Mgr Celestino Migliore, observateur permanent du Saint-Siège auprès des Nations unies, a vivement critiqué l’ONU :
"Dans le cadre des organisations internationales il est désormais évident que, depuis longtemps, le compromis et le consensus sur tout et n’importe quoi ont remplacé l’acceptation et le respect des principes non négociables. Ceux qui, comme le Saint-Siège, continuent d’attirer l’attention sur les principes non négociables, ont l’impression d’agir comme le prophète qui crie dans le désert".
Le Saint-Siège place au premier rang des "principes non négociables" celui du respect de la vie et de la famille. Ces positions l’ont conduit à se démarquer de campagnes sanitaires ou de résolutions de l’ONU laissant la porte ouverte à l’avortement ou à la diffusion du préservatif comme seule forme de prévention du sida.
Le pape sera reçu le 18 avril au siège de l’ONU.