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Terrorisme LGBT dans le football

Aïrine Fontaine, footballeuse du FC Fleury et des espoirs de l’équipe de France, interrogée sur la présence de l’homosexualité dans le football féminin, a fait une réponse qui provoque une pluie de condamnations unanimes et scandalisées pour son horrible homophobie :

« Comme c’est dit dans la Bible, on sait très bien que l’homosexualité est un péché. Après, moi, je ne suis pas dans le négatif. C’est-à-dire que… Moi j’encourage justement ces personnes à se battre, à essayer de sortir de ça et surtout à ne pas culpabiliser… C’est sûr que quand on est dans le péché, quand on fait quelque chose de mal, et bah on culpabilise. On a tendance à s’éloigner du bien, on a tendance à se mettre dans un gouffre et l’objectif est de sortir de cette zone en fait (…) Pour sortir de cette zone, il ne faut pas réagir avec sa chair, avec ce que notre corps nous demande mais plutôt réagir avec le cœur et pas avec la tête, justement. Pour ces personnes, pour les personnes dans l’homosexualité, je voudrais juste leur dire que Dieu les aime toujours. Il ne faut pas croire que Dieu ne les aime pas, que c’est mort ou qu’ils n’arriveront jamais à se rapprocher de lui. Pour moi, c’est un péché. L’homosexualité est un péché. »

La vidéo de Holy Productions où elle osait proférer la vérité chrétienne a été supprimée. La FFF fait savoir qu’elle « condamne fermement les propos inappropriés d’Aïrine Fontaine dans sa récente interview. Ils vont à l’encontre totale des valeurs de respect et d’inclusion défendues par la Fédération Française de Football ». La joueuse est menacée de sanctions.

“L’Europe est en danger de suicide civilisationnel”

Le vice-président américain JD Vance a déclaré sur Fox News :

L’Europe est en danger de suicide civilisationnel — elle refuse de contrôler ses frontières et supprime la liberté d’expression de ses citoyens. Je veux qu’elle prospère et reste un allié important, mais cela passe par le respect de son propre peuple et de sa souveraineté, et nous ne pouvons pas le faire à sa place.

Pèlerinage à Paray-le-Monial les 2 – 3 mai – Sacré CÅ“ur de Jésus, source de vie pour toute l’Eglise

Consécration au Sacré CÅ“ur, nuit d’adoration, topos sur le Sacré CÅ“ur, démarche jubilaire pour fêter les 350 ans des apparitions de Notre-Seigneur à Sainte Marguerite Marie.
Venez, approfondir votre dévotion au Sacré Cœur et apprendre de Lui comment mieux vivre de la grâce des sacrements déjà reçus (baptême, confirmation et, le cas échéant, mariage) et régulièrement reçus (confession et communion).

La paroisse Saint-Roch avec les paroisses Saint-Eugène et Sainte-Odile vous donnent rendez-vous les vendredi 2 et samedi 3 mai.

Plus de renseignements : https://www.billetweb.fr/pelerinage-paray-le-monial-2025

Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.

Saint Louis de Gonzague, une étoile filante

Terres de Mission : Donald Trump et les catholiques américains

Eglise universelle : Donald Trump et les catholiques américains

Les catholiques américains ont largement contribué à la victoire électorale de Donald Trump. Correspondante aux Etats-Unis du bimensuel L’Homme Nouveau, Armelle Signargout nous présente les catholiques des équipes de Donald Trump, la nature des relations avec les évêques américains et explore les rapports du président avec la foi catholique.

Eglise en France : Les rites orientaux à Paris

Anne Le Pape a mené une enquête dans tous les lieux où se célèbrent à Paris les rites orientaux catholiques. C’est à la découverte de ces liturgies d’origine apostolique que l’auteur nous mène dans un passionnant petit livre : “La tradition liturgique – Les rites catholiques, latins et orientaux, reçus des apôtres”.

Eglise en Marche : Une communauté de religieuses trisomiques : Les Petites SÅ“urs disciples de l’Agneau

Bruno de Saint Chamas est un des frères de Petite sÅ“ur Marie-Ange rappelée à Dieu en 2020 après 33 ans de vie religieuse dans une communauté qui accueille des jeunes filles trisomiques : Les Petites SÅ“urs disciples de l’Agneau. Avec émotion et précision, il nous présente le charisme propre, la spiritualité et les activités de cette attachante et originale communauté.

Nous n’irons pas tous au paradis

Le Père Philippe-Marie Margelidon, dominicain de la province de Toulouse, a été interrogé dans France catholique par Émilie Pourbaix sur le thème des fins dernières. Extrait :

Au moment de la mort clinique – arrêt du cœur et encéphalogramme plat – l’âme est séparée du corps et continue seule à vivre. À cet instant précis, elle est fixée dans les choix qu’elle a posés pendant sa vie, jusqu’à ce dernier instant où elle n’a plus la liberté de choisir pour ou contre Dieu. Elle paraît alors face à lui pour le jugement particulier. Une – fausse – doctrine circule depuis les années 1950, sur un soi-disant choix « en pleine connaissance de cause », qui serait donné à l’âme juste après la mort, dans une sorte de « dialogue » post-mortem avec Dieu, de dernière chance… C’est la fameuse « option finale ». En réalité, ce n’est pas du tout comme cela que les choses vont se passer : le temps du choix et de la conversion est uniquement celui de la vie sur terre. À partir de l’instant de la mort, nous sommes fixés dans les choix que nous avons faits pendant notre vie, nous n’avons plus de liberté. Nous recevons alors la récompense – ou la sanction – de ce que nous avons fait durant notre vie, selon nos mérites ou démérites : paradis ou purgatoire – en attendant de pouvoir aller au paradis – ou enfer éternel. L’enjeu est immense et bien réel : dans le canon numéro 1 de la messe, le prêtre demande à Dieu : « Arrache-nous à la damnation éternelle. »

Deuxième dimanche de Carême : la Transfiguration

Nous remercions l’association Una Voce de nous autoriser à publier des extraits des excellents commentaires des cinq pièces grégoriennes du dimanche ou de la fête à venir.
Vous aurez la totalité des textes sur le site et nous ne pouvons que vous encourager à vous abonner à la newsletter hebdomadaire en cochant dans la case adéquate sur la page d’accueil.

La messe célébrée ce dimanche est celle du IIe dimanche de Carême. Notre Seigneur avant d’entrer dans la douloureuse épreuve de sa Passion nous laisse paraître, dans l’Évangile de ce dimanche la splendeur de sa gloire par la Transfiguration devant trois de ses disciples. Cet état de béatitude auquel nous sommes également appelés ne se réalisera que par l’infinie miséricorde de Dieu que tous les chants de cette messe réclament…

Introït : Reminiscere, issu du psaume 24

Reminíscere miseratiónum tuárum, Dómine, et misericórdiæ túæ, quæ a sæculo súnt // ne únquam dominéntur nóbis inimíci nóstri // líbera nos, Déus Israel, ex ómnibus angústiis nóstris. Souvenez-vous Seigneur de votre bonté et de votre miséricorde qui sont de toujours // Que nos ennemis ne l’emportent pas sur nous // Délivrez-nous, Dieu d’Israël, de toutes nos angoisses.

Le verset de cet introït est bien entendu le début du psaume 24 que nous avons souvent entendu au temps de l’Avent.

Ad te Dómine levávi ánimam méam : Déus méus in te confído, non erubéscam. Vers vous, Seigneur, j’élève mon âme, mon Dieu c’est en vous que je mets ma confiance et je n’aurai pas à en rougir.

Graduel : Tribulationes

Le texte du graduel de ce IIe dimanche de Carême qui suit l’introït provient également du psaume 24. C’est une humble prière de l’âme repentante bien placée après l’épître qui vient de nous donner divers moyens de mortification.

Tribulatiónes córdis méi dilatátæ sunt : de necessitátibus méis éripe me,  Dómine. Et voici le verset :

Víde humilitátem méam, et labórem méum ; et dimítte ómnia peccáta méa.
Les angoisses de mon cœur se sont multipliées. Arrachez-moi à mes tourments.
Voyez mon humiliation et ma peine et remettez tous mes péchés.

Le contexte du psaume replace ces paroles dans un climat de confiance en la miséricorde divine.

