Le tribunal administratif de Melun confirme le dossier de Frontières
Nouveau rebondissement dans l’affaire de l’influenceur algérien surnommé Doualemn, expulsé le 9 janvier du territoire, refusé par l’Algérie qui l’a renvoyé le soir même, incarcéré dans un centre de rétention administrative, puis son expulsion a été annulée le 29 janvier. Le tribunal administratif de Melun a annoncé l’annulation de l’obligation de quitter le territoire français (OQTF). Le ministère de l’Intérieur compte faire appel de cette décision et poursuivre la procédure d’expulsion à l’encontre de cet individu, accusé d’antisémitisme et d’appels au meurtre. Boualem Naman a été libéré aujourd’hui du centre de rétention et a obtenu une autorisation provisoire de séjour, assortie d’une indemnité de 1 200 euros (avec nos impôts).
Dans son dernier numéro, Frontières a enquêté sur ces avocats militants qui font du business sur les clandestins, provoquant l’ire de la profession. Le Conseil des barreaux européens, représentant 1 million d’avocats sur 46 pays, a même écrit au Président Macron
Plus de 40 % des affaires traitées par les tribunaux administratifs français concernent le droit des étrangers. En 2023, ce taux était précisément de 43,3 % selon le rapport annuel du Conseil d’État sur l’activité juridictionnelle et consultative des juridictions administratives, soit 111 473 affaires sur les 257 329 jugées.
Du 1er octobre au 30 novembre, les tribunaux administratifs (métropole et DROM) ont traité plus de 10 000 dossiers relatifs à un recours initié par un requérant étranger.
Savez-vous que presque chaque jour, un clandestin mis en cause pour des faits de viol dépose un recours devant les tribunaux administratifs pour contester son expulsion ?
A titre d’exemple, entre octobre et novembre 2024, le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne a traité 73 affaires concernant des clandestins. Sur 69 jugements, 55% ont été remportés par les clandestins.
Dans un jugement, l’État a été condamné à payer une astreinte de 900 euros par mois car il n’a pas trouvé d’hébergement à un étranger en situation irrégulière. Cela s’appelle le droit à l’hébergement opposable.
Le rédacteur en chef du Monde se trompe de destinataire
Lu sur le blog d’Yves Daoudal :
Le journal Le Monde dénonce « l’expulsion déguisée » de son correspondant à Moscou, Benjamin Quénelle, dont l’accréditation de presse vient d’être « annulée » par les autorités russes après « plus de vingt ans en Russie ». C’est « sans précédent », puisque « même dans les moments les plus tendus de la guerre froide, Le Monde avait poursuivi son travail à Moscou ». C’est une « nouvelle entrave à la liberté d’informer ». Le ministère des Affaires étrangères s’est mis de la partie, condamnant cette décision injustifiée et arbitraire des autorités russes » qui « constitue une nouvelle entrave à la liberté d’informer ». « La France appelle les autorités russes à revoir leur décision, qui appellera autrement une réponse », menace le Quai d’Orsay.
Commentaire et réponse de Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères et ambassadrice de Russie :
Nous avons reçu une lettre étonnante du rédacteur en chef du journal français Le Monde concernant sa prétendue incompréhension des raisons de la révocation de l’accréditation du correspondant permanent de la publication à Moscou, Benjamin Quénelle, et une ferme demande de réponse officielle.
Je ne sais vraiment pas comment procéder.
D’une part, cela fait des années que le Paris officiel ne répond pas aux demandes de renseignements émanant même de ses propres journalistes. D’autre part, comme l’ont fait remarquer les journalistes qui ont osé poser une série de questions aux autorités, ils sont persécutés pour cela. Ne serait-il pas agréable que les publications françaises puissent, avec une telle persévérance, obtenir une réponse de l’Élysée sur les détails croustillants de la vie de ses résidents !
D’un autre côté, nous soutenons sincèrement – et non hypocritement – la liberté d’expression. C’est pourquoi je réponds.
L’ambassade de France en Russie a refusé à deux reprises de délivrer un visa de travail à Paris au correspondant international de Komsomolskaya Pravda, Alexander Koudel. La Russie a officiellement informé le ministère français des Affaires étrangères et le chef de la mission diplomatique française à Moscou qu’elle serait contrainte de prendre des contre-mesures si Paris ne revenait pas sur sa décision. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase est tombée sur le correspondant permanent du Monde en Russie, Quénelle, dont l’accréditation devait simplement faire l’objet d’un renouvellement technique de routine – il n’y a pas de sous-entendu politique dans cette décision.
Par courtoisie professionnelle, nous avons informé le journaliste français lui-même de la situation. Quénelle a participé activement à la recherche d’une solution possible et nous a assurés qu’il était « en communication constante avec le ministère français des Affaires étrangères ». Peut-être n’en a-t-il pas fait part à ses supérieurs, mais cela n’est pas certain – laissons-les démêler leur propre manque de sincérité.
La diplomatie française, elle, a réagi avec indifférence aux avertissements sur les conséquences inévitables pour leur compatriote et a maintenu sa décision antérieure de ne pas délivrer de visa au journaliste russe. Les contre-mesures annoncées ont suivi.
Dans ces conditions, il est évident que le rédacteur en chef du Monde s’est trompé de destinataire. Une telle communication aurait dû être adressée au ministère français des Affaires étrangères avec la question (ou peut-être une déclaration) de savoir jusqu’à quand les autorités françaises continueront à se moquer des journalistes. Nous apporterons notre concours en fournissant des documents sur les faits réels de discrimination à l’encontre des médias russes dans la République de « liberté, égalité et fraternité ».
Et la note traditionnelle : si le problème de la délivrance de visas aux journalistes russes est résolu, alors le correspondant français se verra également accorder une accréditation.
Etats-Unis : les hommes ne pourront plus participer aux sports féminins
Le président américain Donald Trump a signé mercredi un décret qui empêche les athlètes hommes de pratiquer des sports féminins.
“Avec ce décret, la guerre contre le sport féminin est terminée”.
Ce texte prévoit de couper les subventions de l’Etat fédéral aux écoles qui permettraient à des garçons d’être membres d’équipes sportives féminines.
Le président en a profité pour mettre la pression sur le Comité international olympique (CIO), alors que les Etats-Unis doivent accueillir les prochains JO d’été.
“A Los Angeles, en 2028, mon administration ne restera pas les bras croisés à regarder des hommes battre des athlètes féminines”.
Son gouvernement va “refuser toutes les demandes de visa faites par des hommes qui tentent d’entrer frauduleusement aux États-Unis tout en s’identifiant comme des athlètes féminines”, a-t-il assuré.
La National Collegiate Athletic Association (NCAA), qui régit les activités sportives des étudiants dans les établissements d’enseignement supérieur, s’est félicitée de ce décret et a déclaré qu’elle s’alignerait sur lui “dans les jours à venir”.
💬 “Nous avons éliminé la ‘folie woke’ de l’armée, et maintenant nous sommes en train de l’éliminer du sport”
Donald Trump signe un décret pour exclure les athlètes transgenres du sport féminin à l’école pic.twitter.com/wXJVtQPDW9
— BFMTV (@BFMTV) February 6, 2025
Et maintenant au tour de Google d’arrêter de faire le gogol
Google a mis fin à ses programmes pour la “diversité” aux Etats-Unis, après notamment Disney, McDonald’s, Ford et Meta.
Le grand groupe a publié mercredi son rapport annuel pour les investisseurs, et cette phrase, présente depuis 2021, a disparu :
« Chez Alphabet, nous nous engageons à prendre en compte la diversité, l’équité et l’inclusion dans tout ce que nous faisons et à développer une main-d’œuvre représentative des utilisateurs que nous servons. »
Contacté par l’Agence France-Presse, Google a confirmé ne plus avoir d’objectifs d’embauche liés à la représentation de différents groupes de personnes.
