"faire des recherches sur les embryons dits surnuméraires, ceux qui ne font plus l’objet d’un projet parental" : voilà le projet de loi qui devrait être voté en France en septembre.
Cette phrase résume en elle même toute l’horreur et toute la subversion possible en médecine aujourd’hui :
– Les embryons ne sont pas reconnus pour ce qu’ils sont, c’est à dire des personnes, mais comme des objets (sic!).
– Objet de quoi? Objet d’un projet parental, d’un programme d’êtres humains, appelés parents. La Foi catholique dit que toute personne existe dans le projet de Dieu, les hommes acceptant (ou pas) le don de vie que Dieu fait à l’enfant à naître et non aux parents.
L’enfant n’est pas l’objet des parents, mais le fruit de l’amour de Dieu qui souhaite chaque personne, qui aime chacun différemment et totalement.
L’enfant est confié par Dieu aux parents.
Et quand l’homme veut se substituer à Dieu ("vous serez comme des dieux"), il en arrive à vouloir planifier les naissances, vouloir les naissances et donc sélectionner tuer ceux qu’on ne veut pas.
Le seul projet parental qui tienne est celui de Dieu, notre Père, seule source de la Vie.
– embryons surnuméraires : Au lieu de tuer, de se débarrasser de cet excès d’embryons, on les manipule comme des objets, comme des magasins de pièces détachées, comme des réserves naturelles de cellules qui peuvent profiter à l’orgueil de ceux de la Race qui auront été sélectionnés pour vivre.
Hitler n’aurait pas renié ces manipulations génétiques (inutiles en plus!), cet eugénisme, ce massacre d’innocents, ce droit de vivre accordé qu’à une élite, cette hygiène des peuples, cette destruction des sous-hommes dont personne sur terre ne veut.
Mais Dieu attend que chacun puisse réaliser son projet d’Amour sur terre, pour jouir éternellement de Sa présence. C’est le devoir de tout catholique de se battre contre la destruction d’enfants de Dieu.
Qui n’est avec Dieu est contre Dieu : De sa bonté dans la création du monde à la patience de Dieu aujourd’hui en passant par l’Amour sur la Croix, il n’y a aucune demi-mesure possible dans l’amour de Dieu.