M. Yves Gire écrivait sur ce graduel du IIe dimanche de Carême :

On retrouve (comme à celui de la messe du jour de Noël par exemple) un 5e mode sans partie grave empruntée au 6e mode, avec les trois notes importantes Fa-La-Do énoncées dès le départ. Dans la première partie il y a peu de grandes vocalises, seulement sur Dómine ; dans la deuxième partie, il y a surtout  celle de Labórem, typique des graduels du 5e mode ; à noter dans cette vocalise, à la fin de la deuxième incise, l’épisème sur le Sol qui n’indique qu’un petit soulèvement de la note au levé avant de retomber sur la longue, le léger élargissement correspondant devant commencer sur le losange qui précède. Sur ómnia on trouve une formule de graduel du 2e mode (en La), ce qui est assez fréquent, les deux modes ayant la même dominante.

Trait : Confitemini

Le Trait du IIe dimanche de Carême Confitémini Dómino comporte quatre versets qui sont les premiers du psaume 105, psaume de louange à la miséricorde divine en laquelle nous autres pécheurs nous mettons notre confiance. La suite du psaume raconte longuement toutes les infidélités dont le peuple d’Israël s’est rendu coupable au cours de son histoire, et  comment, à chaque fois, le Seigneur en a eu pitié et lui a pardonné, ce qui justifie cette louange  et cette confiance.

Voici la traduction de ce texte :

Louez le Seigneur car il est bon, car sa miséricorde est éternelle. Qui racontera tous les hauts faits du Seigneur, qui fera entendre toutes ses louanges ? Heureux ceux qui gardent ses commandements et qui accomplissent sa volonté en tout temps. Souvenez-vous, Seigneur, de votre peuple dans votre bienveillance, visitez-nous pour nous sauver.

La mélodie, comme celle de tous les Traits, est une psalmodie très ornée avec des formules qui reviennent aux différentes cadences du texte. Elle s’apparente beaucoup à celle du Trait Dómine non secúndum du mercredi des Cendres. On y retrouve en particulier la même progression d’un verset à l’autre depuis le grave vers l’aigu.

Offertoire : Meditabor

Deux versets du long psaume 118, le psaume de la fidélité à la Loi divine, fournissent le texte de l’offertoire.

Meditábor in mandátis túis quæ diléxi válde, et levábo mánus méas ad mandáta túa quæ diléxi. Je méditerai sur vos commandements car je les aime de tout mon cœur, et je lèverai les mains vers vos commandements que j’aime.

L’expression levábo mánus méas = je lèverai les mains exprime la prière de l’âme vers son Créateur.
La mélodie correspond tout à fait à cette atmosphère méditative, avec son faible développement et ses longues tenues. [On remarquera comme est souligné le mot diléxi = j’aime qui revient deux fois, d’abord par une simple accentuation, puis par une grande vocalise très expressive].

Communion : Intellige

L’antienne de communion du IIe dimanche de Carême est encore une prière personnelle, suppliante mais pleine de confiance, avec un grand élan d’amour et d’adoration. Elle est tirée du psaume 5, une des nombreuses prières de David en butte aux persécutions de ses ennemis et qui s’en remet à la protection divine :

Intéllige clamórem méum, inténde vóci oratiónis meæ, Réx méus, et Déus méus : quóniam ad te orábo, Dómine. Entendez mon appel, soyez attentif à la voix de ma prière, mon Roi et mon Dieu, car c’est vous, Seigneur que je supplie.

On remarquera dans la mélodie les grands élans de Intéllige au début et orábo à la fin, ainsi que la douceur pleine de tendresse sur l’invocation Réx méus, et Déus méus (mon Roi et mon Dieu).

Saint Joseph selon les écrits de saint François de Sales

« Ite ad Joseph ! Ce n’est pas une invocation mais bien une exhortation, un encouragement à aller vers le père nourricier de Jésus. Ces trois mots nous viennent de l’Ancien Testament. Pharaon parlant de Joseph, de l’homme qui interprétait les songes, de celui qu’il a élevé au second rang de son royaume en Egypte, dit : « Allez à Joseph et faites ce qu’il vous dira ». Gn XLI, 45. N’est-ce pas prémonitoire pour ces temps de tribulations du XXI° siècle ?

Saint François de Sales 1567-1622, docteur de l’Eglise, bien connu pour avoir contribué à rendre accessible la vie spirituelle à tous les états de vie, est aussi l’un des auteurs qui ont le plus contribué par leurs travaux à étendre le culte de saint Joseph, « un maillon de la transmission de la doctrine et de la réflexion théologique sur saint Joseph depuis les Evangiles jusqu’à nos jours. »

L’auteur, le chanoine Lefebvre, d’après les écrits de saint François de Sales va développer en vingt chapitres aux titres évocateurs, la place de Joseph et le plan de Dieu. Le Docteur de l’Amour Divin, reprenant les écrits et pensées de grands auteurs spirituels : saint Thomas d’Aquin, saint Bonaventure, Ludolphe le chartreux, Père Garrigou Lagrange, saint Jean d’Avila, Louis de Grenade, Louis de la Puente, etc, ne va pas se contenter de « rapporter ce que les siècles passés ont pu dire mais il va l’enrichir de sa propre réflexion. » Prééminence de Joseph sur tout autre saint : « Trois noms sont donnés à saint Joseph dans l’Evangile, il est appelé Epoux de Marie, Père du Christ et Homme juste ». Et pas à pas, chapitre après chapitre nous suivons Joseph dans sa vie terrestre : pensées, tribulations, décisions, vie quotidienne et sainte mort – montée au ciel corps et âme ?

Eclairées par la réflexion et nourrie de citations et textes ces pages sont magnifiques et prédisposent à la méditation en ce mois de saint Joseph. Cette lecture donne un élan à une dévotion véritable fondée sur une connaissance plus approfondie. ” Rien par force ” nous dit le saint Docteur !
« Puissent ces pages vous rapprocher de saint Joseph afin que vous puissiez entendre ce que le saint du silence cherche à vous dire, lui qui n’a d’autre désir que de vous attacher toujours plus à Marie et par elle à Jésus, ce double dépôt si cher à son cœur ».

Plus d’informations et commandes sur LIVRES EN FAMILLE

https://www.livresenfamille.fr/spiritualite/28271-saint-joseph-selon-les-ecrits-de-saint-francois-de-sales.html

Saint Joseph selon les écrits de saint François de Sales, Chn. Lefebvre, édition de l’Homme Nouveau, 156 pages, 15€.

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Pèlerinage de Tradition

Après avoir marché avec saint Thomas d’Aquin l’an dernier, cette année, le pèlerinage de Pentecôte 2025 de Chartres à Paris se fera sur le thème : « Pour notre mère, la Sainte Église ».

Dans un monde en crise, où l’Église semble vaciller, nous voulons proclamer haut et fort notre attachement indéfectible à la foi catholique et à la Rome éternelle. Comme Mgr Lefebvre l’a si souvent rappelé, notre fidélité à l’Église ne doit jamais faiblir, même lorsque les épreuves et les contradictions se multiplient.

Cette année nous fêtons les 350 ans des apparitions du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie. Depuis sa création, le pèlerinage de Pentecôte est placé spécialement sous le patronage du Sacré-Cœur. Redoublons donc de ferveur dans notre dévotion et confions-Lui tout particulièrement la Sainte Église !

Nous avons tous un rôle dans ce pèlerinage : prier pour l’Église, témoigner de notre foi et nous sanctifier à travers ces trois jours de marche et de dévouement.

Prenez note dans vos agendas !

Les 7, 8 et 9 juin : le pèlerinage de Pentecôte 2025.
Le 13 avril, dimanche des Rameaux : ouverture des inscriptions en ligne sur https://www.pelerinagesdetradition.com/chartres-2025/

C’est le moment d’en parler autour de vous, de distribuer des bulletins et de recruter ! Invitez vos amis, vos familles, vos collègues à venir marcher avec vous. Dans un monde qui s’éloigne de Dieu, notre pèlerinage est un témoignage vivant de notre amour pour l’Église, pour la société, pour la famille.

