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Culture de mort : Avortement

L’avortement de “confort” existe réellement

Et c'est une féministe qui le reconnait à travers sa propre expérience :

"Féministe, cette femme décide d'avorter parce qu'elle attend un garçon… Récit d'une histoire révoltante. 

Féministe dans l'âme, une blogueuse britannique, connue sous le nom de Lena, milite pour le droits des femmes. Jusque là, rien d'extraordinaire. Mais dans un billet publié sur le blog injusticestory.com, elle nous raconte son avortement et les raisons de celui-ci.

En 2012, Lena apprend qu'elle attend un bébé. Quel bonheur, elle rêve d'une petite fille ! Mais sa joie sera de courte durée. En effet, lorsqu'elle se rend à l'échographie, c'est le drame : elle est enceinte d'un garçon ! (…) "Je me suis réfugiée chez moi, un endroit qui me semblait inconnu et qui ne faisait que m'abriter". Après trois jours de calvaire, son choix est fait : elle veut avorter. Pour cela, elle se rend à la clinique. "Je me sentais forte, je faisais quelque chose de positif, quelque chose qui pourrait réellement faire la différence, quelque chose de bon", écrit-elle avant de lâcher cette terrible phrase : "Je ne voulais pas amener un autre monstre sur terre"."

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19 commentaires

  1. Un homosexuel souffre d’une maladie ! Il a comme une haine de l’autre sexe. Certains n’arrivent même pas à regarder dans les yeux “l’autre”.
    Il n’est donc pas étonnant à ce que cette femme ait décidé de tuer ce petit car masculin !
    Cela dit, cette “maladie” qui se guérit par l’abstinence, est due principalement à des causes liées à l’enfance. Ainsi, si la personne est rarement responsable de son état, elle se doit tout de même d’essayer de se guérir. Malheureusement l’apprentissage de la sexualité se fait avant l’âge adulte. Un adulte peut donc rarement changer ses penchants sexuels. Il est souvent condamné, de même que l’ivrogne ou le drogué, à tout faire pour s’éloigner le plus possible des tentations.

  2. Ce n’est pas du confort…
    Le confort, même si c’est un motif honteux et injustifiable, est néanmoins un motif.
    Même si c’est horrible, la nature humaine étant ce qu’elle est, on peut imaginer une femme pour qui s’occuper d’un enfant est une gêne.
    Et, l’époque étant ce qu’elle est, personne ne doute que l’avortement de confort existe réellement.
    Mais là il n’y a aucun motif.
    Il faudrait plutôt appeler ça l’avortement de caprice.

  3. Cette femme a du souffrir pour en arriver à hair ainsi les hommes…. Le manque d amour appelle le manque d amour malheureusement et cette mère a tué son enfant par haine des hommes apparemment.
    C est bien triste. Mais cela ne semble pas vraiment un “confort” pour moi. En revanche, des femmes qui avortent pour partir aux sports d hiver, station chic réservée depuis longtemps etc, ça arrive aussi. La, ce sont des avortements de confort.

  4. Je qualifierais cet avortement d’idéologue.

  5. la lecture du texte intégral de la lettre et de la réponse aux premiers commentaires, et surtout les commentaires à ces deux textes, est intéressante (en anglais, bien sûr)
    Elle clame : mon corps, mon choix.
    Je ne serais d’accord avec cela, que si le corps de son enfant n’entrait pas en ligne de compte.
    Mais il ne s’agit pas de son corps, à aucun moment. Elle était heureuse d’être enceinte, tant qu’elle pensait qu’elle allait avoir une fille. Ce qui se passait en son corps lui semblait très bien !
    Je pense sincèrement qu’il s’agit, plus que tout autre avortement même, d’un meurtre, lié à une psychopathie, une haine des hommes, et qu’elle devrait se faire soigner. Et interner. Et qu’on lui retire la garde de la fille qu’elle a eu depuis. Cette histoire montre sans ambiguïté qu’elle n’est pas capable d’élever un enfant de manière équilibrée.

  6. Il ne s’agit pas ici de “confort”, le problème de cette femme n’est pas une grossesse qui arrive au mauvais moment, mais le fait que l’enfant est un garçon, ici le féminisme tourne à l'”androphobie”, les mâles étant des monstres selon cette dame, qu’il faut éliminer par des avortements sélectifs.
    @ Anne
    Je ne vois pas le rapport ici avec l’homosexualité.
    Par ailleurs, sauf exceptions, il ne semble pas que l’homosexualité soit lié à une haine envers l’autre sexe, ainsi certains homosexuels masculins se sentent à l’aise dans un milieu féminin ; de même les hétérosexuels ne haïssent pas pour autant les personnes du même sexe.
    Si l’orientation sexuelle vient souvent précocement, il arrive que certains en changent, dans un sens ou dans l’autre, à l’âge adulte, ou que des hétérosexuels deviennent bisexuels.
    Enfin l’homosexualité étant une attirance avant d’être une pratique, je doute fort que l’abstinence suffise à en “guérir”, s’abstenir de pratiques homosexuelles ne va pas faire devenir quelqu’un hétérosexuel.

  7. et cette femme que j’ai vu en consultation, qui arrêté la pilule pour être enceinte ..puis tombe enceinte.. le mois suivant .. ce qu’elle “n’avait pas prévu si rapidement…” mais elle partait prochainement au ski.. et cela perturbait ses projets de ski… donc elle a avorté….

  8. Quel égoïsme! Et les droits du père? et le droit élémentaire à la vie pour cet enfant?
    Qui est le “monstre” dans cette lamentable histoire?

