Viviane Lambert a écrit à François Hollande :
«La vie de mon fils est devenue une affaire judiciaire et médiatique qui a tout suspendu, mais on ne suspend pas, monsieur le président, un minimum d'humanité».
Depuis novembre 2012, son fils «est emprisonné derrière une porte de chambre d'hôpital fermée à clé» au CHU de Reims et qu'on lui
«refuse les soins de base, et notamment les séances de kiné et un fauteuil adapté pour lui permettre de sortir de son lit».