Selon le secrétaire général de l'ONU, qui par sa déclaration irresponsable, ne fait qu'encourager les viols :
"Le Secrétaire général de l’Onu vient de déclarer aux Etats qu’ils devaient assurer l’accès à l’avortement aux femmes victimes de viol vivant dans les camps de réfugiés de Syrie, d’Iraq, et du Soudan, alors que le Conseil de Sécurité avait rejeté cette idée à plusieurs reprises. […]
Les propos du Secrétaire général anime les conflits actuels entre les Etats membres sur la meilleure manière de mettre fin aux viols et à la violence sexuelle en zone de conflit. Comme au Conseil, les initiatives politiques les plus importantes des dernières années cherchent à mettre fin à l’impunité et à obtenir des réparations pour les victimes de violence. Toutes ces initiatives ont exclu l’avortement. Cependant, le personnel de l’Onu a continué à promouvoir son agenda féministe, qui voit dans la destruction des relations sociales traditionnelles et dans le droit à l’avortement les étapes nécessaires vers la fin de la discrimination et de la violence. […]
Le rapport affirme que le Fonds de l’Onu pour la Population était présent dans 28 zones de conflit l’année dernière, et avait fourni « des services de santé sexuelle et reproductive » à 67 000 femmes syriennes réfugiées en Jordanie. Si le rapport ne précise pas quels services ont été fournis, nous savons que le Fonds de l’Onu pour la Population a fourni des produits et services abortifs par le passé. […]"