Les membres du gouvernement ont condamné l’incendie d’un véhicule de la mission Sentinelle, au pied de la tour Eiffel à Paris, en marge de l’acte 13 du mouvement des Gilets jaunes. Mais ils ne disent rien de son origine…
Or, l’homme soupçonné d’être l’auteur de cet acte a été interpellé samedi soir dans le 8e arrondissement, porteur d’un marteau. Il a été placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet de Paris, notamment pour « destruction par incendie d’un bien d’utilité publique ».
Ce suspect, Thomas P., est âgé de 23 ans. Il est connu des services de renseignement, notamment de la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP), pour son appartenance à la mouvance anarcho-autonome. En clair c’est un gauchiste des Black Blocs, cette milice d’extrême-gauche que le régime se plaît à laisser impunie pour répandre la terreur… Comme le dit François Bousquet, patron de la Nouvelle librairie vandalisé hier par ces mêmes “antifas” :
Il arrive même que journalistes, universitaires et activistes travaillent main dans la main. Voyez Antonin Bernanos, âme damnée des antifas parisiens, pourtant condamné à cinq ans de prison, dont deux avec sursis, pour l’attaque (d’une violence inouïe !) d’une voiture de police, en 2016, mais défendu par le conseil d’administration de l’université Paris-Nanterre, où il étudie. Voyez un personnage inconnu du grand public, mais tout-puissant, je veux parler d’Aris Papathéodorou, qui ne se contente pas d’être le directeur artistique du Monde, propriété de Xavier Niel et Matthieu Pigasse, mais d’être parallèlement l’hébergeur de tous les sites « antifas ».
Cet incendiaire présumé est aussi soupçonné d’avoir participé à la casse d’une Porsche appartenant au chef cuisinier Christian Etchebest dans le 15e arrondissement de Paris, quelques heures avant l’incendie du fourgon militaire. Il s’en serait aussi pris à plusieurs enseignes bancaires ainsi qu’à une BMW et aux vitres de protection de la tour Eiffel à l’aide d’un marteau.
DUPORT
Il faut être naïf pour croire que le régime se plaît seulement à laisser impunis les “antifas”
En réalité ce sont les milices fascistes du gouvernement qui, depuis Mitterrand, les a créés, financées, protégées et s’en sert régulièrement en les téléguidant pas seulement pour répandre la terreur… mais aussi pour saborder toutes les manifestations ou réunions d’opposants ou pour créer des agressions ou des dégradations dont on accuse ensuite les opposants fictifs d’extrême droite !
Les “antifas” en détresse s’enfuient en courant soit derrière les forces de l’ordre soit se réfugient au sein des ministères…
Le jour du jugement des “antifas” sur 40 ans beaucoup de têtes vont tomber !
Classico
Témoignage d’un ami plutôt Macroniste, habitant à Paris centre : un soir de manif, des gilets jaunes débarquent en courant dans la rue et crient aux commerçants “attention les casseurs arrivent, fermez vos rideaux “
philippe paternot
infaux (fakeniouze comme ils disent) ce ne peut être que l’ultradroate (ou un giletjaune?)