Se préparer spirituellement dès maintenant :

Le dossier spirituel « Pour notre mère, la Sainte Église » est là pour nous guider dans cette préparation. Il nous aidera à mieux comprendre le trésor que nous avons reçu et le combat à mener pour le préserver et le transmettre.
Disponible ici : https://www.pelerinagesdetradition.com/boutique/dossier-spirituel/

Chartres sonne, Chartres t’appelle !
Répondons dès maintenant à cet appel avec enthousiasme et ferveur ! Marchons ensemble, pour l’Église, pour notre salut, pour la gloire de Dieu !

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Euthanasie: les “garde-fous” ne protègent pas longtemps…

Lu sur Gènéthique à propos de la discussion sur l’euthanasie en Grande-Bretagne:

Selon la première mouture du texte, la possibilité du suicide assisté ne devrait pas être accessible aux patients incapables d’exprimer une volonté informée et libre de toute influence extérieure. Cela impliquerait de prendre en compte le cas particulier des personnes atteintes d’un handicap cognitif tel que la trisomie 21. Celles-ci doivent être protégées d’un suicide assisté qui serait induit par une compréhension insuffisante de leur situation. Elles peuvent aussi être influencées par un entourage qui – à l’instar de la société en général – les considère parfois comme un poids. Or l’amendement 319, rédigé avec le concours de 50 associations telles que Down’s Syndrome UK, Down’s Syndrome Scotland, and the National Down’s Syndrome Policy Group, et qui accordait à ces personnes un accès à l’information adapté et un délai de réflexion plus long, a été rejeté. Rejeté également, le verrou de la majorité. Les patients pourront se voir proposer le suicide assisté dès l’âge de 16 ans [14].

Avec un total de 30 députés qui annoncent retirer leur soutien à la proposition de loi, la majorité ne dépend plus que d’une quinzaine de voix et le texte pourrait être rejeté en troisième lecture. Il reste aussi à connaître la décision de la Chambre des Lords, plus conservatrice que la chambre basse.

Il est intéressant de se souvenir que, chez nous, lors de la discussion du projet de loi sur la fin de vie avant la dissolution, un amendement d’Annie Vidal (qui a déposé la proposition de loi sur les soins palliatifs qui sera débattue en mai prochain) visant à exclure l’euthanasie des handicapés mentaux et des personnes souffrant de déficience intellectuelle avait été rejeté. Les mêmes causes produiront-elles les mêmes effets de ce côté-ci de la Manche?

Accord entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan

L’Arménie et l’Azerbaïdjan ont annoncé un accord historique le 13 mars, ouvrant la voie à un traité de paix : les deux pays renoncent aux revendications territoriales et établissent des relations diplomatiques. Parmi les points clés figurent l’arrêt des poursuites judiciaires internationales et l’exclusion des forces étrangères le long de leur frontière.

Un désaccord persiste sur le Haut-Karabakh, l’Azerbaïdjan exigeant une modification constitutionnelle difficile pour l’Arménie. Malgré ces obstacles, la Turquie pourrait faciliter les négociations futures. Cet accord préliminaire constitue une avancée majeure vers la paix dans le Caucase, mais les tensions historiques rendent encore incertaine une solution définitive à court terme.

La conclusion d’un accord de paix ne garantirait pas seulement la stabilité du Caucase du Sud, mais elle ouvrirait également des opportunités économiques en établissant une voie de communication terrestre entre la Chine et l’Europe.

Comment faire un bon carême ?

“Darmanin ne recule jamais devant un mensonge, c’est le Mentir-vrai d’Aragon. Il ment comme il respire mais paraît sincère avec son petit air de jeune homme !”

Les Incorporels, ces anges qui ont le gouvernement de l’univers…

De Marion Duvauchel pour Le Salon beige

Car on voyait passer dans la nuit, par moments

Quelque chose de bleu qui paraissait une aile

Victor Hugo, « Booz endormi «

 

Dans nos paroisses aujourd’hui largement désaffectées, les Anges ne sont plus que de vieilles légendes décoratives ou prétexte à montrer qu’on a encore un peu de culture chrétienne. Il n’y a que dans les mouvances new âge ou psychédéliques qu’on s’intéresse au monde angélique et cet intérêt tient davantage de l’héroïque fantaisie que d’une droite théologie ou mieux, d’une angélologie un peu informée.

Qui commande ? C’est une question essentielle que celle du gouvernement des hommes, des nations, et aujourd’hui celui du monde. Les théories qu’on dit complotistes soulèvent cette question de savoir qui tient les rênes. Bien sûr, pour le chrétien, celui qui a le commandement suprême, c’est Dieu et ce commandement a été donné à son Fils. Mais Il n’est pas tout seul, même si tout Lui a été remis, Il a des armées célestes et elles méritent notre attention. Il existe à Athènes une église des « Saints Incorporels » où l’on peut voir trois grandes icônes figurant les trois Archanges de la Tradition que les orthodoxes appellent les Taxiarques », les chefs des armées des cieux : Michel, Gabriel et Raphael.

Les anges sont partout et les hommes sont guidés par ces « Incorporels » énigmatiques que dans l’un de ses sermons, saint Bonaventure nous engage vivement à connaître. L’ennui, c’est que l’information demande une connaissance des médiévaux et de leur outillage.

Le christianisme ne connaît pas de « continuum des démons » comparable au monde grouillant des divinités diverses de l’hindouisme qui offre l’exotique version d’un univers que l’Église, dans sa prudence, invite à ne pas explorer. Il convient de ne pas ignorer sa mise en garde. Bonaventure engage à connaître les saints anges, pas les anges prévaricateurs. Il n’empêche. Car hormis les naïfs et les menteurs nul n’ignore aujourd’hui qu’il existe des cultes à Satan.

Il faut considérer l’ange tombé avec le respect que mérite sa dignité de pur esprit !  Tout pouvoir sur les démons a été donnée aux premiers disciples. Jésus lui-même en parle clairement (Lc 10, 18-19) :

« Je voyais Satan tomber du ciel comme l’éclair. Voici, je vous ai donné le pouvoir de fouler aux pieds serpents et scorpions, et toute la puissance de l’ennemi, et rien ne pourra vous nuire ».

Quand il transporte le Christ sur une haute montagne et lui montrant tous les royaumes de la terre avec leur gloire, Satan lui dit : « je vous donnerai tout cela, car tout cela m’a été livré et je le donne à qui je veux ». Le Christ ne l’a pas démenti.

Si nous avons quelques lumières sur le pouvoir de Satan (et donc de ses cohortes) nous n’avons rien dans les Écritures sur la nature des démons, autrement dit leur mode d’action. Origène le déplore. Les Pères de l’Église se sont employés à combler ce silence des Écritures. Dieu a accordé à l’ange comme à l’homme le libre arbitre dont chacun use à sa guise pour s’élever vers le bien ou pour s’abîmer dans le mal. L’ange dispose de ce libre arbitre. Mais à la différence de l’homme son consentement ou son refus de servir est définitif. Lucifer est devenu mauvais par le choix de sa volonté, choix qui marque un changement d’état et la perte de sa « sainteté », perte définitive et irréversible. Le premier et le plus beau des anges est devenu, par sa rébellion, un monstre hirsute assimilé à Satan.

S’il est question dans la Bible de différents types d’anges, on n’y trouve aucune classification hiérarchique, c’est l’œuvre propre des médiévaux, à partir des doctrines théologiques et philosophiques grecques et arabes, (autrement dit persanes véhiculées en langue arabe). Il y a deux textes de référence pour la notion d’ange :  le De divinis nominibus de Denys et le De fide orthodoxa de Jean Damascène. L’ange est imago Dei par nature, similitude par la grâce et déiforme par la gloire. L’idée de hiérarchie angélique est ancienne et le texte de référence est la Hiérarchie céleste de Denys l’Aréopagite. La Tradition tient qu’il a été instruit par saint Paul. C’est contesté, mais ne nous laissons pas impressionner. Dans les écrits de saint Paul, on relève les Trônes, Principautés, Vertus, Dominations. Puis se sont ajoutés Séraphins, Chérubins, Anges et Archanges. Comment, cela reste obscur.

