Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"Des « experts » de la Chaire UNESCO de bioéthique de l’Université de Barcelone (UB), entourés d’avocats, de médecins experts en contraception et sexualité (sic) ont demandé lors d’un séminaire universitaire la mise en place d’un registre unique et public des médecins objecteurs de conscience par rapport à l’avortement, afin d’améliorer l’accès des femmes à l’« IVG ». […] Depuis la mise en place dans certaines provinces d’une obligation d’inscription sur des registres – en principe privés – des médecins objecteurs de conscience, les médecins pro-vie ont protesté contre ce fichage et ce flicage."