« Nous nous sommes engagés à créer un lieu de travail où tous nos employés peuvent réussir et bénéficier de l’égalité des chances ». « Nous avons mis à jour la formulation dans notre [rapport annuel] pour refléter cette volonté, et en tant que sous-traitant fédéral, nos équipes évaluent également les changements requis à la suite des récentes décisions de justice et des décrets sur ce sujet ».
Alphabet emploie plus de 183 000 personnes dans le monde. D’après son rapport de 2024 sur la diversité, le groupe californien compte 34 % de femmes et 5,7 % d’employés noirs, contre 32 % et 3,7 % en 2020.
Jean-Yves Le Gallou face aux juges : jusqu’où ira la censure sur l’immigration ?
Cette semaine dans “I-Média”, Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin reviennent sur la 17e chambre correctionnelle de Paris, devant laquelle Jean-Yves Le Gallou sera convoqué le mardi 18 février prochain pour deux tweets. L’occasion de se demander si la justice est à l’épreuve de la critique et de vous dévoiler les dessous de cette affaire qui commence en 2022 et qui soulève des questions fondamentales sur la liberté d’expression, le rôle des juges et la démocratie.
Dans les pastilles de l’information, de Macron qui cherche à tout prix l’attention médiatique, à Gilles Bouleau qui occulte l’essentiel dans son JT de 20h sur une attaque au cris d’allah akbar, en passant par Merwane Benlazar, l’humoriste passé une fois sur C à vous, qui invoque la charia sur X. Découvrez les informations que les grands médias ne vous montrent pas, sans oublier le portrait piquant de Pascal Praud sous la loupe de l’OJIM.
Virtus : un carême exigeant de 70 jours pour se laisser (vraiment) transformer par Dieu
Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.
Hozana, Claves.org (prêtres de la Fraternité Saint-Pierre) et les religieux de la Fraternité Saint-Vincent-Ferrier proposent avec Virtus, de vivre un grand carême en communauté, pour passer un vrai cap dans sa relation avec le Seigneur, vivre une transformation en profondeur de sa vie spirituelle, en prenant appui sur ce que propose la riche tradition de l’Église !
Du 16 février, dimanche de la Septuagésime, à l’Octave de Pâques, le 27 avril (70 jours au total), Virtus est un “grand carême” à vivre en communauté, en formant une fraternité d’hommes ou de femmes pour prier, vivre et grandir ensemble !
Comment suivre le parcours Virtus ?
1) S’engager individuellement à rester fidèle chaque jour aux engagements de prière, de vertu et de pénitence proposés par le parcours
2) Former une fraternité Virtus non mixte avec des frères chrétiens (famille, amis…), d’hommes ou de femmes, incluant un « chef » de fraternité (idéalement, viser 4 à 8 membres). La fraternité se retrouve chaque semaine pour partager, se soutenir et s’encourager tout au long du parcours.
3) Constituer des binômes au sein des fraternités. Les binômes échangent chaque jour (par message ou un rapide appel) pour un soutien renforcé.
4) S’incrire à la retraite Virtus sur Hozana pour recevoir tous les matins l’exhortation et l’enseignement d’un abbé de Claves.org, ainsi qu’un texte proposé pour la méditation.
Informations et inscriptions : https://lc.cx/Y0W6bv
Reproches infondés à la théologie du corps de Jean-Paul II
Dans La Nef, le père Louis, prieur de l’abbaye du Barroux, critique l’ouvrage de Matthieu Poupart, Le silence de l’agneau, consacré aux abus sexuels dans l’Eglise. Extrait :
[…] Le fait que la théologie du corps de Jean-Paul II ne traite pas explicitement des violences sexuelles a, selon M. Poupart, « de très graves conséquences » (p. 169). Il accuse le saint pape d’un « refus opiniâtre de penser la violence sexuelle » (p. 129) et d’une « hiérarchisation perverse du mal » (p. 132) mettant, prétend-il, « le viol à la même enseigne que le libertinage » (p. 130). Disons tout d’abord que le viol n’est tout simplement pas le sujet de Jean-Paul II dans ses catéchèses visant à mieux comprendre et recevoir Humanae Vitae.
De plus, M. Poupart ne voit pas que cette théologie du corps (TDC) apporte de nombreux éclairages pour lutter contre les violences sexuelles dans l’Église. Dénoncer le lien entre les abus sexuels et l’œuvre de mort qu’ils opèrent chez les victimes est en effet le revers d’un lien lumineux expliqué par la TDC: celui qui unit sexualité et transmission de la vie. En développant toute une synthèse sur la dignité du corps et en montrant combien celui-ci est plus ou moins perméable aux facultés spirituelles de l’homme et à la grâce de Dieu, la TDC aide à comprendre que cette « perméabilité » ne concerne pas seulement la lumière mais, hélas ! aussi les forces des ténèbres, si bien qu’en violant le corps on atteint le fond de l’âme. En voyant la grandeur du corps humain à exprimer le don de soi, on comprend que ce qu’il y a de pire – les violences sexuelles – est un renversement diabolique de ce qu’il y a de plus beau. La TDC met aussi magnifiquement en lumière l’importance du consentement, sans le « réduire à la cérémonie du mariage » (p. 160) comme le prétend M. Poupart. C’est même une idée maîtresse de toute la TDC de considérer la « liberté intérieure du don » comme l’âme de l’union conjugale. Jean-Paul II emploie plus de 30 fois cette expression « liberté du don » en affirmant qu’elle est « le fondement de la signification sponsale du corps » (TDC 15-1). En outre, la TDC explique les ravages opérés par le péché originel dans la sexualité (TDC 30 à 33) et met en valeur les liens entre les forces obscures de « la triple concupiscence » (expression qui revient plus de 40 fois): avidité du plaisir, soif de posséder et volonté de puissance. Cela aide à comprendre la mentalité perverse des prédateurs.
Par contre, une caricature de la TDC peut avoir des effets désastreux en donnant une dimension mystique à la sexualité: n’est-ce pas précisément cette confusion des plans qui a entraîné chez certains clercs un aveuglement et une auto-justification des crimes qu’ils ont perpétrés ? Loin de mélanger les différents plans, la théologie du corps situe la sexualité à sa juste place, humble et grande à la fois, elle met en garde contre notre fragilité, stimule les époux, les prêtres et les religieux à une cohérence de vie, et suscite un immense respect pour chaque personne. […]
Le Premier ministre a encore la possibilité de faire réviser le projet de programme sexuel à l’école
De Ludovine de La Rochère, présidente du Syndicat de la famille :
C’est avec inquiétude que je vous écris aujourd’hui au sujet de l’éducation sexuelle à l’école.
Vous vous souvenez sans doute que mi-novembre, s’étant procuré le projet de programme, Le Syndicat de la Famille avait lancé l’alerte dans le JDD. Une semaine plus tard, dans le même journal, la Ministre de l’Éducation nationale d’alors, Anne Genetet, assurait l’avoir modifié.
Début janvier, Le Syndicat de la Famille a pu se procurer la nouvelle version du texte. S’il y avait en effet quelques progrès sur des points que nous avions critiqués, avec d’autres, la philosophie du texte restait néanmoins idéologique.
Les 29 et 30 janvier, le Conseil supérieur de l’éducation (CSE), instance réunissant des syndicats enseignants et des associations de parents d’élèves, a été consulté par la nouvelle Ministre, Élisabeth Borne.
Hélas, comme nous le craignions, le CSE a voté pour la réintroduction en primaire de notions telles que “hétérosexualité”, “homosexualité”, “asexualité”, “transphobie”. Et pourtant, théoriquement, le programme n’aborde pas la sexualité jusqu’en CM2, et encore moins le genre ou les transitions !
