« J’ai vendu l’appartement que m’a laissé ma mère pour faire mon fils. »
26 500 euros pour concevoir un enfant par GPA en Inde. C'est illégal, mais grâce à la circulaire de Mme Taubira, c'est comme si c'était légal. Personne n'est poursuivi et l'enfant devient français.
Il ne reste plus qu'à légaliser la location d'utérus et les personnes homosexuelles pourront acheter la conception d'un enfant sans se compliquer la vie à l'autre bout du monde.
L’UE propose de contrôler les médias
Lu sur Ojim :
"Un rapport intitulé Des médias libres et pluralistes pour soutenir la démocratie en Europe vient d’être rendu public. Demandé par Neelie Kroes, commissaire européenne en charge des nouvelles technologies, ce rapport demande la création d’un « conseil indépendant des médias » dans chaque pays de l’Union européenne. Ce conseil devrait « disposer
de réels pouvoirs de sanction comme le fait d’imposer des amendes,
d’ordonner la diffusion d’excuses publiques ou le retrait du statut de
journaliste ».Bien entendu, l’Union Européenne chapeauterait ces nouvelles autorités, en étant « compétente pour protéger la liberté de la presse et le pluralisme ». Ce rapport préconise également une harmonisation des règles dans ce domaine."
La tentative se voit comme le nez au milieu de la figure.
Le CESE est-il là pour servir la soupe du gouvernement ?
Jean-Louis Chaton, ancien membre du CESE, écrit dans Les 4 Vérités (tribune reprise de Nouvelles de France):
"Je me réjouis que les responsables de la
« Manif pour Tous » aient réussi à mobiliser
plus d’un million de personnes à
Paris et déjà plus de 600 000 signatures
pour une pétition. C’est un succès remarquable
dont je les félicite.
Malheureusement, mon expérience d’ancien
membre du Conseil économique, social
et environnemental (CESE), nommé en qualité
de président de la Chambre nationale
des professions libérales, me fait craindre
que l’objectif de la pétition, saisir le CESE
pour avis, ait un effet inverse de celui
recherché, du fait de la composition de ce
Conseil, dont de très nombreux membres
sont nommés par le Président de la
République ou le Premier ministre.
Je suis persuadé que le CESE donnera un
avis favorable au projet aberrant de mariage
pour tous.
Par ailleurs, les avis du CESE ne sont pris en
compte par les gouvernements que lorsqu’ils
peuvent leur servir de caution pour
faire aboutir leurs projets.
C’est ainsi que, lorsqu’Alain Juppé a décidé
de créer la CSG, il a demandé l’avis du CESE.
Sur 231 membres du CESE, nous n’avons été
que 3 à voter contre la création de la CSG :
MM. Aicardi, Casanova et moi-même.
Alain Juppé a pu ensuite déclarer que,
conformément à l’avis du CESE, il proposait
la création de la CSG.Autre exemple de l’orientation du CESE et
des votes : Jean-Louis Dumont, alors ancien
et futur député socialiste de la Meuse,
ayant déposé un avis proposant notamment
la création d’un impôt sur les terrains
à bâtir pour obliger les propriétaires à vendre,
j’ai été le seul membre du Conseil à
voter contre cet avis.
Même Pierre Poujade, le célèbre pourfendeur
de l’oppression fiscale, a voté en
faveur de ce texte préconisant la création
d’un nouvel impôt !
Pierre Poujade avait été nommé membre
du CESE, au titre des personnalités qualifiées
par François Mitterrand, pour le
remercier d’avoir appelé à voter pour lui
lors des élections présidentielles.
Lui ayant demandé comment il avait pu
voter pour la création d’un nouvel impôt,
Pierre Poujade m’a répondu ne pas avoir
pris connaissance du rapport de Jean-Louis
Dumont et qu’il donnait systématiquement
son pouvoir pour voter, en son nom, au président
de son groupe…"
Internet face à la tyrannie médiatique
Dans Les 4 Vérités, Guillaume de Thieulloy commente le dernier ouvrage de Jean-Yves Le Gallou, La Tyrannie médiatique. A lire sur notre page dédiée aux livres.
