Se dépêcher de mourir
Au Japon, le vieillissement de la population provoque des problèmes financiers que certains pensent résoudre avec la culture de mort.
L’assassinat du ministre Robert Boulin en téléfilm
Minute salue la sortie du téléfilm « Crime d’Etat » mardi 29 janvier à 20h45 sur France 3
:
"Pour la première fois sur le service
public, il sera dit, et montré, que le ministre de Giscard,
officiellement suicidé, a été tué. Tué par des hommes du SAC, les « gros
bras » du RPR alors dirigé par Jacques Chirac !
Le mardi 30 octobre 1979, Ã 8h30, le corps de Robert Boulin, ministre
du Travail dans le gouvernement Barre et maire de Libourne, est
retrouvé dans un étang de la forêt de Rambouillet, noyé dans … 50
centimètres d’eau. La version officielle va soutenir que le ministre
s’est suicidé.Malgré de multiples enquêtes, dont celles de Minute (numéro spécial : « Le Faux suicide était un vrai meurtre »), la justice n’a jamais voulu rouvrir l’instruction de ce dossier si sensible."
En minorité à l’UMP, Benoist Apparu rejoint les idées du PS
Le député UMP de la Marne, Benoist Apparu, ancien ministre du Logement de 2009 à 2012, proche d'Alain Juppé, a décidé de voter en faveur du projet de loi dénaturant le mariage :
"La première raison – la plus importante à mes yeux – c’est la reconnaissance de l’amour homosexuel. L’amour entre deux personnes de même sexe existe et il est tout aussi légitime que l’amour hétérosexuel. Lui donner un cadre social et culturel me paraît une nécessité. C’est la raison pour laquelle je suis favorable au texte, même si j’aurais préféré sur ce point une union civile."
Un argument qui ne tient pas debout : on peut aimer sa soeur, son frère, son cousin, 3 femmes ou/et 4 hommes…
Autre contradiction :
"la procréation médicalement assistée (PMA) et la gestation pour autrui
(GPA) sont pour moi inacceptables. L’adoption, c’est donner un cadre Ã
des enfants qui existent déjà . La PMA, c’est créer un droit à l’enfant,
et ça, j’y suis totalement opposé."
Cela ne tient pas la route : devant la CEDH, les homosexuels "mariés" obtiendront le droit à la PMA sans aucun problème. Quant à la GPA, ce n'est que la suite logique des hommes qui se verront discriminés.
Au sein de l'UMP, Benoist Apparu soutient la motion "La Boîte à idées", qui n'a recueilli que 9,2% des voix (à moins de 10%, la motion n'est pas reconnue).
Élevé par deux lesbiennes, il demande à rencontrer Najat Vallaud-Belkacem
Un internaute nord-américain met en cause le sérieux et la neutralité des études citées par Najat Vallaud-Belkacem à l’appui de l’« homoparentalité » ou de l’« homoéducation » sur le plateau de « Mots croisés » le 14 janvier. Il témoigne de la difficulté d’être élevé par deux lesbiennes, comme il le fut entre deux ans et dix-neuf ans.
Bertrand Delanoë refuse l’offre qui lui est faite pour sa pelouse
Un jeune paysagiste mosellan a proposé de restaurer, à ses frais, la pelouse du Champ-de-Mars. Il s'est fait éconduire par la socialiste Anne Hidalgo («Je ne suis pas sûre que ce soit fait aussi bien»).
Samuel Bingelmann interroge :
«Comment peut-elle juger la qualité du travail de mes salariés ? Les jardiniers de la Ville de Paris sont sûrement excellents, mais mes huit employés connaissent eux aussi parfaitement leur métier. Ils étaient totalement d'accord avec mon idée d'aider le collectif, et se faisaient une joie d'aller travailler sous la tour Eiffel. Je comprends bien que la mairie de Paris ne veuille pas me confier ces travaux, après tout c'est son droit, mais cela ne l'autorise pas à humilier mes employés. Je souhaiterais qu'elle leur présente ses excuses».