Le CSE, en outre, a osé voter pour que les établissements scolaires ne soient pas tenus d’informer les parents en amont des séances d’éducation sexuelle. Malgré cela, les associations de parents d’élèves du public (PEEP, FCPE) ont voté en faveur du texte et celle du privé sous-contrat (l’APEL) s’est simplement abstenue.
Mais l’avis du CSE n’est que consultatif : Élisabeth Borne peut donc encore revoir le texte. Ce sera ensuite au tour de Matignon de le relire, avant la publication du décret final.
Autrement dit, le Premier ministre a encore la possibilité de faire réviser le projet de programme. C’est pourquoi nous vous indiquons, ci-dessous, à quelle adresse mail et adresse postale vous pouvez écrire à François Bayrou.
Afin d’en savoir plus sur le projet de programme, et avant de lui écrire, vous pouvez lire ma tribune, parue hier dans Le Figaro, et d’autres articles de presse… ou voir les dernières vidéos de Marine, notre porte-parole sur les réseaux sociaux.
Pour écrire au Premier ministre :
Hôtel de Matignon, 57 rue de Varenne, 75007 Paris
ou
L’Argentine va sortir de l’OMS
Le président argentin Javier Milei va retirer l’Argentine de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), en raison de «profondes différences sur la gestion sanitaire», et «l’influence politique de certains États».
Les Argentins ne vont «pas permettre à une organisation internationale d’intervenir dans notre souveraineté, encore moins dans notre santé».
Le porte-parole de la présidence a mentionné «la pandémie qui, avec le gouvernement d’Alberto Fernandez nous a conduits au plus long confinement de l’histoire de l’humanité», ainsi qu’à un «manque d’indépendance face à l’influence politique de certains États».
Ce retrait donnera au pays
«une plus grande flexibilité pour mettre en œuvre des politiques adaptées aux contextes et intérêts de l’Argentine, une plus grande disponibilité de ressources, et réaffirme notre chemin vers un pays souverain en matière de santé».
L’annonce de l’Argentine intervient dans la foulée du retrait de l’OMS annoncé par les États-Unis.
Un héritage pour chauffer une église du XVe siècle
Avant de mourir, un entrepreneur de 92 ans a légué 1,5 million d’euros à des associations et à la mairie de sa ville, Briod dans le Jura. Cette somme regroupe divers biens, dont une maison, un terrain, une voiture. Parmi les bénéficiaires, on trouve la congrégation des Petites Sœurs des Pauvres et l’association de l’Ermitage de Conliège qui s’occupe de mettre en valeur un bâtiment historique dans une commune voisine.
Une fois ces sommes déduites, la municipalité de Briod devrait toucher entre 800.000 et 900.000 euros, soit près de trois fois le budget annuel de ce village de 220 habitants.
Le donateur a formulé le souhait que soit installé un chauffage dans l’église de Briod, monument historique du XVe siècle qui nécessite plusieurs rénovations à hauteur de 150.000 euros.
Face au harcèlement administratif, une école libre demande du soutien
La Maison d’éducation Pauline Marie Jaricot, située à Châtillon-sur-Chalaronne dans l’Ain, a récemment fait face à une série de défis qui ont entravé son ouverture et son fonctionnement. Établissement catholique privé hors contrat, dédié à l’éducation des jeunes filles, La Maison d’éducation Pauline Marie Jaricot vise à promouvoir l’idéal chrétien et à offrir une formation intégrale à ses élèves.
Initialement prévue pour ouvrir ses portes le 17 septembre 2024, l’école avait été confrontée à une interdiction d’ouverture émise par la préfecture de l’Ain le 13 septembre 2024.
En réponse, la direction de l’établissent avait déposé une requête devant le tribunal administratif de Lyon. Le 20 septembre 2024, le juge des référés avait suspendu l’interdiction préfectorale, autorisant ainsi l’école à accueillir ses premières élèves.
A la suite de cette victoire des syndicats de gauche s’étaient levés pour demander au rectorat notre fermeture.
Toutefois, les obstacles ne se sont pas arrêtés là. En janvier 2025, des membres de l’opposition municipale ont saisi le tribunal administratif de Lyon, demandant l’annulation du bail dérogatoire signé entre la commune et l’association gestionnaire de l’école.
Ces actions répétées sont perçues comme une forme de harcèlement administratif à l’encontre de la Maison d’éducation Pauline Marie Jaricot. Malgré ces défis, l’établissement reste déterminé à poursuivre sa mission éducative, fidèle à ses valeurs chrétiennes, et à offrir un environnement d’apprentissage serein à ses élèves.
Il est essentiel de soutenir notre institution qui œuvre pour la transmission des valeurs chrétiennes et l’éducation des jeunes générations. La persévérance de la Maison d’éducation Pauline Marie Jaricot face à ces épreuves est un témoignage de sa foi et de son engagement envers la jeunesse.
Face aux épreuves administratives et aux obstacles répétés qui entravent le bon fonctionnement de la Maison d’éducation Pauline Marie Jaricot, nous faisons appel à votre générosité et à votre soutien.
Le Sou de Pauline, est une campagne de don, dédiée à la préservation et au développement de cet établissement. Vos dons permettront :
✅ D’assurer la pérennité de l’école malgré les pressions administratives.
✅ De financer les frais juridiques liés aux actions entreprises pour défendre le droit à l’éducation chrétienne.
✅ D’améliorer les infrastructures et de garantir un cadre d’apprentissage serein et épanouissant aux élèves.
Chaque contribution, même modeste, est une pierre précieuse apportée à l’édifice de cette œuvre éducative.
📌 Comment faire un don ?
Vous pouvez envoyer votre don via le lien du Sou de Pauline :
https://www.helloasso.com/associations/maison-d-education-pauline-marie-jaricot/formulaires/1
Ou directement en allant sur notre site internet : www.mepmj.fr
🙏 Ensemble, défendons la liberté d’enseignement et soutenons la Maison d’éducation Pauline Marie Jaricot ! Merci pour votre générosité et vos prières.
Que Dieu vous bénisse ! ✨
Encore une victoire contre les partisans de l’euthanasie
La préfecture de l’Aube a fait savoir, mardi 04 février, que le sanglier Rillette voit son existence officiellement régularisée et échappe à l’euthanasie. Élodie Cappé, gérante de l’élevage de chevaux dans l’Aube l’a annoncé sur son compte Facebook.
Elle avait recueilli dans ses poubelles une toute petite laie. En la sauvant, elle l’a apprivoisée de fait, ce que la loi ne permet pas. Elle a tenté de se mettre en régularité à ce sujet, sans succès. Depuis le mois de décembre, l’affaire est devenue nationale. Une proposition de solution a été formulée en début d’année, mais a indigné les associations de protection animale. Pendant ce temps, Élodie Cappé a continué à engranger les marques de soutien, et participé à une grande marche de ralliement, juste avant un passage remarqué devant le tribunal, suivi d’une autorisation.
L’USAID: un levier d’influence américaine wokisé
Grégor Puppinck était l’invité d’André Bercoff sur Sud Radio mardi 4 février pour parler de la suppression d’USAID par l’administration Trump. Voici les extraits de son interview.
Fondée en 1961, l’Agence des États-Unis pour le développement international (United States Agency for International Development, USAID) a dépensé des centaines milliards de dollars en aide humanitaire et pour le développement dans le monde, mais conditionnés par l’adoption de politiques nationales demandées par l’administration américaine.
L’ECLJ a particulièrement travaillé à révéler l’action des Nations unies pour promouvoir l’avortement et le contrôle démographique et par quels financements privés des programmes spéciaux ont été mis en oeuvre, notamment USAID et des ONG financées par USAID. Voir cet article et cet ouvrage: “L’OMS ET LE PROGRAMME DE REPRODUCTION HUMAINE, 1950-2020 : 70 ans de politique démographique“.