A quand une Gay Pride dans le “9-3” ?
Christophe Guilluy, géographe, déclare :
"Ce n’est pas sur cette thématique [les revendications LGBT, NDMJ], mais sur le rejet de Sarkozy que
François Hollande a rassemblé une majorité de Français. Il faut
cependant rappeler que 93 % des musulmans, qui sont massivement opposés
au mariage gay, ont voté Hollande ! Cela dit, plutôt que de battre le
pavé dans le Marais, les organisateurs de la Gay Pride feraient bien de
la délocaliser dans le « 9-3 » avec un départ à Montfermeil et le tour
de la Seine-Saint-Denis. Juste pour voir ce qu’est l’homophobie dans la
vraie vie !"
Valérie Trierweiler veut une chose et son contraire
Lors d'une visite d'un foyer pour enfants des rues
à New Delhi, Valérie Trierweiler a déclaré vouloir se concentrer sur les droits des enfants et
l'éducation. Difficile à croire pour une femme qui soutient le projet de loi Taubira et se vante d'être témoin du "mariage" de deux personnes de même sexe, dès que la loi sera adoptée.
Avant de se préoccuper d'éducation, qu'elle se contente déjà de ne pas priver les enfants du droit d'avoir un père et une mère.
Benoît XVI cherche le vrai, avec une insolence polie et naturelle
Philippe Ariño, essayiste de 32 ans, témoigne dans Famille chrétienne sur Benoît XVI :
"Benoît XVI est l’homme de ma formation philosophique et de ma pensée d’adulte. J’avais 25 ans quand il a été nommé à la tête du Vatican, mais je le connaissais d’avant, grâce aux documents de la Congrégation de la doctrine de la foi,
qui me semblaient d’une grande finesse, en particulier sur les
questions d’homosexualité. J’étais donc préparé à ne pas me laisser
influencer par les très mauvaises caricatures qu’en ont faites au départ
les mass media. Les journaux le disaient austère, rétrograde, trop âgé,
pas aussi sexy et pop que Jean-Paul II. Certains de mes proches le
méprisaient tout autant, mais sous couvert de bienveillance : “Il ne sera pas assez solide pour son époque !”, disaient-ils, défaitistes. Moi, je l’ai aimé dès le départ.
Arbitrairement. Pendant que mon entourage homosexuel ou catholique se
déchaînait contre lui, par stupeur ou ironie de le voir prêter moins
d’importance aux images qu’eux, je ne rentrais jamais dans la polémique.
Au contraire, je me taisais, dans une paix et un amusement qui devaient
désarçonner mes interlocuteurs. Je laissais entendre avec un sourire
confiant qu’ils n’arriveraient pas, malgré toute la bonne volonté du
monde, à m’offusquer de ce que “mon” Pape aurait encore sorti comme “ânerie”. Ah bon, il aurait dit ça sur le préservatif dans
l’avion vers l’Afrique ? Si ça vous chante. Je vérifierai sur internet.
Ah bon, il aurait soutenu des évêques intégristes ? Je regarderai dans
le texte (et je ne vérifiais pas toujours…). Dès qu’il s’agissait de Benoît XVI, bizarrement, sans le savoir, j’étais doux et sourd comme un pot. Benoît XVI se moque du paraître : il cherche le vrai, avec une insolence polie et naturelle. Je
l’imitais. Le contraire de mes manières de réagir : normalement, je
finis les phrases et les idées à la place de ceux qui les énoncent, je
sors les ongles et je me bats comme une hyène. Quel talent ! Il a même réussi à me faire revenir aux JMJ de Madrid. "
La CEDH confirme le droit de priver un enfant de son père ou de sa mère
La CEDH vient au secours du lobby LGBT en condamnant l'Autriche. La Cour européenne des droits de l'homme a jugé mardi
que, dans une union entre deux personnes de même sexe, un conjoint doit pouvoir adopter
l'enfant de l'autre si cette possibilité est ouverte aux couples, donnant ainsi gain de cause à 2 lesbiennes
autrichiennes.
