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France : Société

Le grand déballage se poursuit

Le grand déballage se poursuit

Après l’acteur gauchiste Richard Berry accusé d’inceste par sa fille, c’est le père de la journaliste et adjointe à la mairie de Paris Audrey Pulvar, décédé en 2008, qui est accusé de pédocriminalité.

Dans un article, Libération défend Audrey Pulvar : l’ex-journaliste, candidate à l’élection régionale de juin en Ile-de-France, “n’a pourtant aucune responsabilité à porter.” Elle savait depuis vingt ans (donc bien avant que son père décède), mais ce n’était pas à elle de se substituer à la parole des victimes.

Plusieurs internautes ne se sont pas privés de rappeler à Libération que c‘est pourtant ce que ce même quotidien a reproché au cardinal Barbarin

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14 commentaires

  1. Ce n’est pas juste de comparer une autorité qui couvre un subalterne et une fille qui ne dénonce pas son propre père.

    Sans lui ôter sa responsabilité, on peut comprendre qu’elle n’ai pas voulu se substituer à ses cousines victimes mais s’est elle souciée des autres potentielles victimes ? Ou de celles à venir ?

  2. Audrey Pulvar, c’est bien cette égérie qui donne des leçons de morale gauchiste à la terre entière, à sa place j’irai me cacher,car si elle n’est pas directement fautive, elle l’est quand même un peu de ne pas avoir aidé ses cousines

  3. Oui mais Barbarin ne couvrait pas. Rappelons que l’affaire Preynat était très ancienne et qu’en revanche le cardinal était très ferme avec les cas récents.

  4. Ce n’est pas une simple coïncidence que toutes ces affaires peu ragoûtantes soient le fait de personnes de milieux gauchos-soixantehuitards s’évertuant depuis 50 ans à imposer leur laxisme et leur amoralité (droit à l’avortement, “mariage” homosexexuel, PMA et GPA, etc.) : les effluves de leur pourriture morale commencent à se répandre et à empester tout le pays…

  5. ces gens n’ont strictement aucune moralité ; tout est prescrit ; alors ce déballage malsain n’interresse personne ; de toute façon cela va être classé sans suite et étouffé.

    Passons à autre chose.

    • Les victimes ont besoin d’être reconnues en tant que telles pour essayer de panser leurs plaies.
      Elles ont parfois été victimes d’amnésie post-traumatique, un phénomène chimique cérébral qui est un réflexe d’auto-défense pour ne pas mourir, la mémoire leur revient parfois très tard, à un moment où elles seront plus capables de faire face ou à la faveur d’un évènement déclencheur du souvenir.
      Les victimes, quand elles se souviennent, sont dans une honte terrible, voire dans la culpabilité, ce qui les empêche de dénoncer et la plupart du temps elles sont terrorisées à l’idée d’être confrontées à leur agresseur. Il ne s’agit pas de déballage malsain, il faut un courage héroïque à une victime de viol pour parler, dénoncer, porter plainte…et quand elles font preuve de ce courage, il y a des ignorants qui disent: “passons à autre chose”!

  6. Dénoncer le stupre de son propre père ne doit pas être très facile. L’art. 434-6 du code pénal ne sanctionne pas la non-dénonciation d’un membre de sa famille.
    Ce qui a été grave pour Barbarin, c’était d’avoir remis ce prêtre dans des structures en contact avec des enfants.

    • Il faut plutôt prendre, en l’espèce, un autre texte. Oui il y a obligation légale d’informer les autorités judiciaires ou administratives, même pour la famille, si la victime a moins de quinze ans.

      Article 434-1du Code pénal : Le fait, pour quiconque ayant connaissance d’un crime dont il est encore possible de prévenir ou de limiter les effets, ou dont les auteurs sont susceptibles de commettre de nouveaux crimes qui pourraient être empêchés, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.
      Sont exceptés des dispositions qui précèdent, sauf en ce qui concerne les crimes commis sur les mineurs de quinze ans :
      1° Les parents en ligne directe et leurs conjoints, ainsi que les frères et soeurs et leurs conjoints, de l’auteur ou du complice du crime ;
      2° Le conjoint de l’auteur ou du complice du crime, ou la personne qui vit notoirement en situation maritale avec lui.

      Sont également exceptées des dispositions du premier alinéa les personnes astreintes au secret dans les conditions prévues par l’article 226-13.

  7. On ne peut reprocher à cette gaucho de ne pas avoir dénoncé son père.
    Cela ne l’empêche pas d’être une people avec tous les côtés odieux de ces personnages.

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