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Bébés achevés après un avortement raté ?

Entre l'année 2000 et l'année 2009, 491 bébés sont nés vivants après un avortement raté. Il semble que ces bébés sont morts sans assistance
médicale
.

Les militants pro-vie réclament une enquête pour savoir si parmi ces
morts ne seraient pas des homicides.

Le député PS Bernadette Laclais réclame la liberté de vote sur le mariage

Bernadette Laclais, député-maire PS de Chambéry, avait publié une tribune sur lemonde.fr pour
faire part de ses interrogations sur le projet de loi. Elle explique à La Vie :

L"Ouvrir un droit pour tous à l’adoption, reconnaître par la loi un
droit à l’enfant, m’interrogent grandement. Je considère que ce qui doit
primer c'est le droit des enfants.
Même si chacun peut constater que le
schéma « père, mère, enfants » n’est plus l’unique réalité de la
famille, doit-on, du seul fait de la loi, reconnaître que des enfants
adoptés grandiront dans des familles avec un père et une mère, et
d’autres avec deux pères ou deux mères ? En tout état de cause, du point
de vue de l'enfant, ce n'est pas la même chose. Au nom d’une égalité
compréhensible entre adultes, doit-on créer par la loi des inégalités
entre enfants ?

Que réclamez-vous aujourd’hui ?

Ce projet de loi nous engage. On ne reviendra pas sur le texte une
fois qu'il sera voté. Il faut donc se donner un temps de dialogue,
d'échanges, de débat. Cette loi engage chacun de nous dans ce qu’il a de
plus intime. Nous devons donc avoir la possibilité d’un vote en
conscience.
"

Aucune réponse d’Erwann Binet aux questions du Collectif pour l’enfant

Communiqué du Collectif pour l'enfant :

"Le Collectif pour l’enfant a été reçu
mardi 27 novembre 2012, par Erwann Binet, rapporteur du projet de loi sur le
mariage des personnes de même sexe, dans le cadre des auditions privées.

Béatrice Bourges, porte-parole du
Collectif, a interrogé Erwann Binet sur le fait que de nombreuses associations,
dont le Collectif pour l’enfant ont demandé à être reçues par le président de
la République, la ministre de la justice, la ministre déléguée à la famille, et
n’ont jamais reçu de réponse
, alors que l’inter LGBT est reçue dans la journée
lorsqu’elle sollicite le président de la République.
Elle s’est également étonnée de
l’inégalité de traitement entre les partisans du projet de loi et ceux qui y
sont opposés dans l’organisation des auditions devant la commission des lois.
Elle a exposé au rapporteur
l’indignation ressentie par les 80 associations
du collectif devant le mépris
avec lequel sont traitées les demandes répétées émanant de la société civile de
prendre le temps du débat : «Pourquoi
une telle hâte sur un projet si grave ? Pourquoi le gouvernement
refuse-t-il d’associer la société en organisant des états généraux ?
Pourquoi la demande de referendum, relayée par de multiples acteurs, est-elle
restée sans réponse ? Â».
M. Erwann Binet n’a apporté aucune réponse
satisfaisante,
refusant fermement l’organisation d’Etats Généraux ou de
référendum, estimant que les Français ont adhéré à ce projet en votant pour
François Hollande : «  C’est en
ce moment qu’a lieu le débat. Les Etats Généraux sont inutiles. Les Français
ont donné leur accord, lors du vote pour François Hollande. Nous resterons sur
notre calendrier Â» a-t-il dit.
Aude Mirkovic, juriste et membre de
l’association Juristes pour l’enfance, a présenté à Erwann Binet les
inquiétudes du collectif concernant l’adoption de l’enfant du conjoint de même
sexe « La loi doit-elle encourager
les femmes à choisir un mode de conception privant délibérément leur enfant de son
père, en recourant à un donneur anonyme, afin de le rendre adoptable par une
autre femme ? Il s’agit de fabriquer un enfant sans père, pour pouvoir
l’adopter. La loi n’a-t-elle pas mieux à faire pour les enfants ? 
»
  
