Partager cet article

France : Politique en France / Médias : Désinformation

Journalistes et politiques, copains comme cochons

Journalistes et politiques, copains comme cochons

Lu sur Marianne :

A l’occasion d’une fête organisée pour les 70 ans du Journal du dimanche ce mardi 27 novembre, dans le 8e arrondissement de Paris, les patrons du journal ont pu trinquer joyeusement avec un joli monde issu des cercles du pouvoir… Selon nos informations, y ont ainsi été vus, pêle-mêle, l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy mais aussi l’actuel ministre du Budget Gérald Darmanin, le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand, ainsi qu’un certain… Alexandre Benalla !

Que faisait le paria de la Macronie au milieu de cette soirée, en compagnie de quelques uns des plus hauts personnages de l’Etat ? Au Monde, qui révèle également l’information, un membre du groupe Lagardère rapporte : “On nous a expliqué qu’il dînait ce soir-là à l’étage, par hasard”. Un autre, qui se dit “effaré” par ce qu’il a vu dans cette soirée, confie à Marianne que cet heureux “hasard” a été mis à profit, Alexandre Benalla ayant discuté “longuement” avec Richard Ferrand.

Outre les premiers de cordée de la Macronie, ont aussi été vus à la soirée Arnaud Montebourg, ancien ministre socialiste de François Hollande, François Baroin ou encore la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse.

Hors politiques, un nom moins connu du grand public mais tout aussi intéressant figurait parmi les invités : Marc Francelet. Souvenez-vous, nous vous en parlions cet été lors de l’éclatement de l’affaire Benalla : ce lobbyiste à la réputation sulfureuse avait participé au plan com’ très bien huilé d’Alexandre Benalla. Contacté par Marianne, il confirme sa venue à la soirée mais assure que ce n’est pas lui qui a fait venir son ancien protégé : “Je suis venu avec Laurence Piau, directrice de la rédaction de ‘Closer’. Alexandre Benalla, je l’ai croisé dans l’escalier alors que je partais”, affirme-t-il.

Dans une période de défiance de l’opinion vis-à-vis de la presse, le gâteau d’Hervé Gattegno, directeur de la rédaction du JDD, a un petit goût étrange de mélange des genres…

Benalla était là par hasard… Ils nous prennent vraiment pour des jambons.

Partager cet article

3 commentaires

  1. L’avantage des mensonges, c’est que plus c’est gros, plus ça passe…
    Benalla est censé être sorti des cercles supérieurs du pouvoir. Heureusement que le hasard est là pour l’aider à survivre !
    Continue-t-il à apporter son assistance à certaines hautes personnalités ?
    Comme je l’ai évoqué par ailleurs, est-ce lui qui à rameuter des activistes de l’ultragauche sur les Champs-Elysées samedi dernier, afin de permettre à Pokerstar de dénoncer d’emblée les “seditieux d’extrême droite aux ordres de Marine Le Pen ?
    Ce qui lui vaudrait une médaille des combattants volontaires de la Résistance avec agrafe “Nazisme”…

  2. les journalopes les politilopes et toute la clique des ripoublicains de pacotille se gamberge en se moquant du peuple, qu’ils en profitent ça pourrait ne pas durer

  3. Le sociologue Pierre Bourdieu, pour décrire cette mafia communautaire de gangsters républicains débauchés, parlait de ‘NOBLESSE D’ÉTAT’.

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services