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Témoignage : elle avorte sous pression de son conjoint et du Planning familial

Voici le témoignage de Françoise, le 7e témoignage d’une série suite à leur rencontre avec des députés et sénateurs, organisée par l’ECLJ en mai 2024. Françoise a avorté 3 fois. La première fois sous la pression du conjoint et du Planning familial, alors qu’elle voulait le garder. La droit des femmes ? Le Planning s’en moque. IVGmon corps, mon choixmon droit ?  Pure intox.

L’élection de Donald Trump a une influence majeure car les États-Unis sont la première puissance mondiale

Dans un livre récent, L’Amérique empire, Nikola Mirkovic, qui a grandi aux États-Unis, dénonce l’emprise de l’Empire américain et de son élite sur le monde entier. Pour lui, l’élection de Donald Trump est un gage de changements importants, aux conséquences énormes. Interrogé dans L’Homme Nouveau, il déclare :

Donald Trump vient d’être élu président des États-Unis. Quelles pourraient être les conséquences de cette élection, pour l’Europe et pour le monde ?

Cette élection a une influence majeure car les États-Unis sont la première puissance mondiale. Donald Trump est le candidat qui veut changer radicalement le système pour revenir aux fondements de l’Amérique, dans son courant isolationniste, par opposition au courant impérialiste. Il ne veut pas détricoter complètement l’empire mais, dans la mesure où celui-ci est en surextension, il veut le ramener à des proportions plus raisonnables. Il veut redonner leur puissance aux Américains et remplacer la politique de la force, qui ne fonctionne plus, par la diplomatie. Concrètement, je crois qu’il est la bonne personne pour régler le problème de l’Ukraine car il a dit qu’il le ferait, il connaît Poutine, et il est contre cette guerre qui coûte très cher à l’Amérique. De même pour le Moyen-Orient : si le conflit s’embrase, les États-Unis devront le financer. Je crois qu’il va chercher une solution pour que son discours soit crédible. Il est entouré des bonnes personnes, il connaît aussi Netanyahu. S’il est honnête, il a les moyens de négocier. […]

L’Amérique empire

 

Alexandre Portier, ministre délégué à la réussite scolaire : “les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants”

Excellente intervention du ministre Alexandre Portier mercredi au Sénat, avec une charge contre l’idéologie du genre. Le sénateur LR Max Brisson, ancien inspecteur général de l’Education nationale, s’était emporté sur ce sujet :

« Assurez-vous que le contenu de chaque cycle sera adapté à l’âge des élèves, que les références à l’identité de genre seront retirées ? Assurez-vous le Sénat que toute trace de wokisme en sera expurgée ? »

Devant les sénateurs, Alexandre Portier a indiqué avoir « trois réserves importantes » sur la mouture actuelle du projet. Outre sa dénonciation de l’idéologie du genre, Alexandre Portier a réclamé « un encadrement très strict de tous les intervenants qui auront à porter ces sujets dans nos établissements ». « Le militantisme n’a pas non plus sa place dans nos écoles ». « Troisièmement, je veux aussi une meilleure prise en compte du développement de nos élèves. Parce que toutes les notions qui doivent être évoquées dans ces matières doivent l’être en fonction évidemment du développement de nos élèves. »

« Ce programme en l’état, n’est pas acceptable ». « Je m’engagerai personnellement pour que la théorie du genre ne trouve pas sa place dans nos écoles »

Le ministre de l’Education nationale Anne Genetet a tenu à répondre jeudi :

« Il n’y a qu’une seule ligne, la ligne du ministère, c’est la ligne que je défends. C’est moi qui pilote ce programme ». « L’école de la République, c’est une école dans laquelle il n’y a pas d’idéologie, ce programme n’a pas d’idéologie. La théorie du genre n’existe pas, elle n’existe pas non plus dans ce programme. On apprend la différence fille garçon, à se respecter pour ce que l’on est. C’est tout ».

Alexandre Portier a été la cible du Planning familial, lequel ose répéter que cette théorie du genre n’existe pas :

Rappel utile de Marion Maréchal sur le fameux “homme enceint” :

 

Les Républicains de hasard face aux Républicains de nature

Lu dans Le Bien Commun :

Vous pouvez commander ou vous abonner au Bien commun ici ou le retrouver chaque mois sur Le Club de la Presse.

Après les retraités et les classes moyennes, le bloc gouvernemental veut maintenant s’en prendre aux militaires.

Le député RN Laurent Jacobelli dénonce la volonté de taxer les indemnités accordées aux militaires envoyés en mission à l’étranger. Déjà que l’armée connaît des difficultés de recrutement, si en plus les militaires sont spoliés alors qu’ils sont envoyés à l’étranger pour risquer leur vie, …

Marché de Noël école Sainte-Bernadette

Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.

Nous vous attendons nombreux samedi 30 novembre et dimanche 1er décembre pour notre marché de Noël 15 rue Pierre Loti à Tarbes.
De nombreux créateurs et de belles nouveautés pour cette édition 2024.

ecole-saintebernadette.fr

Pierre-Édouard Stérin, un ‘George Soros de droite’

Pierre-Édouard Stérin, entrepreneur français de 50 ans, milliardaire connu pour ses investissements dans la restauration et la tech, de LaFourchette à Oh My Cream, en passant par Carmat, a été longuement interrogé dans Le Point. Extrait :

Vos aventures entrepreneuriales et philanthropiques visent le « bien » commun, une notion subjective. Quels sont vos véritables objectifs et ambitions ?

Mon objectif, comme tout chrétien, est de devenir saint. Je sais que cela demande des efforts. Je suis encore loin d’y parvenir. Cependant, cela me donne un cadre, me fixe des limites et me sert de moteur. Il y a quelques années, je me suis demandé si, après avoir gagné beaucoup d’argent, je devais arrêter de travailler pour jouer au golf toute la journée. Non. Suis-je appelé à continuer à gagner de l’argent pour gagner de l’argent ? Non plus. Ou suis-je appelé à gagner de l’argent pour faire le « bien » ? C’est le choix que j’ai fait.

Très concrètement, 80 % de mon temps est consacré au business, à travers ma structure d’investissement, Otium Capital. Je continue à investir et à créer des boîtes pour gagner de l’argent, parce que c’est ce que je sais faire de mieux. Les 20 % restants, je les consacre à faire le « bien », notamment avec le Fonds du bien commun, un établissement philanthropique que j’ai lancé en 2021. J’ai aussi fondé, plus récemment, Périclès, une structure politique et métapolitique.

Vous êtes suspecté, à travers Périclès, de vouloir influencer le débat public, en investissant vos moyens financiers et humains dans les médias, au service d’un parti politique, voire d’un candidat à la présidentielle. Est-ce le cas ?

Je suis un homme de droite, libéral au niveau économique, conservateur sur les sujets sociétaux. Je me situe au centre de la droite. Il me semble important de contribuer au développement de ce courant de pensée en France. J’ai donc vocation à financer, par le biais de Périclès, nombre d’initiatives entrepreneuriales permettant de rendre ces idées encore plus populaires, afin qu’un jour nous ayons des représentants politiques en position de dérouler un plan libéral-conservateur à la tête du pays.

Le cadre légal interdit à toute personne morale de financer une personnalité ou un parti politique. Périclès se concentre donc sur la création et le soutien à des initiatives citoyennes et des projets entrepreneuriaux, comme des think tanks ou des instituts de formation. Le reste n’est qu’une caricature de la part d’une presse d’extrême gauche radicale affiliée à LFI.

Et en dehors de cette structure Périclès ?

À côté de cela, je peux être amené à financer ponctuellement, comme tout citoyen français dans le cadre légal, des politiques au niveau national ou local. Ce sont des choix personnels. Je n’ai jamais financé ni Marine Le Pen ni Éric Zemmour. Mis à part sur le sujet de l’immigration, j’ai peu de convictions communes avec le Rassemblement national. Sur les plans économique et sociétal, nous sommes même très éloignés. Il est absurde de me suspecter de manoeuvrer pour que le RN arrive au pouvoir. Après, en toute franchise, à choisir entre le RN et la gauche ou l’extrême gauche, mon choix de vote est vite fait.

Comprenez-vous que le fait de financer la campagne de Marine Le Pen, d’Éric Zemmour ou d’un autre candidat de droite puisse choquer et être contesté ?