«Rassurez-vous madame Ernotte, aucun catholique ne viendra taguer les murs de France Télévisions»
Éditorial de Pascal Praud sur CNews à propos d’une fiction qui sera diffusée ce soir sur France Télévisions visant à dénoncer les zéxtrémistes catholiques :
Moïse et Œdipe
Moïse et Œdipe, Jean-François Froger, Éditions Grégoriennes, 2024
Recension de Marion Duvauchel pour Le Salon beige :
C’est parce que, dans ce qu’on appelle les « mythes », les hommes projettent des données internes lorsqu’ils parlent des « « dieux » ou des « divinités », qu’Œdipe est « une source de connaissance de première grandeur » : c’est le premier des partis pris du dernier livre de J.F. Froger. Et puisque le mythe d’Œdipe vient de la Grèce, plutôt que se plonger dans la lecture de la Métapsychologie de Sigmund Freud ou dans Moïse et le monothéisme, relisons donc les tragédies de Sophocle (Œdipe roi, Œdipe à Colone), la source première du mythe bien avant les élucubrations des psychanalystes viennois. Car
« Freud a rendu très célèbre le meurtre d’un père (Laïos) en faisant jouer inconsciemment l’horreur du parricide, mais en promouvant cet exemple comme un paradigme universel : tout fils devrait vouloir au moins inconsciemment, tuer son père et épouser sa mère. Il fait oublier que ce meurtre et cet inceste sont dans leur principe le résultat de la volonté meurtrière du père sur son fils nouveau-né, avec le consentement de la mère ».
Funeste oubli qu’il convenait de réparer.
Le mythe, nous dit-on, parle de structures inconscientes en l’homme, et des structures qui ne varient pas ». Ce n’est pas tout de le dire, il faut expliquer. Deux questions se posent : « tous les comportements sont-ils liés à la vie psychique ? Tout comportement est-il interprétable « ? À la première question, la réponse est non. Tiens donc, il existerait des comportements tout à fait indépendants de la vie psychique ? Chez l’homme, tous les comportements signifiés par des signes corporels sont liés à la vie psychique et c’est pourquoi quand nous voyons un homme, nous voyons « une âme ». Le mythe reflète l’état de l’homme mais dans « une sorte de moyenne universelle ». Le « parti pris » va donc consister à regarder les images du mythe, à tenter d’en comprendre le sens et pour le cas qui nous occupe, répondre à la question : de quoi Œdipe est-il donc la figure ?
La question engage aussi la philosophie. « On ne peut parler d’homme qu’au moment où potentiellement la conscience et la liberté sont possibles ». C’est ce à quoi la philosophie classique, globalement, a tenté de répondre jusqu’au moment où elle a abdiqué, frappée en son cœur même par ce que Freud appelait les blessures narcissiques : Marx, Darwin, et … Freud lui-même. Avec Moïse et Œdipe, foin de blessures narcissiques, foin de toute la littérature psychologique et psychanalytique supposée nous éclairer sur nous-mêmes et nous aider à vivre, il faut réfléchir : « Le seul problème psychologique consiste donc à déterminer, à connaître, la forme psychique permettant une telle naissance. C’est ce passage-là qui réordonne toute la vie antérieure et lui donne un sens. Sinon, il n’y a aucun critère de santé psychique ». Et le mythe d’Œdipe nous offre une image de ce passage et même tout le récit de la naissance à la mort conduit à ce passage, qui est une « assomption ».
Doit-on poser a priori un modèle conceptuel de l’Homme pour analyser son comportement à l’aide de ce modèle ? Peut-on se passer de modèle ? La question n’a rien d’oiseux, elle est même l’occasion de mettre deux ou trois choses au point : non, nous ne sommes pas des animaux récepteurs. A côté des découvertes précieuses (le style oral), l’idée que Marcel Jousse imposait comme une nécessité théorique – l’homme est un composé humain – est erronée. Et pour cause, ce serait admettre que l’homme est (n’est que) ce fameux animal raisonnable ayant un corps et une âme, héritage d’Aristote assumée dans la philosophie scolastique, stérilisante sur ce point car alors « aucune synthèse ne peut plus rendre compte de son unité ». Piégée au fond de cette impasse, l’anthropologie chrétienne s’y est enlisée. Et puis elle a cessé de réfléchir à la question. Depuis, elle bavarde.
Il faut donc lire le mythe selon la méthode de M. Froger : une interprétation qui tienne compte de la symbolicité des images pour répondre à la question « de quoi Œdipe est-il le symbole « ? Pour cela, seront examinées et expliquées les « images « constitutives de cet improbable et inconfortable récit, de la naissance à la mort : « les pieds du roi », « La mère d’Œdipe », « Le choix ou la flèche d’Apollon », « la Sphinge », autant de chapitres. Mais aussi : « Les bâtons et leur usage », où apparaît plus nettement la méthode comparative. Œdipe, contrairement à Moïse, ne soupçonne pas l’usage vrai du bâton. Il s’en sert d’abord comme arme (comme on se servirait d’un gourdin) pour tuer le gêneur qui lui interdit le passage, (et qui s’avère être son père génétique) puis comme bâton de vieillesse, comme « soutien à sa déficience génétique ».
Puisqu’il est question de la vie psychique, il faut examiner les conditions et circonstances de la naissance et les « décrets de mort » qui pèsent sur celles-ci : pas seulement sur celle d’Œdipe (Œdipe à Colone) ou même sur celle de Moïse mais aussi sur celle de Jésus. Chapitre essentiel qui nous donne un premier « modèle » de la vie affective humaine, tiré de l’interprétation des images qui organisent la mort d’Œdipe, comme autant de symboles inconscients de cette vie affective : le liquide (l’inconscient), le texte (la rationalité) et le contrat (la vie sociale).
Comme nul ne saurait l’ignorer, pour naître, il faut la mère, mais il faut aussi le père. Or, ce que la doctrine freudienne a passé sous silence, c’est la faute à l’origine de cette tragédie : l’amour homosexuel de Laïos, le père d’Œdipe. C’est l’objet en particulier du chapitre XIII, « Faire face à la Sphinge », chapitre audacieux pour ne pas dire risqué, (chapitre un peu technique aussi) puisqu’il s’agit de montrer comment le mythe « dévoile subtilement une relation entre l’inceste et l’homosexualité » en même temps qu’il fournit « une description des fondements psychiques de l’homosexualité en tant que refus de la conception, puis refus du concept et débordement des représentations mentales ». L’homosexualité, nous dit l’auteur, c’est le refus de l’altérité dans la distinction. Si Laïos refoule sa transgression, Œdipe accomplit le refoulement de ce refoulement. Il ne lui restera plus qu’à s’aveugler à son propre aveuglement, dans une image à la structure symétrique et inverse. Ouf…
Et Moïse ?
Bien des chapitres sont en effet consacrés au malheureux roi de Thèbes et déploient pour chaque symbole ou événement de sa vie malheureuse une analyse minutieuse. C’est qu’il faut libérer Œdipe de Freud, ce n’est pas la moindre des vertus et des ambitions de cet ouvrage. C’est aussi que le mythe grec ne se comprend pleinement qu’au regard de l’autre système d’images, celui de la Révélation. Il y a de la pédagogie dans cette exposition en seize chapitres et elle a à voir avec les partis pris de l’auteur. Ainsi, la Sphinge et le Buisson ardent sont les deux figures antinomiques de l’homme confronté à l’énigme de sa propre nature. Œdipe nous révèle l’homme œdipien : celui « qui prend sa raison dévoyée pour sa propre inspiration ». Moïse montre le processus de libération qui commence avec la « Sortie d’Égypte » où l’on voit repris un ensemble d’images avec lesquelles nous sommes désormais familiarisées, puisque nous avons parcouru les trois quarts du chemin et des chapitres.