La cour avait été saisie par deux femmes de 45 ans, ainsi que par le
fils de l'une d'elle, âgé de 17 ans. Les deux femmes s'étaient vu refuser
par la justice de leur pays le droit pour l'une d'adopter l'enfant de
l'autre. La loi
autrichienne considère qu'un enfant a forcément un père et une mère :
dès lors, une femme ne peut adopter l'enfant de sa conjointe qu'en la "remplaçant" juridiquement, et pas en étant reconnue comme deuxième mère à ses côtés. Voir l'analyse de Gregor Puppinck sur cette affaire.
Les requérantes se sont donc tournées vers les magistrats européens en
arguant qu'elles avaient été victimes d'une discrimination fondée sur
leur orientation sexuelle. Les juges de Strasbourg ont estimé que, si une différence de traitement
peut être acceptable entre couples mariés et non mariés, il ne saurait y avoir de discrimination
entre paires non mariées homosexuelles et couples non mariés
hétérosexuels. Sur le fond, la Cour juge que
"le gouvernement autrichien n'a pas
fourni de preuve établissant qu'il serait préjudiciable pour un enfant
d'être élevé par un couple homosexuel ou d'avoir légalement deux mères
ou deux pères".
Sic.
Arthur se délocalise au Luxembourg
L'animateur producteur de TF1 Arthur a récemment transféré le siège social de sa société du VIIIe arrondissement de Paris vers le Grand-Duché. Créée en 2006, après la revente de ses parts dans Endemol France, AWPG est dotée d'un capital de 52 M€.
Après les démarches de Bernard Arnault, à la tête de LVMH, pour obtenir la nationalité belge, de l'installation de l'opticien Alain Affelou à Londres, du déménagement fracassant de Gérard Depardieu vers la commune belge de Néchin ou encore des projets de Jean-Michel Jarre outre-Manche, c'est au tour du transfert des activités d'Arthur. Le transfert du siège social vers le Luxembourg a été acté lors d'une assemblée générale extraordinaire d'AWPG le 28 décembre 2012. L'entreprise française a alors été fermée et une société du même nom a été ouverte au Luxembourg. Cette nouvelle société a ensuite créé une succursale implantée en France.
Si ses activités hexagonales restent soumises à l'impôt français, le statut de holding luxembourgeoise lui permet de réduire son imposition globale : le taux d'imposition des sociétés au Luxembourg est de 28,8% (contre 33,3% en France). Et les filiales – dont la succursale française – peuvent faire remonter leurs profits vers la société mère basée au Luxembourg, sans ponction du fisc français.
Oecuménisme en Egypte face aux persécutions
Lu sur le blog d'Yves Daoudal :
"Les chefs des cinq confessions
chrétiennes présentes en Egypte se sont réunis hier au centre culturel
de la cathédrale copte « orthodoxe » du Caire pour signer les statuts du
« Conseil uni des Eglises égyptiennes ».« Le nouvel organisme – explique à
l’Agence Fides Mgr Kiryllos William, évêque copte catholique d’Assiout –
servira à avancer ensemble sur le chemin de l’œcuménisme et à exprimer
une position commune en ce qui concerne le dialogue et la coexistence
avec les non-chrétiens. Il aura certainement l’occasion de promouvoir
des initiatives communes sur les plans social et culturel. »Mgr Kyrillos précise que le nouveau
patriarche « Tawadros II a apporté son plein appui afin de parvenir
rapidement à l’inauguration de ce nouvel organisme dont l’institution
avait été déjà mise en chantier avant son élection ».Le Conseil aura une présidence tournante. Le premier président est naturellement le patriarche Tawadros."
