La crise actuelle sur les prédateurs sexuels dans l'Eglise est si manifestement une crise du lobby gay dans l'Eglise que les activistes LGBT commencent à craindre que l'enseignement traditionnel de l'Eglise ne soit de nouveau présenté dans toute sa clarté et ne triomphe, non seulement dans l'Eglise, mais aussi en dehors.
Aux abois, ils accusent désormais le Pape d'"homophobie", après avoir tenté d'en faire le Pape le plus "gay friendly" de l'histoire…
En effet, hier dans l'avion de retour d'Irlande, le pape a été questionné sur les conseils qu’il donnerait à des parents dont l’enfant exprimerait des "penchants" homosexuels. Le journaliste espérait sans doute une réponse laconique et ambiguë, telle que "Qui suis-je pour juger ?" Si le pape recommande de ne pas rejeter l'enfant, il invite pourtant à consulter des médecins :
"Quand cela se manifeste dès l'enfance, il y a beaucoup de choses à faire par la psychiatrie, pour voir comment sont les choses. C'est autre chose quand cela se manifeste après vingt ans".
Et là, le lobby LGBT se déchaîne.
Rappelons le Catéchisme de l'Eglise Catholique sur ce sujet :
"la Tradition a toujours déclaré que " les actes d’homosexualité sont intrinsèquement désordonnés " (CDF, décl. " Persona humana " 8). Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l’acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d’une complémentarité affective et sexuelle véritable. Ils ne sauraient recevoir d’approbation en aucun cas."