Elle expose ensuite quelques uns des
conflits de parenté que la notion de parenté sociale va susciter : « Comment trancher le conflit de
parenté  entre l’amante et la conjointe
de la mère par exemple? Â»
Le rapporteur se déclare optimiste
sans apporter de réponse : « Nous
trouverons des solutions. Il ne faut pas voir ces situations comme des
difficultés mais comme de nouvelles possibilités Â».
Elizabeth Montfort, présidente de
l’association pour un nouveau féminisme européen, a fait part à Erwan Binet des
inquiétudes des femmes de voir leur spécificité rayée d’un trait de plume du
Code civil : « Comment assurer
l’égalité homme-femme en droit de la famille lorsque les notions de mari et de
femme, de père et de mère, disparaissent au profit d’une notion indéterminée
d’époux et de parent ?  Nos mères se sont battues pour obtenir
l’égalité ne l’oublions pas. Ce texte ne va pas vers le progrès mais vers
une régression. Â»
« Nous
sommes de plus en plus inquiets
 Â»
confie Béatrice Bourges. « Non seulement, le législateur ne prend pas le temps d’un vrai
débat, mais en plus, il laisse de nombreuses questions sans réponse
alors même
qu’il s’agit d’une loi qui va bouleverser la société toute entière et l’avenir
des enfants Â»"

La subversion des mots par les terroristes intellectuels LGBT

Lu dans L'Action française 2000 :

A"Ce terrorisme d'une coterie
sexuelle (certaines associations
"LGBT" lourdement subventionnées
ne dépassant pas la centaine d'adhérents
)
est parvenu à étouffer
au sein de la société française,
comme de l'oligarchie intellocrate,
toute velléité de questionnement
critique sur la réalité psychologique
et anthropologique de l'homosexualité
,
sauf à voir fondre
sur soi les anathèmes habituels.
Si des homosexuels s'allongent sur
le divan de la psychanalyse pour
confier leurs troubles, la psychanalyse
a échoué (ou a renoncé) à faire admettre,
à la façon de Tony Anatrella
(prêtre et psychologue),
« qu'en réalité l'homosexualité est
toujours symptomatique d'un
conflit intrapsychique non résolu
». Plus précisément, souligne
encore l'auteur du Règne de Narcisse
ou les enjeux du déni de la
différence sexuelle (Presse de la
Renaissance), « l'homosexualité
est une tendance sexuelle qui est
en conflit avec l'identité sexuelle
du sujet […], la représentation
homosexuelle [restant] rivée à l'un
des aspects de la sexualité infantile
sans avoir été remaniée
pour évoluer vers l'attrait de
l'autre sexe
». C'est, entre autres,
pour cette raison que le "mariage"
homosexuel est un non-sens juridique
autant qu'un négationnisme
anthropologique, car des personnes
de même sexe se retrouvent,
ipso facto, en état patent
d'incapacité (au sens juridique et
biologique) à fonder une famille.
Ce faisant, les homosexuels sont
naturellement assignés à demeurer
des paires ou, au mieux, des
duos, mais certainement pas des
"couples", notion qui implique nécessairement
l'altérité sexuelle de
l'homme et de la femme
dont
l'union, à des fins procréatives (la
fameuse "copula carnalis" du droit
romain), participera de la "famille",
résultante logique de l'engendrement.
Le mariage vu de la
fenêtre homosexuelle est donc
une institution affreusement banalisée,
où l'artificialité des sentiments
tient lieu d'amour conjugal,
conçu, pro domo, comme
l'alibi commode du travestissement
d'un irrépressible désir
égoïste et narcissique. Celui-ci
trouve son absolutisation dans l'expression
égotiste du "désir"
d'enfants.