  9. La vie lui permettait de se réconcilier avec le sexe opposé par le biais du plus merveilleux qui soit, dommage elle a raté sa chance et tué celle de son enfant , si au moins la prise de conscience de son mal-être suite à son masochisme était là !
    Je prie pour cette femme et cet enfant et pour qu’elle n’ait pas en l’état actuel d’autre grossesse car une petite fille serait bien mal partie aussi dans son histoire avec elle …
    Je m’interroge aussi, la conception avait eu lieu comment ? Le père était où ?
    Et quelle histoire a-telle avec son propre père?

  10. Dans un monde sensé cette personne aurait été conduite dans un établissement de soins et le petit confié à une famille aimante, mais comme nous sommes dirigés par des montres ces horreurs font hélas partis de notre quotidien.

  11. En l’occurrence, c’est un avortement sexiste. S’il y avait des lobbys de défense des mâles, ils auraient du boulot.

  12. Mais si les hommes sont des monstres, comment a-t-elle fait pour tomber enceinte ?

  13. Cette femme est folle.
    Folle, aussi, l’époque qui lui permet de s’affubler de l’étiquette de “militante”, de “féministe” ou même de “blogueuse”, alors qu’elle souffre d’une grave maladie mentale. Encouragée par son environnement, cette maladie la rend dangereuse pour autrui.

  14. On pourrait écrire des pages sur l’article de cette “féministe”. Je n’en retiendrai que deux perles.
    Elle décrit un incident qui l’a révoltée : elle prend l’avion pour participer à Occupy Wall Street, la manifestation de gauchistes qui prétend défendre le peuple contre les riches. L’homme à côté duquel elle est assise lui demande où elle va, et sur sa réponse, l’insulte. Elle fait un esclandre, prétend avoir été agressée, demande à changer de siège. L’hôtesse l’informe qu’il ne reste que deux fauteuils libres, mais qu’il sont en classe économique.
    Autrement dit, pour se rendre à une manifestation contre les riches, cette militante d’extrême-gauche prenait l’avion en classe affaires.
    Deuxième perle : on sait que la principale justification féministe de l’avortement, c’est l’axiome “mon corps m’appartient”. Quand, à l’échographie, cette féministe découvre qu’elle attend un garçon, elle a cette phrase stupéfiante : “mon corps m’a trahi”.
    Si son corps l’a trahi, il ne peut pas lui appartenir. Ce n’est pas une chose inerte qu’elle peut plier à sa volonté. Et si son corps lui appartient, il ne peut pas la trahir : la trahison implique une volonté indépendante, ou au minimum une essence propre.
    On trouve là, en dehors des aberrations du féminisme, deux symptômes clairs de la maladie mentale : cette femme est incapable de reconnaître la réalité, de s’y adapter de façon rationnelle et cohérente. Elle vit dans un monde totalement imaginaire, illogique, absurde, qu’elle plaque sur la réalité. Evidemment, ça foire.
    Plus elle tente de monter en descendant, ou de sécher en arrosant, et plus sa rage augmente. Elle appelle ça sa lutte contre le “patriarcat”, mais elle pourrait aussi bien l’appeler la lutte contre le “zorglub”, ça serait pareil.

  15. On ne peut que prier pour cette pauvre femme tant son geste est nauséabond.

  16. “Je ne voulais pas amener un autre monstre sur terre”.
    Je suis complètement révoltée et attérée de l’entendre parler ainsi de la gent masculine ! Il faut quand même qu’elle comprenne que pour tomber enceinte, même d’une petite fille, il lui faudra un père biologique, qu’elle le veuille ou non et quelque soit la methode utilisee (car je suppose qu’elle n’est pas tombee enceinte par methode naturelle vu comment elle considère les hommes !)

  17. Ce n’est en rien un avortement de “confort”, mais de HAINE, de haine pour l’autre sexe, en l’occurrence le sexe masculin.
    Il s’agit bien d’un avortement “viriliphobe”, et je ne vois pas pourquoi cette haine-là serait plus excusable qu’une autre.
    Gynécophobie et viriliphobie sont bien pires que l’homophobie, car les deux premières visent chacune la moitié de l’humanité, personnellement, alors que la troisième ne vise d’ordinaire qu’une orientation sexuelle contre-nature, mais point des hommes ou des femmes (d’ailleurs peu nombreux), de façon personnelle.
    Ici, cette femme avoue une telle haine des hommes, tous objets de sa phobie monstrueuse, qu’elle se montre prête à les assassiner un à un.
    C’est une Coulibaly puissance 1000.

  18. @ Anne: elle n’est pas homosexuelle, mais féministe il me semble non?
    Ce qui est curieux (mais faut-il que cela soit logique?) c’est qu’elle ne veut pas amener un autre “monstre” sur terre, mais…qui lui a mis dans son ventre ce bébé?
    En tout cas, c’est tellement sordide, ce rejet si fort de l’autre sexe, qui conduit à la mort d’un petit coupable du seul fait d’être un garçon…
    Moi aussi, je voulais une petite fille pour mon premier bébé, c’est pour cela que j’ai demandé à connaitre le sexe de mon bébé le plus tôt possible, car je savais qu’il me faudrait m’habituer à l’idée d’avoir un garçon. J’ai été un peu déçue sur le coup, il y a toujours un petit deuil à faire entre “le bébé que l’on imaginait” et…”celui qui vient!” mais le principal n’est pas là… et aujourd’hui pour rien au monde je ne voudrai un autre bébé que mon fils, avec toutes ses perfections et ses petits défauts!
    Et là, pour le deuxième, je demanderai tout pareil, même si bizarrement, même si on m’annonce que c’est un deuxième garçon, je serai finalement moins “déçue” que pour le premier, tant j’aime mon fils et je suis fondue de tendresse! Finalement, on appréhende ce que l’on ne connait pas!

  19. Quelque chose m’échappe: elle a pourtant du fréquenter un de ces monstres de près pour être dans cet état?

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