Que cela puisse interpeller, je le comprends tout à fait. En revanche, qu’on me conteste ce droit ou que l’on s’insurge, j’ai beaucoup plus de mal. Cet argent, je l’ai gagné. J’en fais ce qui me semble bon tant que cela reste dans un cadre légal, bien entendu. Si j’ai envie de financer différents candidats, différents courants de pensée ou certains combats – pour ou contre la tauromachie, par exemple -, c’est mon droit le plus absolu. Chacun est libre, en tout cas encore en France aujourd’hui, de faire ce qu’il veut de son argent.

On vous a déjà présenté comme un George Soros de droite…

C’est une source d’inspiration – ou plutôt d’anti-inspiration ! En réalité, je suis sûr que nous nous retrouverions sur plusieurs sujets, avec George Soros. Par exemple, sur l’accès à une éducation de qualité pour tous les Français, qui n’est pas une question de droite ou de gauche et sur laquelle nous devons tous être d’accord. Idem sur les sujets de lutte contre la pauvreté. En revanche, il y a, dans ce que finance Soros, des choses très éloignées de mes valeurs, comme sa stratégie woke ou encore esclavagiste, en souhaitant bannir les frontières et exploiter des populations étrangères en leur payant un salaire de misère.

[…]

Vous n’êtes pas sans quelques contradictions. Comment peut-on être chrétien et se rêver multimilliardaire ? Se prétendre patriote et être exilé fiscal ?

J’ai quitté la France, à regret, pour mieux servir mon pays. Ma femme est originaire du sud-ouest de la France. Pour elle, Paris, c’est le Nord. Donc, la Belgique, c’est le pôle Nord. Pourtant, voilà dix ans que nous y vivons. Nous n’y sommes pas malheureux, mais ce n’est pas chez nous. Je suis en train d’élever mes enfants dans un pays qui n’est pas le leur. C’est dur, pour un patriote. Je le fais, parce que, en restant en France, on me « volait », sans rien faire de mon argent. Ce que j’économise en impôt, je le reverse à mon pays par la philanthropie.

Cette année 2024, par exemple, j’ai reversé 60 millions d’euros au Fonds du bien commun et ai gardé 300 000 euros avec lesquels je vis très confortablement. Je verse donc 200 fois plus que ce que j’utilise personnellement. Ce versement n’est possible que parce que je vis en Belgique. Cela me permet de garder la main sur les sujets que j’ai envie de subventionner. Et non pas laisser l’État financer des projets qui, pour la majeure partie d’entre eux, n’ont aucune efficacité.

Je rêverais que l’État français soit le meilleur outil pour servir mon pays. Qu’il finance de lui-même, et avec efficacité, l’éducation, la culture française, la sécurité… La « charité obligatoire » est une contradiction dans les termes, un non-sens. Le don véritable est la plus belle chose qui soit, n’en détruisons pas la possibilité avec un niveau d’imposition écrasant.

Pensez-vous qu’on puisse faire de la politique comme on fait du business ?

Ce serait idéal, mais personne ne le fait. Je pense que, lorsqu’on se présente à une élection et, surtout, dans l’exercice de ses fonctions, cela permettrait d’être beaucoup, beaucoup plus efficace qu’aujourd’hui au niveau national ou local. Le dernier budget à l’équilibre de la France remonte à 1974. Imaginez une entreprise perdant de l’argent chaque année depuis cinquante ans…

Cette situation aurait été impossible si la France avait été dirigée avec des objectifs précis, de meilleures équipes… Il suffit d’observer la situation économique, celle de la sécurité. Je ne parle pas de l’Éducation nationale, où tous les indicateurs montrent que, depuis trente ou quarante ans, la France prend énormément de retard par rapport à ses « concurrents », c’est-à-dire les autres pays européens ou les États-Unis. Une partie du problème, à mon sens, est qu’en grande majorité la politique n’attire plus que des profils médiocres. S’il existe quelques personnes brillantes, elles n’ont pas nécessairement le parcours qui leur permettrait de recruter une équipe imbattable nécessaire pour « faire le job », de manager, de décider, de trancher…

I-Média : Le service public vous ment ! (et ça commence vraiment à se voir…)

Cette semaine dans “I-Média”, Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin reviennent sur l’ARCOM, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, qui a sorti ce mois-ci un rapport sur la diversité ethnique dans les médias. Des statistiques pourtant interdites dans les faits divers.

On s’arrêtera sur France 2 et France 5 qui ont commis chacun en une semaine des chefs d’œuvre de propagande. Avec l’infirmière d’extrême gauche de Complément d’enquête et Benjamin Stora “l’historien” d’Emmanuel Macron pour “la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie” qui a jugé bon d’enfoncer l’écrivain Boualem Sansal actuellement emprisonné à Alger avec les applaudissement du journaliste désinformateur Thomas Snegaroff.

On n’oubliera pas les pastilles de l’information et pour conclure, le portrait piquant du jour en partenariat avec l’OJIM consacré à Delphine Ernotte, la directrice générale de France Télévisions, LA femme au service de la propagande sur le service public.

Annulation de la suspension du directeur de l’Immaculée conception à Pau

Communiqué d’Anne Coffinier, présidente de Créer son école :

Christian Espeso, directeur de l’Immaculée conception, est réintégré dans ses fonctions. Le juge des référés vient de suspendre la décision de la rectrice de le suspendre de ses fonctions pour 3 ans. Concrètement, il retourne diriger l’Immaculée conception dès demain.

C’est une victoire pour la liberté d’enseignement. C’est une victoire aussi pour les hommes et les femmes de caractère face à la machine technocratique.

Je suis heureuse que notre avocat, Me Hugues de Lacoste Lareymondie, qui a assuré sa défense, ait remporté une telle victoire. Au delà de l’honneur d’un homme, ce qui se joue c’est la liberté d’enseignement, le caractère propre, le sens même de l’existence d’établissements libres dans notre paysage scolaire français.

Vive la liberté d’enseignement !

Le tribunal a motivé sa décision par le fait que les éléments avancés ne justifiaient pas, à ce stade, une mise à l’écart immédiate du directeur. Ce retour est toutefois conditionné à l’évolution de la procédure toujours en cours.

Addendum : voici l’ordonnance de référé sur l’affaire Espeso

[…] Le juge des référés, saisi sur le fondement de l’article L. 521-1 du code de justice administrative, peut suspendre l’exécution d’une décision administrative si deux conditions cumulatives sont réunies : l’existence d’une situation d’urgence, d’une part, et l’existence d’un doute sérieux quant à la légalité de l’acte, d’autre part.

En l’espèce, le juge des référés a considéré que ces deux conditions étaient remplies.

En ce qui concerne la condition d’urgence, il est retenu que le risque de licenciement à brève échéance du directeur de l’établissement en cause et l’impact que la décision a sur sa situation personnelle permettent de considérer que cette condition est satisfaite.

En outre, il est jugé que le moyen tiré du caractère disproportionné de la sanction aux faits reprochés au directeur de cet établissement était, en l’état des éléments du dossier, de nature à créer un doute sérieux sur sa légalité, dès lors notamment que l’intéressé n’a jamais été sanctionné alors qu’il exerce des fonctions de direction d’un établissement depuis de nombreuses années.

Cette suspension de la sanction s’applique donc jusqu’à ce que le juge du fond, statuant en formation collégiale, se prononce sur sa légalité.

Fête de l’Immaculée Conception : choisir l’espérance avec Marie

Espérer n’est pas toujours facile. Pourtant dans les tribulations et les épreuves, notre moteur, c’est bien l’espérance !

L’espérance chrétienne est cette conviction profonde, enracinée dans la foi, que Dieu accomplit ses promesses, même dans les périodes les plus sombres.

Marie aussi a espéré, au pied de la croix. Elle a espéré la Résurrection de son divin Fils, elle a cru en Sa promesse.

Alors à l’occasion de la fête de l’Immaculée Conception, Hozana vous propose de vous réfugier sous la protection maternelle de la Vierge Marie pour lui demander de vous aider à toujours choisir l’ESPÉRANCE, fondée sur la certitude que son fils est là avec nous tous les jours, jusqu’à la fin des temps.

Les méditations de la neuvaine du 1er au 9 décembre sont proposées par le Sanctuaire Notre-Dame de Fourvière à Lyon.