Mariage vs Allocations : le chantage de Christine Boutin
Christine Boutin écrit dans un communiqué:
« Sous prétexte d’économie, le Gouvernement envisage de réformer le système des allocations familiales en fiscalisant certaines prestations.
La politique familiale propre à la France est depuis plus d’un demi-siècle un exemple en Europe et dans le monde entier. La fiscalisation des prestations familiales est un nouveau coup de poignard porté aux familles.
En période de rigueur économique pour notre pays, et dans un souci de responsabilité, cette hypothèse pourrait être étudiée sous certaines conditions et de façon temporaire.
Je constate que le projet de loi sur le mariage et l’adoption pour tous n’étant pas une priorité pour notre pays et n’ayant, en l’état, aucune incidence financière, son retrait est donc possible.
En cas de maintien du projet de loi, on se poserait la question de la cohérence du Gouvernement puisque ledit projet entrainera des dépenses supplémentaires importantes à l’Etat.
Je demande donc au Gouvernement de retirer ce projet de loi de mariage et d’adoption pour tous comme préalable à l’examen de la remise en cause du principe d’universalité des allocations familiales ».
Le soutien aux familles est justifiée par la vitalité démographique et la solidarité entre les générations
Florian Philippot, vice-président du Front National, s'indigne de la fiscalisation des allocations familiales :
"La fiscalisation des allocations familiales est inadmissible, elle
serait un très mauvais coup porté aux familles. Pour être rémunératrice,
elle ne toucherait évidemment pas seulement les plus riches d’entre
elles mais bien l’ensemble des classes moyennes déjà accablées d’impôts
et de taxes. […] Le soutien aux familles et des pensions dignes pour nos anciens sont
au contraire une dépense publique justifiée par la nécessaire vitalité
démographique et la solidarité entre les générations."
Deux cimetières vandalisés dans le Vaucluse
Une cinquantaine de plaques funéraires ont été vandalisées dans la
nuit de dimanche à lundi dans le cimetière de Valréas et des
inscriptions en laiton ont été arrachées sur une douzaine de tombes à
Courthézon.
Des plaques funéraires ont été
arrachées de leur socle et des vases cassés.
Libération défend les Femen
Au travers d'une tribune anticléricale signée par Annie Sugier et Linda Weil-Curiel, présidente et secrétaire générale de la Ligue du droit international des femmes,
et Anne-Marie Lizin, présidente honoraire du Sénat belge, et coordonatrice du Réseau Hocrint contre les crimes d’honneur.
Contre l'Eglise, tout est donc permis. Dans leur délire, ces femmes inventent des "commandos pro-vie qui continuent à menacer le fonctionnement des unités hospitalières IVG" en France. Comment être pris au sérieux après une telle affirmation délirante ?
Assassinat et lapidation entre personnes homosexuelles
Lu dans Le Dauphiné :
"Le procès de Ludovic Serra, 42 ans, (en chemise à droite) et Eric
Meynier, 30 ans, a débuté aujourd hui devant la cour d'assises de
l’Héraut à Montpellier. Les deux amants vauclusiens sont soupçonnés
d'avoir prémédité la mort d’un jeune homosexuel dans l’Héraut en 2009.
Et d'avoir tenté d'éliminer un autre homme en 2003 en le lapidant sur
l’ile de la Barthelasse, près du barrage de Sauveterre (Gard).Le plus âgé des deux accusés nie tous les faits. Le plus jeune reconnait
avoir participé à l'enlèvement des deux hommes. Mais il conteste avoir
étranglé la victime héraultaise. On apprend qu'à l'issue de la première journée de procès, les deux hommes ont reconnu les faits qui leur étaient reprochés."
L’administration française bat des records
A elle seule, l'action des élus locaux est
encadrée par la somme de 400 000 textes réglementaires et
circulaires ! Des textes dont une bonne partie s'applique aux entreprises travaillant avec les collectivités locales. Et
le flux ne fait que croître. Le classement 2012-2013 du World Economic Forum place la France au… 126e rang sur 144 pays en matière de complexité administrative.
