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France : Société / Institutions internationales

Le mot « race » bientôt retiré de la Constitution ? Ou le dépérissement de la pensée publique

Le mot « race » bientôt retiré de la Constitution ? Ou le dépérissement de la pensée publique

Le 4 octobre, devant le conseil constitutionnel, le Président de la république a indiqué que la réforme constitutionnelle (dont le calendrier était devenu incertain à cause de l’affaire Benalla) reviendrait devant l’Assemblée nationale au début janvier 2019 après une première lecture. Or, c’est à l’unanimité, le 12 juillet que les députés ont voté l’enlèvement du mot « race » qui figurait à l’article 1er  de la Constitution (« La France assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion») et son remplacement par le mot « sexe ».

Ce serait alors  la fin d’une chasse par étapes dont le mot race aura été la cible. Son déroulement aura démontré deux points : la ténacité des avatars parlementaires de ce qui reste  encore du parti communiste français ; l’étrange conformisme des parlementaires français.

La ténacité des avatars parlementaires de ce qui reste encore du parti communiste français :

Richard Ferrand, rapporteur du projet de loi en juillet 2018, le reconnaît : « S’agissant de la race, c’est un combat ancien qui a été mené dans cet hémicycle, tant sous l’angle de la loi constitutionnelle que de la loi ordinaire, par des députés de différentes sensibilités, mais en particulier – c’est un fait – sur les bancs communistes. »

  • Une proposition de loi du groupe communiste de l’Assemblée Nationale, à l’initiative de Michel Vaxès, pour supprimer leterme « race » de la Constitution est discutée le 13 mars 2003 et rejetée.
  • Le 18 juin 2008 au Sénat, à la faveur d’unprojet de loi constitutionnelle, les députés du groupe CRC (groupe communisterépublicain citoyen) déposent un amendement de suppression de ce mot dans la Constitution : il est repoussé.
  • Le 16 mai 2013, l’Assemblée Nationale discute d’une nouvelle proposition de loi du Front de gauche, tendant à supprimer le mot « race » de la législation (et non plus de la Constitution).Elle est adoptée à une très large majorité, mais la navette parlementaire avec le Sénat n’a pas eu lieu et la proposition est restée lettre morte.

Pourquoi ce rôle de fer de lance des avatars du PCF ? Par conviction d’être dans le vrai ? Certainement aussi pour endosser un thème jugé fédérateur pour un parti en déshérence, lui permettant de tenter de continuer à jouer le beau rôle.

Dans la présentation de sa proposition de loi en 2003,  M.Vaxès sort ainsi ces mots qui font partie des incontournables de la propagande communiste : « nous –entendez le parti des fusillés-… ». Le parti des fusillés :  il ne faut bien sûr pas y voir une allusion aux massacres des officiers polonais à Katyn en avril 1940 par l’URSS, Maurice Thorez, déchu d’ailleurs de sa nationalité française pour désertion, résidant alors à Moscou….

Est aussi emblématique cette intervention d’Alain Bocquet, alors président du groupe PC (après une remarque de Pascal Clément, président UMP de la commission des lois :« il n’y a aucun fondement scientifique et biologique au mot race… Philosophiquement, personne ne peut s’opposer à la proposition de loi de M.Vaxès. ») : « Nous avons toujours été à l’avant-garde ».

L’étrange conformisme des parlementaires français   :

Tous les parlementaires, ou presque, communient dans l’affirmation suivante : « Les races n’existent pas. Le concept n’a plus la moindre légitimité scientifique. C’est un préjugé » (Michel Vaxès). Exemples :