Le pédagogisme démiurgique

Dans le JDNews, Philippe de Villiers dénonce la propagande LGBTQXYZ dans les écoles :

[…] Le pédagogisme démiurgique entend combattre ainsi dès l’enfance la fameuse « masculinité toxique ». Chaque pousse de petit mâle est censée abriter un patriarcat en devenir. Le Conseil Supérieur de l’Éducation examinera, la semaine prochaine, le nouveau « programme d’éducation à la sexualité ». Il est fort dommage que le Premier ministre n’ait pas lu le livre de Sophie Audugé et Maurice Berger.

En pensant à leurs petits-enfants, nos ministres doivent savoir ce qui est prévu pour sexualiser leur maturation. Dès l’âge de trois ans, un enseignement obligatoire va biberonner leur progéniture à la culture queer, à la culture woke. Il n’y a plus d’enfants, il n’y a plus que des adultes en miniature. On force la porte de leurs rêveries. C’est la victoire de l’idéologie sur la science, qui cherche à formater un « éco-sexo-citoyen-inclusif et non genré ». On veut arracher l’enfant à sa famille, c’est-à-dire au processus d’identification à son père, à sa mère. Dès le préambule de ce nouveau programme d’éducation, on parle « d’identité de genre et d’orientation sexuelle

La France plonge dans cette folie mortifère au moment même où l’Amérique est en train d’en sortir. Donald Trump a gagné l’Amérique profonde en annonçant sa ferme intention d’interdire la transition de genre aux mineurs et les bloqueurs de puberté. Bref, le nouveau président tourne la page de l’activisme transgenre au moment où la France vient encombrer nos écoles de cette doxa hautement toxique, porteuse de l’insinuation troublante : « je suis peut-être né dans le mauvais corps ».

C’est un écoterrorisme qui se répand au nom d’une gnose nouvelle sur l’évaporation du corps et la fluidité du genre. Selon le théorème transgenre, la dichotomie femelle-mâle est une invention de l’esprit occidental. Le sexe serait un construit social. Le personnage conceptuel du « trans » est érigé en nouveau héros de notre temps pour avoir osé franchir l’ultime barrière qu’est le corps humain.

Ainsi, depuis la révolution du premier « homme nouveau » des évangiles, la pensée occidentale a imaginé successivement trois « hommes nouveaux » : celui du rousseauisme – c’est l’homme nouveau débarrassé de ses héritages. Puis celui du boboïsme – c’est l’homme nouveau débarrassé du lien social aliénant. Enfin celui du wokisme – c’est l’homme nouveau, débarrassé de la nature et de son propre corps.

L’homme ainsi régénéré va tenter de vivre sans famille, sans nation, sans humus et sans lumière. Voici qu’apparaît l’homme post-moderne, post-moral. Il tente de devenir son propre créateur et de retourner au jardin d’Éden. « Sicut dei eritis », « vous serez comme des dieux », leur promet le Serpent.

Le XXe siècle fut le siècle de Prométhée, porté par la promesse de dérober le feu, le feu nucléaire. Le XXIe siècle sera le siècle de Faust, porté par la promesse de dérober la vie et d’en finir avec l’assignation sexuelle à la naissance. Voilà où nous aura conduit la logique des fameux « droits de l’Homme ». Après l’homme désaffilié de la Révolution, l’homme délié de ses attachements vitaux de Mai 68, voici l’homme désincarné. Sous les pas de l’homme d’Aristote, s’ouvre un abîme.

Faire des économies en coupant l’herbe sous le pied des parasites

La présidente de la Région Pays de la Loire, Christelle Morançais, a annoncé des coupes dans les budgets de la culture (–73 %), du sport (–75 %) et de l’égalité femmes-hommes (–93 %). Alors que l’État demande 40 millions d’économies, elle promet 100 millions.

Les professionnels de la subvention manifestent car ils vont devoir aller travailler…

Vendredi, la présidente s’est fendue d’un tweet :

« J’ai pris la décision, avec beaucoup de regret, mais aussi une profonde colère, d’annuler la rencontre avec les maires de Loire-Atlantique, qui devait se tenir lundi prochain […]. Face aux appels à la mobilisation, provenant de LFI, de syndicats et d’associations de gauche, visant à contester les économies à réaliser sur le budget régional, nous ne sommes pas en mesure de garantir la sécurité aux abords et à l’intérieur de l’hôtel de région. Dans ce contexte particulièrement violent, qui se nourrit de fake news et d’attaques personnelles, je ne veux pas faire courir le moindre risque aux maires. Je regrette profondément que ce temps d’échanges démocratiques soit l’objet d’une telle instrumentalisation. »

Mathilde, photographe, explique :

« Comme pour beaucoup d’autres ici, la grande majorité de mon économie est basée sur des subventions, je vais devoir trouver d’autres manières de travailler. »

Les baisses pourraient entraîner la disparition de plusieurs festivals comme Les Escales, à Saint-Nazaire, ou de lieux de culture comme la Maison de la poésie de Nantes.

Le Planning familial tente de prendre la main de l’opposition car, avec une baisse de 93 % des subventions pour l’égalité femme-homme, l’organisme devra replanifier son activité…

Un tribunal kenyan bloque l’immunité spéciale accordée à la Fondation Gates, favorable à l’avortement

La Law Society of Kenya a contesté le statut spécial accordé à la Fondation Gates, qui bénéficie d’une immunité à l’égard de nombreuses obligations légales, ce qui a amené la Haute Cour du Kenya à suspendre temporairement l’accord.

Le mois dernier, le gouvernement a conclu un accord de coopération avec la fondation pour son travail en faveur de « l’agriculture, les soins de santé, la vaccination, la nutrition, l’assainissement, les services financiers, [ce qu’on appelle] l’égalité des sexes et [ce qu’on appelle] le planning familial », lui accordant la protection de la section 11 de la loi sur les privilèges et l’immunité, qui accorde aux personnes et entités désignées l’immunité contre les poursuites liées à leurs fonctions officielles, les taxes sur le paiement de leur travail lié à ces fonctions, les obligations de service national et les restrictions en matière d’immigration.

La « planification familiale » est un euphémisme courant pour désigner l’avortement et la contraception, que la Fondation Gates finance largement. L’« égalité des sexes » est également souvent invoquée pour justifier ces pratiques.

Le juge a accepté de suspendre temporairement l’application des privilèges à la Fondation, en attendant l’issue d’un procès sur le bien-fondé des décisions. Les deux parties ont jusqu’au 10 décembre pour présenter leurs arguments sur la question.

La Law Society of Kenya soutient que l’immunité spéciale permettrait à la Fondation Gates d’exercer une large influence sur de nombreux domaines politiques sans contrôle véritable.

« Il est incompréhensible qu’une entité privée sans mandat national connu se voie accorder le statut consulaire au Kenya, ce qui lui permettrait d’opérer avec l’immunité prévue par la loi sur les privilèges et immunités ».

La Fondation Gates est connue pour son action en faveur de causes bien moins inoffensives que la distribution de médicaments et de technologies dans le monde entier. Au fil des ans, elle a consacré des sommes considérables à l’alarmisme climatique et à la surveillance de l’identité numérique, ainsi qu’à l’avortement et à la contraception, tout en s’associant au Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP). Son fondateur, l’ancien dirigeant de Microsoft Bill Gates, s’est également autoproclamé expert en santé publique lors de la pandémie de COVID-19, malgré son absence de formation médicale formelle, usant de son influence pour promouvoir le confinement et l’obligation de vacciner.

En 2011, Bill et son épouse de l’époque, Melinda Gates, ont expliqué à Forbes que leur travail « humanitaire » visant ostensiblement à prolonger la durée de vie dans les pays du tiers monde était motivé en partie par l’espoir de réduire la taille de la population.

Avec une population actuelle de 56 millions d’habitants et un taux de croissance de 2,28 %, le Kenya est depuis longtemps la cible des militants du contrôle démographique. « Bien que le taux de fécondité soit inférieur à la moitié de ce qu’il était il y a quelques décennies, le Kenya connaît toujours une croissance démographique rapide », selon la Revue mondiale de la population. « Cela s’explique par le fait qu’il y a beaucoup plus de familles au Kenya aujourd’hui en raison des taux de fécondité élevés du passé, de sorte que les femmes ont moins d’enfants, mais qu’il y a plus de familles qui ont des enfants. En outre, l’espérance de vie des Kenyans augmente. »

Chronique des cinglés

La neuvième édition du Dictionnaire de l’Académie française a été remise solennellement au président de la République le 14 novembre. La Ligue des droits de l’homme a

« découvert avec stupéfaction et consternation que nombre de définitions participent d’une vision au mieux archaïque de notre monde ».

