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Obamagate : 4 ans de guerre ouverte pour tuer Donald Trump

Pays : Etats-Unis / Vidéos

Le décryptage d’André Bercoff :

Et sur Boulevard Voltaire :

Quand on a appris que Trump était le favori et qu’il a été nominé, et même avant, comme candidat des Républicains, le FBI s’est mis sur la trace. Un obscur Républicain a rencontré quelqu’un de la fondation Clinton et lui a dit que les Russes étaient près à donner des renseignements sur Hillary Clinton, etc. C’était n’importe quoi. Mais l’équipe Trump a été mise sous surveillance. Au fur et à mesure, cela s’est développé jusqu’au moment de cette réunion absolument fatidique du 5 janvier, deux semaines avant la prise du pouvoir. Trump a été élu en novembre et a pris le pouvoir le 20 janvier. À ce moment-là, Susan Rice, conseillère à la sécurité nationale aux côtés d’Obama a écrit le 20 janvier, le jour de la cérémonie présidentielle pour Donald Trump : « le 5 janvier dernier, le président Obama nous a demandé s’il fallait transmettre à l’équipe Trump tous les renseignements concernant la Russie ». Ce mémo est en notre possession et a été déclassifié. Pourquoi dit-elle cela ? Parce qu’à l’époque, le 5 janvier, il y avait le patron de la CIA et du FBI. On leur a demandé si des choses étaient à transmettre ou non avec les Russes. Ils ont décidé de ne pas transmettre et de continuer l’enquête. D’où le départ de la légende magnifique de Trump avec les Russes et que les Russes auraient fait gagner l’élection présidentielle à Trump. Il y a eu deux ans et demi d’enquête avec l’ancien directeur de la CIA. Les médias du monde entier en ont parlé du matin au soir, surtout les médias américains. Pour finir, il n’y a pas eu l’ombre du commencement d’une preuve. Cela a continué avec tout l’entourage d’Obama. Il a passé son temps sans cesse sur les radios et télévisions en disant : « c’est la marionnette et un agent de Poutine et doit être destitué ».

Ensuite, l’affaire de l’Ukraine est arrivée. On a essayé de dire que ses ambassadeurs ont interféré en Ukraine. Idem, aucune preuve.

La seconde partie est la plus intéressante et elle ne fait que commencer. Aujourd’hui, le nouveau ministre de la Justice de Trump a déclassifié les documents d’audition à la chambre des Représentants des acteurs de l’opération aussi bien du FBI que des opérations soi-disant de l’équipe de Trump. Tous les gens que l’on a entendus du matin au soir disent qu’ils ne savent rien. Pourquoi cette différence? Parce qu’ils témoignent sous serment. Aux États-Unis, on ne rigole pas avec cela. Quand vous témoignez sous serment et que vous parjurez ou vous mentez, c’est non seulement une sanction matérielle, mais aussi de la prison. Actuellement, avec l’opération déclassification, les gens qui n’ont aucune preuve disent qu’ils ne savaient rien, alors qu’ils disaient exactement le contraire. On parle du directeur de la CIA et de la sécurité nationale. Ce sont les top niveaux des conseillers d’Obama. Je ne dis pas que Obama a initié l’opération, mais il savait tout. C’est donc Watergate puissance dix. À côté, Watergate est un petit jeu du dimanche.

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