  • En 2003, Jean-Paul Garraud, député UMP : « nous sommes tous d’accord sur le fond pour reconnaître que les races n’existent pas. ».
  • Le 18 juin 2008, au Sénat, Jean-Jacques Hyest, rapporteur UMP : « comme l’a dit un membre prestigieux de notre assemblée, la race n’existe pas, mais le racisme existe ! »
  • Robert Badinter, PS, toujours au Sénat en 2008 : « les races n’existent pas, mais le racisme existe. »
  • Stéphane Peu, PCF, en 2018 : « La notion de « race » ne dispose au surplus d’aucun fondement, qu’il soit politique ou scientifique. »
  • En 2018, Nicole Belloubet, garde des sceaux : « Supprimer le mot race représente évidemment un symbole puissant, mais aussi une évidence à laquelle le Gouvernement ne peut que souscrire… Nous nous plaçons donc en conformité avec les réalités scientifiques et nous nous inscrivons dans une démarche volontariste afin de rompre avec le mot race. » ; M.Jean-François Eliaou (LaRem) : « Si nous supprimons le mot de « race », c’est parce qu’il n’existe qu’une seule race humaine, comme il n’y a qu’une seule espèce humaine. » ; M.Bastien Lachaud (La France insoumise): « En effet, beaucoup l’ont dit, il n’y a pas de race humaine, mais des femmes et des hommes, qui naissent libres et égaux en droits. L’invention de prétendues races humaines… »

Et tous de se féliciter, en ce mois de juillet 2018, d’un « moment historique » :

  • Serge Letchimy (socialistes et apparentés): « Je veux saluer ce moment extrêmement important de l’élévation de la conscience collective. »
  • Sébastien Jumel (gauche démocrate et républicaine) : « Mes chers collègues, avant même le vote, je tiens vraiment à vous remercier du geste que nous allons accomplir, tant pour la France que pour l’humanité. »
  • M’jid El Guerrab (non inscrit): « Nous vivons un moment important, et même historique. »
  • Philippe Dunoyer (UDI) : « Nous nous apprêtons, en supprimant quatre lettres qui entachaient notre Constitution et en les remplaçant par quatre autres, à grandir notre loi fondamentale et par là même notre pays. »

Mais comment évacuer le mot race et continuer de conduire des actions en justice contre le racisme ? Facile :  « Supprimer l’idée de race n’est pas cesser de lutter contre les discriminations et le racisme, bien au contraire. » (Mme Laetitia Avia, LaRem).

Au vrai, pour gérer cette situation considérée comme paradoxale par certains, plusieurs options ont été présentées lors du dernier débat :

  • Stéphane Peu et Eric Coquerel (La France insoumise) proposent de remplacer le mot race par le mot « origines », écrit au pluriel, afin de rendre compte de la pluralité des discriminations que subissent bon nombre de nos concitoyennes et de nos concitoyens sur la base des origines ethniques, sociales ou territoriales.
  • Charles de Courson (UDI) a une proposition originale : « Au nom de quoi supprimons-nous le mot « race » de la Constitution ? Au nom de l’unicité de l’espèce humaine. Ne faudrait-il pas, lorsque nous aurons voté l’amendement Lagarde, que le Gouvernement complète le premier alinéa de l’article 1er de la Constitution par les mots : « Elle affirme l’unicité de l’espèce humaine » ?
  • Déjà en 2013, M.Alfred Marie-Jeanne pour sa proposition de loi concernant les lois ordinaires proposait « de substituer le mot raciste ou un membre de phrase le comprenant, aux mots race et racial. L’« incitation à la haine raciale » devient ainsi « l’incitation à la haine raciste ». Les « persécutions raciales », les « persécutions racistes », les « discriminations raciales », les « discriminations racistes » et cætera. »
  • Mais la solution est beaucoup plus simple. Mme Belloubet l’expose avec candeur en 2018 : « Supprimer le mot « race » représente évidemment un symbole puissant, mais aussi une évidence à laquelle le Gouvernement ne peut que souscrire. Pour autant, il ne faut pas que cela conduise à fragiliser notre arsenal juridique, qui nous permet de lutter contre le racisme… De nombreux filets de sécurité juridiques demeurent en réalité. Ceux-ci se trouvent dans le préambule de la Constitution de 1958, qui renvoie à celui de 1946, ce dernier comptant deux occurrences du mot « race », et dans les textes et les engagements internationaux (comme la convention européenne des droits de l’homme N.D.L.R.) … en gardant des filets juridiques précieux, qui nous permettront de continuer à lutter contre le racisme et l’antisémitisme. » Autrement dit, on enlève le mot race de la constitution, mais ça n’a aucune importance : ce même mot subsiste ailleurs, au même niveau juridique. Elle est pas belle, la vie ?