« L’entrée qui définit l’hétérosexualité comme une relation « naturelle » (sic) entre les sexes implique que l’homosexualité n’est pas, elle, naturelle ».

« La femme se voit définie par sa capacité à concevoir et mettre au monde des enfants ».

« Le traitement du racisme, lourd d’enjeux dans le monde où nous vivons, est de même sidérant. »

Car la race renvoie à « chacun des grands groupes entre lesquels on répartit superficiellement l’espèce humaine d’après les caractères physiques distinctifs qui se sont maintenus ou sont apparus chez les uns et les autres, du fait de leur isolement géographique pendant des périodes prolongées. Un homme de race noire, de race blanche, de race jaune ».

La sentence est sans appel :

« La langue française mérite mieux. La démocratie également. Sauf à justifier l’injustifiable et apporter ainsi sa pierre à des constructions intellectuelles et politiques particulièrement dangereuses, les éditions Fayard se doivent de prendre leurs responsabilités dans la diffusion imprimée des versions de ce Dictionnaire. La LDH leur demande de prendre rapidement des mesures visant à insérer un erratum dans les exemplaires mis en vente et à modifier les éditions suivantes. Cette demande vaut évidemment pour l’édition numérique. »

La LDH ne s’adresse pas à l’Académie française mais à l’éditeur, qui est censé publier un texte dénonçant les « erreurs » de l’institution chargée de définir la langue française…

Les actes antichrétiens en Europe ont plus que triplé entre 2022 et 2023

Dans son rapport 2024 publié le 15 novembre, l’Observatoire sur l’intolérance et la discrimination envers les chrétiens en Europe (OIDAC Europe) a constaté – avec des lacunes dans les rapports pour de nombreux pays – un total de 2 444 actes de haine antichrétienne commis en 2023, contre 749 incidents enregistrés en 2022. Le rapport en pdf fait 59 pages.

Ces actes consistent principalement en des actes de vandalisme, y compris des actes de profanation d’images sacrées dans les églises. Les incidents documentés comprennent également 232 attaques personnelles contre des chrétiens, impliquant des violences physiques et du harcèlement.

Les statistiques policières n’étaient disponibles que pour l’Autriche, la Finlande, la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni, laissant à l’OIDAC Europe le soin d’obtenir des statistiques pour les 30 pays restants inclus dans le rapport. Selon Anja Hoffmann, directrice exécutive de l’OIDAC Europe, les chiffres de l’OIDAC ne représentent qu’une fraction des incidents qui peuvent être documentés par des rapports de police, ce qui signifie qu’un « nombre élevé de cas non signalés » est supposé.

Les chiffres de 2023 marquent une explosion des actes antichrétiens dans un contexte d’« augmentation constante » du nombre d’incidents de ce type depuis près de 15 ans que l’OIDAC Europe les répertorie.

Dans les cas où des informations sur les auteurs étaient disponibles, il s’est avéré que la majorité d’entre eux étaient des islamistes radicaux, suivis de loin par des personnes antireligieuses ou appartenant à la gauche radicale.

De violents actes antichrétiens perpétrés par des musulmans radicaux ont frappé une grande partie de l’Europe en 2023. Le rapport de l’OIDAC cite quelques exemples, comme l’incident survenu en janvier 2023 à Algeciras, en Espagne, au cours duquel un djihadiste a tué un servant d’autel et blessé quatre personnes à la machette en criant « Allah est grand » et « Mort aux chrétiens ».

Au Royaume-Uni, un chrétien converti à l’islam a été poignardé à six reprises par son colocataire musulman, qui avait commencé à le menacer après sa conversion.

En Italie, un Tunisien converti au christianisme a été battu et volé par une foule de Tunisiens islamiques pour avoir « fréquenté une église chrétienne ».

La France est le pays européen qui a enregistré le plus grand nombre d’actes antichrétiens (environ 1 000). Environ 90 % des incidents ont visé des églises ou des cimetières, selon le ministère français de l’intérieur, dans le cadre d’une tendance qui a vu des églises historiques françaises endommagées et dévastées par des incendies criminels.

Rien qu’en janvier 2023, quatre églises de Paris ont été la cible d’incendies criminels impliquant des cocktails Molotov, et un total de 14 incendies criminels ont été commis en France de janvier à octobre 2024, selon l’Observatoire français du patrimoine religieux.

Le Royaume-Uni et l’Allemagne suivent la France pour le nombre d’incidents anti-chrétiens en 2023. Le nombre de ces actes a plus que doublé en Allemagne l’année dernière, et la police a enregistré plus de 2 000 incidents de dommages à des lieux de culte chrétiens. Le nombre d’actes antichrétiens a plus que doublé en Allemagne l’année dernière, passant de 135 en 2022 à 277 en 2023. En ce qui concerne le vandalisme dans les églises, la police allemande a enregistré plus de 2 000 cas de dommages matériels à des lieux de culte chrétiens en 2023. À l’échelle européenne, près d’un quart de tous les crimes de vandalisme contre les églises en 2023 impliquaient des actes intentionnels de profanation.

La tendance européenne coïncide avec une augmentation des attaques contre les églises chrétiennes au Canada et aux États-Unis, où les attaques contre les églises, en particulier les églises catholiques, ont connu un pic après la diffusion de la décision de la Cour suprême dans l’affaire Dobbs contre Jackson.

Des gauchistes veulent empêcher un catholique de donner une conférence à l’Institut catholique

Lundi 25 novembre, le campus rouennais de l’Institut catholique de Paris avait invité le docteur René Ecochard, professeur de médecine (Santé publique et Biostatistique) à l’Université Claude Bernard (Lyon), pour une conférence sur l’identité sexuelle, le genre et la construction de soi : “hommes et femmes, naturellement différents”.

Une centaine de personnes, à l’appel notamment du collectif VISA, Vigilance et initiatives syndicales antifascistes, ont manifesté contre la venue de ce professeur de médecine de l’université de Lyon. Le docteur René Ecochard, qui, avec son épouse, forme des couples à la régulation naturelle des naissances, serait proche de l’extrême-droite (il est interrogé sur TV Libertés), voire controversé pour ses positions pro-vie, anti PMA, et ses livres contre l’idéologie du genre.

Les participants à la conférence ont dû être protégés à leur arrivée par une haie de policiers. Une participante déclare :

“Je suis là pour une conférence d’un scientifique, un médecin qui a fait des travaux très intéressants sur l’homme et la femme”.

Les gauchistes n’aiment pas les scientifiques.

États-Unis : les avortements chutent de près de 40 % dans l’Iowa après l’entrée en vigueur de la loi « battement de cœur »

La loi dite « battement de cœur » de l’Iowa aurait contribué à une baisse de près de 40 % des avortements, selon un groupe de réflexion pro-avortement.

Les données montrent une moyenne mensuelle de 400 avortements fournis par des cliniciens dans l’Iowa au cours des six premiers mois de 2024. Après l’entrée en vigueur de l’interdiction de six semaines le 29 juillet, le nombre d’avortements est tombé à environ 250 en août, soit une baisse de 38 % par rapport à la moyenne des six premiers mois de l’année.

La loi « battement de cœur » de l’Iowa, qui interdit généralement l’avortement après six semaines, est entrée en vigueur le 29 juillet à la suite de contestations juridiques. La loi comprend des exceptions pour le viol, l’inceste, les « anomalies fœtales » prétendument mortelles et les menaces supposées à la vie de la mère.

En Caroline du Sud, les avortements ont chuté de près de 80 % après son interdiction par une loi « battement de cœur ». Cependant, environ 800 bébés y sont encore tués par avortement chaque mois.