Comme le souligne le préfacier (le père Saez), trois langages s’éclairent ainsi réciproquement : celui du mythe grec, celui de la figure mosaïque et celui qui est propre à la Révélation chrétienne. « Le langage employé par l’homme achevé pour se faire comprendre de ceux qui ne le sont pas est précisément le langage symbolique, parce que ce langage est celui même de l’âme-en- relation-au-monde ». C’est le langage de Jésus, mais c’est aussi le langage des images de la Révélation.
Nous pouvons alors suivre « l’itinéraire des plaies », itinéraire de régénération de la totalité du psychisme humain décrit selon la structure que les lecteurs de M. Froger connaissent : la structure quaternaire. Cet « itinéraire » nous fait parcourir, par étapes, un chemin de connaissance qui est un chemin de guérison, et donc de liberté.
Ce livre s’adresse à tous ceux qui ne consentent pas à l’idée de l’homme imposée depuis que ces trois plaies mentionnées plus haut, enfoncée dans les flancs de l’histoire et de la pensée, les gangrènent; il est une antidote pour ceux qui cherchent une issue à l’impasse où la méchanceté des hommes a jeté l’anthropologie ; il s’adresse plus simplement à ceux qui auraient envie de relire Sophocle avec une clé herméneutique nouvelle ; il intéressera tous ceux qui s’intéressent aux voies du symbole et qui cherchent souvent dans des gnoses chimériques une réponse imaginative à de vraies questions ; il s’adresse bien sûr à ceux qui ont envie de mieux comprendre leur tradition chrétienne, à travers la Révélation et les images qui ordonnent cette Parole énigmatique souvent bien mal comprise et plus souvent encore mésinterprétée.
Il s’adresse surtout à tous ceux qui, un jour, ont senti peser sur leur existence humaine l’ombre sinistre de ce « décret de mort » et qui ont aspiré à s’en voir libérés, c’est-à-dire à une nouvelle naissance.
« Il faut donner l’occasion à une liberté de naître ».
Je suis d’accord.
Ce livre en donne l’occasion.
Le grand remplacement se poursuit
Le ministère de l’Intérieur a présenté son rapport annuel sur l’immigration pour l’année 2024, à Paris, ce mardi 4 février.
- La France a délivré 336 700 premiers titres de séjour, soit + 1,8 % par rapport à 2023. Le chiffre le plus haut depuis 1945
- 663.000 bébés nés en France, le chiffre le plus bas depuis 1945
- 31 250 étrangers ont été naturalisés français en cours de l’année, en recul de 10 % par rapport à l’année passée.
- L’année 2024 a été marquée par une hausse des expulsions. 21 601 personnes étrangères ont dû quitter le territoire national. C’est + 26,7 % de plus qu’en 2023, a indiqué le ministère de l’Intérieur.
- 400 000 immigrés clandestins ont été régularisés depuis 2012
Le travail que les Français « ne veulent pas faire »… ?
Editorial d’Olivier Frèrejacques dans Liberté politique :
« Ils font le travail que les Français ne veulent pas faire. » Ce cliché du travailleur immigré dévoué à des tâches pénibles, en comparaison au Français qui serait devenu un fainéant, est devenu un véritable argument, aussi bien pour la gauche immigrationniste que pour un certain patronat avide d’une main-d’œuvre bon marché et peu contestataire.
Comme souvent lorsque l’on évoque un problème de type socio-économique, il s’agit de revenir à la racine de celui-ci. Pourquoi certains Français quittent-ils des métiers particulièrement éprouvants ? Parce qu’ils sont très mal rémunérés. Le travail, en France, ne paie pas. Les charges pour l’employeur et le salarié ne permettent souvent plus de vivre avec un seul emploi, sauf à venir d’un pays dont le niveau de développement est tellement bas qu’un SMIC en région parisienne devient une perspective favorable.
L’arrivée continue de travailleurs étrangers participe ainsi du phénomène de « dumping social », qui consiste à tirer les salaires et les droits sociaux vers le bas grâce à une concurrence imbattable.
C’est ici l’une des grandes trahisons de la gauche vis-à-vis du monde du travail. En défendant l’arrivée de nouveaux travailleurs, elle participe à la stagnation des salaires des travailleurs nationaux. Un phénomène qui a naturellement poussé des mouvements comme le PS ou, aujourd’hui, les Insoumis à se tourner vers le segment électoral immigré ou post-immigré, dans une stratégie indigéniste à la frontière entre convictions marxistes et lubies identitaires. La gauche refuse ainsi de lutter contre l’immigration qui tire les salaires vers le bas, se disant qu’elle aura mieux à faire en séduisant les nouveaux arrivants.
Immigré, micro-ondes, bistrot parisien : un commerce triangulaire dans votre assiette
Côté patrons, l’hypocrisie est symétrique. À défaut de lutter contre les charges ahurissantes de l’État, certains préfèrent payer une misère aux populations allogènes. Le mariage entre le Medef et La France insoumise est ainsi consommé.
Le secteur le plus symptomatique de cette union d’apparence contre-nature est la restauration, notamment en région parisienne, où des patrons de brasserie sont ravis d’embaucher de la main-d’œuvre à bas coût pour réchauffer de petits plats surgelés indigestes vendus à prix d’or.
Si l’on était un brin cynique, on parlerait ici de commerce triangulaire avec le triptyque infernal : immigration, plat surgelé, bistrot parisien.
Se servir de l’étranger pour tirer un maximum de profits est une aberration et non un humanisme, contrairement à ce que voudraient faire croire les tenants de l’immigration de travail. Les Français ne sont pas plus fainéants que d’autres, mais ils entendent être payés pour leur travail. On peut lire dans la première épître de Paul à Timothée : « Tu n’emmuselleras point le bœuf quand il foule le grain. Et l’ouvrier mérite son salaire. » Quand on respecte un travailleur, on le paie dignement.
Olivier Frèrejacques
Président de Liberté politique
20 Minutes s’étonne car un homme est détenu dans une prison pour hommes
Louna, un opposant au chantier de l’autoroute A69, qui se prend pour une femme, a été placé en détention, à l’isolement, dans la maison d’arrêt de Tarbes, un établissement pour hommes.
Il a été mis en examen et placé en détention provisoire pour destruction de bien d’autrui (incendie d’une pelleteuse) et association de malfaiteurs. Il est placé en isolement judiciaire « pour protéger l’intégrité physique du détenu », indiquait à l’automne la cour d’appel de Toulouse.
La question de la détention des personnes trans n’est pas nouvelle. Combien de détenus sont dans cette situation ?
« Dans la mesure où c’est une personne qui a un état civil masculin et présente des attributs masculins, nous n’avions pas la possibilité de la placer dans un établissement pour femmes ».
Le placement à l’isolement a été décidé par le juge des libertés et de la détention pour des questions de sécurité…
A quand l’Interruption Volontaire de la République ?
De Thierry Pouchol dans Le Nouveau conservateur :
Vous pouvez commander ou vous abonner au Nouveau conservateur ici ou le retrouver chaque mois sur Le Club de la Presse.
L’Ademe a doublé son budget pour nous expliquer comment laver nos vêtements
L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) est un établissement public à caractère industriel et commercial français dont la vocation est de susciter, animer, coordonner, faciliter ou réaliser des opérations de protection de l’environnement et surtout de maîtrise de l’énergie. Elle est actuellement dirigée par un ancien député du MODEM.
Elle emploie 1400 personne, sa masse salariale atteint 100 millions d’euros et les frais de fonctionnement sont de 20 millions d’euros. Le budget de l’Ademe atteint 3,5 milliards d’euros pour 2025.
