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Tribune libre

Le subliminal dans la cérémonie des JO

Le subliminal dans la cérémonie des JO

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Pour la grand-messe de la nouvelle religion, à l’occasion des JO, le projet de société de nos dirigeants a été présenté à l’ensemble de la planète. Pour organiser cela, le système est allé chercher une minorité dans la minorité qui prétend parler au nom de tous les autres, un classique, et ils ont choisi ceux qui font de leur sexualité le centre du monde et aiment exposer leurs turpitudes, annonçant la couleur ainsi : « Nous ne voulons surtout pas d’une reconstitution à la manière du Puy du Fou. Nous voulons faire l’inverse. Surtout pas une histoire virile, héroïsée, providentielle. On veut le désordre et que tout s’entremêle ». Avec leur propagande woke, Ils ont réussi à tout salir par ce spectacle décadent et imprégné d’un mépris abyssal pour la France et la civilisation occidentale.
Ça a commencé par Djamel donnant le ton à l’ensemble : « Oh, Zizou Christ ! Ça va »
Et puis on a donc eu l’interminable séquence, porteuse du message idéologique, des drag queens sur le pont de la hideur, mauvais goût et provocation dans ce qui ressemble d’abord à une évocation de la Cène (avec la DJ lesbienne auréolée comme le Christ, et reconnue comme telle par les acteurs, le metteur en scène se réfugiant dans la takia et nous prenant pour des jambons) puis ca se cumule (ce n’est pas 2 tableaux successifs) avec l’apparition de Bacchus (dyonisos), le dieu de l’ivresse, du dépassement des limites, nu et peint en bleu, et qui incite à oublier tout ça pour revenir à l’état de nature, sans retenue. La retenue, c’est le père qui sépare l’enfant de sa mère, lui dit non, lui apporte les règles, l’amène à l’extérieur de ce couple fusionnel satisfaisant tous les besoins de l’enfant, et lui apporte la morale nécessaire à la vie sociale. Et c’est pour ca qu’on a tué le père, et c’est pour ça qu’on détruit les religions (le christianisme en particulier) car elles apportent les normes, la loi. On les a détruit pour parvenir au retrait du surmoi (la conscience morale) et au triomphe du ça (l’instinct bestial, le principe de plaisir). Logiquement, la bacchanale emporte alors tout et ça se transforme en un défilé de mode, avec comme modèles des déjantés sataniques, grimaçant et se vautrant dans la fange. Avec, pour clore la séquence en toile de fond, le chevalier de l’apocalypse !
Et puis, disséminé tout au long, quelques exemples subliminaux de cette transgression des limites :
La destruction de la famille, symbolisée par le trouple de la Bibliothèque de France qui se bécote et finit par s’enfermer pour un plan à trois.
L’enfant parmi les drags queen
Le renversement de l’autorité par le peuple, faisant la fête révolutionnaire en rose LGBT, et conduisant tout droit au sang sur la conciergerie et Marie-Antoinette décapitée tenant sa tête tout en chantant le « ça ira », fallait oser, et devant un parterre de têtes couronnées (mais pourquoi pas louis XVI plutôt qu’elle dont le seul crime est d’être la femme du roi ?).
L’abolition des nations par l’humiliation de la Garde républicaine obligée de se trémousser sur du Aya Nakamura qui recrache des paroles vulgaires qu’heureusement personne n’a compris, devant le temple de la langue française, qui s’ouvre donc à la multiculturalité. La France chrétienne, la France blanche, c’est fini, place à la diversité.
Détail ? le drapeau olympien symbolisant l’universalité a été hissé à l’envers, et face au veau d’or, c’est le symbole de l’inversion des valeurs du monde nouveau qui s’élève, et dont le flambeau est transmis par un vieux blanc impotent.
Sans parler du refrain pro migrant des réfugiés des pays en guerre, avec en double prime un état inexistant, la Palestine, le tout en se gargarisant de l’union olympique de tous les peuples, mais sans la Russie ni la Biélorussie, drôle d’union, cela rappelle les manifestations unitaires anti attentats islamiques, dont le RN était exclu.
J’oubliais le chapitre « sororité » pour mettre en valeur nos sœurs, avec en premier Olympe de Gouges (en oubliant qu’elle fut guillotinée au nom des lumières) en oubliant Jeanne d’arc, sainte Geneviève, et bien d’autres, et pourquoi discriminer ainsi les sexes ?
Cerise sur le gateau, la délégation algérienne participe de son mépris pour la France en lançant des fleurs pour rappeler la manif du FLN de 1961.
On cherche désespérément la célébration des valeurs du sport et de la beauté de la France au milieu d’une propagande woke aussi grossière. Envie de tout péter dans ce pays de déconstructeurs et détraqués en tous genres.
Ne pas partager l’idéologie dominante, c’est , me dira-t-on, un discours de haine, et cela justifie la haine contre vous.