Education sexuelle dans les établissements scolaires : des militants du Syndicat de la Famille demandent à être reçus par le Recteur de l’Académie de Versailles

Communiqué du Syndicat de la famille :

Au motif de l’éducation sexuelle, des contenus qui n’ont rien à voir avec la circulaire n° 2018-111 ni avec la mission de l’Education nationale sont délivrés aux élèves. Dans un contexte de déni de la parole des parents et d’autres observateurs qui tentent d’alerter, Le Syndicat de la Famille a fait faire un constat d’huissier. Ce mercredi 27 novembre, Le Syndicat de la Famille 78 demande à être reçu par le recteur, Monsieur Champion pour lui demander le retrait immédiat de ces contenus inadaptés et le retrait des agréments des associations concernées.

Depuis plusieurs années, des manuels scolaires, les sites internet officiels d’éducation sexuelle destinés aux élèves à partir de 11 ans, des supports d’associations partenaires ou agréées par le Ministère ou les rectorats imposent aux élèves, au motif de l’éducation sexuelle, des contenus qui n’ont rien à voir avec la circulaire n° 2018-111 qui encadre cette éducation, n’ont rien à avoir avec la mission de l’Education nationale et des établissements scolaires, qui sont inadaptés aux âges recommandés et emprunts de concepts militants et idéologiques.

Mettre en scène des adultes nus dans des vidéos pour détailler les zones érogènes du corps, apprendre comment atteindre l’orgasme, détailler les positions et pratiques sexuelles, promouvoir la transition de genre, expliquer que l’on peut décider de se prostituer, parler du chemsex, banaliser la pornographie… Autant de thématiques qui n’ont rien à faire dans des supports élaborés pour les élèves.

Le Syndicat de la Famille vient d’effectuer, sous contrôle d’huissier, un relevé de différents manuels scolaires, des sites internet officiels et de la documentation d’associations agréées ou partenaires de l’Education nationale afin d’attester de la réalité de ces contenus.

Des membres du Syndicat de la Famille 78 ont donc décidé de se présenter ce mercredi 27 novembre devant le Rectorat de Versailles afin d’exprimer leur forte inquiétude sur la manière avec laquelle est abordée l’éducation sexuelle dans le cadre scolaire et pour réclamer le retrait immédiat des manuels scolaires et des sites internet labellisés par l’Education nationale qui ne respectent ni l’âge, ni la maturité des élèvesIls demandent aussi la fin des partenariats et le retrait des agréments des associations concernées.

Ces retraits sont d’autant plus urgents que ces contenus inadéquats sont exposés aux élèves sans leur consentement, ni celui de leurs parents, alors que, justement, le consentement est un impératif central pour tout ce qui concerne la sexualité.

Nous avons demandé ce jour un rendez-vous à Monsieur le Recteur. Nous lui avons remis une copie des constats d’huissier qui devrait urgemment conduire l’Education nationale à retirer tous ces contenus.

Marianne ne protège pas nos trésors d’art sacré

Lu sur le blogue d’Anne Brassié (à propos du braquage du musée d’art sacré de Paray-le-Monial):

Le musée du Hiéron est un musée français d’art sacré qui se trouve dans la commune de Paray-le-Monial, en Bourgogne du Sud. Il est classé musée de France et inscrit au patrimoine des monuments historiques. Le travail des fondateurs a permis de réunir un ensemble unique de centaines d’œuvres d’art, peintures et sculptures, autour du thème de l’Eucharistie. Un joaillier, Chaumet, a créé en 1904 une œuvre exceptionnelle réalisée en matériaux précieux : or et ivoire pour les cent trente huit figurines représentant les scènes de la vie du Christ, argent doré et patiné et cristal de roche formant la Trinité dans une gloire, platine, diamants et rubis figurant  l’Eucharistie, marbres de différentes couleurs, albâtre, onyx et bronze doré constituant le socle et les décors de chaque scène.

Dans un souci mystique et en réaction contre l’anticléricalisme ambiant de la fin du 19e siècle, l’artiste tente en  « un essai de représentation artistique, à l’aide de pierres et de métaux précieux, des notions que l’humanité a de Dieu et de sa nature, des êtres et de leur nature, des rapports mutuels des êtres et de leur relations avec le Créateur ».

L’œuvre a été pensée de manière symbolique. Le roc « représente la matière à travers laquelle circule la vie qui a sa source en Dieu » ; cette dernière est matérialisée par le fleuve qui, sous le Christ ressuscité, jaillit du tombeau ouvert par un ange, « sortant de Dieu sans que l’on puisse pénétrer le mystère de son origine, symbole de la vie, il traverse le tombeau du Christ pour montrer que la mort de Dieu Rédempteur… a régénéré ainsi la source de  vie ».

L’on trouve ce détail biographique sur internet:  “Sanglé dans sa redingote noire comme une soutane, barbe grise et longue figure de missionnaire ascétique”, ainsi figure Joseph Chaumet sur les deux portraits que nous lui connaissons. Ne confiait-il pas tout jeune homme à son beau-père Prospel Morel sa profession de foi qui a nourri toute son existence : “Avec l’aide de Dieu j’espère atteindre le Ciel. Je compte sur l’aide de Dieu pour bénir mes efforts et me donner la force nécessaire pour atteindre au but.”

La couronne de la Vierge a été volée à Fourvière, l’an dernier. Notre-Dame a brûlé en 2019, etc etc. La république ne liste pas dans ses valeurs la protection de nos trésors d’art sacré…

Cette oeuvre qui avait quitté la maison Chaumet pour le musée  en 2005  était déclaré Trésor National. Pas le moindre dispositif de protection n’a été installé, pas la moindre alerte sonore n’a résonné au commissariat de Paray !

Le musée s’était « enrichi  » ces dernières années, d’oeuvres contemporaines , au détriment de quoi ? Il y aura plus de place pour de nouvelles oeuvres pleines de spiritualité !!!

Comment chasser l’infestation diabolique de nos villes ?

Après les analyses remarquables de Sylvain Durain et de Guy Boulianne sur les évènements toulousains des 26 et 27 octobre, nous vous proposons une solution.

La mise en lumière de ces malheurs met en évidence de façon on ne peut plus manifeste l’infestation diabolique de notre société : désormais, elle n’est plus cachée !  ‘‘Que ceux qui ont des yeux voient !  et que ceux qui ont des oreilles entendent !’’[1]

Les meilleures solutions viennent de notre passé (« la civilisation n’est plus à inventer ni la cité nouvelle à bâtir dans les nuées… »).  En voici quelques-unes, tirées du www.RoyaumeDeMarie.fr à Toulouse :

  1. Dans de nombreuses villes de France, de véritables[2] monstres ont été enchaînés par la puissance de Dieu: à Tarascon avec la Tarasque chassée par Ste Marthe, à Metz avec le Graoully chassé par St Clément, à Paris avec le serpent chassé par St Marcel, à Poitiers avec la Grand’Goule chassée par Ste Radegonde, à Rouen avec la Gargouille chassée par St Romain, à l’Île d’Yeu avec l’énorme serpent chassé par St Amand, à Caylus (Rouergue) avec le monstre terrassé par le chevalier de Lagardelle après avoir demandé son aide à Notre-Dame de Livron, et tous les Saints Saurochtones de France et de Navarre… toujours avec l’assistance de Notre-Dame : c’est notre Mère qui écrase la tête du démon, Ipsa conteret !
  2. Si l’emblème païen du veau d’or a été mis à l’honneur dans cette mascarade comme dans celle des jeux olympiques, faisons appel à St Sernin[3], martyrisé en étant attaché derrière un taureau enragé: Mata-biau signifie la mort du taureau comme Mata-more signifie la mort des sarrasins grâce à l’intervention de St Jacques à la bataille du Clavijo en 844, au début de la Reconquista.
  3. Face aux hordes d’Attila (…et des destructeurs en tous genres littéralement possédés du démon), quelle est l’arme dont St Exupère va se munir?  Il sort de Toulouse avec la Foi qui l’habite, son goupillon et de l’eau bénite !  Et la ville est épargnée : les barbares s’en vont ailleurs.
  4. « Ce fut à Toulouse, en 1208, que St Dominique institua le Rosaire et commença à le prêcher. Les succès de la prédication du Rosaire furent si rapides qu’ils surpassèrent toutes les espérances et étonnèrent Rome elle-même »[4].  « Qui pourrait raconter les victoires que Simon, comte de Montfort, a remportées sur les Albigeois sous la protection de Notre-Dame du Rosaire ?  Elles sont si fameuses que le monde n’en a jamais vu de pareilles ! »[5]  À Muret (1213), comme à Lépante (1571), à La Rochelle (1628), à Belgrade (1717) et dans tant d’autres occasions, ce sont des rois, des princes et des armées toutes entières qui prient le rosaire avec ardeur entre les combats et qui invoquent la Vierge au plus fort de l’action jusqu’à l’obtention de la victoire.  800 ans après, qui peut dénombrer les victoires de cette arme si puissante née à Toulouse ?!
  5. En 1323, sept troubadours ont mis la ville de Toulouse sous la protection de la Vierge Clémente en fondant l’Académie des Jeux Floraux autour de concours de poèmes en son honneur ! (et non pas autour d’une certaine muse totalement imaginaire[6], émanation de la Renaissance du paganisme, culte de l’homme e tutti quanti[7] …vertement tancés au XVIIIème s. par St Louis-Marie Grignon de Montfort).
  6. Face au déchaînement huguenot qui était tout aussi diabolique que les gesticulations actuelles :