Autant le monde des divinités tantriques apparaît désordonné, hirsute comme les démons qui y participent, autant le monde des anges est ordonné. L’idée (ancienne) des ordres angéliques ne commence cependant à circuler qu’au XIIIe siècle, en particulier avec Thomas et Bonaventure, qui classifient et codifient les apports antérieurs. Puisque le monde des créatures spirituelles est par définition un monde ordonné, en bonne logique, les ordres qui le constituent doivent être nommés de manière claire et distincte, à partir de propriétés et de perfections qui sont propres à chaque ordre. L’univers a été créé selon nombre, poids et mesure, harmonieusement donc : les hiérarchies angéliques reflètent cette ordonnance douée de beauté.

Dans notre tradition comme dans bien d’autres, l’action des démons est conçue comme d’ordre physique : ils provoquent les maladies, accidents et perturbations atmosphériques. C’est cohérent car ils ont le gouvernement de l’univers, donc de ce qu’on appelle la « météo », le climat, c’est eux… Le changement climatique aussi ! Sans doute embarrassé, le christianisme rationaliste et rationalisant des derniers siècles leur a accordé surtout un pouvoir d’ordre moral : ils excitent les passions humaines. Les Anciens disaient plus simplement que l’idolâtrie, « puissance afflictive » est la forme la plus grave de leur domination.

Au chêne de Membré, Abraham voit trois anges qui ont pris une apparence humaine. Jacob rappelle qu’avant de voir le ciel ouvert, la rencontre avec l’Ange fait l’objet d’un combat. Il en garde une hanche déboîtée. « Voici le camp de Dieu » s’écrit-il en voyant les Anges de Dieu venir à sa rencontre. Les Anges, c’est donc une armée, une véritable armée, une armée de soldats innombrables. Comme toute armée, elle est solidement organisée. Cet ordre n’est pas un ordre inamovible, tout dépend de l’angle, de la perspective, voire de la hiérarchie appréhendée. Cela fait déjà une solide combinatoire. Il y faut donc un peu de technicité.

Dans un petit livre inédit, Les saints Anges, Huit sermons sur le monde céleste de saint Bonaventure, traduits, présentés et annotés par Bernard Verten, aux Éditions Grégoriennes, l’auteur présente de manière un peu détaillée huit « sermons sur le monde céleste », (ou si l’on préfère huit homélies sur les hiérarchies angéliques), du docteur subtil. La référence souveraine, c’est Denys l’Aréopagite : toute la hiérarchie céleste se réduit à trois ordres. Mais c’est aussi Isaïe. La cour intérieure du temple de Salomon est bâtie avec trois rangs de pierres polies : « voici que moi j’établirai tes fondations en rangées de saphirs ». Lucifer lui-même était couvert de toutes les pierres précieuses, la sardoine la topaze, la jaspe… Et les portes de la Jérusalem céleste sont gardées par douze anges. Le sermon I des saints anges a pour référence le texte de l’échelle de Jacob (Gn, 28) : les Dominations commandent, les Vertus exécutent, les Puissances triomphent, les Principautés guident, les Archanges instruisent, les Anges soutiennent. Mais ailleurs, dans un autre sermon, ce sont les Anges qui guident… Parce que Bonaventure fait varier les paramètres. Il n’est pas docteur subtil par hasard.

Il y a les ordres angéliques (ou hiérarchies) et il y a les communications angéliques. La Hiérarchie angélique reçoit la lumière divine, la transmet de chœur en chœur, jusqu’à la Hiérarchie ecclésiastique, reflet terrestre du monde spirituel, (ce que seules, osons le dire ici, les liturgies orthodoxes reflètent encore). Quant au mouvement ascendant, c’est celui par lequel l’homme est guidé par les Anges vers Dieu.

Et chez les démons ça se passe comment ? On n’en sait rien. On ne peut que conjecturer. Mais si l’on admet que l’ange est imago Dei par nature, similitude par la grâce et déiforme par la gloire, on peut concevoir ce que l’ange prévaricateur a perdu par son refus de servir. Il n’a pas refusé de servir Dieu : il a refusé de servir l’homme, dont l’intelligence n’est pas comparable à la sienne. On ne peut pas ne pas servir Dieu, si on ne le sert pas filialement, on le sert servilement. Satan ne peut aller contre la volonté divine, mais il peut se concilier la volonté humaine, en particulier celle de cette catégorie d’hommes qui se sont détournés de Dieu, devenant ainsi comme une sorte de « bien vacant » dont le démon peut s’emparer à son aise. Pour les autres, il lui faut ruser pour assurer son emprise, cela s’appelle la tentation.

Mais les Anges veillent et ne demandent qu’à veiller sur nous. Il existe même, dit la Tradition, un ange affecté spécifiquement à chaque homme et qu’on appelle l’« ange gardien ». Demandez et l’on vous donnera : leur aide nous est acquise.

Heureux les pauvres, le royaume de Dieu est à eux : les Anges en montrent le chemin, l’image en est l’échelle de Jacob. C’est la quatrième alliance.

Heureux ceux qui pleurent, ils seront consolés. Marie-Madeleine est la grande figure de cette déchéance idolâtre dont elle a été sauvée, et il lui aura fallu beaucoup de larmes et trente années d’ascèse pour « tisser en elle-même le corps du Ressuscité, par la pénitence » pour elle, mais aussi pour tous les membres du corps du Christ » (Jean-François Froger, Marie Madeleine, l’Apôtre des Apôtres)

Heureux les cœurs purs, ils verront Dieu : ils le verront dans les formes du monde créé et l’ordonnance source de beauté qui l’organise ; ils le verront dans le cœur des hommes de bonne volonté lorsqu’il transparaît dans leurs actes de bonté ou de charité.

On peut entendre l’écho de la lumineuse polyphonie angélique dans la musique de ceux et celles qui ont perçus dans leur ciel intérieur ou dans leur nuit profonde la douce et parfois insistante présence de ces Incorporels que saint Bonaventure invite à connaître.

Les mensonges de Darmanin sur la Russie

Notre sinistre de la justice a osé déclarer le 12 mars :

« Ceux qui assassinent Samuel Paty, c’est qui ? Ce sont des citoyens russes, tchétchènes ».

Et il en est de même de l’assassin de Dominique Bernard, un Ingouche, donc un Russe… Or ces profils,

« fichés S, radicalisés, islamistes, sont des citoyens russes et la Russie refuse de les reprendre ».

La porte-parole du gouvernement, Sophie Primas, a ajouté :

« Samuel Paty a été assassiné par un Tchétchène russe. Donc, y compris sur le terrorisme, le rôle de la Russie est engagé ». « Il s’agit de faire comprendre aux Français, non pas de les effrayer, non pas de les manipuler, mais simplement de leur faire comprendre la réalité de la menace russe, qui est réelle et sérieuse. »

Balivernes.

L’assassin de Samuel Paty avait le statut de « réfugié ». Donc il avait fui la Fédération de Russie, qui ne peut donc pas être tenue pour responsable de ses actes. Il était en France depuis 12 ans et n’avait aucun contact avec la Russie, comme l’enquête l’a formellement établi. La République française lui avait donné un titre de séjour de dix ans, sept mois avant son crime. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin n’avait évidemment pas demandé à la Russie « de le reprendre ».

En ce qui concerne l’assassin de Dominique Bernard, en France depuis ses 13 ans, il n’était pas expulsable selon le droit français, ainsi que Darmanin le sait très bien puisqu’il était ministre de l’Intérieur. Et même s’il l’avait été il n’aurait pas été expulsé, et pas du tout à cause du refus de la Russie : sa famille devait être expulsée en février 2014. Car la Fédération de Russie acceptait de la « reprendre », contrairement à ce que prétend Darmanin. Mais les lobbies immigrationnistes avaient fait échouer le transfert…

Droit d’asile : le gouvernement des juges a encore frappé

Concernant le droit d’asile en raison de la persécution des homosexuels, le Conseil d’Etat juge que le seul fait que la loi pénale du pays d’origine ne criminalise pas les relations homosexuelles ne suffit pas à exclure tout risque !

Le juge de l’asile doit apprécier in concreto la réalité des persécutions. Un immigré égyptien a demandé à la Cour nationale d’asile d’annuler la décision de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) du 27 avril 2022 rejetant sa demande de réexamen et de lui reconnaître la qualité de réfugié. Par une décision du 9 mai 2023, la Cour nationale du droit d’asile a rejeté sa demande. Il a donc fait appel au Conseil d’Etat, soutenant qu’il craint d’être persécuté en cas de retour dans son pays d’origine en raison de son orientation sexuelle.

