Femme actuelle fait l'apologie d'une pratique illégale : le recours aux mères porteuses, à travers un témoignage dégoûlinant de bons sentiments et d'absence de réflexion. Et une belle désinformation : la mère porteuse est « l’être le plus altruiste de la terre. Elle voulait depuis longtemps porter un enfant pour qu’une autre femme puisse, comme elle, connaître le bonheur de la maternité ».
N'empêche que "l'être le plus altruiste de la terre" a pris un avocat pour sceller le contrat et a commencé par se mettre d'accord avec la mère biologique sur la somme d’argent échangée… En matière d'altruisme, on a connu mieux…
Il y a 2 jours, Christiane Taubira tenait un discours sur la traite des êtres humains et l’esclavage « moderne ». Elle a oublié de dénoncer la pratique des mères porteuses.
John
Si les mères porteuses se font payer pourquoi alors donner son sang gratuitement ? Dorénavant je demande à être rémunéré moi aussi pour chaque goutte de sang donné à un laboratoire ! Sachant que lui facture ce sang !
Par contre je le donnerai de bon coeur à toute personne que je peux connaître !
rijkov
En novlangue, il faut comprendre le contraire de ce qui est dit.
En conséquence, l’exemple donné par Femme actuelle, journal misérable et pestilentiel, est à comprendre comme une tractation commerciale faisant du corps d’une femme une usine à bébés.
Quant au malheureux bébé, il errera toute sa vie à la recherche de ses racines.
C’est bien une société pourrie que les Taubira et consorts sont en train de promouvoir.
Nauséabond.
Michèle
Femme “actuelle” ( en effet!) est une revue pour les sottes qui veulent singer les bobos de luxe sans en avoir les moyens. Idéologie: la tendance. Recette : un zeste de mode branchée, une pincée de “culture” dans l’air du temps, un brin de laurier sauce, un soupçon de rubrique famille “in”, une page déco design, l’inévitable page “psy”, l’indispensable horoscope…et l'”évangile” de la femme “libérée”…de tout effort de réflexion surtout, le tout dégoulinant de cette sensiblerie sirupeuse imposée par les media …Femme actuelle est Charlie, ça va de soi.
stephe
Les tartuffes criminels qui nous gouvernent et tiennent les médias cherchent, et hélas réussissent pour une bonne part, à façonner le prêt à penser contemporain au service exclusif du vice et des puissances d’argent; ces mêmes puissances d’argent qui avec l’aides des taubira, valls, Sarkozy, juppé et consorts sauront bien vite faire interdire ces petits arrangements artisanaux entre un couple et une pauvresse désirant trouver de quoi vivre à l’autre bout du monde; cela au nom de l’éthique bien entendu ! et une commission du même nom préconisera qu’il faut illico confier ce commerce entre des mains “sérieuses et responsables” qui bien évidemment prélèverons leur dîme sur cet esclavage bâti sur la misère. Juste une question combien de couple somalien en mal d’enfants viendrons en Europe ou aux USA pour trouver une femme “altruiste” ? il est à craindre que là encore le déséquilibre, moral cette fois, ne se renforce à nouveau entre les pays du nord et du sud.
lavandin
…ce qui s’apparente aussi à une forme de prostitution
n
Personnellement, je trouve que ce n’est ni de l’esclavage ni de l’altruisme. Mettre n’importe quel gros mot sur quelque chose sous prétexte de son immoralité est le propre des menteurs que nous dénonçons.
Ce qui me semble le plus condamnable, c’est la vente de l’enfant, qui réduit l’être humain à une marchandise, et partant, l’ensemble de notre humanité à du consumérisme. Dans ce commerce, la mère n’est pas une marchandise, elle n’est qu’une ouvrière.
Louise
@n Je trouve très exagéré et honteux de dire que la femme n’est qu’une ouvrière. On croirait entendre Bergé qui dit que louer son ventre ou son bras c’est la même chose.
Justement appelons les choses par leur nom.
Je vous rappelle le principe d’indisponibilité du corps humain en droit français.