  • C’est le Père Ange de Joyeuse, moine capucin[8] et Maréchal de France qui s’illustra en 1592 dans la protection de Toulouse contre le même fléau et apaisa les tensions religieuses… jusqu’à l’abjuration d’Henri IV à la Basilique Saint Denis, le 25 juillet 1593. Avec toute la Maison de Joyeuse, il était très dévot envers la Vierge miraculeuse Notre-Dame de Paix (aujourd’hui à Picpus), statue dont il fit don à son ordre.  Ce n’est pas pour rien si la Révolution dite française a soigneusement rasé et ainsi effacé le souvenir de son couvent toulousain, rue des Puits-Creusés… remis en lumière sur la carte du RoyaumeDeMarie.fr !
  1. Suivons l’exemple contre-révolutionnaire récent du Père Marie-Antoine de Lavaur, dit Le Saint de Toulouse, restaurateur des capucins de Toulouse en 1861[9] et grand apôtre des sanctuaires marials du sud-ouest. Il accueillit ainsi les pèlerins de Toulouse à Lourdes en 1869 : « Aucune ville autant que Toulouse n’a le droit de se glorifier d’être la ville de Marie: n’est-ce pas à Toulouse que Marie est venue faire auprès de saint Dominique, ce qu’elle est venue faire ici auprès de Bernadette, lui portant le saint Rosaire, et, avec le saint Rosaire, lui portant le salut ? »[10].

N’est-ce pas un bel aperçu d’exemples mis en évidence sur la carte du www.RoyaumeDeMarie.fr à Toulouse ?  Il y a de nombreuses traditions aussi riches dans les autres villes de France : c’est en se penchant sur l’histoire des Vierges miraculeuse de nos régions qu’on les redécouvre[11]

Comment mettre à profit ces exemples historiques ?  À très vite pour la suite !

Laus Deo et Mariae !

www.royaumedemarie.fr

 

‘‘Objection votre honneur’’ :  tout ceci n’est que du temps passé, voire même du temps perdu à se remémorer… et votre reconstitution des époques chrétiennes n’est rien de plus que vir-tu-el-le !

  1. Pas si virtuelle que ça : le plus grand nombre de ces pierres sont encore là, des « pierres qui crieront» (Luc XIX, 40) si leur témoignage de foi n’est pas entendu !
  2. Cette présentation assistée des outils informatiques n’est-elle pas LE prérequis à la résurrection de la France?  Comme le projet d’un ingénieur ou d’un architecte est d’abord immatériel (dans l’intelligence, en l’occurrence par l’histoire de France)… avant de se matérialiser !
  3. Chapelet aidant, les secours de la grâce nous sont promis avec bien plus de certitude que toutes les sciences les plus certaines que nous connaissons : Deus vult ! Non pas que nous partions délivrer la Terre Sainte, mais Dieu veut que nous partions à la reconquête de notre pays… à commencer par nos âmes !  Commençons d’abord avec les images et les livres de notre si bel héritage mis à disposition sur la carte du RoyaumeDeMarie.fr pour nourrir notre intelligence, notre imagination… et notre méditation du chapelet !
  4. Pour les « jeunes branchés » : vous pouvez qualifier la carte du RoyaumeDeMarie.fr de ‘‘réalité augmentée’’ (comme jamais) …par la richesse chrétienne de nos aïeux, spécialement autour de chez nous !

 

Pour en savoir plus : cliquez sur les liens de cet article, il s’y cache quelques explications et trésors inédits que vous ne regretterez pas !  Parmi ceux-ci, les liens Yandex sont un échantillon de la richesse incroyable léguée par nos aïeux, mise à disposition, classée et ordonnée spécialement pour nos familles sur le www.RoyaumeDeMarie.fr pour inspirer quelques apôtres !

Vous voulez des informations complémentaires ou soutenir notre initiative ?  Écrivez-nous à [email protected] : nous nous ferons un plaisir de vous répondre.

[1] Non-seulement à Toulouse, mais à Nantes en 2015, Calais en 2016 et 2019 ; Halloween depuis 1992 partout en France ; le Hellfest depuis 2006 à Clisson, les profanations et saccages des églises de plus en plus fréquents dont l’incendie de Notre-Dame de Paris en 2019, etc…, les Jeux olympiques (Londres en 2012, Paris en 2024), l’inauguration du tunnel du St Gothard en 2016, le féminisme luciférien, le trafic d’enfants, les réseaux pédocriminels, etc… !

[2] St Georges Martyr, patron des guerriers, DARCHE 1866, p. 89 ; 21 dragons tués par des saints, p. 150.

[3] St Saturnin ou Sernin était un disciple de St Jean-Baptiste avant d’être témoin du baptême de Notre-Seigneur.  Il devint ainsi l’un de ses 72 disciples et fut plus tard envoyé par St Pierre comme premier évêque de Toulouse (Bollandistes).

[4] Catéchisme de persévérance, Mgr Gaume, T8 1889, p. 176.

[5] Le Secret admirable du Très Saint Rosaire, St Louis-Marie Grignon de Montfort.

[6] Clémence Isaure.

[7] « Vous serez comme des dieux », Gen. 3, 5.

[8] Capucins admirablement illustrés par leurs martyrs lors de la révolution protestante.

[9] Couvent sous le patronage de St Louis d’Anjou, franciscain, petit-neveu de saint Louis roi de France, évêque de Toulouse à 23 ans ; aujourd’hui couvent des Carmes (33 av. Jean Rieux) où l’on peut vénérer sa sépulture.

[10] Vie du Père Marie-Antoine, Beaulieu, 1908, p. 216.

[11] …et qu’on les ajoute sur la carte du Royaume de Marie.  Contributions : [email protected].

L’extrême-gauche islamiste se remet à bloquer les universités

La fac de la Sorbonne de Port-Royal, à Paris, est occupée par des étudiants. Dans l’émission “Pascal Praud et vous” une étudiante raconte :

“Les sorties sont difficiles, toute la fac est vraiment occupée au niveau de l’avant, donc on ne peut pas sortir ni rentrer pour ceux qui sont partis faire une pause”.

Les partenariats de la faculté avec des écoles israéliennes étaient remis en cause par les étudiants protestataires.

L’université Paris 1 Panthéon Sorbonne est également bloquée. Ils utilisent des poubelles et des barrières pour bloquer l’entrée. Voici des photos du campus de Lourcine.

Hier il y a eu un blocage au campus de Cassin, par une grosse dizaine d’étudiants. Le centre Tolbiac est bloqué aussi depuis quelques jours, ainsi que celui de Clignancourt.

Divorce entre LFI et le PCF

Le maire communiste de Malakoff, Jacqueline Belhomme, a annoncé avoir porté plainte contre un élu municipal. Selon Le Parisien, il s’agit d’Anthony Toueilles, conseiller municipal (LFI), qui a reproduit une publication de Jacqueline Belhomme accompagnée de la mention « islamophobie décomplexée ».

