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France : Société

En liberté conditionnelle, il assassine à nouveau…

Terrible fait divers qui montre à quel point le système judiciaire français a été perverti par lâcheté et laxisme :

"Elias Varela Fontes est jugé pour le meurtre de sa femme. Il avait déjà été condamné à vingt ans de prison pour avoir tué sa première épouse (…) Elias Varela Fontes, 57 ans, avait été condamné à 20 ans de réclusion criminelle en 2002 pour avoir tué sa première femme.

L’accusé était sorti de détention en septembre 2011, grâce à un placement extérieur probatoire. Obtenant ensuite une libération conditionnelle, il devait être hébergé chez sa sœur."

2000 + 20 = 2011. Au lieu de 20 ans de prison, il n'en aura effectué que 11 (en comptant 2 ans de préventive).

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5 commentaires

  1. Exercer ainsi la justice est scandaleux car avec plus de discernement une vie aurait pu être épargnée.
    Il y a vraiment deux poids deux mesures dans les peines en pensant à l’amende que doit payer le Docteur DOR pour avoir osé défendre les bébés avortés légalement.
    A ce propos, pourquoi les prisonniers qui purgent une peine ne pourraient ils pas s’acquitter en plus d’une amende, celle-ci serait utile pour rembourser leur frais de nourriture et d’entretien en prison, leurs frais d’avocats et ceux des victimes ou autres indemnités compensatoires ?
    Ainsi, ils devraient travailler en prison au lieu de se tourner les pouces et ne pourraient sortir qu’à la condition que tous les comptes soient épurés.

  2. Il a sans doute été incarcéré avant le jugement. Il a donc vraisemblablement fait plus que neuf ans.
    Soyons factuels.

  3. Au train où ça va, il va finir par n’y avoir que d’honnêtes gens en prison, les délinquants et criminels étant systématiquement remis en liberté.

  4. Les vrais assassins ce sont les magistrats !
    Quand va-t-on les juger pour meurtre et les incarcérer pour de bon ?

  5. On en arrive au point où, après avoir déposé mes enfants à l’école, je me demande si je vais bien les retrouver le soir… Et si on faisait une manif monstre comme au Liban, avec des menaces – à condition d’oser les mettre en application – à l’encontre de nos incapables de politiques ?

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