Tous les parlementaires ont-ils cédé à ce conformisme de races qui n’existent plus ? Dans tous les débats, celui qui a présenté l’argumentation la plus construite est Christian Vanneste (député UMP). C’était lors du débat de 2003 :

« Vous voulez exclure le mot « race » de notre législation parce qu’il ne serait pas scientifique. C’est une bien curieuse conception que de subordonner la loi à la vérité scientifique. La première est l’expression de notre liberté, elle est le choix de la volonté générale, elle découle du contrat social, elle prend sa source dans des valeurs de plus en plus universellement admises sur le plan philosophique. La vérité scientifique, elle, se constate, s’impose. …    Il est tout à fait possible que la science, la biologie, fournissent d’autres arguments beaucoup plus solides que la race en faveur de l’inégalité. La génétique n’attribue pas la même espérance de vie aux individus ni les mêmes handicaps. Mais précisément, cet exemple montre que le droit n’a pas à obéir à la science. Son but est de respecter des valeurs, celle de l’égalité en l’occurrence, et de mettre en oeuvre un cadre pour y parvenir. Lorsque la science souligne les inégalités, le droit doit, au contraire, les combattre et au moins créer un cadre qui les atténue.  Par ailleurs, ce n’est pas tant le concept de « race » qui n’est pas scientifique que la théorie dans laquelle il s’intègre : le racisme. J’ai relu avec plaisir un ouvrage qui date un peu : Le Racisme devant la science, cosigné notamment par Claude Lévi-Strauss, Michel Leiris et un biologiste, M. Dunn, qui écrit clairement : « Bien qu’il soit difficile de délimiter ce qu’il faut entendre par “race », la formation des races n’en est pas moins un important processus de l’évolution de l’homme et, en tant que telle, elle doit être définie et expliquée. Il semble donc préférable de définir ce terme, d’expliquer comment il faut l’employer et de le dégager ainsi de ses acceptions erronées, plutôt que de l’écarter purement et simplement, renonçant ainsi à résoudre le problème. »

M.Vanneste fait parfaitement ressortir ce curieux postulat endossé par tous les parlementaires : « il n’y a pas de fondement scientifique à la race ». Mais en est-on bien sûr ? La science bouge. Sait-on de quoi demain elle sera faite ? Au surplus, déjà, la chaîne CNews a présenté en octobre 2018 un reportage sur l’usage par le laboratoire de la police scientifique des ADN. Depuis 3 ans, des techniques permettent de fournir des caractéristiques physiques comme : les « types » (origine géographique en Europe, Afrique sub-saharienne, Afrique, Asie, Océanie), la coloration du corps (cheveux, yeux, peau). De nouveaux progrès pourraient être faits par exemple pour déterminer la forme du visage. Tout ceci ne ressemblerait-il pas étrangement à des fondements scientifiques de détermination de races ?

Toutes choses égales par ailleurs, et toujours à propos de l’ADN,  le site www.easydna.fr  propose des tests ADN pour reconnaître la race de votre chien.