Le 4 novembre, le maire de Malakoff a partagé sur internet l’illustration de Fargol Ghadimi représentant l’étudiante iranienne Ahou Daryaei qui s’est dévêtue sur le parvis de son université début novembre, seule, surplombant une foule de femmes iraniennes vêtues d’un long voile noire et levant les bras. Le lendemain, Anthony Toueilles, son opposant insoumis, reprend la publication en titrant « Islamophobie décomplexée ». Il ajoute en commentaire :

« Sous couvert de féminisme, plusieurs élus dits de gauche n’hésitent pas à relayer ce genre de publication islamophobe largement relayée par l’extrême droite. Pour beaucoup d’entre eux, dont Jacqueline Belhomme, nous ne les avons pas entendus quand l’État français a interdit à des jeunes élèves françaises de porter l’abaya (qui veut dire robe en arabe), plusieurs jeunes élèves ont été interdites d’entrer dans leur école, certaines ne portaient même pas l’abaya mais des vêtements amples… Et ça, c’était en France ! »

Jacqueline Belhomme a donc décidé de porter plainte.

« C’est une décision que je considère nécessaire pour préserver, dans notre débat public local, le respect des personnes et des convictions. Nous sommes libres de notre expression tant qu’elle ne porte pas atteinte à l’intégrité morale ou physique des personnes […] Pour mon honneur, pour mon engagement continu pour les droits des femmes et contre toutes les discriminations […] »

Auparavant alliés, Anthony Toueilles et son groupe sont entrés dans l’opposition depuis le vote de l’augmentation du temps de travail des agents territoriaux et leur éviction de la majorité de gauche. Depuis, LFI et PC local semblent irréconciliables. Jusqu’aux prochaines élections pour “faire barrage” ?

“Personne ne peut rester silencieux lorsqu’il défend le droit à la vie de chaque être humain, de sa conception à sa mort naturelle”

Dans un texte intitulé “Les sept péchés contre le Saint-Esprit : une tragédie synodale”, le cardinal Müller dénonce la conception d’une « Église synodale », détournement du principe traditionnel de la synodalité, c’est-à-dire la collaboration entre les évêques (collégialité) et entre tous les croyants et pasteurs de l’Église (sur la base du sacerdoce commun de tous ceux qui sont baptisés dans la foi), pour faire avancer un programme progressiste, en effectuant un virage à 180 degrés pour rendre la doctrine, la liturgie et la moralité de l’Église catholique compatibles avec une idéologie néo-gnostique.

Leurs tactiques sont remarquablement similaires à celles des anciens gnostiques, dont Irénée de Lyon, élevé au rang de docteur de l’Église par le pape François, a écrit : « Au moyen de leurs plausibilités astucieusement construites, ils détournent l’esprit des inexpérimentés et les prennent en otage. . . . Ces hommes falsifient les oracles de Dieu et se révèlent de mauvais interprètes de la bonne parole de la révélation. Au moyen de paroles spécieuses et plausibles, ils incitent astucieusement les simples d’esprit à s’interroger [sur une compréhension plus contemporaine] » jusqu’à ce qu’ils soient incapables « de distinguer le mensonge de la vérité » ( Contre les hérésies , livre I, préface). La révélation divine directe est utilisée comme arme pour rendre acceptable l’auto-relativisation de l’Église du Christ (« toutes les religions sont des chemins vers Dieu »). La communication directe entre le Saint-Esprit et les participants au Synode est invoquée pour justifier des concessions doctrinales arbitraires (« le mariage pour tous » ; des fonctionnaires laïcs à la tête du « pouvoir » ecclésiastique ; l’ordination de femmes diacres comme trophée dans la lutte pour les droits des femmes) comme le résultat d’une vision supérieure, qui peut surmonter toutes les objections de la doctrine catholique établie.

Plus loin, le cardinal évoque les principes non négociables :

C’est un péché contre le Saint-Esprit que les évêques et les théologiens ne soutiennent publiquement le pape que de manière opportuniste, alors qu’il soutient leurs préférences idéologiques. Personne ne peut rester silencieux lorsqu’il défend le droit à la vie de chaque être humain, de sa conception à sa mort naturelle. Car le pape est le plus haut interprète authentique de la loi morale naturelle sur terre, dans laquelle la parole et la sagesse de Dieu resplendissent dans l’existence et l’être de la création (Jean 1:3). Si la loi morale naturelle, qui est évidente dans la conscience de chaque être humain (Rom. 2:14), ne constitue pas la source et le critère par rapport auxquels juger les lois (toujours faillibles) de l’État, alors le pouvoir politique glisse vers le totalitarisme, qui piétine les droits humains naturels qui devraient constituer la base de toute société démocratique et de tout État de droit. C’est ce que déclarait le pape Pie XI dans l’encyclique Mit Brennender Sorge (1937) contre les lois raciales de Nuremberg, formellement valables en droit allemand : « C’est à la lumière des commandements de cette loi naturelle que toute loi positive, quel que soit son législateur, peut être évaluée dans son contenu moral et, par conséquent, dans l’autorité qu’elle exerce sur la conscience. Les lois humaines en contradiction flagrante avec la loi naturelle sont viciées d’une souillure qu’aucune force, aucun pouvoir ne peut réparer » ( Mit Brennender Sorge , 30).

Synode, GPA, baptême : « Peut-on aimer un enfant, sans aimer sa mère ? »

De Gabrielle Vialla sur fécondité.org :

Dans le contexte de la fin d’un synode concerné par « les droits » des femmes et des migrants, qu’en est-il de l’attention portée à la problématique de la GPA ?

Ainsi les mères porteuses, tributaires des sommes reçues pour « ce travail », ne sont-elles pas, le plus souvent, parmi les plus pauvres ?

Quant à l’enfant né de la GPA, dans notre pays, il est évidemment un migrant. Il est conçu et mis au monde ailleurs, la GPA n’étant pas autorisée sur le territoire français. À l’instar d’autres migrants, l’enfant né par GPA est aussi un survivant. Qu’en est-il de notre compassion pour les embryons morts dans l’opération ?

Quant aux commanditaires de la GPA, loin de la bien-pensance mondialisée rappelons que proportionnellement aux mères porteuses, ce sont des nantis, qu’ils sont protégés de « la malfaçon » par des contrats subtilement ficelés, qui chosifient à la fois la vie humaine et la maternité.

Il y a peu de temps, sur la place saint Pierre de Rome, a été installé une œuvre d’art, rappelant à nos consciences endormies, ceux qui « n’appartiennent pas à notre groupe ». Je suggère de ne pas oublier dans la réalité de l’immigration chère au pape François, l’enfant né par la GPA. J’ai pour ma part cette image d’une possible statue représentant deux continents avec d’un côté un placenta, de l’autre le nouveau-né institutionnellement détaché du sein qui l’a porté.

Alors que le synode a encore mis en exergue des revendications tenaces en faveur de l’ordination diaconale de la part des femmes présentes, je m’interroge sur notre capacité à comprendre la vocation spirituelle de la femme mais aussi plus prosaïquement à défendre la condition féminine. Que l’enseignement constant de l’Église protège la femme de l’instrumentalisation (prostitution, mariages forcés, pornographie) comme l’enfant à naître (contraception, avortement, fivete…) cela m’est une évidence. Maintenant, que ces sujets soient une réelle préoccupation pastorale, en France et en Europe, c’est tout sauf une évidence. Au contraire, la focalisation et la réduction des sujets féminins à la distribution du pouvoir est devenue pour le moins lassante. Quelques dizaines de femmes occidentales, souvent d’un certain âge, exigent une reconnaissance et du pouvoir. Soit. On les entend. Des milliers, millions de femmes catholiques œuvrent autrement dans l’Église, de façon moins bruyante, plus efficientes. On est vite tenté de penser que le sujet de la femme dans l’Église est donc un piège. Ce faisant, on l’abandonne au monde sécularisé. C’est à ce moment-là que le piège se referme, en réalité. En effet, notre foi chrétienne doit savoir rendre compte de la Création, du vis-à-vis originel de l’homme et de la femme, auquel Dieu donne une fécondité, et dans lequel Il a mis son image, sa ressemblance. Nous croyons avec saint Paul que le Salut passe par l’amour du Christ pour son Église, qui n’a pas de meilleure analogie que le mariage entre un homme et une femme. Quelles sont les conséquences spirituelles de nos abandons ?

Au-delà des graves et terribles renoncements à la loi naturelle, que revêt la pratique de la GPA, les pasteurs sont déjà sollicités pour des demandes de baptêmes de petits enfants nés de cette façon.

Ce sujet n’est plus une question de casuistique théorique, c’est une question pastorale pratique, qui devient de plus en plus importante et pressante. C’est aussi l’exemple patent qui démontre que de vrais sujets de réflexion sont délaissés.

