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Culture de mort : Avortement

Technique pour imposer l’avortement : avoir une violée enceinte

Jeanne Smits traduit ce commentaire de l'association pro-vie argentine InfoVida :

"Il y a un schéma qui se répète de manière
révélatrice. Des mineures abusées pendant des années par les concubins
de leurs mères ou des proches parents. Silence total desdites mineures
pendant toute cette période. Des mères et des proches qui ne se rendent
compte de rien. Des écoles qui ne perçoivent aucun changement dans le
comportement des victimes. Des amis qui ignorent tout. Des organismes
d'Etat, spécialement désignés pour protéger et prendre soin de
l'intégrité de la femme et de l'enfance, totalement absents.

Puis d'un seul coup
une grossesse se confirme chez la mineure et les grand-mères, les
proches parents, les enseignants, les juges, les psychologues
judiciaires, les gouverneurs, le législateur, l'INADI, le ministère de
la Santé de la nation, le Conseil national des femmes, la Secrétairerie
nationale des droits humains, sortent de leur silence pour demander un «
avortement gratuit procuré par l'Etat » pour « rétablir » la « santé
psychique » de la mineure violentée. […]

A l'évidence, si les viols allégués sont réels, personne
ne semble s'être ému de ce qu'ils avaient lieu ou avoir fait quoi que ce
soit pour éviter la promiscuité où vivait la victime
. (…) On rejette
toutes les demandes d'adoption qui sont formulées. On ne s'intéresse à
ces cas que pour imposer l'avortement dans ce pays : il y a donc une
impérieuse nécessité pour que l'avortement ait lieu et que cela se
sache
. Conclusion : on finit par tuer un bébé innocent et sans défense,
parce que cela sert de justificatif pour accomplir le plan politique
imposé depuis l'extérieur à notre société.

La
jeune mineure retourne, après l'assassinat de son enfant, vers le lieu
où l'on a abusé d'elle. Les violeurs supposés continuent en vie et ne
sont en rien obligés de prendre leur responsabilités par rapport à un
enfant
. C'est le cycle qui ne cesse de se répéter pour imposer la
disparition forcée des bébés en tant que politique de l'Etat."

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1 commentaire

  1. La peine de mort a été abolis pour le violeur mais obligatoire pour l’enfant à naitre .
    D’ailleurs dans ce raisonnement la mieux vaut avorter que d’attraper le violeur et le condamner comme il se doit .

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