Président du
directoire de RTE, la filiale d'EDF
responsable du réseau de transport de l'électricité, Dominique Maillard
constate qu'il faut 6,5 ans en moyenne de procédures en
France avant de pouvoir débuter la construction d'une ligne à haute
tension, contre 3 ans en Autriche ou 2,5 ans au Danemark.
Cette
lourdeur a un coût. Ainsi, la réglementation concernant les handicapés
implique 20 milliards d'euros de travaux pour mettre à niveau avant le
1er janvier 2015 les 332000 établissements recevant du public gérés par
les collectivités locales et l'Etat.
Les journalistes dissidents
Lu sur l'Ojim :
"Au début des années 90 du siècle précédent, alors que le mur
soviétique finissait de s’effondrer, un autre achevait de barricader la
nouvelle doxa à l’encontre de tous ceux qui auraient prétendu la
remettre en cause. Était-ce la conséquence de la victoire occidentale
par forfait du camp adverse ? En tout cas, on baignait dans une
atmosphère de fin de l’Histoire, la dialectique idéologique semblait
désormais devoir appartenir à une ère révolue, et un consensus se
mettait en place, propre à bétonner tout débat, que certains finirent
par nommer « Pensée Unique » ou « Politiquement correct », une fois
qu’il apparut que les parpaings solidement encastrés étaient également
recouverts de verre pilé. Cependant, la décennie suivante allait peu à
peu voir grossir une vaguelette, quoique sécrétée au compte-goutte, de
journalistes critiques tentant d’éclabousser le mur de la rectitude
morale officielle. À peine une poignée, ils feront pourtant tellement
tâche dans le paysage monochrome du discours médiatique, qu’on ne
parlera bientôt plus que d’eux, jusqu’à donner l’impression d’une grande
déferlante réactionnaire s’abattant sur la muraille du Progrès. Qu’en
est-il réellement ? […]Tout d’abord, l’ancrage. Quelle est la situation professionnelle
réelle de nos protagonistes ? Philippe Cohen, nous venons de le voir, a démissionné de la revue Marianne dont il avait été plus de dix ans plus tôt, l’un des membres fondateurs. Robert Ménard a été débarqué d’i>Télé en juillet 2012 où il animait une émission quotidienne, « Ménard sans interdit », après avoir été déjà évincé de la station RTL l’année précédente. Il s’est depuis « replié » sur Internet en lançant le site d’information Boulevard Voltaire. Si Éric Brunet conserve sa quotidienne sur RMC, il ne semble pas dépasser le statut de « quota droitier ». Quant à Ivan Rioufol, hormis son « Bloc-notes » au Figaro, il n’est jamais qu’un invité récurrent des talk-shows, de la même manière qu’Élisabeth Lévy,
laquelle n’a plus comme il y a quelques années chez Franz-Olivier
Giesbert, un fauteuil de chroniqueuse télé, et se concentre sur le
développement de sa revue Causeur, qui devrait atteindre les kiosques en avril 2013. Enfin, Éric Zemmour, le plus emblématique de tous, s’est fait évincer d’« On n’est pas couché » en
pleine gloire et s’il a relancé une émission avec son compère Éric
Naulleau (« Zemmour et Naulleau »), ce n’est plus que sur le câble qu’il
apparaît, demeurant également chroniqueur sur i>Télé (« Ça se dispute »), quand ses chroniques quotidiennes sur RTL
ont été réduites au rythme de deux par semaine. Par conséquent, l’idée
d’une invasion des médias par les néo-réacs, telle qu’elle est véhiculée
par des journalistes disposant quant à eux de postes clés dans les
chaînes de télévision ou de radio publiques paraît totalement
disproportionnée, si ce n’est délirante, ou encore relevant du pur
fantasme ou bien, peut-être, d’un simple « sentiment d’insécurité » que
ceux-ci éprouveraient sur le plan professionnel. […]"