le MEPRIS (8...) Le vocabulaire utilisé pour parler de scientifiques de haut niveau (Nobel…), non subventionnés, qui mettent en jeu leur propre carrière pour défendre ce qu’ils estiment la vérité, n’est pas digne d’un pontife. S’ils ont tort, que l’on montre en quoi, sinon pourquoi les rejeter ? l’APPROXIMATION et la SPECULATION Beaucoup de définitions critiques manquent, ce qui rend les propos vagues ou librement interprétables ; des confusions évidentes tendent à questionner la pertinence des propos (ex: Gaz à Effet de Serre, assimilés au seul CO2) ; aucune quantification ne vient à l’appui de qualificatifs tels que « énorme »...
« Une étude récente nous avertit que la banquise pourrait avoir complètement disparu l’été dans 7 ans seulement. », Al Gore, corécipiendaire du Nobel de la paix avec le GIEC, discours de décembre 2007. « Dans la recherche et la modélisation du climat, nous devons reconnaître que nous avons affaire à un système chaotique non linéaire couplé, et donc que la prédiction à long terme des états climatiques futurs n'est pas possible. », rapport AR3 -climate change 2001- du GIEC, chapitre 14.2.2.2. (page 774) (0).
Depuis bientôt 20 ans, nul n’ignore la formule du dioxyde de carbone : CO2. Alors même qu’avant les années 2000, ce symbole presque cabalistique était totalement inconnu du grand public… Aujourd’hui, le CO2 sert de maître étalon à nos sociétés ! Les écologistes de nous expliquer que ce gaz est l’ennemi public numéro 1. Et par voie de conséquence, ceux qui en émettent (c’est-à -dire tout le monde).
Cette question est logiquement le point de départ des interrogations liées aux variations climatiques dont on nous rebat les oreilles depuis maintenant plus de 30 ans (premier rapport du Giec en 1990), devenues l’ennemi public numéro un, soi-disant causes de tous les maux de l’humanité, et horizon de l’extinction de l’humanité ! Dans les faits, tout dépend de quoi l’on parle, et des référentiels utilisés. Voyons cela.
le mouvement écologiste dans sa globalité, renforcé et dirigé après la chute du mur de Berlin en 1989 par l’ex-parti communiste, a pris une importance extrême à la toute fin du XXe siècle. Ce n’est pas pour rien que les écologistes ont été surnommés les « Pastèques » : verts à l’extérieur et rouge à l’intérieur ! Le système communiste a toujours été maître dans l’art de la propagande et la manipulation des foules, dès lors en quelques décennies, pour lutter contre le capitalisme en convergence avec les écologistes qui eux lutte contre l’humanité (qui est responsable de la destruction de la « Terre mère »), s’est imposé auprès de l’opinion publique cette notion d’urgence climatique. A partir des années 2000, il y a donc eu une très forte pression publique et médiatique auprès des politiques pour adhérer aux thèses du danger climatiq...[Lire plus]
Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.