«Que les socialistes ne soient pas capables de soutenir les chefs d'entreprises, nous l'avions très bien compris ! Mais on espérait au moins qu'ils allaient redynamiser le marché du travail… Or que voit-on? Qu'ils ne nous donnent pas les bons outils pour sécuriser l'emploi et nous développer, et qu'ils n'hésitent pas à tenir des propos méprisants sur des entreprises françaises!»
220 ans après, la mémoire de Louis XVI ne s’estompe pas
France 3 a réalisé un reportage sur la messe célébrée hier par le père Jérôme Billioud en l’église Saint-Denis,
à Lyon :
A Toulon, Mgr Rey a célébré lui-même la messe de requiem.
Allô Vincent Peillon ? La Ligue de l’enseignement bafoue la neutralité
La Ligue de l'enseignement appelle à manifester avec les militants LGBT en faveur de la dénaturation du mariage.
Une loi anticonversion inefficace
Lu sur le blog d'Yves Daoudal :
"En 1979 il n’y avait aucun chrétien
dans l’Arunachal Pradesh, l’Etat qui est à l’extrême nord-est de l’Inde,
frontalier de la Chine et de la Birmanie. Aujourd’hui il y a 20% de
catholiques (et 10 à 15% de protestants), malgré la loi anticonversion
entrée en vigueur en 1978. En 2005, Jean-Paul II y a érigé deux évêchés.
Eglises d’Asie publie une interview de deux évêques qui racontent les débuts et la croissance de l’Eglise dans cet Etat.On notera que les catholiques de
l'Arunachal Pradesh vénèrent deux missionnaires martyrs… français : les
PP. Nicolas Krick et Augustin Bourry, qui étaient en route pour le Tibet
en 1854, et qui furent massacrés dans l'Arunachal Pradesh, juste avant
d’y arriver. Ils n’ont pas prêché une seule fois dans cet Etat, mais le
sang des martyrs est semence de chrétiens…"
Un célibataire sans enfant se fait militant LGBT
Karl Lagerfeld se joint à la cohorte bobo pour la dénaturation du mariage.
“La confusion des langues, c’est la tour de Babel”
Mgr Gardès, archevêque d'Auch, est interrogé dans La Dépêche. Extraits :
"C'est par respect de la tradition que vous êtes contre le mariage pour tous ?
Vous parlez de mariage pour tous, mais moi je n'ai pas envie de me
marier. Il faut dire le mariage possible pour tous (son sourire
s'élargit). Gardons un peu d'humour. La constitution dit que la langue
que nous parlons est le français. La confusion des langues, c'est la
tour de Babel. Dans le dictionnaire, il est dit que le mariage est
l'union d'un homme et d'une femme.Ce n'est qu'un problème de définition pour vous ?
Non bien sûr. Je me situe au niveau de l'anthropologie fondamentale,
comme Élisabeth Guigou qui, dans un discours sur le Pacs, le 3 novembre
1998, parlait d'une différenciation sexuée des hommes et des femmes à la
naissance. […]Les prêtres gersois ont appelé à manifester le 13 janvier 2013 à Paris ?
J'ai envoyé un mot à tous les curés pour que l'information soit communiquée. […]
Et si la loi passe ?
Il n'y aura pas de sacrement du mariage à l'église. […]"
Terrorisme intellectuel d’Act Up contre l’Elysée
Le lobby groupusculaire connu pour ses violences estime que recevoir les personnes qui ont organisé une manifestation ayant rassemblé 1 million de personnes est antidémocratique. Vous pouvez utilisez les coordonnées indiquées par Act Up pour envoyer un tout autre message.
Faut-il réclamer un référendum ?