L'impasse physiologique de l'accouplement
est alors contournée
grâce au dispositif de l'adoption
dont on rappellera qu'il sert à donner
des parents à l'enfant et non
l'inverse, comme, hélas, cela se
profile avec le projet de loi Taubira.
Or l'adoption par des personnes
de même sexe conduira
mécaniquement « à donner à l'enfant
des éducateurs mais à le priver
de parents
», estime la juriste
Aude Mirkovic. De ce fait, le barbarisme
néologique d'"homoparentalité"
contient un oxymore
,
érigeant cette nouvelle "parentalité"
(vocable venant se substituer
à celui de parenté, de façon à obvier
l'obstacle généalogique que
renferme ce dernier
), en véritable
aporie (un problème logique insoluble).
On ne peut, en effet,
être à la fois homosexuel (état
entendu comme étant une orientation
et non constitutif d'une
identité sexuelle) et "parent" (statut
fondé sur l'identité sexuelle
du père et de la mère biologique
ou adoptif). Seuls des parents sont
réputés avoir participé à l'acte
procréatif qui leur confère, précisément,
ce statut exclusif de parents
(au pluriel et non au singulier,
sauf à vider la définition de
parents de sa substance formée
de l'addition de deux personnes
sexuellement dissemblables).
Le concept d'homoparentalité
n'est alors rien moins qu'une absurdité
sémantique, autant qu'une
impasse juridique doublée d'une
impossibilité anthropologique
.
L'enfant devient, à cette enseigne,
un droit-créance supplémentaire
pour une communauté
homosexuelle en mal de reconnaissance,
qui fait aisément litière
des conséquences de leur
modus vivendi sur le développement
psychique de "l'enfant-objet".
Imposer à une jeune et fragile
personnalité en devenir un
modèle si peu conforme à la "natura
rerum" revient à nier la représentation,
certes fictive (mais
il est des fictions nécessaires,
voire vitales) mais ô combien symbolique
! des origines de l'enfant
qui, au lieu de s'imaginer comme
étant le fruit de la rencontre de
deux personnes sexuellement différentes,
sera contraint à se
construire sur l'utopie aberrante
et dangereuse d'une singularité
initiale unisexuée fondée ex nihilo.
Aude Mirkovic constate ainsi
que « l'adoption par des personnes
de même sexe est une injustice
à l'égard des enfants, privés
d'une filiation crédible les
situant dans la chaîne des générations

». L'enfant est alors prisonnier
d'une immédiateté compulsive
et consumériste qui vise
à assouvir une "envie" de normalité
à l'égard des hétérosexuels. […]"

6 décembre : conférence sur notre système immunitaire

Conférence sur

Le fonctionnement de notre système immunitaire : immunité naturelle et immunité acquise

Par Monsieur Michel Georget
Professeur agrégé de biologie, le 6 décembre de 19h30 à 21h30, à
La passerelle St Jacques
3 bis rue de la tombe Issoire – 75014 Paris.

Participation : 5 €
RSVP avant le 30 novembre en donnant votre nom et mail sur
[email protected]

Dieu : la réponse à la question fondamentale de la vie

Le Saint-Père a consacré sa
catéchèse
de l'audience générale à la question de savoir
"comment parler de Dieu aujourd'hui, comment diffuser l'Evangile
pour ouvrir le monde à la vérité qui sauve
" :

"Parler de Dieu signifie avant tout être convaincus de porter
à nos contemporains un Dieu qui nous a parlé: Non pas un Dieu
abstrait, une hypothèse de Dieu, mais un Dieu concret, un Dieu
existant, entré dans l'histoire et présent dans l'histoire
".
Nous devons donc proposer "le Dieu de Jésus-Christ comme
réponse à la question fondamentale de la vie: pourquoi vivre,
comment vivre. Ceci réclame donc de grandir constamment dans la foi,
dans la familiarité de Jésus et de l'Evangile, dans une
connaissance approfondie de Dieu et un total engagement dans son
projet salvifique… Sans craindre l'humilité des petits pas, nous
devons avoir confiance dans le levain qui pénètre lentement la pâte
pour la faire lever. Evangéliser sous la guide de l'Esprit nécessite
de la simplicité, un retour à l'essentiel dans l'annonce de la
Bonne Nouvelle
…du Dieu d'amour qui s'approche de l'homme en
Jésus-Christ jusqu'à la croix et à la résurrection pour nous
ouvrir la voie de la vie éternelle".

Contre le chômage et la précarité : la famille

Ce blogueur du Monde est étonné de cette réalité :

"La statistique, frappante, est issue du traditionnel portrait social que l'Insee a publié mercredi 28 novembre. Chez
les 30-54 ans, le taux de chômage des personnes célibataires est de 13 %
pour les hommes et 12 % pour les femmes, alors qu'il ne dépasse pas 5 %
et 6 % pour les hommes et les femmes en couple.
Comment
expliquer cette surprenante inégalité sur le front de l'emploi ? Est-ce
le chômage qui favorise le célibat ou l'inverse ? […]

Les hommes qui ont des enfants, plus souvent en couple,
travaillent plus que ceux qui n'en ont pas, notamment car ils "sont davantage incités à travailler ou rechercher du travail pour subvenir à leurs besoins", estime l'institut. […]

"La
présence d'un conjoint apporteur de ressources offre à certaines femmes
la possibilité de ne pas travailler pour élever leurs enfants,
possibilité que n'ont pas les mères de famille monoparentale
", explique l'Insee. Des femmes qui sortent du marché du travail et donc mécaniquement des statistiques du chômage. […]"

Quand est-ce que nos politiques se pencheront sur le coût du non-mariage ?

