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Homosexualité : revendication du lobby gay

Les LGBT et la drogue

Un administrateur de AIDES (peu suspect d'être homophobe) est fier d'avoir assisté à une rencontre européenne, et de publier les résultats d'une étude sur les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HSH) menée chez 180 000 hommes HSH de 38 pays, soit une moyenne de 4 736 HSH par pays.

Le résultat de l'étude concernant la consommation de drogues (poppers, cocaïne, etc…) fait froid dans le dos : certains drogues sont utilisées par 80 % des HSH. Pour rappel : ce sont les mêmes qui déclarent vouloir adopter un enfant quand il sont en couple.

Unknown-47"Le docteur Dirk Sanders nous a présenté en primeur une étude menée dans 44 villes d’Europe relative à la consommation de drogues par les HSH en général, comparativement à la population générale, et en essayant de faire le focus sur le phénomène chemsex (consommation de produits dans le cadre de relations sexuelles : GHB, méphédrone, crystal, kéta, poppers, viagra, etc). Cette étude a recueilli des données sur 180 000 hommes répartis dans 38 pays et en 25 langues. […] Au global, voici quelques données :

– Il ressort que près de 80 % des HSH ont été ou sont fumeurs de tabac, avec une prépondérance plus forte dans les capitales des pays dits de l’Est. L’alcool est consommé par 100 % des personnes HSH dans les six derniers mois, par plus d’un tiers d’entre eux dans les 24 dernières heures.

– Concernant le chemsex, l’usage reste relativement limité : dans une ville comme Brighton, par exemple, plus de 10 % des HSH y ont eu recours dans les quatre semaines précédant l’enquête, à Sofia, moins de 8 %.

– Plus de 50 % des HSH ont utilisé du viagra dans les cinq dernières années et 15 % dans les 7 jours précédant l’enquête.

– Le poppers est utilisé par 50 à 80 % des HSH, selon la géographie, dans les cinq dernières années, environ 35 % dans le dernier mois, et 20 % l’utilisent quotidiennement.

– La cocaïne a été utilisée par 20 à 50 % des HSH dans les cinq dernières années, par 15 % dans le dernier mois. Le crystal est bien plus utilisé en Grande-Bretagne et en Espagne, par près de 20 % des HSH dans les cinq dernières années, que dans les autres pays d’Europe (moins de 10 %).

– De même pour la méphédrone utilisée par près d’un britannique sur cinq alors que le reste de l’Europe reste en dessous des 10 %."

Question subsidiaire : combien de ces HSH sont journalistes ou députés ?

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7 commentaires

  1. Aurait on les chiffres de la consommation de ces produits pour l’ensemble de la population afin de pouvoir comparer ?

  2. Comme les homosexuels ne mériteront pas d’aller au paradis :
    « Ne vous y trompez pas : ni les débauchés, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les homosexuels, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n’hériteront le royaume de Dieu ». 1 Corinthiens 6.9-10
    Ils s’adonnent aux paradis artificiels que sont les drogues !
    Mais voilà, il y a un hic !
    « C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature et de même les hommes, abandonnant l’usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. » Romains 1.24-27
    Et oui, “recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement !”
    En France, il y a trois ans était réalisée « L’enquête presse gay et lesbienne » avec le concours de 15.000 homosexuels volontaires. 17 % d’entre eux qui se savaient séropositifs avaient eu en un an un grand nombre de partenaires dans l’année et qu’un quart d’entre eux ne se protégeaient même pas ! Pourtant le nombre de découvertes de séropositivité VIH augmente uniquement chez les hommes ayant des rapports sexuels avec les hommes ! Il y aurait en France entre 150.000 et 200.000 personnes atteintes du sida. 30.000 d’entre elles l’ignorant totalement.
    Aux Etats-Unis, les teens (entre 13 et 19 ans) ayant eu des rapports homosexuels étaient contaminés à 94,9 %. Dans la tranche 20/24 ans la contagion était de 94,1 %. Ainsi les 4% de la population qui se dit homo a 44 fois plus de risques de contracter la maladie que les autres.
    Et la principale cause de suicide chez les personnes LGBT est liée à leurs partenaires « de cœur ».
    http://onlinelibrary.wiley.com/enhanced/doi/10.1111/appy.12128/
    De plus, les homosexuels sont également confrontés à des taux plus élevés de violence conjugale que les hétérosexuels.
    http://lasvegas.cbslocal.com/2012/10/10/study-domestic-violence-rates-higher-among-gay-men-bisexual-women/
    Leurs vies est faite de découragements ; ce qui les mène à la dépression et au suicide plus qu’à d’autres troubles psychologiques. La dépression afflige de façon disproportionnée les homosexuels actifs.
    http://www.lifesitenews.com/news/poor-mental-health-among-homosexuals-caused-by-lifestyle-itself-or-discrimi
    Mais ce qui a de plus triste c’est le suicide de très jeunes d’à peine 12 ou 13 ans qui étaient content de trouver un « grand frère » qui les comprennent mais qui en fait profita d’eux. Dès qu’ils n’étaient plus imberbes, le soi-disant « protecteur pour la vie » les lâchait, ce qui entraînait des suicides et des vies gâchées. Car un jeune “violé gentiment” par quelqu’un de son sexe, a du mal ensuite dans ses rapports avec l’autre sexe ! Et souvent durant toute sa vie !
    Bref, on comprend pourquoi un prêtre devant un homosexuel, ne cherche pas à condamner la personne, mais lui conseille vivement d’arrêter ses relations charnelles désordonnées ! Et s’il est croyant, d’aller se confesser !