Mais au fait, en 2018, il y a un scientifique éminent à l’Assemblée Nationale : Cédric Villani. Ce dernier est bien intervenu et revient d’ailleurs sur les rôles respectifs de la science et de la loi :

« Vous me permettrez une petite remarque à contre-courant sur le rôle de la science, et sur la notion d’espèce, évoquée par plusieurs intervenants. Il est vrai qu’il n’existe qu’une seule espèce humaine. Mais il ne faut surtout pas se fonder sur cette idée pour agir ; je suis un peu mal à l’aise à l’idée que cette unicité de l’espèce humaine servirait à justifier notre vote. Mes chers collègues, il n’y a pas, en biologie, de notion plus battue en brèche, au cours des dernières décennies, que celle d’espèce. Il y a trente ans, on savait ce qu’était une espèce ; demandez maintenant à un biologiste : il ne se risquera pas à vous donner une définition précise. Il arrive même que l’on découvre que ce qu’on croyait être une espèce unique est en fait multiple… La science doit éclairer nos débats, je suis le premier à le dire ; mais en aucun cas elle ne doit nous décharger de nos obligations, de nos responsabilités politiques. On considère aujourd’hui qu’il existe une seule espèce humaine, mais qui sait quelles distinctions pourraient un jour être découvertes ? … Certes, cette unité biologique, affirmée aujourd’hui par la science, est importante. Mais, pour déterminer l’unité de l’humanité, une autre raison, bien plus fondamentale, prime : c’est l’empathie, le sens d’un destin commun qui fait que, quelles que soient les avancées passées, présentes et à venir de la science, nous reconnaissons toute l’humanité comme nos frères et nos sœurs. »

On aura remarqué que M.Villani a parlé d’espèce et a (prudemment ?) évité de parler de « race ». Il a voté pour l’amendement.

Un retour en arrière permettra de comprendre l’affaissement contemporain de la pensée politique publique concernant la race : c’était il y a une éternité…, en 1996.  André Pichot, chercheur au CNRS en épistémologie et histoire des sciences, dans un article intitulé « Racisme et biologie », écrivait : « En biologie, la race est une subdivision de l’espèce. Elle réunit les individus qui, au-delà des différences individuelles, présentent tous certaines particularités héréditaires assez marquées pour les caractériser nettement en tant que groupe, mais insuffisantes pour que ce groupe constitue une espèce distincte. La définition est vague… et par ailleurs, du fait de leur interfécondité, une gradation régulière reste possible entre les races ainsi définies (l’espèce étant toujours l’unité taxonomique de base). Il n’en est pas moins vrai que, chez les hommes comme chez les animaux et les plantes, il existe des races différentes. » (Le Monde, 4/10/1996).

Quand on pense à ce qu’a été la ségrégation raciale dans un certain nombre de pays (en particulier USA et Afrique du Sud), quand on pense au CRAN (conseil représentatif des associations noires de France), quand on pense au nombre de fois où Obama a été présenté comme « le premier président noir des USA », quand on pense au nombre de situations qualifiées (à tort ou a raison) de « racistes », l’impression est d’être face à une évidence : les races existent. (En 2018, Mme Hélène Vainqueur-Christophe (socialistes et apparentés) en arrive à perdre un peu de son latin en parlant de race : « un terme dont l’application à l’espèce humaine est non seulement faussemais, surtout, choquante et dangereuse… Ce terme s’attache à des caractères apparents, le plus souvent visibles » ? Difficile de faire plus incohérent.)

« Faut-il rappeler que la biologie n’a rien à dire sur l’égalité et que celle-ci relève de la philosophie du droit, pas de la génétique ? » (André Pichot). Oui, il faut le rappeler, parce que, aujourd’hui, les parlementaires pensent que, parler de race, c’est être raciste. Les parlementaires pensent que dire : « cette personne est arabe », c’est être raciste. Comme le dit Pierre-André Taguieff :« Dans la vulgate antiraciste, le racisme est fantasmé et dénoncé comme une maladie contagieuse. C’est là rester sous l’emprise de la pensée magique, qui se représente les noms comme des véhicules de forces bénéfiques ou maléfiques. Et les antiracistes qui croient lutter contre le racisme en proposant d’interdire l’usage du mot supposé contagieux se comportent comme des magiciens. Il ne s’agit plus de soumettre à un examen critique une thèse ou une notion, mais de prohiber l’emploi d’un mot diabolisé. » (Le Figarovox, 13/10/2018)

Par l’exclusion prévue du mot race de la Constitution, les parlementaires français participent étrangement à la diffusion de cette pensée magique. Et soutiennent peut-être même cette définition de « blanchité, ou blanchitude » publiée sur le site de la ligue canadienne des droits et libertés : « le fait d’appartenir, de manière réelle ou supposée, à la catégorie sociale « Blanc » ».