La confusion des genres, le déni de la différence des sexes et la psychose

Hier, le député UMP Nicolas Dhuicq (psychiatre de profession) a profité d'un débat sur la sécurité et le terrorisme pour tenter d'ouvrir le débat sur… la dénaturation du mariage :

D"Mais au-delà de l’aspect opérationnel que vous soulevez aujourd’hui,
monsieur le ministre, le terrorisme soulève plusieurs interrogations.

La première de ces interrogations, le premier axe de réflexion que je
vous proposerai, concerne nos prisons. […] Deuxième axe de réflexion : souvent, le terroriste présente ce défaut
qu’il n’a jamais rencontré l’autorité paternelle
 : il n’a jamais eu à
se confronter avec des limites et avec un cadre parental, il n’a jamais
eu la possibilité de savoir ce qui est faisable ou non faisable, ce qui
est bien ou mal. (Murmures sur les bancs du groupe SRC.) N’y
a-t-il pas une certaine contradiction dans vos propos et ceux de votre
gouvernement, alors que vous cherchez désespérément à reposer un cadre, à
rétablir un sens, une symbolique, à soutenir, dans le même temps, un
projet qui va jusqu’à rayer le mot de père du code civil ?
(Protestations sur de nombreux bancs du groupe SRC.) Poussez
vos cris d’orfraie, mais cela est tout à fait cohérent, mes chers
amis : vous provoquerez dans les années à venir la confusion des genres,
le déni de la différence des sexes et la psychose !
(Mêmes mouvements.) […]

Fatalement, cette incohérence idéologique empêche votre système d’avoir toute l’efficacité que vous souhaitez en tirer."

Plus loin, ce même député rappelle à ses collègues la Terreur révolutionnaire, que la France n'a jamais reconnue :

"Français, nous portons une certaine responsabilité par rapport à la
question de la terreur, je le rappelais à dessein. Il fut un temps, nous
avons inventé la terreur de masse. Il fut un temps, nous avons inventé
l’extermination des peuples
."

UMP : scission actée ?

Jean-François Copé avait exigé
la dissolution du groupe parlementaire RUMP avant 15h, mais les
fillonistes lui ont opposé une fin de non-reçevoir. Le groupe existe
donc toujours et siège pour la première fois à l'Assemblée, pour les
traditionnelles questions au gouvernement.

Quelques minutes après 15h, les proches de Jean-François Copé estiment que les négociations sont closes. Jean-François Copé a annoncé qu'il ne s'exprimerait plus sur le sujet, réservant désormais ses interventions aux affaires courantes de l'UMP.

S'ils ont refusé de dissoudre leur groupe dissident, les fillonistes du RUMP ont décidé de se rattacher financièrement à l'UMP. Les députés et sénateurs ont jusqu'à vendredi pour remplir leur
formulaire de rattachement à un parti politique. Chaque parlementaire rapporte environ 42.000 euros au
parti auquel il se rattache.

Magouille électorale

Le ministre de l'intérieur a présenté ce matin un projet
de loi relatif à l'élection des conseillers municipaux, des
délégués communautaires et des conseillers
départementaux, modifiant le
calendrier électoral.
Le conseiller territorial étant abrogé, les
projets de loi définissent un nouveau mode de scrutin pour les
conseillers généraux qui s'appelleront désormais conseillers
départementaux.

Lors du prochain renouvellement général, deux
conseillers départementaux seront élus dans chaque canton, au scrutin
majoritaire à deux tours
. Les candidats se
présenteront devant le suffrage constitués en
binôme. Chaque binôme devra être composé d'une femme et d'un homme.

