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Immigration

Un nouveau mur en Europe

Voilà qui va encore faire bouillir de rage nos immigrationnistes forcenés. L'Autriche va ériger une barrière à sa frontière avec la Slovénie afin de contrôler le flux d'immigrés.

La Slovénie a vu transiter plus de 86 000 personnes depuis que la Hongrie a fermé une seconde frontière, avec la Croatie, il y a dix jours, et quelque 14 000 immigrés étaient pris en charge dans les structures d'accueil du petit pays mardi.

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6 commentaires

  1. Oui mais rien à voir avec la Hongrie. Il ne s’agit que de réguler le flux d’immigrés et empêcher les débordements. Donc pas de barbelés et de fermeture total de la frontière comme en Hongrie.

  2. A signaler que depuis que les Russes se sont mis à bombarder les complices de l’Otan (Daesh, Al Nosra, Al Qaida), on assiste à un retour de 800 000 réfugiés en Syrie !
    Le Grand mufti de Syrie, Ahmad Badreddin Hassoun a remercié la Russie pour son aide dans la lutte contre les terroristes.
    http://fr.sputniknews.com/international/20151025/1019084369/refugies-regagnent-syrie-depuis-debut-des-frappes-russes.html#ixzz3pqkA5sOE
    Pendant ce temps, 500 terroristes de l’EI étaient transférés au Yémen par les turcs, pour échapper aux bombardements russes…
    http://fr.sputniknews.com/international/20151027/1019129409.html#ixzz3pnSmKlOU
    A remarquer que la Turquie, qui est un pays du continent asiatique, tient à entrer dans l’U.E. ! Une U.E. criminelle puisque co-responsable du chaos dans tout le Proche et Moyen Orient ! Mais elle n’est pas la seule ! Tout Français ayant voté pour l’UMPS ne l’est-il pas lui aussi ? N’a-t-il pas également du sang sur les mains ?

  3. C’est vrai que la Turquie et Israël sont, pour des raisons différentes, autant satisfaits l’un que l’autre de l’existence de DAESH and co.

  4. * Autriche : “Les barrières n’ont pas leur place en Europe”
    C’est ce que Jean-Claude Juncker et Werner Faymann ont déclaré alors que l’Autriche a annoncé son intention d’ériger une barrière le long de sa frontière.
    « Les barrières n’ont pas leur place en Europe » pour le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker et le chancelier autrichien Werner Faymann qui se sont entretenus lors d’une conversation téléphonique mercredi. Cet entretien a fait suite aux propos de la ministre autrichienne de l’Intérieur, Johanna Mikl-Leitner, membre du parti conservateur, qui a annoncé que son pays allait édifier une barrière le long de sa frontière avec la Slovénie, également membre de l’Union européenne, pour contrôler le flux de migrants. Le chancelier Werner Faymann appartient, lui, au Parti social-démocrate.
    *Source Le Point

  5. L’espace Schengen de libre circulation est mis en péril par la décision de l’Autriche d’ériger une barrière à sa frontière avec la Slovénie. D’autres pourraient l’imiter, tandis que les relations se tendent entre Berlin et Vienne.
    Faute d’être capables de les canaliser et de s’entendre pour les prendre en charge, les Européens se ferment aux réfugiés. L’Autriche vient d’annoncer son intention d’édifier une barrière le long de sa frontière avec la Slovénie, pour «assurer une entrée ordonnée et contrôlée» des arrivants, a expliqué la ministre de l’Intérieur, Johanna Mikl-Leitner. Si le projet est mis à exécution, il s’agira de la première frontière érigée entre deux pays membres de Schengen – le début de la fin pour l’espace de libre circulation intra-européen.
    Alors que la crise s’aggrave, tous les pays des Balkans tentent d’exfiltrer au plus vite les réfugiés vers le pays voisin. Du coup, les tensions s’exacerbent entre les États. L’Autriche se retourne contre la Slovénie, dont les dirigeants se disent dépassés, et annonce son projet de barrière pour freiner les arrivées, de l’ordre d’un millier par jour. Le premier ministre slovène, Milo Cerar, déclare à son tour être prêt à édifier une barrière avec la Croatie, si nécessaire.
    Mises à l’épreuve par la pression migratoire, les relations entre l’Allemagne et l’Autriche, partenaires traditionnellement solidaires, se détériorent. Le ministre de l’Intérieur allemand a taxé le pays voisin de «comportements incorrects». Le dirigeant de la Bavière, Horst Seehofer, a mis en demeure la chancelière Angela Merkel de revoir sa politique à l’égard des réfugiés et accusé Vienne de pousser les arrivants à passer en Allemagne.
    *Le Figaro

  6. En France, on n’a pas de pétrole mais on a des idées…
    Nous on a le mur des cons.

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