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5 commentaires

  1. Même pas Charlotte Corday !
    La maire de Paris veut garder les statues de femmes, pour la sororité.
    Vous avez raison de souligner que ” le trouble ” se situe dans l ‘escalier nouveau remplaçant le majestueux escalier en ferronnerie, œuvre d’artisans, donnant accès en toute sécurité du rez-de-chaussée de chaussée au premier étage où se situe la Salle des manuscrits, qui a été détruit malgré les protestations. Ont disparu les bustes des personnalités qui ont fait l’histoire de la Bibliothèque nationale de France et toute une atmosphère spéciale et accueillante.
    En contraste, à Dublin par exemple, la National Library est telle que l ‘avait connue James Joyce.
    “On” veut détruire, faire perdre les repères mais les livres sont là, en témoins.

  2. Une ouverture à l’image d’un président inculte et décadent, qui nie l’existence de la culture française et reçoit à l’ Elysée des Noirs en bas résille…

  3. Il y a une personne qui a très bien résumé l’objet du spectacle, c’est Ulrike Knöfel dans son article intitulé : “Une “Grande Nation” sous la pluie” publié sur le site du Spiegel.

    Pour ceux qui ne connaissent pas le Spiegel disons que c’est l’ “organe de référence” de la gauche allemande (certains disent le centre-gauche) bien pensante et donneuse de leçons. Bref une sorte de Monde hebdomadaire.

    Après avoir rudement critiqué le spectacle, elle conclut (presque) par :
    ” Ce qui sauve cette soirée pensée pour un public mondial, c’est qu’elle n’a pas arrêté de s’en prendre au forces réactionnaires, y compris dans son propre pays. [Rien que pour cela] on lui pardonne le reste.”

  4. Paroles subliminales dans le spectacle :

    Imagine there’s no heaven,
    Imagine qu’il n’y a aucun paradis,
    It’s easy if you try,
    C’est facile si tu essaies,
    No hell below us,
    Aucun enfer en-dessous de nous,
    Above us only sky,
    Au dessus de nous, seulement le ciel,
    Imagine all the people,
    Imagine tous les gens,
    Living for today…
    Vivant dans le présent…
    Imagine there’s no countries,
    Imagine qu’il n’y ait pas de pays,
    It isn’t hard to do,
    Ce n’est pas dur à faire,
    Nothing to kill or die for,
    Rien à tuer ou pour lequel mourir,
    No religion too,
    Pas de religion non plus,
    Imagine all the people,
    Imagine tous les gens,
    Living life in peace…
    Vivant leur vie en paix…
    You may say I’m a dreamer,
    Tu peux dire que je suis un rêveur,
    But I’m not the only one,
    Mais je ne suis pas le seul,
    I hope some day you’ll join us,
    J’espère qu’un jour tu nous rejoindras,
    And the world will live as one.
    Et que le monde vivra uni.
    Imagine no possessions,
    Imagine aucune possession,
    I wonder if you can,
    Je me demande si tu le peux,
    No need for greed or hunger,
    Aucun besoin d’avidité ou de faim,
    A brotherhood of man,
    Une fraternité humaine,
    Imagine all the people,
    Imagine tous les gens,
    Sharing all the world…
    Se partageant le monde…
    You may say I’m a dreamer,
    Tu peux dire que je suis un rêveur,
    But I’m not the only one,
    Mais je ne suis pas le seul,
    I hope some day you’ll join us,
    J’espère qu’un jour tu nous rejoindras,
    And the world will live as one.
    Et que le monde vivra uni.

  5. Une petite remarque en passant :
    il semblerait que ceux qui acceptent aujourd’hui de reconnaître la laideur esthétique et morale de cette cérémonie d’ouverture et sa portée symbolique soient exactement les mêmes que ceux qui ont accepté hier de reconnaître ce qui s’est joué autour du Covid…
    Les lignes de fracture ne sont pas toujours là où on pourrait le croire !

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