L’Etat est incapable de contrôler les frontières et de tenir son budget mais l’ADEME dit aux Français quand changer de chaussettes :
En 2020, l’ADEME avait aussi diffusé cette campagne (avec notre pognon) :
La « GPA altruiste », encore une grosse intox
Une mère porteuse, qui a consenti jadis à faire une gestation pour autrui « altruiste », sans compensation monétaire, se bat aujourd’hui pour passer du temps avec l’enfant qu’elle ne s’est jamais résolu à abandonner.
En 2020, Julie a mis au monde un fils qu’elle a confié à deux hommes. Elle se bat pour en récupérer la garde et fustige l’hypocrisie du droit français, qui interdit la pratique des mères porteuses mais garantit en réalité tous les droits aux « parents d’intention ».
Privée de son fils, Julie a été reconnue suffisamment mère par les juges pour verser chaque mois 200 euros de pension alimentaire, mais pas assez tout de même pour obtenir le partage de la garde.
Etudiante militante LGBT, proche de la Ligue communiste révolutionnaire, du syndicat d’extrême gauche Solidaires-étudiant-e-s, Julie défile à la Gay Pride. Inscrite sur un groupe Facebook dédié à l’homoparentalité, elle propose son ventre à deux hommes, tout en indiquant qu’elle est autiste. Elle n’a rien contractualisé, voulant aider ces deux LGBT. Dans leurs échanges, ils lui assurent qu’elle sera la bienvenue à la maison, qu’elle pourra venir aux anniversaires et voir son enfant quand elle voudra. A l’issue de l’accouchement, les deux hommes partent avec l’enfant et ne lui en parleront plus jamais.
Trois ans plus tard, elle regrettera amèrement son erreur quand survient un drame : l’un des hommes, celui qui a reconnu l’enfant, décède des suites d’un cancer. Julie propose à l’autre d’établir une garde alternée. Mais l’autre saisit la justice et obtient une première ordonnance de placement provisoire par laquelle le procureur le désigne comme unique tiers de confiance. L’ordonnance du juge ne décrit pas Julie comme la mère, mais comme la « génitrice ». Deux mois plus tard, le juge des enfants confirme l’ordonnance provisoire et affirme que Julie, comme mère porteuse, a été « candidate pour porter leur enfant ».
Entre-temps, une procédure intentée par les services sociaux d’un autre département, pour faire condamner l’homme pour « provocation à l’abandon d’enfant », a été classée sans suite, malgré les sanctions pénales prévues pour les parents ayant recours à la GPA sur le sol français.
Enfin ce Noël, Julie a reçu une nouvelle ordonnance du juge des enfants accordant au nouveau compagnon un droit de visite. Comme un statut accordé à un troisième papa.
Une éducatrice mandatée par le juge afin d’effectuer une enquête judiciaire éducative a déclaré à Julie qu’en entendant son histoire, elle se disait qu’il faudrait autoriser la gestation pour autrui en France, afin de mieux l’encadrer. Julie s’est insurgée :
« Il ne faut pas l’encadrer, il faut l’interdire pour de bon, et en finir avec cette situation juridique hypocrite où on prétend l’interdire tout en la reconnaissant dans les faits et en donnant tous les droits aux parents d’intention ! »
Politiquement, Julie a pris ses distances avec les mouvements LGBT et condamne sans équivoque l’évolution récente des lois bioéthiques :
« Pour moi, on ne devrait même jamais permettre de fabriquer un enfant avec les gamètes d’un inconnu… c’est dégueulasse, quand on y pense ! C’est injuste pour l’enfant de le priver volontairement de ses origines. »
La mairie de Paris n’a pas de flyer pour lutter contre les miroirs brisés
Un homme a tenté de s’en prendre à un policier en voulant s’emparer de son arme, mardi 4 février, devant la préfecture de police de Paris. Il a tenté de s’emparer de l’arme de poing à la ceinture de l’un d’eux. Alors que les policiers essayaient de le maîtriser, l’homme, qui portait un morceau de miroir brisé, a porté un coup de poing au visage d’un d’entre eux. Un des policiers souffre d’une coupure à la main, un autre d’une fracture à un doigt.
L’individu avait crié ‘Allah akbar’. De nationalité somalienne, il était sous OQTF…
La mairie de Paris avait bien distribué un flyer contre les couteaux, mais elle a omis d’en distribuer un contre les miroirs brisés. 7 ans de malheurs.
Nouveau témoignage sur l’avortement, d’une militante de Mai 68
Voici le témoignage de Maria, le 8e témoignage d’une série suite à leur rencontre avec des députés et sénateurs, organisée par l’ECLJ en mai 2024.
Russie : une crise démographique majeure
Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.
Moscou a décidé de durcir sa position face au déclin démographique en adoptant de nouvelles mesures juridiques et en prônant les valeurs traditionnelles. L’interdiction de la promotion la natalité et la limitation de l’avortement visent à inverser le déclin démographique.
La population de la Russie diminue à un rythme alarmant. Chaque année, le pays perd l’équivalent des habitants d’une grande ville. Le gouvernement a décidé d’intervenir avec des mesures : interdiction de la promotion du mouvement « sans enfants » et des restrictions plus importantes à l’accès à l’avortement. Mais cela suffira-t-il réellement à changer la tendance démographique ?
Le mouvement « sans enfants »
L’idéologie « sans enfant » promeut l’absence d’enfants, non pour des raisons de stérilité mais par choix personnel. Ses adeptes affirment que la vie sans enfant peut être aussi satisfaisante, voire plus, que la parentalité. Les autorités sont conscientes que cette idéologie constitue une menace pour la stabilité sociale et démographique, et l’interdisent dans les médias et autres espaces publics.
L’année 2024 a été déclarée « Année de la famille » pour promouvoir la natalité. Mais en termes de statistiques démographiques depuis plus d’une décennie, elle a été catastrophique. Selon les données de l’ONU, en 2024, il y aura 600 000 décès de plus que de naissances, ce qui laissera la population à 144,8 millions d’habitants. En 1990, ce chiffre atteignait presque 149 millions.
La situation est aggravée par la perte de milliers de jeunes dans ce que l’on appelle « l’opération militaire spéciale » en Ukraine. En outre, l’incertitude économique et sociale dissuade de nombreuses femmes d’avoir des enfants. Sans garantie de stabilité, la décision de fonder une famille est reportée indéfiniment.
L’avortement, un problème majeur
La Russie est l’un des pays où l’accès à l’avortement est le plus large. En 100 ans, il y a eu 310 millions d’avortements. Cependant, avec la crise démographique, les autorités ont décidé de durcir les politiques autour de cette pratique. Ainsi l’interdiction de la vente libre de médicaments abortifs tels que le misoprostol et la mifépristone, qui ne pourront être achetés que sur prescription médicale.
En outre, des initiatives régionales visant à limiter l’accès à l’avortement dans les cliniques privées ont été encouragées. Dans des régions comme le Tatarstan et la Crimée, plusieurs cliniques ont cessé d’avorter. Dans certaines villes, des règlements criminalisant l’incitation à l’avortement ont également été adoptés.
D’autre part, l’Eglise orthodoxe s’est davantage opposé à l’avortement, le qualifiant de « meurtre ». La télévision d’Etat a commencé à diffuser des contenus anti-avortement. Le président Vladimir Poutine a reconnu la gravité de la crise démographique et, en sus des mesures visant à réduire le nombre d’avortements, a demandé un soutien accru aux familles.
Le parlement russe a interdit la promotion du mouvement « sans enfant ». Désormais, la promotion de ce mode de vie est interdite dans les médias, les réseaux sociaux, la publicité et même au cinéma. Cette décision a été interprétée comme une mesure anti-occidentale et antilibérale, similaire à d’autres lois récentes contre la « propagande LGBTQ ».