De Jeanne Smits dans Présent :
"[…] Sur le fond, il est juste de dire qu’une question comme celle de la
définition du mariage – comme la valeur du nombre pi, qui en d’autres
temps fut fixée à 3 pour la facilité du calcul par un Etat américain ! –
ne relève pas du vote majoritaire. C’est une réalité, en même temps
qu’une question morale qui transcende les opinions.Le problème est que nous sommes en démocratie… totalitaire (voir
ci-dessus l’article de Jean Madiran). Et que ce régime affirme ne
reconnaître que la loi du nombre, que ce soit au Parlement, où la
question du faux mariage sera soumise au vote et où elle va être adoptée
par les élus socialistes majoritaires, ou par la voie référendaire.
D’où cette proposition de laisser le peuple parler, avec l’expérience
d’autres pays et Etats comme la Californie qui, elle, a réussi à faire
abroger le « mariage » homosexuel au bout de quelques mois par voie
référendaire.
Peut-on, doit-on se saisir de la possibilité de demander un
référendum pour bloquer l’adoption quasi certaine de cette loi ? En
d’autres termes, a-t-on le droit de réclamer un référendum sur une
question qui ne se discute pas, et est-ce tactiquement une bonne
solution ? L’abbé de Tanoüarn, sur son blog, répond « non » […] Sa réponse est de principe et de circonstance. Mais c’est en
considération du contexte qu’il conclut, parce que le « quatrième
pouvoir », celui de l’information, faussera le jeu. « Non », parce que
le contexte médiatique fait que l’on n’est pas sûr de la victoire.Ne pas réclamer un référendum parce que ce serait donner prise Ã
l’idée que nous avons le pouvoir d’appeler blanc ce qui est noir, bien
ce qui est mal, et en même temps donner de la valeur à l’expression de
ceux qui le feraient, voilà qui se comprend. Mais si le référendum était
finalement organisé, comment se dérober en ne votant pas ? Car il nous
est demandé de dire la vérité, à temps et à contretemps.En attendant, il y a l’autre manif, l’autre référendum. Sous
le patronage du cardinal Barbarin, de Mgr Rey, Mgr Centène et
Mgr Cattenoz, à l’appel de nombreux pères abbés et responsables de
communautés religieuses, une journée de prière et de jeûne aura lieu le
vendredi 25 janvier. Il faut s’inscrire à www.tousenpriere.com pour cette mobilisation invisible, derrière la Vierge Marie qui est « forte comme une armée rangée en bataille ». […] La solution est entre nos mains : avec un bulletin de vote
peut-être, s’il le faut, mais pas sans la prière et cette arme qui a eu
raison de toutes sortes d’ennemis de Dieu, du bien : le chapelet."
Encore une soutane à La Procure
Après le père Michel-Marie Zanotti-Sorkine, c'est au tour de l'abbé Guillaume de Tanoüarn d'aller signer son dernier ouvrage dans la librairie catholique parienne près de St Sulpice.
De 18H00 à 19H00, le 24 janvier 2013, l'abbé Guillaume de Tanoüarn parlera de son livre "Parier avec Pascal"
paru aux éditions de Cerf. L’entrée est libre et sans inscription
préalable (3, rue de Mézières – 75006
PARIS – Métro St Sulpice).
Comptage des manifestations : l’avis d’un vrai spécialiste
Le gréviculteur Bernard Thibaud déclarait au journal Métro en septembre 2010 :
"Il y a énormément de différence entre les comptages du gouvernement et ceux des syndicats. Comment l'expliquez-vous ?
Je suis convaincu que le gouvernement a le comptage exact des
manifestants. Le gouvernement minimise les chiffres par sa communication
politique. J'ai une solution simple pour résoudre ce problème : il
suffit de laisser les grands médias français survoler et filmer les
manifestations, comme cela se fait à l'étranger. Cela donnera
instantanément une idée de l'ampleur de la mobilisation à tous les
téléspectateurs."
Un peu de vocabulaire : inversion, inverti
Lu sur les 4 vérités :
"Un lecteur me faisait récemment le reproche d’utiliser le vocable « inverti » pour qualifier le « mariage » homosexuel, en y voyant une marque de mépris à l’égard des personnes concernées, ce que je récuse.