Et maintenant, voici la reconnaissance du préjudice des personnes condamnées pour avortement

La reconnaissance du préjudice des personnes condamnées pour avortement est au programme des “niches” LI et PS.

La commission des Lois du Sénat a adopté à l’unanimité la proposition de loi visant à reconnaître le préjudice subi par les personnes condamnées sur le fondement de la législation pénalisant l’avortement, et par toutes les femmes, avant la loi du 17 janvier 1975 relative à l’interruption volontaire de la grossesse.

Ce texte porté par l’ancienne ministre Laurence Rossignol, sénatrice (PS) du Val-de Marne, prévoit également l’institution auprès du Premier ministre d’une commission nationale indépendante de reconnaissance du préjudice subi par les femmes ayant avorté et les personnes ayant pratiqué des avortements avant la loi Veil, chargée “de contribuer au recueil et à la transmission de la mémoire des atteintes aux droits subies par les femmes et reconnues par la Nation en application de l’article 1er de la présente loi”.

Le texte sera à l’ordre du jour de la séance publique du 20 mars.

Ils sont devenus complètement hystériques de l’avortement.

243 000 bébés exterminés, ce n’est pas suffisant

Alors que samedi 8 mars, journée internationale des droits des femmes, marque le premier anniversaire de l’inscription dans la Constitution française de la « liberté garantie à la femme » de recourir à l’avortement, le gouvernement a fait de nouvelles annonces en la matière vendredi.

Dans un communiqué commun, la ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles, Catherine Vautrin, et le ministre chargé de la Santé et de l’Accès aux soins, Yannick Neuder, ont annoncé une série de mesures :

  • « assouplissement des procédures pour permettre aux professionnels de ville de pratiquer l’IVG en lien avec les établissements autorisés en gynécologie-obstétrique ou en chirurgie », l’objectif étant « d’élargir l’offre d’IVG en dehors des structures hospitalières ».
  • développer la pratique des avortements chirurgicaux hors établissement de santé et préconise pour cela le « renforcement des compétences des centres de santé » et l’« extension du droit des sages-femmes à pratiquer l’IVG instrumentale en centre de santé »
  • lancement d’une « campagne nationale visant à mieux informer les femmes sur leurs droits, à lutter contre la désinformation et à promouvoir des ressources fiables » [sic]
  • organisation d’une « enquête nationale permettant d’évaluer précisément les délais d’accès, les parcours des patientes et les représentations de l’IVG au sein de la population, afin d’adapter au mieux les politiques publiques ».

Alors que près de la moitié des Français considère le nombre d’avortements comme « préoccupant » et que 65% d’entre eux estiment que la société devrait davantage aider les femmes à éviter d’avoir recours à l’avortement selon une récente enquête IFOP, l’exécutif veut accélérer la suicide du pays.

Emmanuel Macron faisait appel l’autre jour à “la force d’âme de la nation”. Mais en élargissant le crime contre l’enfant à naître, il participe au suicide de notre nation.

Gagné ou perdu : une nouvelle ère pour Pixar et Disney

SOURCE : https://leconservateur-media.fr/2025/03/13/gagne-ou-perdu-une-nouvelle-ere-pour-pixar-et-disney/

La série animée Gagné ou Perdu, sortie sur Disney+ en février 2025, marque une étape importante pour Pixar. C’est leur première série originale, distincte de leurs films précédents, et elle aborde des thèmes profonds à travers le prisme du sport et de la jeunesse.

UNE HISTOIRE CAPTIVANTE ET HUMANISTE

L’intrigue suit l’équipe de softball du collège, les Pickles, en pleine préparation d’un match décisif. Chaque épisode adopte le point de vue d’un personnage différent, qu’il soit joueur, entraîneur ou spectateur. Ce concept narratif permet d’explorer diverses émotions et expériences de vie, une marque de fabrique de Pixar (Vice-Versa, Là-Haut). Réalisée par Carrie Hobson et Michael Yates, cette série s’inscrit dans la tradition Pixar de raconter des histoires émouvantes.

UNE REPRÉSENTATION INÉDITE DU CATHOLICISME

L’un des aspects les plus remarquables de Gagné ou Perdu est l’introduction de Laurie, un personnage ouvertement catholique, ce qui est une rareté dans les productions Disney depuis les dernières années sombres du wokisme. Son arc narratif met en avant la foi comme un moteur de résilience et de solidarité, offrant pour une fois ainsi une représentation positive et inspirante de la chrétienté.

UN MESSAGE POSITIF ET UNIVERSEL

À travers des thématiques telles que la persévérance, l’acceptation de soi et l’importance de la communauté, Gagné ou Perdu transcende son cadre sportif pour livrer une réflexion plus large sur la vie et les valeurs humaines. Bien que la série ait été au cœur d’une controverse par les soldats mortifère du wokisme en raison de la suppression d’un arc narratif sur la transidentité, elle reste une œuvre marquante, offrant des personnages riches et attachants. — NDRL: Ouf ! —

DISNEY ET LA FIN DU WOKISME : UN NOUVEAU CAP

L’industrie du divertissement, longtemps moteur du progressisme culturel, s’adapte à cette évolution. Disney, après des années de controverses liées à l’inclusion forcée de certains thèmes dans ses productions, semble amorcer un virage vers des belles valeurs plus universelles. Gagné ou Perdu, en mettant en avant des personnages ancrés dans des valeurs classiques et légitime comme la famille et la foi, illustre bien ce retour à un récit moins idéologique .

Ce recentrage n’est pas anodin : il répond à une volonté du public, qui aspire à des histoires fédératrices plutôt qu’à des narratifs politisés, déviant voire pervers. Le rejet du wokisme par une partie de la société américaine traduit un désir de cohésion et d’unité, des valeurs en accord avec les enseignements chrétiens prônant la réconciliation et la fraternité​ au lieu de la division, la stigmatisation par le discours permanent de la race. L’obsession du rapport à la sexualité.

UN RETOUR AUX VALEURS TRADITIONNELLES

Avec Gagné ou Perdu, Disney semble amorcer un tournant en s’éloignant de la tendance « woke » qui avait marqué certaines de ses productions récentes. En mettant en avant des valeurs classiques comme la famille, la foi et le mérite personnel, la firme revient à un récit plus universel et fédérateur. Ce recentrage permet de renouer avec une large partie du public qui aspire à des histoires porteuses d’espoir et de repères stables. La mise en avant du catholicisme dans la série témoigne de cette volonté d’inclure une diversité authentique, tout en respectant les croyances et traditions qui ont façonné de nombreuses générations.

En somme, Gagné ou Perdu s’impose comme une série émouvante et accessible à tous, capable de toucher un large public tout en portant des messages forts et l’importance de la foi dans le développement personnel. Une belle réussite pour Pixar et Disney+.

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“Que n’échangez-vous vos mocassins à pampilles et vos vestons croisés contre des rangers et des gilets pare-balles ?”

Le député RN Marc de Fleurian, ancien officier de la Légion étrangère, est intervenu à l’Assemblée nationale à propos d’une résolution européenne appelant au renforcement du soutien à l’Ukraine :

La proposition de résolution européenne dont nous débattons apparaît bien dérisoire au vu des évolutions rapides qui se jouent sur la scène diplomatique internationale. Alors que les États-Unis ont ouvert les négociations avec les Ukrainiens et les Russes, l’Union européenne joue à la dînette et notre assemblée s’apprête à amender un texte déjà caduc.

Depuis trois ans, certains sautent comme des cabris sur ces bancs en disant : « Soutien à l’Ukraine ! », avec pour triste bilan un million de victimes chez les Ukrainiens. Depuis trois ans, le Rassemblement national tient ferme une position équilibrée fondée sur deux piliers.

Le premier pilier repose sur des valeurs et sur l’inclinaison du cœur. C’est le principe du soutien de l’agressé face à l’agresseur ; c’est la défense de la souveraineté face à l’impérialisme ; c’est la restauration du droit international et le respect du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

Le second pilier repose sur le pragmatisme et sur le sens des réalités. Il vise à rendre à la France sa singularité de puissance d’équilibre dans le concert des nations et à lui faire conserver son rang de puissance mondiale parmi les géants, historiques ou émergents. Il passe par le refus de l’idéologie eurobéate, qui contraint des nations indépendantes et fortes à s’enchaîner artificiellement les unes aux autres et leur retire toute capacité de manœuvre.