Les élections des conseillers départementaux,
qui succèdent aux conseillers généraux, et les élections régionales
devaient initialement être organisées en mars 2014,
soit la même année que les élections
municipales, européennes et sénatoriales
. Le
projet de loi aménage le calendrier électoral en repoussant la tenue
des élections départementales et régionales
à 2015. Le gouvernement a trouvé cette excuse :

"Une telle concentration de
scrutins la même année aurait risqué de nuire à la
participation électorale
".

Alors que tout le monde sait que c'est la multilpication des scrutins qui nuit à la participation.

Autre magouille : le redécoupage des cantons.

"la carte cantonale de chaque département devra être modifiée afin de
permettre l’élection de deux conseillers départementaux par canton et
d’améliorer leur représentativité démographique"

… et améliorer la représentativité de la gauche.

Par ailleurs, il est fortement question
de revenir à un seuil de qualification pour le second tour de 10 % des
inscrits et non plus de 12,5 %. Devinez pourquoi.

Contraception : la gauche attaque l’autorité parentale

Suite à l'amendement au budget de la Sécurité Sociale, garantissant le secret lors de la prescription d'un contraceptif aux mineures, Christine Boutin, Présidente du Parti Chrétien-Démocrate, s’indigne contre cette « nouvelle atteinte à l’autorité parentale qui structure la famille ».

« Alors que certains prétendent revendiquer un pseudo "droit à la parentalité", personne ne s’inquiète de voir l’autorité parentale émiettée, voir niée. Elle est la condition nécessaire à la croissance, au développement et à l’épanouissement de l’enfant ».
« jusqu’où notre gouvernement poussera-t-il cette folie destructrice de la cellule de base de notre société ? Si on enlève aujourd’hui aux parents la possibilité d’avoir un regard sur des sujets aussi graves que la contraception de leurs enfants, comment garder la cohésion de cette famille déjà fragilisée par tant d’attaques ? J’affirme que les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants. Aucune loi ne peut leur reprendre ce rôle sous peine de menacer gravement le développement de nos enfants ».

Mariage : le député Poisson dénonce le faux-débat en commission

Hier à l'Assemblée, le député UMP Jean-Frédéric Poisson a interrogé le Premier ministre sur

P"l’organisation éventuelle d’un débat en profondeur sur la question du
mariage homosexuel
. […] À plusieurs reprises, monsieur le Premier ministre, et depuis plusieurs
semaines, nous vous avons interrogé sur les raisons pour lesquelles
vous refusez de donner droit à cette demande de débat
(Exclamations sur les bancs du groupe SRC), un débat réclamé par l’opinion, par l’opposition parlementaire […] et par de nombreuses associations dans l’ensemble du pays. […] À plusieurs reprises, vous avez expliqué que les raisons pour
lesquelles vous ne vouliez pas donner droit à cette demande tenaient à
ce que, de votre point de vue, le débat se déroule dans de bonnes
conditions devant le Parlement. Or je suis au regret de dire –
d’ailleurs, la presse s’en est étonné ces jours derniers – que le débat
qui se déroule en ce moment à la commission des lois n’est pas un vrai
débat
, car il n’est pas organisé de manière équitable et ne permet pas à
ceux qui sont opposés à ce projet d’avoir la parole comme ils devraient
l’avoir
. Enfin, la semaine dernière, nous avons assisté à un événement rare…[…] : c’est le fait
que le Président de la République s’est d’abord évertué à accorder aux
maires une liberté de conscience sur le mariage homosexuel […] et que le lendemain, sous la pression du militantisme des milieux gays, il a renoncé et reculé. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. – Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Le
Président de la République a accueilli cette association après une
petite protestation médiatique alors que, dans le même temps, deux cents
parlementaires lui demandaient audience pour être entendus à ce sujet
.