Le dictionnaire donne, du mot « inverti », la définition : « Homosexuel ». Il indique, au verbe « inverser » : « Renverser la direction, la position relative de… » ; quant à l’« inversion », il s’agit de l’« action d’inverser, fait de s’inverser », ou encore, en linguistique, de la « Construction par laquelle on donne aux mots un ordre autre que l’ordre normal ou habituel. »
Je ne vois là aucun mépris, mais la constatation d’un fait :
l’homosexualité procède par rapport à « l’hétérosexualité » d’une
inversion du choix, qui se porte sur un semblable, homme ou femme,
plutôt que sur le différent.Sous ma plume, d’ailleurs, le mot « inverti » ne qualifiait pas les personnes, mais le mariage : il s’agit donc d’une inversion du sens de cette institution et des valeurs qui lui sont attachées.
Le mariage unit un homme et une femme qui s’aiment, mais il ne célèbre
pas seulement la reconnaissance de leur amour, il ouvre aussi sur
l’engendrement et la filiation, comme le montre le livret de mariage
délivré aux nouveaux conjoints : après les rubriques consacrées Ã
l’époux et à l’épouse, suivent celles prévues pour les enfants. […]Revenons à nos invertis. Ce qui dérange, au fond, dans ce
terme, c’est qu’il gomme tous les efforts déployés par le lobby homo,
depuis plus de 30 ans, pour abattre les notions de norme et de
normalité. En effet, l’inversion suggère l’existence d’un état
antérieur qui sert de repère et désigne la norme. Or, le lobby nie
l’existence de cette norme : c’est à cette négation que tendent
l’équivalence entre les notions d’ « homosexualité » et
d’ « hétérosexualité » (un terme nouveau venu dans le paysage
linguistique), l’inscription de l’idéologie du genre au programme des
écoles, et aujourd’hui le projet de légalisation du « mariage »
homosexuel– que je persisterai donc à appeler « mariage inverti »,
non par mépris des personnes, mais par souci de rappeler qu’il existe
une norme, Ã la fois au regard de notre civilisation et de la pratique
majoritaire parmi nos concitoyens. Et qu’on le veuille ou pas, le
« mariage » homosexuel est bien une inversion de cette norme."
Mariage : si la loi passe un maire menace de démissionner
François Dihé, maire de Saint-Fort-sur-le-Né, en Grande-Champagne, a déclaré lors de ses voeux :
"Sachez que si cette loi était votée, je laisse la responsabilité de
l'officialisation de l'union de deux personnes de même sexe à un de mes
adjoints, et si aucun n'accepte cette tâche, je démissionnerai de mes
fonctions de maire."« Dimanche dernier, je
suis allé manifester à Paris contre le mariage pour tous et pour la
tenue d'états généraux de la famille. Je suis un fervent partisan de la
parité et j'apprécie les efforts de tous pour atteindre le maximum de
parité homme-femme à tous les niveaux : politique, économique ou social.
La cellule politique, économique et sociale la plus répandue est depuis
toujours la famille et aujourd'hui, sous l'influence de groupes de
pression, notre gouvernement veut légiférer pour permettre une exception
de la parité homme-femme dans la famille. Allez comprendre cette
contradiction ».
Dénaturation du mariage : Barack Obama tente d’influencer les juges de la Cour Suprême
Dans son discours d'investiture, Barack Obama a servi la soupe au lobby LGBT, aux côtés
des juges de la Cour suprême où se tiendra dans deux mois le débat
historique sur la dénaturation du mariage :
«Notre voyage ne sera pas terminé
tant que nos frères et soeurs homosexuels ne seront pas traités comme
tout le monde par la loi».
Or, ils sont déjà traités comme toute personne par la loi. Mais ils réclament des droits liés à leurs choix sexuels, ce que la loi ne prévoit pas.
Les neuf juges de la Cour Suprême rendront fin juin leur décision historique sur l’interdiction de
l’union des personnes de même sexe en Californie et sur la
constitutionnalité de la loi fédérale sur le mariage.