Mesures d’incitation à la natalité
Le gouvernement a commencé à discuter de programmes d’incitation économique pour les familles. Parmi ces initiatives figurent les allocations de naissance, la prolongation du congé de maternité et les avantages fiscaux pour les familles nombreuses. Toutefois, ces programmes n’ont pas encore été largement mis en œuvre et leur impact est incertain.
Les experts en démographie ont averti que le problème n’est pas seulement législatif, mais aussi culturel. Changer les perceptions de la maternité et de la paternité demande du temps et des mesures complémentaires. Selon des études récentes, la crainte de l’instabilité économique est l’un des principaux facteurs qui poussent les couples à retarder ou à renoncer à la parentalité.
Les droites convictions méritent le meilleur
Le nouveau slogan de Valeurs Actuelles « La droite mérite le meilleur » est déclinable à l’envi. Il porte en lui une double aspiration fondamentale, à la fois intime au cœur de l’homme et en même temps passablement étouffée par la postmodernité : la fierté et l’ambition. Chronique du père Danziec :
La noblesse oblige. Les droites convictions aussi. Pour s’en convaincre, il n’est pas forcément nécessaire d’aller fouiller dans les apophtegmes des pères du désert, ni de se plonger dans la chanson de geste de Roland à Roncevaux. Nul besoin express de relire Le combat spirituel de Lorenzo Scupoli, best-seller du début du XVIIe siècle et livre de chevet de saint François de Sales, ou d’apprendre par cœur les envolées d’un Cyrano de Bergerac à son ami Le Bret.
Non, pour se persuader que notre quotidien doit avoir en horreur toute espèce de médiocrité s’il veut être vécu en plénitude, il suffit tout simplement de se laisser impressionner par la voix de Johnny Hallyday, entre rage et cri du cœur, interprétant le tube : « Vivre pour le meilleur ». Mis en musique par son fils David, sur un texte du parolier Lionel Florence, l’idole des jeunes y réfléchit sur le sens de l’existence et de l’authentique liberté.
Un travail de bénédictin
Oui, vivre pour le meilleur. « Se vouloir pour tout se donner. Plus riche que de ne rien garder que l’amour ». Bien sûr que la droite, la droite raison, la vie, la rectitude méritent le meilleur. Evidemment que les convictions qui nous embrasent, éprouvées par l’expérience des siècles et des âmes, appellent en chacun où elles palpitent, le grand désir de les diffuser avec le plus de pédagogie, d’application et d’élégance. Anne Rosencher, directrice déléguée de la rédaction de L’Express, rappelait tout récemment dans une clairvoyante chronique sur France Inter, le mot de Cioran : « Un moine et un boucher se bagarrent à l’intérieur de chaque désir. » Le désir de la transmission relève assurément davantage du moine que du boucher, en ce qu’il se réalise à la manière d’un travail de bénédictin, lent, surnaturel et métaphysique, en apparence inutile, à coup sûr invisible et discret, et par là-même fondamentalement civilisationnel.
Les droites convictions méritent le meilleur par l’apprentissage dès le plus jeune âge de l’amour du travail bien fait, du sens de l’engagement et la noblesse des sentiments. La facilité se présente souvent comme la première des portes dérobées dans le long couloir des fracas de l’existence. Toute l’éducation – des cœurs, des âmes et des esprits – devrait apprendre à les refuser. A aller jusqu’au bout. Avec courage. Pour découvrir, au bout de la piste, ce qu’Hélie de Saint-Marc nommait « L’honneur de vivre ». S’engager sur les flots de la vie, avec peut-être la crainte de la haute mer, mais c’est une appréhension que l’on dépasse parce que l’on a reçu le goût de la curiosité et de l’émerveillement, la saine soif de découvrir des horizons nouveaux.
Bernard de Chartres : « Nous sommes des nains juchés sur des épaules de géants »
Enseigner aux jeunes générations les trésors de notre civilisation – trésors de foi dans les tourments d’une âme, de distinction dans les rapports humains, de sensibilité dans la poésie, d’équilibre dans l’architecture, d’harmonie dans la musique, d’audace dans l’ingéniosité et j’en passe… – n’est pas affaire d’impératif de transmission. Il s’agit plutôt, ou, pour mieux dire, il s’agit plus simplement, d’une question d’élégance morale. Avoir l’ambition des sommets pour distribuer de la fierté. Enseigner aux jeunes générations qu’elles sont héritières d’un legs inestimable et que, pour cette raison élémentaire, il appartient de donner le meilleur de soi pour en retirer le meilleur pour soi. Pour soi, d’abord, car charité bien ordonnée commence par soi-même. Mais encore pour les autres, pour leur offrir le meilleur de nous-mêmes.
Les droites convictions méritent le meilleur car nous sommes « Comme des nains juchés sur des épaules de géants, voyant plus loin que ceux qui nous portent et sans qui nous ne verrions rien ». Cette expression bien connue de Bernard de Chartres, qui deviendra évêque de Quimper, mériterait d’être gravée sur le fronton des écoles et des universités. Débiteurs insolvables, la première des attitudes morales consiste à reconnaître ce que nous devons à nos anciens. Forts de cette reconnaissance, les éducateurs, les transmetteurs et donc aussi, les clercs, les journalistes, les essayistes, sont priés de donner le meilleur d’eux-mêmes dans le but de réveiller, dans leurs univers respectifs, l’appétit de voir loin. S’il nous est possible de voir davantage de choses que nos prédécesseurs, ce n’est non en raison de l’acuité de notre propre regard, mais parce que nous nous trouvons élevés à une hauteur de vue considérable lorsque nous nous appuyons sur le patrimoine transmis et l’héritage reçu.
Retrouver l’esprit de sacrifice
Le prêtre, par son existence, apporte cependant une précision particulière à ce devoir d’application et de transmission. A ses ouailles, il rappelle l’importance de vivre pour le meilleur, il répète la nécessité de s’accomplir, dans le sillage de la parabole des talents. Certes. Car il en va du respect que chacun se doit à soi-même : ne pas gâcher son génie et rendre stérile ses capacités. Mais vivre pour le meilleur s’explique aussi pour quelque chose de plus haut. Celle de correspondre aux recommandations du divin Maître, à savoir porter du fruit.
Vivre pour le meilleur ne peut donc se réduire au seul domaine de l’imprécation. Viser le meilleur ne réclame pas seulement d’avoir raison, cela exige aussi du travail. Beaucoup de travail. La réussite, selon la formule consacrée, c’est 10% d’inspiration et 90% de transpiration. « Si le grain ne meurt… » Que tous les apôtres en herbe s’en souviennent, les droites convictions si elles méritent le meilleur, méritent aussi nos meilleurs sacrifices. Alors seulement, les germes de reconstruction pourront fleurir.
“Victimes des vaccins Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels”
Sur Sud radio, André Bercoff reçoit Pierre Chaillot, statisticien :
Belgique : les euthanasies et les prélèvements d’organes en hausse
Lu sur Gènéthique :
En 2024, 3,5% des 112.100 décès recensés en Belgique font suite à une euthanasie. Alors que les chiffres officiels doivent être publiés mi-février, les données de l’UZ Leuven et d’Eurotransplant indiquent que les prélèvements d’organes sont aussi en hausse. L’année dernière, 13 Belges ont accepté de donner « un ou plusieurs organes » après leur euthanasie.
Une pratique peu courante
La Belgique a autorisé l’euthanasie en 2002, après les Pays-Bas. En 2005 avait lieu la « première transplantation d’organe au monde après une euthanasie ». Ce n’est qu’en 2012 que les Pays-Bas l’ont autorisé.
