Communiqué de la Fondation pour l’école :
Nous avons eu hier, 3 janvier, un rendez-vous important au ministère de l’Éducation nationale.
Nous avons obtenu les avancées suivantes à propos du calendrier des épreuves : la DGESCO a donné des consignes claires aux rectorats, mais ceux-ci continueront d’avoir la main sur les dates pour des raisons évidentes d’organisation. Certains rectorats ont déjà modifié leur calendrier. Nos interlocuteurs sont conscients de certaines difficultés d’organisation des épreuves en 2022 et ont une vraie volonté de les régler. Il faut admettre qu’organiser des épreuves tout en maintenant le maximum de cours jusque fin juin est une gageure. Les lycées hors-contrat qui en auraient la capacité pourraient peut-être proposer leurs locaux pour que certaines épreuves du bac s’y tiennent. Sait-on jamais ?
Par ailleurs, ils ont promis d’examiner avec attention les sujets suivants : la dématérialisation du livret scolaire, l’uniformisation de la dénomination de nos élèves-candidats pour faire apparaître partout qu’ils sont bien scolarisés dans un établissement, la réduction de l’épreuve ponctuelle d’EMC à 20’ au lieu de 30’.
Nous avons soulevé d’autres points qu’ils n’envisagent pas de remettre en cause : les épreuves ponctuelles, dont fait partie l’épreuve de spécialité abandonnée en fin de Première, continueront d’être proposées selon le format actuel : en deux ans ou tout en fin de Terminale, sans panachage possible.
Par ailleurs, le contrôle continu ne saurait être accordé aux lycées hors-contrat qui le souhaiteraient. De plus, il n’a pas été possible d’obtenir que les épreuves ponctuelles soit désignées comme telles sur Parcoursup et sur les relevés de notes du bac. Le bénéfice du « contrôle continu » nous est refusé, mais son nom nous reste imposé !
Pour finir, nous avons constaté que les écoles indépendantes sont une réalité connue et prise en compte. Nous nous en félicitons mais ne voulons pas en rester là. Nous souhaitons obtenir une véritable reconnaissance.
Vladu
Je suppose que c’est par diplomatie que ce communiqué déclare : « Nos interlocuteurs sont conscients de certaines difficultés d’organisation des épreuves en 2022 et ont une vraie volonté de les régler. »
Car vu le sectarisme que ces fonctionnaires de l’Éducation Étatique manifestent pour tout le reste, il est assez clair que cette volonté affichée de « régler les problèmes » n’est que de la poudre aux yeux !
Il est déjà SCANDALEUX que les parents voulant donner une éducation sérieuse à leurs enfants, et qui financent pour cela les écoles entièrement libres, soient obligés de financer en plus, les aberrations de l’Education Étatique.
Mais les hauts fonctionnaires de cette Éducation Étatique – grassement payés par nos impôts – ne se contentent pas de cette première injustice : non seulement ils veulent faire payer l’école DEUX FOIS à ces parents (ou même TROIS fois, vu l’abominable gabegie de l’Éducation Étatique), mais ils s’emploient, en plus, à réduire toujours davantage la liberté des écoles libres !
Et là, on peut se poser des questions.
Pourquoi cet acharnement ? Pourquoi cette tyrannie ? Pourquoi cette cruauté destructrice, qui est vraiment la marque distinctive des Parasites de la Rue de Grenelle ?
Il y a deux raisons complémentaires.
— D’abord, c’est une opération de camouflage. Ces gens-là savent à quel point ils ont détruit l’éducation et l’enseignement dans les écoles qui dépendent directement d’eux. Ils savent le désastre qu’ils ont causé. Mais au lieu d’essayer d’améliorer les choses, ils veulent dissimuler leur crime. Et pour cela, il leur faut assassiner tous les témoins ! Comme un meurtrier pris dans une spirale de massacres successifs pour dissimuler son premier assassinat, de même les fonctionnaires de la rue de Grenelle veulent saccager, saboter, saborder tout ce qui reste d’éducation valable en France. Cette politique de la table rase vise à empêcher toute comparaison. Le nivellement par le bas doit être absolu. Pas une tête qui dépasse. En dignes héritiers de la Révolution, qui imposait l’Égalité par la guillotine, ils ne connaissent plus que l’anéantissement systématique de tous les opposants, de tous les contestataires et même de tous les témoins objectifs, par une politique de Terreur.
— Ensuite, l’influence des sectes maçonniques, qui poursuivent avec acharnement le Génocide de la France chrétienne, avec tous les moyens à leurs dispositions (massacre généralisé des enfants à naître, remplacés par des millions de migrants, certes, mais aussi abrutissement systématique des survivants par tous les moyens possibles). Dans cette optique, les écoles indépendantes n’ont pas seulement l’inconvénient de fournir des points de repère et de comparaison, permettant de juger le Système officiel. Elle ont surtout le tort de permettre à quelques gamins d’échapper à l’abrutissement généralisé. Et ça, les sectes sataniques ne le veulent à aucun prix. Le génocide doit être total.
namaste
Vladu je vous approuve bien que n’étant plus concerné directement par l’éducation de mes enfants, je participe au financement de ces écoles libres pour leur retirer le maximum de mes impôts. J’ose vous dire que nous n’avons plus qu’un seul recours la Prière à la Sainte Vierge Marie et à Saint Michel Archange pour qu’ils interviennent au plus vite. Tous les jours prions pour la France à l’instar des enfants de l’Ile Bouchard le 8 décembre 1947. Amen