[…] Monsieur le Premier ministre, à l’évidence, l’ensemble des conditions
d’un déroulement normal du débat ne sont pas réunies
. C’est la raison
pour laquelle je vous demande, à nouveau, quand vous comptez organiser
devant l’opinion publique le débat que tout le monde attend sur le
mariage homosexuel. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)"

Mme Dominique Bertinotti, ministre déléguée chargée de la famille :

"Monsieur le député, assez de manÅ“uvres dilatoires ! (Protestations sur les bancs du groupe UMP.) Vous
feignez de demander un débat alors que vous ne voulez organiser qu’un
débat sur le débat : telle est votre conception du débat ! […] Le débat est là ! (Protestations sur les bancs du groupe UMP.) Il a déjà eu lieu par le biais des auditions que nous avons menées avec Christiane Taubira. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Il est là au travers des auditions organisées par la commission des
lois
, auxquelles seuls deux représentants de votre groupe assistent (Protestations sur les bancs du groupe UMP), alors que vous pourriez venir les suivre, puisque ces auditions sont publiques. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.) Lisez les journaux, regardez la télévision, le débat a lieu dans tout
le pays ! C’est vous qui ne voulez pas entrer dans le débat. Y entrer
serait aborder le fond. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)"

Evidemment, Dominique Bertinotti est bien incapable de répondre au lobbying effectué par l'Inter-LGBT jusque dans l'Elysée ni à la scandaleuse sélection de la commission des lois. Raison de plus pour venir manifester en masse le 13 janvier afin de demander le retrait de ce texte.

Le PLFSS consacre une nouvelle atteinte à la famille

L'avocat Bernard Hawadier réagit à l'amendement au Projet de Loi de Finance de la Sécurité Sociale privant les parents de leur légitime autorité à l'égard de leur fille mineure concernant la contraception :

"Qui a le pouvoir d’exercer l’autorité sur des mineurs ? Les parents
ou l’État ?
Pourquoi, parce qu’il s’agit de sexualité, faudrait-il qu’il
en soit autrement ? Où est-il écrit que la notion de libération
sexuelle doit prévaloir sur l’autorité naturelle dont les parents sont
investis par la loi que l’État est censé faire appliquer ?
On ne peut
pas être à la fois pour la famille et la détruire de l’intérieur.

Suis-je rétrograde, passéiste, dépassé ? Ce que je sais, c’est que
ces évolutions sournoises, insidieuses se font au mépris des règles les
plus élémentaires de la vie sociale
. Notre époque a besoin de cohérence,
particulièrement sur ce sujet. Parce que le sexe est le lieu de tous
les progrès, de toutes les déchéances, de tous les vices, de toutes les
violences, de tous les bonheurs, de toutes les joies. C’est par lui que
l’on transmet la vie. Le sujet est capital, au-delà de l’apprentissage
de la jouissance !

Que ceux qui appellent à des États généraux de la famille à
l’occasion du débat sur le mariage homosexuel soient écoutés et
entendus, par pitié !"

2 décembre : marché de Noël au cours Bx Jean-Paul II à Saumur

J

La France se couvre de veillées pour la vie naissante

V
Source. Retrouvez ici toutes les veillées pour la vie.

L’Appel des professionnels de l’enfance, reçu par Erwann Binet, appelle à manifester le 13 janvier

Jérôme Brunet,
Porte-parole et président
de l’Appel des professionnels de l’enfance, communique :

A"Jérôme Brunet, président de l’appel des professionnels de l’enfance, et Christian Flavigny ont été reçus mardi 27 novembre par M. Erwann Binet, rapporteur du projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples de même sexe.
Après une présentation de l’association (créée en 2004, suite au faux mariage de Bègles), Jérôme Brunet a présenté les arguments des professionnels de l’enfance qui s’opposent à ce projet de loi, défendant le point de vue de l’enfant.
Avec Christian Flavigny (psychanalyse et psychiatre à l’hôpital de la Pitié-Salpétrière, un des « parrains » de l’association), ils ont redit l’importance pour l’enfant de grandir avec des repères clairs et structurants.
La famille, les parents, la filiation, l’inscription dans une culture, font partie de ces repères importants. On peut comprendre et admettre que parfois ces repères évoluent, mais une telle loi touche à l’ensemble de ces bases qui fondent la société et la personne.
L’enfant, comme toute personne a besoin de sécurité matérielle, affective et psychique. « Dans une époque où beaucoup de liens sont remis en question, il est fondamental de préserver les repères de filiation et d’identité que sont un père et une mère, pour un enfant ; or, ce projet de loi prive délibérément l’enfant de ces repères » a rappelé Christian Flavigny.
On ne peut pas tout expliquer à un enfant. « Notre pratique de professionnels de l’enfance nous montre qu’il est faux de dire qu’il suffit d’expliquer à un enfant pour qu’il comprenne et accepte tout ! » a déclaré Jérôme Brunet.