  3. Témoignage de Joseph Sciambra, né en 1969. Il vivait une intense vie gay à San Francisco de 1988 à 1999. Il connut les aspects les plus obscurs du monde gay, il fut acteur porno amateur, guide sexuel professionnel et eut des relations avec plus de mille homosexuels. C’est après une violente orgie qui se termina à l’hôpital qu’il expérimenta une vision de la condamnation et de la présence proche de Dieu. Avec l’aide de sa mère et de l’Eglise, il changea sa vie.
    http://www.religionenlibertad.com/articulo.asp?idarticulo=38168
    L’immense majorité des homosexuels furent abîmés petits, par l’absence du père, ou l’abus d’une figure d’autorité. Sans thérapie, ils traînent cela jusqu’à la vie adulte. Pour cette raison les hommes gays se méfient des figures paternelles, tout en désirant leur amour et leur approbation.
    En 2014 en France, 3 % des « mariages » ont concerné des duos homosexuels. Aux USA, une étude a suivi 156 couples de même sexe. Seulement sept d’entre eux pratiquaient la fidélité dans leurs relations sexuelles. Il est noté que cette situation favorisait la diffusion des maladies vénériennes et les états de détresse psychologiques. (McWhirter, D. and Mattison, A. “The Male Couple: How Relationships Develop.” (Upper Saddle River, NJ: Prentice Hall). Les couples de lesbiennes sont statistiquement très instables par rapport aux couples hétérosexuels. (“Comparative Relationship Stability of Lesbian Mother and Heterosexual Mother Families: A Review of Evidence,” Marriage and Family Review 46: 499-509).
    Selon une étude danoise de 2011, le risque de suicide chez les hommes homos est multiplié par huit. (Mathy, R. et al. 2011. “The Association between Relationship Markers of Sexual Orientation and Suicide: Denmark, 1990-2001,” Social Psychiatry and Psychiatric Epidemiology, 46: 111-117).
    En 2010, l’ U.S. National Longitudinal Lesbian Family Study a établi que 40 % des couples de lesbiennes ayant conçu un enfant par PMA s’étaient séparés. (Gartrell, N. & Bos, H. 2010. “U.S. National Longitudinal Lesbian Family Study: Psychological Adjustment of 17-year-old Adolescents,” Pediatrics, 126 (1): 28-36.)
    https://www.nllfs.org/
    En 2007, une étude diligentée par la New York Academy of Medicine établit que plus de 32 pour cent des homosexuels actifs avaient souffert d’ « abus » par un ou plusieurs partenaires au cours de leur vie. Le tout ayant entraîné des dépressions nerveuses et l’usage de stupéfiants. (Houston, E. & McKiman, D.J. 2007, “Intimate Partner Abuse Among Gay and Bisexual Men: Risk Correlates and Health Outcomes,” Journal of Urban Health 84: 681-690.)
    D’autre part, les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes avaient deux fois plus de risques de faire un cancer que les hétérosexuels. Cette maladie apparaissait à un âge moyen de 41 ans alors que pour le reste de la population masculine elle émergeait à 51 ans. (Boehmer, U. et al. 2011, “Cancer Survivorship and Sexual Orientation,” Cancer, 117:3796–3804.)
    Le Wall Street Journal du 12 novembre 2014 publiait un article pour avertir que le nombre de cancer de la gorge causé par le Papilloma virus (contre lequel on pousse abusivement les petites filles à se vacciner en France par le Gardasil) avait augmenté de 72 % entre 2000 et 2004. Électivement ce cancer touchait les hommes ayant multiplié leurs partenaires masculins.
    En 2012, Finneran and Stephenson ont passé en revue 28 études concernant les violences chez les homosexuels de sexe masculin. Leur conclusion était la suivante : La violence intime entre partenaires (IPV) qu’elle soit psychologique, physique ou sexuelle, a atteint chez les partenaires masculins de même sexe des taux alarmants. (Voir p. 180. P. Finneran, C., Stephenson, R. 2012. “Intimate Partner Violence Among Men Who Have Sex With Men: A Systematic Review,” Trauma, Violence and Abuse, 14: 168-185.)
    D’autre part, selon le sociologue américain, Paul Sullin, les enfants de paires de même sexe se portent moins bien : « les problèmes émotionnels sont deux fois plus fréquents chez les enfants de couples de même sexe que chez ceux vivant auprès de parents de sexe opposé » (étude portant sur l’évaluation de 512 enfants vivant auprès de « deux papas » ou « deux mamans »). Ces 512 enfants repérés grâce au US National Health Interview Survey présentent davantage de problèmes parmi lesquels de mauvais comportements, l’anxiété, difficultés relationnelles avec leurs pairs et difficultés de concentration. En revanche, la « parentalité biologique » offre un meilleur environnement : « Elle permet de manière unique et puissante de faire la différence quant au devenir des enfants élevés par des parents de sexe opposé par rapport aux parents de même sexe. »

