Christian Gérondeau vient de publier un pamphlet contre les mensonges du GIEC, soulignant que la nouvelle religion écologiste empêche le développement des pays pauvres. Autrement dit, en voulant sauver la planète, elle maintient la mortalité des pays les moins développés.
Pour sortir de la pauvreté, les pays en développement ont un besoin vital, comme nous l’avons eu nous-mêmes, d’une énergie abondante. Or l’essentiel de cette énergie ne peut-être que d’origine fossile, contrairement aux affirmations du GIEC. Selon l’auteur, cet organisme ment effrontément. Il l’a fait par exemple lorsqu’il a déclaré en 2011 dans un rapport célèbre, que l’humanité pourrait se passer des énergies fossiles en 2050 et que “près de 80 % des besoins d’énergie de l’humanité pourraient alors être satisfaits par les énergies renouvelables.” Or toutes les projections des institutions officielles montrent que ces dernières ne pourront répondre au mieux à cette date qu’à 10% des besoins et que les énergies fossiles en satisferont toujours près de 80 %. Il faut dire que l’auteur de ce rapport fondateur n’était autre qu’un écologiste allemand dépourvu de tout diplôme, mais “Coordinateur international de Greenpeace pour les questions climatiques ” et rémunéré par l’industrie photovoltaïque.
Le livre énumère douze mensonges, qui concernent l’évolution de la température terrestre, la montée supposée des eaux, la survie de la faune et de la flore, etc… C’est que les Nations Unies ont été prises en main depuis 30 ans par les représentants des grandes ONG écologistes et tout particulièrement par les verts allemands, animés d’une vision profondément négative et culpabilisatrice de l’Homme.