Outre ces deux pays, seuls l’Espagne, le Canada et certains Etats australiens autorisent cette pratique dans le monde.
L’éligibilité au don d’organes après une euthanasie en Belgique concerne uniquement les patients atteints de maladies neurologiques ou « souffrant de souffrances psychiques insupportables ».
De futurs élargissements ?
Vendredi dernier, un accord a été trouvé pour le nouveau gouvernement fédéral. En matière de fin de vie, il prévoit
« d’envisager d’élargir la déclaration anticipée aux personnes devenues incapables de donner leur consentement en raison d’une démence ».
Cette perspective intervient alors que la Commission de contrôle est déjà débordée. « La commission recevait quelque 350 déclarations par an lorsqu’elle a été instituée. Aujourd’hui, c’est quasiment 350 par mois. On est toujours au bord de la rupture », prévient sa présidente Jacqueline Herremans.
Et de nouveaux types de demandes émergent. « Il y en a qui m’ont dit : “Je ne m’en sors plus financièrement” », témoigne le Dr De Locht. Un motif aujourd’hui irrecevable pour une euthanasie mais Pascale Favre, médecin et philosophe, alerte :
« La pression est plus forte sur cette catégorie de personnes. Évidemment que si on n’est pas bien pris en charge, on va demander plus facilement à mourir parce qu’évidemment, personne ne veut souffrir ».
Les gauchistes commencent à comprendre qu’un musulman modéré est plus proche d’un salafiste que d’un démocrate…
Une émission de France 5 provoque une polémique en raison d’un chroniqueur musulman. Il s’agit pourtant d’un musulman ordinaire, pas d’un djihadiste. Mais les gauchistes le stigmatisent comme tel, alors qu’il représente justement le musulman “modéré” avec lequel ils veulent nous faire cohabiter de force. Merwane Benlazar, nouveau chroniqueur humour dans C à vous sur France 5, porte le look salafiste, parle de génocide à Gaza, qualifie de « porcs » ceux qui regardent Miss France
Au nom de toutes les femmes, de leur liberté, de leurs droits chèrement gagnés ici et bafoués par les islamistes partout à travers le monde, une seule question : Pourquoi ? pic.twitter.com/5ORyJFU89b
— Nathalie Loiseau (@NathalieLoiseau) February 3, 2025
Qui est Merwane Benlazar ?
Le mieux, pour le savoir, est encore de lire ce qu’il écrit. https://t.co/6TvdeIwlh1 pic.twitter.com/lfyHuJbtcw— Jean Meslier #FreeCecileKohler et #BoualemSansal (@JeanMeslier01) February 3, 2025
Strasbourg : des écoles hors-contrat rachètent l’ancien petit-séminaire
La mairie écologiste de Strasbourg vend un de ses bâtiments en plein cœur de la ville à une école catholique hors contrat, qui a remporté la consultation (face à des projets de logements), suite au départ de l’Université populaire européenne de Strasbourg, alors basée à deux pas de la cathédrale. D’une superficie de 1 077 m², ce bâtiment dispose de salles de cours, d’une salle de réunion, d’un amphithéâtre et de deux salles de sport avec vestiaires et sanitaires. Deux ailes nécessitent d’être totalement rénovées.
Il s’agit de l’ancien petit-séminaire, transformé en école jusqu’en 1970. Il s’agit d’y installer deux établissements scolaires catholiques hors contrat déjà existants : l’École Herrade de Landsberg, qui va de la maternelle à la primaire et regroupe 70 élèves, ainsi que le collège Saint-Louis et Zélie Martin, créé en novembre 2024, qui devrait atteindre les 30 élèves à la rentrée 2025. Un patronage Saint-Louis accueillera les élèves de ces établissements ainsi que du quartier, sous la charge d’un responsable salarié déjà nommé. Quinze chambres pour étudiantes seront également mises à disposition pour répondre aux besoins financiers des jeunes de la communauté catholique. Un projet éducatif qui vise à former des individus « ancrés dans une dimension intégrale, incluant la foi, l’apprentissage et l’épanouissement personnel ».
Pour mener à bien l’acquisition de ce projet, une SCI a été créée, réunissant l’école primaire, le collège et les Missionnaires de la miséricorde divine. Mais celle-ci doit rassembler quatre millions d’euros, le 14 mars 2025 au plus tard, sans quoi le rachat sera compromis.
Contact pour participer : [email protected]
En fermant l’USAID, Elon Musk prive les gauchistes de leurs budgets de fonctionnement
Elon Musk, chargé par le président Donald Trump de faire le ménage au sein du gouvernement fédéral, a déclaré que l’Agence américaine pour le développement international (USAID), qui gère des milliards de dollars d’aide à travers le monde, allait fermer. Donald Trump a estimé dimanche que l’USAID était « dirigée par une bande de fous extrémistes ». Donald Trump avait gelé les fonds gérés par l’USAID, le temps d’examiner les projets, mais l’USAID a poursuivi à financer des organismes, contre l’avis de l’administration.
De fait, les employés de l’Agence ont reçu l’ordre par courrier électronique de ne pas se rendre à leur bureau lundi. Quelque 1.000 employés ou contractuels se sont retrouvés bloqués hors de leurs systèmes informatiques.
Elon Musk a qualifié l’agence d’ « organisation criminelle », l’accusant de « mener les basses œuvres de la CIA » et de se livrer à de la « censure sur internet ». Il l’a également qualifiée de « repaire de vipères de la gauche radicale marxiste qui haïssent l’Amérique ».
« En creusant l’USAID, il est devenu évident que ce que nous avons ici n’est pas une pomme avec un ver à l’intérieur, mais que nous avons en fait une boule de vers. Si vous avez une pomme avec un ver à l’intérieur, vous pouvez l’enlever. Si vous avez une boule de vers, c’est sans espoir. L’USAID est une boule de vers. Il n’y a pas de pomme. Et quand il n’y a pas de pomme, il faut se débarrasser de tout. C’est pourquoi elle doit disparaître. C’est irrécupérable. »
L’USAID a déversé des millions de dollars pour fomenter la subversion en Ukraine, en Géorgie, en Biélorussie, en Serbie. Un peu partout des médias sont en faillite parce qu’ils dépendent entièrement de l’USAID. Les médias ukrainiens en appellent aux dons afin que survivent les « médias indépendants »…
Marco Rubio a découvert que pour chaque dollar donné aux opposants iraniens seulement 12 centimes atteignent leur but.
« L’Amérique n’est pas une œuvre de charité, nous ne donnerons de l’argent qu’à ceux qui peuvent prouver qu’ils le dépensent dans l’intérêt national des États-Unis. »
Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio a annoncé être le nouveau chef par intérim de l’agence d’aide américaine USAID lundi lors d’une visite au Salvador. Il a affirmé vouloir ainsi mettre fin à l”insubordination’.
Agence créée par une loi du Congrès américain, l’USAID gère un budget de 42,8 milliards de dollars, destinés à l’aide humanitaire et l’aide au développement à travers le monde.
USAID is a criminal organization https://t.co/Xzl70dmow1
— Elon Musk (@elonmusk) February 3, 2025
Et Elon Musk a affirmé aussi :
Saviez-vous que l’USAID, grâce à VOS impôts, a financé la recherche sur les armes biologiques, y compris la COVID-19, qui a tué des millions de personnes ?
L’USAID a versé 53 millions de dollars à EcoHealth Alliance, qui a ensuite utilisé les fonds des contribuables américains pour soutenir la recherche sur le gain de fonction des coronavirus dans le laboratoire de Wuhan, une recherche qui a probablement conduit à la création du COVID-19.
Did you know that USAID, using YOUR tax dollars, funded bioweapon research, including COVID-19, that killed millions of people? https://t.co/YVwyKA7ifs
— Elon Musk (@elonmusk) February 2, 2025