Dans une certaine mesure, puisque nous acceptons la légalisation de la mort «des autres» (c’est-à -dire la mort des «innocents à naître»), nous acceptons aussi, par une sorte de phénomène de ricochet éthique vers le bas, «la nôtre». Oui, accepter l’extermination des autres, c’est approuver en puissance notre propre extermination. Dans un tel contexte de mépris de la vie quant aux plus faibles, le principe de l’universalisation du mépris de la vie « tout court », c’est-à -dire le mépris de la vie aussi pour nous-mêmes, devient logique.
C’est pourquoi, les monarchies reposant sur des spiritualités viciées, comme les monarchies protestantes d’Europe du nord (Royaume unis compris, où dans les églises anglicanes, les gays sont «mariés»), n’ont rien à envier, en matière d’abomination, aux pires républiques et démon-craties, infestées par le politiquement correct (France, Allemagne, États-Unis, etc…). En effet, nous trouvons dans ces sinistres «royaumes» (plus du diable que de Dieu) les habituelles infamies de la culture de mort: meurtre des enfants à naître, mariage contre nature, théorie du genre etc…
On le voit, dans un cas comme dans l’autre, il s’agit du rejet de l’homme essentiel créé par Dieu et à l’image de Dieu. Bien évidemment, au-delà de l’attaque contre la vraie nature profonde de l’homme – créature et fils adoptif de Dieu -, il y a l’attaque contre Dieu « tout court ». L’homme « écologiste » qui, en dégringolant volontairement au niveau du règne animal ou végétal, ne veut rien d’autre qu’entraîner Dieu avec lui dans sa chute (faire de Dieu un animal ou une plante « comme les autres ») ou bien, à l’opposé, en se fondant dans un univers ultra-technologique où l’homme fusionnera avec la machine et le virtuel, faire de Dieu un ordinateur ou un hologramme, là aussi « comme les autres » – dont il (l’homme) décidera lui-même du programme informatique. Détruire la dignité de l’homme afin de polluer (si c’était possible) celle...[Lire plus]
En 2022, alors que nous sommes écrasés par ce système républicano- maçonnique issu du coup d'état jacobin de 1793, prétendre pouvoir être à la fois catholique et républicain, relève en gros du discours sur la quadrature du cercle. Cela équivaut, in fine, à ne respecter ni le principe de causalité, ni celui de non contradiction.
"Cette vision bien évidemment, in fine, rejette aussi la vocation du « libre arbitre » de l’homme qui constitue pourtant sa seule vraie dignité et qui lui permet (parfois) de faire le choix de Dieu. La psychanalyse quand elle n’est plus à sa place devient aussi la négation de Dieu. Cette vision globalisante de la psychanalyse s’oppose fondamentalement à toute idée de transcendance. Certes, les événements de l’enfance influent à long terme sur l’individu mais cela relève justement de la «personnalité» qui n’est pas à confondre avec les choix ontologiques entre le bien et le mal."
Un correspondant américain nous fait suivre cette image qui circule sur les réseaux sociaux. “Si le Covid-19 contraint le Planning familial à fermer durant 15 jours, le virus aura sauvé davantage de vies qu’il n’en aura pris.”
Monseigneur, Vous avez eu le courage de parler pour défendre la vie de Vincent Lambert, hospitalisé dans votre diocèse de Reims, et menacé d’une mort atroce. Bien que ce dernier ne soit pas en fin de vie, mais seulement handicapé et que, par conséquent, les soins qu’il reçoit n’aient rien […]
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