L’Union européenne est aussi peuplée et aussi riche que le Saint Empire romain germanique, mais également aussi immobile et aussi impuissante. Ce n’est pas parce qu’on attache deux boxeurs ensemble qu’on additionne leurs forces. Bien au contraire, on les rend immobiles et vulnérables aux coups de l’adversaire.

La diplomatie française, appuyée par une défense indépendante, doit redevenir un outil opérationnel, et non idéologique, nous permettant d’atteindre des objectifs identifiés et un état final recherché, dans le cadre d’une stratégie définie par le chef des armées et débattue au Parlement. Comme le concédait enfin Jean-Yves Le Drian il y a dix jours, elle doit avoir pour principal objet la sécurité et les intérêts de la France et de son peuple. Voilà pour le cadre général dans lequel s’inscrit cette résolution.

Pour ce qui concerne le fond de la résolution – je m’adresse aussi à M. l’ambassadeur présent en tribune –, soyons clairs : avec tout le respect que nous devons aux Ukrainiens au vu de leur résistance héroïque, on ne nous forcera pas à voter un texte qui prévoit l’entrée de l’Ukraine dans l’Union européenne et qui entraînerait à terme le sacrifice de nos agriculteurs, via la baisse drastique des subventions et l’accélération de la concurrence déloyale en matière de prix et de normes de production, qu’ils subissent déjà. L’entrée de l’Ukraine dans l’Union européenne, c’est la mort de l’agriculture française.

On ne nous forcera pas non plus à voter un texte qui prévoit l’« extension immédiate des garanties de sécurité occidentales envers l’Ukraine », sans concertation et hors du cadre d’un accord de paix. Un tel geste risquerait d’accrocher la France et les Français à l’engrenage qui pourrait nous précipiter dans une guerre inutile.

En raison de ces deux points bloquants, nous ne pourrons pas voter ce texte et devrons nous abstenir, malgré notre soutien sans équivoque au peuple ukrainien. Depuis trois ans, au Rassemblement national, nous tenons fermement une position équilibrée, et nous continuerons à la tenir, loin des variations d’humeur et de l’inconstance d’un chef des armées en mal d’attention. La proposition défendue par Marine Le Pen d’organiser une conférence de paix internationale fait aujourd’hui la démonstration éclatante de sa pertinence : c’est là qu’est la place de la France et de sa diplomatie.

Ces bancs débordent de va-t-en-guerre qui ont le courage d’envoyer les Ukrainiens au front ; que n’échangez-vous vos mocassins à pampilles et vos vestons croisés contre des rangers et des gilets pare-balles ? Lorsqu’on vote la guerre, il faut être capable d’aller la mener. Vous avez des suppléants ; démissionnez, puisque nous entrons en guerre, et allez au front ! Allez passer une seule nuit dans une tranchée, dans la neige, sous les balles ; alors vous pourrez donner des leçons aux Ukrainiens et à tous ceux qui se battent pour la liberté !

Un film sur Saint Georges

En attendant la sortie de ce film en DVD et VOD en avril prochain, grâce à Saje, voici un premier extrait au cours duquel, l’empereur Dioclétien rassemble ses principaux chefs militaires, dont Georges de Cappadoce, pour commencer les persécutions contre les chrétiens :

 

Subsidiarité en matière d’éducation

Aux Etats-Unis, le ministère de l’Education a annoncé que ses effectifs allaient diminuer presque de moitié. Il avait 4133 fonctionnaires lorsque Donald Trump est devenu président, il va en rester 2183. Près de 600 ont déjà bénéficié du programme de réduction des effectifs de l’Etat fédéral piloté par Elon Musk, les autres seront placés en congé administratif.

Dans un entretien à Newsmax, Linda McMahon (photo), secrétaire à l’Éducation des États-Unis, a déclaré que cela allait permettre d’économiser 500 millions de de dollars par an. Et ce n’est pas fini :

« Le président a dit très clairement qu’il pensait que le ministère de l’Education devait disparaître, et il a dit que la réussite de mon travail consisterait à me mettre moi-même au chômage. »

Ce ministère n’a été créé qu’en 1979, et Donald Trump veut rendre aux Etats la totalité de leurs compétences en la matière. Toutefois comme toujours dans ces cas-là, le ministère a fini par devenir nécessaire sur certains points, et il ne devrait pas être entièrement démantelé. D’autant que cela demanderait un vote de 60 sénateurs. Mais il sera réduit au minimum.

En France il y a plus d’un million de fonctionnaires de l’Education, pour des résultats catastrophiques.

Conférence Charles et Zita de Habsbourg. Par le Père Jean Baptiste

Les AFC du Saumurois proposent une conférence sur Charles et Zita de Habsbourg; elle sera donnée par le Père Jean Baptiste de l’ Abbaye de Lagrasse.

Elle aura lieu au lycée Saint Louis de Saumur 49.

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Pourquoi les élèves ne savent-ils plus écrire ?

Aude Denizot est professeur agrégé en droit privé à l’université du Mans. Elle a aussi enseigné l’économie et la gestion au lycée il y a quelques années. Elle est l’auteur du livre Pourquoi nos étudiants ne savent-ils plus écrire ? (éd. Enrick B). Un ouvrage dans lequel elle analyse les causes de la chute du niveau des élèves en post-bac, notamment en français, tout en proposant des solutions pour enrayer l’effondrement du système scolaire. Une lecture édifiante, avec de nombreux extraits de copies d’étudiants qui montrent que le problème est bien plus grave qu’on ne le pense…

« J’ai peu à peu constaté que le niveau de français se dégradait. Les fautes devenaient de plus en plus graves et de plus en plus nombreuses, les phrases ne voulaient plus rien dire, les mots n’avaient plus aucun sens, explique-t-elle. Chaque année, nous découvrons des erreurs de français qui, jusqu’à présent, n’avaient jamais été commises. »

Outre de sérieuses lacunes en orthographe, en conjugaison et en grammaire, Aude Denizot souligne que le vocabulaire des étudiants s’est aussi « considérablement appauvri », ce qui induit notamment des « problèmes de compréhension en lecture, avec des difficultés à mesurer ce que dit un texte pourtant assez simple » et des étudiants qui confondent des mots usuels.

« La baisse du niveau est extrêmement inquiétante puisqu’on arrive à un point où le langage écrit et oral ne permet plus de communiquer. On a des enfants qui sont hors-sol. »

Des difficultés que l’on retrouve d’ailleurs dans toutes les disciplines, selon Aude Denizot.

« J’échange beaucoup avec une professeure en filière informatique. Elle est absolument effrayée par le niveau de mathématiques de ses étudiants qui sont incapables de faire le moindre calcul. Pour multiplier par dix ou diviser par dix, les étudiants prennent la calculatrice ».

« Les professeurs d’histoire vous diront la même chose. Les étudiants mélangent un peu tout, ils ont une vision très caricaturale, ils connaissent quelques thématiques, mais il n’y a pas de connaissances historiques. […] certains étudiants pensent que le Chili est en Afrique, ils n’ont aucune connaissance du monde, de la planète en général. »

D’après Aude Denizot, la chute du niveau scolaire n’épargne personne :

« Tout le monde est concerné, y compris les très bons élèves qui sont, certes, très bons aujourd’hui, mais qui sont moins bons que ne l’étaient les très bons élèves d’il y a dix, vingt ou trente ans. »

Si le constat de la baisse du niveau des élèves semble largement partagé, les classements TIMSS et PISA témoignant du décrochage de la France, l’Éducation nationale ne ferait rien pour régler problème, selon Aude Denizot.

