, il a rencontré un ami et celui-ci
accepterait très bien ses enfants.Outre atlantique, la
pratique se banalise et la liste des stars du showbiz ayant fait appel Ã
des mères porteuses s’allonge chaque jour : Elisabeth Banks, Chris
Daughtry, Neil Patrick Harris, etc. Bien sûr, toutes ces stars se
déclarent ravies et tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes
car on s’aime, mais quelle sorte d’amour filial pourra développer la
fille de Robert De Niro, née d’une mère porteuse il y a deux ans, alors
que l’acteur vient de fêter ses 70 printemps ? [Lire la suite]"
Ils votent pour la restauration de l’église
Les habitants de Plouagat, un bourg breton de 2600 habitants dans
les Côtes d'Armor, ont voté pour la restauration de leur
église, menacée d'effondrement, lors d'un référendum organisé par la
municipalité.
La
restauration a été souhaitée
par 82,5% des votants lors de ce scrutin officiel qui a mobilisé un peu
plus de 50% des 2016 électeurs inscrits.
L'église Saint-Pierre est composée d'éléments datant des
XVe et XVIIIe siècles et d'un clocher achevé en 1879.
Nantes : le Cours Charlier cherche un professeur de sport
Le Cours Charlier, école collège catholique horst contrat pour garçons à Nantes, recherche un professeur de sport pour une classe de collège soit 2 heures de cours par semaine.
Profil : jeune retraité ou étudiant ayant de bonnes connaissance en sport et des qualités pédagogiques.
Tél : 0684151736
Encore un cimetière catholique vandalisé
Des pierres ont été lancées sur les ornements funéraires
figurant sur 40 tombes du cimetière catholique de La Mothe-Saint-Héray (Deux-Sèvres).
Des
plaques et des vases ont ainsi été brisés ou endommagés sur des
sépultures situées dans la partie ancienne du cimetière. Les gendarmes ont ouvert une enquête.
La RATP rejoint la police politique
Lu sur Boulevard Voltaire :
"Message de la RATP, samedi en fin de journée : « L’accès aux
stations Champs-Élysées Clémenceau, George V et Charles-de-Gaulle Étoile
est fermé au public en raison de la manifestation des Veilleurs. Seules
les correspondances sont assurées ». Gentil de prévenir.
Toutefois, pour l’arpenteuse du métro que je suis, c’est bien la
première fois que j’entends nommer les fauteurs de trouble. J’ai beau
fouiller ma mémoire, je n’y trouve pas trace de messages du type « La CGT tient le pavé entre la République et la Nation », ou bien « Comme chaque samedi, les sans-papiers tournent autour de la place du Châtelet comme autour de la Kaaba ». […]"