  4. Question subsidiaire : combien sont dans le trafic ?

  5. Il y autre chose de troublant, qui pourrait expliquer certains cas d’homosexualité sans raison apparente et donc amenant la victime à se droguer !
    Dans Exode 34:7, on apprend que Dieu « punit l’iniquité des pères sur les enfants et sur les enfants des enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération! »
    Dans de nombreuses familles en généalogie, on remarque des choses qui se répètent. Une fille mère par exemple va voir son enfant tomber ou être près à tomber dans un piège semblable. Il en est de même avec l’homosexualité. « L’impasse » du père se retrouve chez un de ses enfants. Il en incombe à lui d’arrêter ce désordre.
    Sur ce sujet lire le livre « Aïe, mes aïeux ! » d’Anne Ancelin Schützenberger. Elle explique très bien que nous sommes tous un maillon dans la chaîne des générations et que nous avons parfois, curieusement, à « payer les dettes » du passé de nos aïeux. C’est une sorte de « loyauté invisible » qui nous pousse à répéter, que nous le voulions ou non, que nous le sachions ou pas, des situations agréables ou des événements douloureux. Nous sommes moins libres que nous le croyons, mais nous avons la possibilité de reconquérir notre liberté et de sortir du destin répétitif de notre histoire, en comprenant les liens complexes qui se sont tissés dans notre famille.
    De plus, les émotions des parents peuvent avoir un impact sur l’ADN du petit ! Chaque cellule du corps porte en son noyau le même ADN qui a toute l’information nécessaire pour reconstituer l’ensemble du corps. Ainsi, même si chaque cellule n’exprime qu’une partie de cette information, celle-ci est contenue dans la moindre de ses extrémités. Dans Jérémie 31:29 il est dit « Les pères ont mangé des raisins verts, et les dents des enfants en ont été agacées », ce qu’Audiard traduirait par « Les parents boivent, les enfants trinquent ».

  6. Deux phrases clefs dans ces commentaires :
    “L’immense majorité des homosexuels furent abîmés petits”
    “recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement.”
    Et que fait l’Education Nationale ?
    Il envoie les associations LGBT dans les écoles pour que les enfants soient plus nombreux à “s’abîmer” et donc à en souffrir toute leur vie ! Cela donne une idée de ce que peut être une Belkacem ! Mais les mots ne seraient pas assez forts pour l’exprimer ! Une chose est sûre, elle sera responsable d’un nombre incalculable d’enfants “souillés”…

  7. Il est intéressant de lire à ce propos EPHESIENS 6 – “Nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang”. Les protestants ont réhabilité la Parole de Dieu depuis des siècles et ils l’étudient avec ce qu’on appelle des “concordances”. Ce passage d’Ephésiens montre à quel point la religiosité humaine est la pire de toutes les drogues ….

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