« L’idée, c’est que la masse – tout le monde sauf les enfants des élites, bien sûr, qui arrivent à échapper à cela –, soit dans le même moule totalitaire, avec des idées toutes faites, une certaine idéologie, des cours d’histoire un peu orientés, mais surtout, je dirais, cette nullité. Les enfants ne savent ni écrire ni lire, ni compter, donc c’est vraiment l’empire de la bêtise et on veut imposer ça à tous pour qu’il y ait très peu de têtes qui dépassent. »

Voici son entretien (durée 1h30) :

Accord de paix Rusie-Ukraine : Trump, l’architecte d’une nouvelle ère pour l’Ukraine

SOURCE: https://leconservateur-media.fr/2025/03/13/accord-de-paix-russie-ukraine-trump-larchitecte-dune-nouvelle-ere-pour-lukraine/?_thumbnail_id=1517

Après des années de conflits et de négociations avortées, un tournant historique semble se profiler à l’horizon de l’Europe de l’Est. Grâce à l’intervention décisive de Donald Trump, un accord de paix entre la Russie et l’Ukraine serait sur le point d’être signé, marquant ainsi une rupture majeure dans un conflit qui a déjà coûté d’innombrables vies et bouleversé la stabilité régionale.

UN CONTEXTE DE TENSIONS PERSISTANTES

Depuis l’annexion de territoires ukrainiens et l’intensification des combats, la guerre a alimenté une spirale de violence et de méfiance. Les tentatives précédentes de dialogue n’avaient pas réussi à instaurer une véritable trêve, en grande partie à cause d’exigences incompatibles et d’un manque de garanties réelles pour la sécurité des populations. Dans ce climat de défiance, l’intervention d’un acteur extérieur, capable de fédérer des positions jusque-là opposées, s’est avérée indispensable.

L’INTERVENTION DÉCISIVE DE DONALD TRUMP

C’est dans ce contexte que Donald Trump est intervenu en apportant une touche de diplomatie peu conventionnelle. Par des démarches fermes et des menaces de sanctions économiques, il a réussi à convaincre les deux parties qu’un changement de cap était inévitable. Trump a ainsi instauré un climat de confiance provisoire, en organisant des rencontres de haut niveau et en posant les jalons d’un dialogue direct entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky. Selon plusieurs sources proches des négociations, sa capacité à imposer une posture ferme et à jouer sur l’effet de levier des sanctions a été décisive pour débloquer la situation.

LES ÉLÉMENTS CLÉS DE L’ACCORD

Si la signature est imminente, l’accord de paix devrait comporter plusieurs volets essentiels destinés à mettre un terme aux hostilités et à poser les bases d’une reconstruction durable :

Un cessez-le-feu immédiat et durable : La mise en place d’un cessez-le-feu généralisé qui mettra fin aux combats sur l’ensemble du territoire ukrainien.
Le retrait progressif des troupes : Une désescalade militaire avec le retrait planifié et vérifié des forces russes des zones occupées.
La création de zones démilitarisées : L’établissement de corridors de sécurité et de zones tampon, contrôlés par des observateurs internationaux, afin de garantir le respect du cessez-le-feu.
Des garanties de sécurité renforcées : La mise en place d’un dispositif de surveillance international et la promesse d’un soutien économique massif pour la reconstruction, notamment par le biais d’un fonds de relance européen et d’aides bilatérales.
Un processus de dialogue sur les différends territoriaux : Un mécanisme de négociation permanent, encadré par des médiateurs internationaux, pour résoudre les questions territoriales en suspens et établir un nouveau cadre de coexistence pacifique.

LES RÉPERCUSSIONS POUR L’AVENIR

La concrétisation de cet accord marquerait le début d’un nouveau chapitre pour l’Ukraine et la Russie, mais également pour l’ensemble de la région. Pour l’Ukraine, la fin des hostilités signifierait la possibilité de se reconstruire et de reprendre le chemin d’une intégration européenne renforcée. L’économie, meurtrie par des années de guerre, pourrait bénéficier d’investissements massifs et d’un regain de confiance des partenaires internationaux.

Pour la Russie, l’accord représenterait une opportunité de réintégrer la communauté internationale et de voir se réduire l’impact des sanctions économiques, tout en transformant l’image du pays sur la scène mondiale. Toutefois, l’accord ne mettrait pas fin aux défis politiques et territoriaux qui nécessiteront un suivi rigoureux et des compromis sur le long terme.

L’accord de paix, rendu possible par l’intervention stratégique de Donald Trump, pourrait ainsi ouvrir la voie à une ère de stabilité et de reconstruction dans une région trop longtemps marquée par le conflit. Si toutes les parties respectent leurs engagements, ce document historique deviendra le point de départ d’un processus de réconciliation et de développement, offrant l’espoir d’un avenir plus serein pour l’Ukraine, la Russie et l’Europe dans son ensemble.

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I-Média : Menace Russe ? Vite, Macron s’en va-t-en-guerre !

Cette semaine dans “I-Média”, Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin reviennent sur la cérémonie des Bobards d’Or 2025, avec l’AFP salissant la mémoire des victimes de francocide qui décroche l’or, France Télévisions et Le Monde entre outrage et ridicule avec leur “Cène” revisité par des drag queens pour le bobard d’argent, et enfin pour le bronze, Élisabeth Borne dépassant les bornes du crédible en annonçant l’effondrement de la France si le budget n’était pas voté… Sans oublier le bâillon d’or décerné à l’ARCOM et le bobard d’ARTE Junior désinformant les enfants avec des bobards anti-Trump sauvé par le jury.

Et puis dans le dossier du jour, alors qu’Emmanuel Macron agite la menace de la guerre pour regagner en popularité, les médias glorifient le réarmement et la mobilisation générale en parlant nuit et jour d’économie de guerre et de service militaire. Une escalade de propagande guerrière qui semble sans fin…

Pierre-Edouard Stérin et son internat catholique menacé

SOURCE : https://leconservateur-media.fr/2025/03/12/pierre-edouard-sterin-et-son-internat-catholique-attaque/

Homme d’affaires libertarien, philanthrope et catholique, Pierre-Édouard STÉRIN refait parler de lui avec le financement d’un internat catholique privé non mixte. Ce projet, qui suscite autant d’admiration que de lynchage par l’extrême-gauche, ambitionne de proposer un enseignement « conforme aux valeurs chrétiennes traditionnelles » dans un cadre exclusivement masculin à l’heure où l’école de la République ne fonctionne.

UN PROJET ÉDUCATIF AMBITIEUX

Situé en périphérie de Lyon, l’établissement, qui devrait ouvrir ses portes à la rentrée prochaine, se veut un modèle d’excellence académique et spirituelle. Selon ses promoteurs, l’objectif est d’offrir aux élèves

« un environnement propice à l’apprentissage, au dépassement de soi et à la formation d’une élite intellectuelle enracinée dans la tradition chrétienne ».

Interrogé sur les raisons de son engagement, Pierre-Édouard STÉRIN explique :

« L’éducation est un pilier fondamental de notre société. Trop d’écoles actuelles s’éloignent des valeurs essentielles. Cet internat offrira une alternative pour les familles qui souhaitent une éducation rigoureuse, sans les influences nuisibles du monde moderne. »

L’EXTREME-GAUCHE ATTAQUE UNE ECOLE PRIVÉE

Le caractère non mixte de l’établissement privée suscite des attaques par les associations féministes et progressistes d’extrême-gauche, avec l’argument du « recul ». « Exclure les filles d’un tel projet envoie un signal négatif sur l’égalité des chances », vilipende Sophie Laurent, porte-parole de l’association Mixité et Progrès. En sachant que cet établissement est privé et donc dans son droit le plus inaliénable sur son choix des méthodes et d’organisation —NDLR : Il est vrai que les communistes ont du mal avec la notion de liberté individuelle et de propriété privée, heureusement que nous avons des libertariens catholiques pour faire des piqûres de rappel.—

Les promoteurs de ce beau projet argumentent par un retour à un modèle éducatif éprouvé, favorisant la concentration et la discipline. « L’histoire a prouvé que l’éducation séparée permettait souvent de meilleurs résultats académiques », souligne le recteur de l’internat, le père Jean-Marie Delacroix.

UN MILLIARDAIRE EXEMPLAIRE ?

Déjà connu pour son soutien à plusieurs causes de préservation de la foi catholique et nationale, Pierre-Édouard STÉRIN n’en est pas à son premier projet. Grand donateur de mouvements prônant un retour aux traditions catholiques, il a par le passé financé des campagnes contre l’évolution des programmes scolaires jugés trop woke qui nivèlent le niveau par le bas des jeunes générations françaises.