L’association « Appel des professionnels de l’enfance », reste mobilisée contre ce projet de loi, tant que des Etats généraux n’auront pas été organisés pour qu’un débat public éclaire la décision des élus et appelle à manifester le 13 janvier 2013."

Familles de France se rallie à la manifestation du 13 janvier

Lu ici :

"Le Conseil d'administration national du Mouvement FAMILLES de FRANCE
réuni à METZ ce 25 novembre 2012, sensible aux inquiétudes des familles,
à propos du projet de loi " Mariage pour TOUS", a décidé à l'unanimité de participer, sous sa bannière, à la grande manifestation nationale le dimanche 13 JANVIER 2013.

Familles de France demande au Président de la République de
consulter le peuple par RÉFÉRENDUM sur les graves questions que pose le
projet de "mariage et adoption pour tous".

Changement dans la planification des naissances en Chine ?

La Chine pourrait autoriser les couples à avoir deux enfants, selon l'ancien responsable de la Commission de la population nationale et du planning familial.

Entrée en vigueur en 1979, la politique de l'enfant unique visait, de gré ou de force, à limiter le nombre de naissances.
Cette mesure est aujourd'hui ouvertement contestée par des chercheurs qui mettent en garde contre les futurs problèmes économiques et sociaux auxquels la Chine risque de se trouver confrontée en raison du vieillissement de sa population.

Actuellement, les couples de citadins ne sont autorisés à avoir un deuxième enfant que si les deux parents sont fils ou filles uniques.
Des commissions de réflexion et des instituts de recherche proposent de permettre aux couples d'avoir un deuxième enfant, même si l'un des parents n'est pas lui-même enfant unique.
Cette nouvelle politique, si elle recevait l'aval du gouvernement, pourrait entrer en vigueur dans un premier temps dans des régions "productives économiquement" et des régions qui ont scrupuleusement respecté la législation actuelle.

En juin dernier, un avortement forcé à 7 mois de grossesse (car la mère n'avait pas les moyens de payer l'amende exigée pour avoir enfreint la loi de l'enfant unique) avait créé un scandale médiatique, à tel point que le Parlement européen s'en était ému. L'affaire avait été révélée par un député européen slovaque.

C’est “Marine” la coupable

L’adolescente, qui a projeté sous les rails d’un train une jeune fille de 17 ans, jeudi dernier à Yerres, a été renommée Marine par Le Parisien :

"parcours chaotique et sinueux de Marine* [*Le prénom a été modifié.]"

Il ne serait pas venu à l'idée du journaliste Laurent Degradi de l'appeler Martine, Ségolène, Marie-George ou Fadela…

Obéir à sa conscience plutôt qu’au politiquement correct

D'Aymeric Pourbaix dans Famille chrétienne :

F"Quel dommage que François Hollande ait fait volte-face
en revenant sur sa proposition d’une « clause de conscience » pour les
maires
qui ne souhaitaient pas célébrer de « mariages »
homosexuels ! En se pliant au diktat de son propre parti et du lobby
gay, le président de la République nous a privés d’une belle réflexion
sur le droit à la liberté de conscience. Droit qui s’impose au-dessus des lois de la Cité, quand celles-ci déraisonnent…

Mais en admettant ainsi, avant de se rétracter, que les maires
pouvaient avoir un cas de conscience avec les « mariages » homosexuels,
le chef de l’État a situé le combat à son juste niveau. Ce qui se joue
au plan politique, et qui est nécessaire – débat parlementaire,
pétitions, manifestations –, ne doit pas faire oublier que le combat
passe avant tout par la conscience de chacun d’entre nous.

C’est là en effet, au plus intime, que
« l’homme découvre la présence d’une loi qu’il ne s’est pas donnée
lui-même, mais à laquelle il est tenu d’obéir : une loi inscrite par
Dieu au cœur de l’homme 
»
(concile Vatican II). Encore faut-il la
connaître et accepter de s’y livrer, plutôt que de se donner bonne
conscience en se pliant au politiquement correct.

C’est pour cette raison que l’Église parle et intervient dans la vie publique : pour
que les consciences puissent être éclairées
, et non pour des raisons
partisanes, de droite ou de gauche. […]"

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