La femme n’est pas qu’une ouvrière – l’enfant qu’elle porte fait l’objet d’un contrat oui – mais son corps aussi !
Oui la femme est employée comme une marchandise car son corps fait partie intégrante du contrat. Sans son corps, il n’y a plus de contrat.
C’est clair c’est limpide c’est de l’esclavage que vous le vouliez ou non.
unautreregard
Moi aussi je trouve dommage qu’on a choisi “l’esclavage des femmes” comme slogan pour contrecarrer le mal du commerce du GPA/PMA. Parce qu’on est dans un monde où la liberté de la femme de faire ce qu’elle veut avec son corps est compris comme étant un valeur ajouté à la société est une fierté de notre politique. Dans cette situation le GPA/PMA ne peut être vu que comme une nouvelle expression de la liberté de la femme… (où être contre le GPA/PMA serait être contre la liberté de la femme de maitriser son propre corps). En même temps je ne peux être que contant qu’il y ait une réaction contre GPA/PMA, même si dans ce cas, selon moi, l’expression “l’esclavage des femmes” était mal choisi.”
Quant à moi, j’opte plutôt pour l’expression “traitre des enfants”. Avant tout c’est l’enfant qui est la victime, pour toute sa vie, dans cette histoire. Bonne continuation à tous, avec n’importe quel arme que vous utilisé; on ne lâche rien, jamais.
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(TRAITE DES NOIRS*) – TRAITE DES ENFANTS
pour la définir, il faut associer et combiner les cinq éléments suivants (*trouvé sur wikipédia)
1 – (Les victimes étaient des Noirs.)
Les victimes sont des enfants, et les adultes qu’ils deviendront.
2 – (Les traites supposaient des réseaux d’approvisionnement organisés et intégrés.)
Le marché des enfants suppose des réseaux d’approvisionnement organisés et intégrés: industrie pharmaceutique, monde médical, assureurs, banques, personnes-porteuses, donneurs et vendeurs d’ovocytes et de spermatozoïdes, publicité, etc.
3 – (Le lieu de la capture et celui de la servitude étaient éloignés l’un de l’autre.)
Spermatozoïdes et ovocytes congelés loin des personnes qui les ont originées; enfants éloignés de leurs origines biologiques et héréditaires et de leurs cultures génétiques
4 – (La plupart du temps, la traite correspond à un échange commercial entre producteurs et acheteurs.)
Les producteurs commerciaux sont l’industrie pharmaceutique et médicale, les personnes-porteuses professionnelles, et les donneurs et vendeurs d’ovocytes et de spermatozoïdes; les acheteurs sont des personnes avec des moyens financiers, et ou des personnes ayant accès aux banques et assurances
5 – (Les entités politiques approuvaient ce commerce et en retiraient des bénéfices substantiels.)
Les hommes politiques français, européens et occidentaux approuvent et mettent en place les lois qui permettent le bon fonctionnement du marché aux enfants ; et les bénéfices qu’ils retirent sont substantiels : les bénéfices économiques, et le soutien des lobbies concernés sont simplement deux parmi des nombreux
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GPA/PMA/Homoparentalité – Crime contre l’enfant.
(Egalité pour les enfants; que chacun ait la possibilité d’avoir les deux moitiés de l’espèce humaine comme parents; et leurs parents biologiques quand possible).
https://www.youtube.com/watch?v=cCJTNz07Im0
Mère : “Hay. Que fais-tu ?”
Fille : “J’étais en plein milieux d’un examen de math.”
Mère : “Tu étais en plein milieux d’un examen de math. Alors j’ai bien fait.”
Fille : “Ouiiii. Tu m’as sauvé la vie.”
Mère : “Je dois aller au bureau.”
Fille : “Papa!… Tu m’as manqué… Tu m’as manqué…”
Papa : “Je suis de retour… Pourquoi tu pleur ?”
unautreregard
Addition au commentaire ci-dessous.
Père : “Pourquoi tu pleur?”
Fille : “Parce que je suis heureuse.”