Dire que Léopold Ségar Senghor a dû mourir sans savoir que la négritude était le fait d’appartenir, de manière réelle ou supposée, à la catégorie sociale « Noirs » !

Le politiquement correct a encore de beaux jours devant lui.

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6 commentaires

  1. Est-ce parce qu’il n’y a pas de race qu’il ne peut y avoir de racisme anti-blancs, et pour la même raison que les Gaulois sont tellement racistes avec les populations en provenance de l’Afrique ou du Moyen-Orient ?… Mais peut-être n’ai je pas tout compris ?
    ???

  2. Dans 10 ans il sera opportun d’interdire l’ADN, mais ça sera très dur !!!
    (connaissance détaillée de l’arbre généalogique cellulaire donc des races et des véritables parents)

  3. Si la race n’existe pas et qu’on supprime ce concept de la Constitution, soyons logique, il faut demander à nos Immortels de l’Académie de supprimer du dictionnaire ce mot aux origines étymologiques indéterminées, ainsi que tous ses dérivés réels ou présumés tels que racisme, racial, racine (carrée ou pas), déraciner et enraciner, radis, radicelle et je suggère aussi racaille et radicalisé puisque la suppression du mot entraîne la suppression de la réalité…

  4. Eh beh au moins tous les “n**** ta race, sale race de m****” et toutes les super insultes qui vous entraînent au tribunal ou au poste ne seront plus des insultes!
    Voyons le bon côté des choses!

  5. la TAXINOMIE est la science de la classification du monde vivant, permettant d’en ordonner les caractéristiques : l’unité élémentaire (le ‘taxon’) est l’ESPECE, caractérisée principalement par l’interfécondité de la reproduction des individus.
    il y a donc une seule espèce humaine, dans laquelle se trouve beaucoup de variété, par exemple les caractéristiques morphologiques (petits/grands, couleur de cheveux, de peau, d’yeux, système pileux, forme du visage, …).
    la race est l’identification d’un ensemble de personnes ayant des caractères physiques communs héréditaires, ou qui présentent des caractères communs dus à l’histoire, à une communauté, actuelle ou passée, de langue, de civilisation sans référence biologique : en bref et sommairement, chez l’humain, nature et culture font les races : il n’y a pas de races supérieures ou inférieures, mais l’histoire montre que sur tous les continents, différentes civilisations naissent, dominent (sur des territoires), meurent et sont remplacées.

  6. suite de mon post…
    A propos du député proposant de remplacer le mot ‘race’ par ‘origine’ : cela fait penser à Robespierre imposant de remplacer le mot ‘esclave’ par ‘personne non libre’.
    Ce phénomène correspond à une conception nominaliste du langage, càd que les choses existent par les mots dont on se sert pour les qualifier : dans notre cas, supprimer le mot race de notre langue, c’est affirmer sa non existence, CQFD, même si on nage en plein délire aporétique.
    Mais ces genré,e,s (je fais plaisir à madame la pornocrate Schiapa) oublient que ”chassez le naturel, il revient au galop” …
    Nos représentant nationaux et gouvernementaux, qui suppriment le mot race de notre vocabulaire, constituent bien globalement à eux seuls une RACE, caractérisée CULTURELLEMENT par l’ignorance, la débilité, le conformisme, : de nouveaux ilotes terrorisé,e,s par tout ce qui pourrait dépasser de la doxa politico-médiatique bobo, en bref un,e SALE RACE, mais qu’il faut bien admettre comme faisant partie de notre pauvre ESPÈCE humaine.

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