Dans cet acte de mécénat engagé, l’extrême-gauche dénonce une tentative de « peser sur l’éducation selon une idéologie passéiste ». Pour le politologue Jérôme Mallet, « ce projet illustre la montée d’un certain conservatisme éducatif en France, qui séduit une frange de la population inquiète des mutations sociétales. »

QUEL AVENIR POUR L’INTERNAT ?

Malgré les attaques de l’extrême-gauche, les inscriptions battent leur plein. — NDLR : Etonnant, non ? Comme dirait le wokiste Jean-Michel Aphatie— De nombreuses familles se disent séduites par cette alternative aux établissements publics et privés sous contrat, qu’elles jugent parfois trop éloignés de leurs valeurs.

L’internat de Pierre-Édouard STÉRIN sera-t-il un modèle d’avenir ?Hors de doute ! L’évolution du débat autour de l’éducation en France le prouvera. Ce projet illustre une tendance plus large : celle d’un retour en force des écoles privées à identité catholique et nationale, dans un contexte de remise en question du système éducatif républicain.

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Portes ouvertes du collège de garçons Saint-Dominique du Pecq (78)

Opération portes ouvertes au Collège de garçons de Saint-Dominique du Pecq
Le samedi 15 mars 2025 à 10h30

Excellence et épanouissement de nos garçons grâce à une éducation de qualité, dans un cadre familial et stimulant.

Nous vous invitons à découvrir notre projet éducatif, nos valeurs et nos atouts pour les classes de sixième, quatrième et troisième garçons (niveau de cinquième plein), à visiter nos locaux, à rencontrer nos enseignants et à échanger avec nos élèves.

 Un enseignement d’excellence, basé sur des méthodes classiques et éprouvées.
 Une éducation intégrale, qui allie rigueur intellectuelle, épanouissement personnel et valeurs morales.
 Un cadre bienveillant et structurant, propice à l’apprentissage et à la réussite.
 Un suivi individualisé, pour aider les élèves qui en ont besoin à progresser à leur rythme.
 Des professeurs expérimentés et engagés, soucieux de la réussite de leurs élèves.
 Un enseignement de la Foi catholique, dispensé par des aumôniers présents dans l’école toute la semaine.
 Un taux de réussite au Brevet des collèges supérieur à la moyenne nationale.
 Une préparation solide pour l’entrée au lycée.

Inscriptions : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSdNJEkPsMwhn8t6teE5wvPCrWn72pFdvzZjrjziK7EQED9qww/viewform

Informations : [email protected]
https://ecole-stdominique.fr/etudier/college/Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.

Décès du prince Frederik de Luxembourg : un combat contre la maladie POLG

source : https://leconservateur-media.fr/2025/03/12/deces-du-prince-frederik-de-luxembourg-un-combat-contre-la-maladie-polg/

Le prince Frederik de Luxembourgné né le 18 mars 2002, au sein de la famille grand-ducale luxembourgeoise, fils cadet du prince Robert de Luxembourg et de son épouse, la princesse Julie. Benjamin par le prince Alexander avec sa sœur, la princesse Charlotte, est décédé à l’âge de 22 ans des suites d’une maladie mitochondriale rare, connue sous le nom de POLG. Cette pathologie génétique, qui affecte les cellules en les privant d’énergie, entraîne une défaillance progressive de plusieurs organes, notamment le cerveau, les nerfs, le foie et les muscles. Diagnostiqué à l’âge de 14 ans, Frederik a combattu cette maladie avec courage jusqu’à ses derniers instants.

La maladie de POLG est causée par des mutations du gène du même nom, qui joue un rôle clé dans le fonctionnement des mitochondries, les centrales énergétiques des cellules. En raison de cette mutation, les cellules ne parviennent pas à produire suffisamment d’énergie, ce qui entraîne des symptômes variés et souvent sévères, allant de la fatigue chronique à des troubles neurologiques et musculaires. Cette maladie rare et difficile à diagnostiquer et ne dispose actuellement d’aucun traitement curatif.

Ses proches ont partagé les détails de ses derniers moments, soulignant son incroyable force et son amour pour sa famille. Entouré de ses parents, de son frère Alexander et de sa sœur Charlotte, Frederik a eu la force de leur faire ses adieux. Dans un geste poignant, il a posé une ultime question à son père : « Papa, es-tu fier de moi ? », à laquelle le prince Robert a répondu avec émotion, lui assurant qu’il avait vécu une vie pleine de sens et de courage.

En hommage à Frederik, la famille continue son engagement à travers la POLG Foundation, créée en 2021 pour soutenir la recherche sur cette maladie méconnue. Son décès suscite une vague d’émotion au Luxembourg et au-delà, rappelant l’importance de la sensibilisation aux maladies rares.

Nos pensées et prières accompagnent la famille grand-ducale en ces moments douloureux.

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“Le haut-commissaire en chef des petits hommes gris”

Le député UDR Charles Alloncle a critiqué mercredi dans l’hémicycle la bureaucratie française :

Monsieur le premier ministre, savez-vous qu’au travail, pour changer une simple ampoule, vous devez suivre une formation obligatoire de trois jours, qui doit être renouvelée tous les trois ans, que cette règle est valable pour les ampoules dont le diamètre du culot est de 15 millimètres, mais pas pour celles à culot de 10 millimètres et que, si l’escabeau pour changer l’ampoule compte trois marches ou plus, il est inutile de tenter seul l’ascension : vous devez appeler un collègue pour vous assister et vérifier la fameuse posture réglementaire. Ceci n’est pas une brève du Gorafi, mais malheureusement la France d’aujourd’hui : cette France aux 400 000 normes, aux 10 000 articles du code du travail, aux 1 200 agences et opérateurs de l’État et aux quatre strates de collectivités territoriales. L’excès normatif coûte chaque année 4 % du PIB – nous sommes loin des 0,5 % de nos voisins européens. Cette France n’a jamais trouvé mieux pour simplifier que d’empiler les comités, commissariats, et autres autorités.

La dernière nouveauté audacieuse de la technostructure en 2025, c’est la création, dans votre prochain projet de loi, d’un Haut Conseil à la simplification. Le haut-commissaire que vous étiez ne dira pas le contraire : quand l’administration attribue le grade de « haut » ou « haute » à un nouvel organisme à financer, c’est pour mieux en masquer la vacuité. Monsieur le premier ministre, la France est tenue en laisse par des technocrates déconnectés qui ne tiendraient pas deux semaines à la tête d’une entreprise. Aurez-vous enfin le courage d’en finir avec la bureaucratie ou resterez-vous le haut-commissaire en chef de ces petits hommes gris ?

Réponse de M. Laurent Marcangeli, ministre de l’action publique, de la fonction publique et de la simplification :

Nous avons déjà eu l’occasion de discuter des ambitions du gouvernement en matière de simplification. Ce que vous avez rappelé se produit hélas dans d’autres domaines. S’agissant d’abord du calendrier, la semaine dernière, mes collègues Éric Lombard, Véronique Louwagie et moi-même avons réuni plus de 200 chefs d’entreprise à Bercy pour évoquer le projet de loi à venir. Ce texte n’est pas le grand soir, nous en conviendrons tous, mais il est un début de réponse, notamment aux entreprises, en matière de simplification. Nous veillerons à travailler avec toutes les forces désireuses d’y contribuer pour l’améliorer en commission spéciale, à partir de la fin mars, et dans l’hémicycle.

Mais cela ne s’arrêtera pas là. Le premier ministre a pris des engagements. Lors de sa déclaration de politique générale, il a lui-même cité les chiffres que vous avez mentionnés – nous les connaissons tous. Nous devons nous mettre tous ensemble au travail pour, selon les cas, supprimer ou modifier ces normes qui se contredisent, qui font penser à un mauvais sketch, du domaine de l’absurde.

C’est une véritable volonté du gouvernement, défendue par tous les ministères : celui de l’agriculture, de la culture, du travail, de l’économie, des collectivités territoriales – vous avez cité des exemples de situations que rencontrent parfois les maires. À vous de faire des propositions pour orienter le gouvernement. Nous sommes prêts à travailler avec toutes les forces parlementaires qui le souhaitent. Les Français demandent cette réforme, le gouvernement y est prêt, la volonté est là.

M. Charles Alloncle :

Je vous prends au mot : le groupe UDR déposera probablement un amendement visant à supprimer 100 000 normes sur les 400 000. J’espère obtenir votre approbation.

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