La Congrégation pour la doctrine de la foi a donné une réponse pour le moins succincte à des situations réellement complexes. « Can two homosexual persons be regarded as the parents of a child who is to be baptized, and who was adopted or was received by other means, such as surrogacy? In order for the child to be baptized, there must be a founded hope that the infant will be brought up in the Catholic religion »

Il manque une argumentation et des conseils pratiques. Il est intéressant de noter ce qu’en disent nos frères orthodoxes, dans un contexte où la GPA est souvent légale.

« Si les parents ne confessent pas expressément leur acte, et les parrains se montrent de fait d’accord avec cet acte peccamineux, il ne peut plus être question d’éducation chrétienne de l’enfant. Le refus de baptiser l’enfant correspond alors à la tradition orthodoxe prévoyant l’adhésion à la doctrine de l’Église du baptisé ou de ses parents et parrains quand il s’agit d’un enfant. Un tel refus aura également une signification pastorale, puisque la société reçoit alors clairement le signal de l’Église que la pratique des mères porteuses est inacceptable du point de vue chrétien ».

Beaucoup de personnes soutiennent à raison, qu’en occident, le baptême est déjà donné dans de nombreuses situations où la foi est très fragile. En pratique, la seule exigence, pas toujours respectée, sera de mettre l’enfant au caté. Aussi, plusieurs laïcs engagés dans la préparation au baptême que j’ai interrogés, arguent que l’accueil d’un enfant né par GPA ne pose pas de question particulière. Au contraire, l’enfant étant bien sûr innocent de tout ce qui a entouré sa conception, lui donner une figure féminine positive avec une marraine est une bonne chose. Là, j’ai une grande compassion pour le prêtre qui en dernier recours porte la responsabilité devant Dieu du baptême ou du refus du baptême.

Je tiens à redire qu’il y a des éléments objectifs radicalement différents entre l’attitude qui consisterait à accueillir un enfant privé de père ou de mère, un enfant né hors mariage, un enfant adopté… et celle qui ferait preuve de tolérance vis-à-vis d’une structure qui nie l’altérité, en profitant d’une instrumentalisation du corps féminin. Dans ce dernier cas, le mensonge concernant la filiation est organisé, prémédité.

Les situations et les possibilités d’acte de naissance sont complexes. Dans le meilleur des cas, l’acte de naissance des enfants nés par GPA comporte dans un premier temps le nom du père (donneur de sperme) et celui de la mère porteuse (gommant – quand elle existe – la donneuse d’ovocyte). Puis, l’adoption plénière fait disparaître toutes les femmes impliquées dans la GPA pour garder les commanditaires « de l’achat ». Les contrats protègent ceux-ci du potentiel handicap de l’enfant comme des éventuels comportements problématiques (alcoolisme…) de la mère porteuse, incluant de fait l’avortement si nécessaire.

Jean-Paul II nous avait prévenus :

« Comme je l’ai dit bien des fois, séparer radicalement la liberté de la vérité objective empêche d’établir les droits de la personne sur une base rationnelle solide, et cela ouvre dans la société la voie au risque de l’arbitraire ingouvernable des individus ou au totalitarisme mortifère des pouvoirs publics. » Evangelium Vitae

Ce n’est pas le moindre paradoxe qu’à l’époque où, au sein de l’Église, nous savons nous montrer très sévères, à raison, envers les doubles vies, nous ne soyons pas plus explicites face à des mensonges successifs qui privent la personne d’un droit à être aimée pour elle-même, parce qu’on se laisse fasciner par l’affectivité présente dans la revendication du droit à l’enfant, et de faire famille.

Si aucun acte de repentir, si aucune exigence autre que de mettre potentiellement l’enfant au caté n’est demandée au représentant légal, comment, parvenu à l’âge adulte, l’enfant ne verra-t-il pas dans cette attitude une complaisance vis-à-vis de la GPA ? De fait, beaucoup – et cela dépasse le cadre de la GPA – voient simplement dans le baptême l’occasion de fêter l’arrivée de l’enfant, mais aussi pour les parents de le présenter à l’entourage. D’ailleurs, le rituel du baptême tient compte de cette réalité de présentation, certes faite à Dieu et non aux hommes. Il comporte une bénédiction différente pour celle qui vient d’être mère et pour celui qui vient d’être père. Dans le cadre d’un enfant né par GPA, présenté par deux représentants légaux, comment se prémunir contre une possible instrumentalisation du baptême pour donner une image sociale positive d’une situation en elle-même dramatique ? Oh, bien entendu, rien, absolument rien dans notre foi, et dans les mœurs promues par l’Église n’incite à la moindre complaisance envers la GPA. Tout y est en faveur du respect de la dignité de l’homme, de la femme, de la vie… seulement reconnaissons-le, il est des sujets dont nous sommes tous fatigués, des présupposés éducatifs que l’on ne préfère plus exiger.

Une question se pose au catholique, à la veille du temps de l’Avent : « Peut-on aimer un enfant, sans aimer sa mère ? »

Il est de bon ton de rappeler qu’aux premiers temps de l’Église ce sont les mères de familles qui ont demandé aux pasteurs le baptême des petits enfants. Elles ont su réveiller les « cœurs masculins » à une compassion toute maternelle, en leur partageant leur inquiétude et leur souffrance face à l’épreuve de la mortalité infantile. J’en appelle aux femmes, celles qui ont porté la vie, celles qui en ont été privées, comme celles qui ont renoncé à la maternité humaine par amour de Dieu, de partager aux pasteurs ce que signifie la maternité dans l’éducation chrétienne des enfants. Je prie la Vierge Marie d’éclairer les consciences des pasteurs sur leur responsabilité réelle. Je prie Notre-Dame afin que nous ne nous détournions ni de ces enfants, ni des femmes qui les ont mis au monde, et que leur bien véritable soit recherché avant toutes autres considérations. Oui j’assume, si l’on me parle des représentants légaux, je réponds paisiblement : « Les femmes et les enfants d’abord !»

« Il est essentiel que l’homme reconnaisse l’évidence originelle de sa condition de créature, qui reçoit de Dieu l’être et la vie comme un don et une tâche : c’est seulement en acceptant sa dépendance première dans l’être que l’homme peut réaliser la plénitude de sa vie et de sa liberté, et en même temps respecter intégralement la vie et la liberté de toute autre personne. » Jean-Paul II, Evangelium Vitae

Gabrielle Vialla

Walmart abandonne les produits transgenres pour enfants et ses politiques ridicules en matière d’égalité des sexes

Walmart est une multinationale américaine spécialisée dans la grande distribution. La société a décidé de réduire ses politiques de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI).

Le détaillant a confirmé qu’il ne renouvellerait pas un engagement de cinq ans pour un centre d’équité raciale créé après la mort de George Floyd en 2020, qu’il se retirerait d’un indice sur les droits des homosexuels du groupe de défense des LGBTQ, la Human Rights Campaign, qui mesure l’« inclusion » sur le lieu de travail, et qu’il commencerait à suivre les détaillants tiers pour qu’ils cessent de vendre des articles transgenres pour les mineurs. Walmart cessera également d’accorder un traitement prioritaire aux fournisseurs sur la base de facteurs DEI tels que la race ou le sexe.

« Notre objectif, qui est d’aider les gens à économiser de l’argent et à mieux vivre, est au cœur de notre activité depuis notre création il y a 62 ans et continue de nous guider aujourd’hui ». « Nous pouvons tenir nos promesses parce que nous sommes prêts à changer aux côtés de nos associés et de nos clients, qui représentent toute l’Amérique. Nous sommes sur la bonne voie et savons que nous ne sommes pas parfaits, mais chaque décision vient de la volonté de favoriser un sentiment d’appartenance, d’ouvrir des portes à des opportunités pour tous nos associés, clients et fournisseurs et d’être un Walmart pour tout le monde ».

Plusieurs entreprises ont discrètement fait marche arrière en ce qui concerne leurs pratiques en matière de wokisme, face à la pression publique et juridique exercée par les consommateurs et les actionnaires. Le président élu Donald Trump a critiqué les pratiques de l’IED et promis de déraciner l’idéologie « woke ». Le 15 novembre, des dizaines de conseillers en investissement ont envoyé des lettres avertissant plusieurs des plus grandes entreprises américaines que leurs programmes de diversité deviendront un handicap lorsque M. Trump retournera à la Maison-Blanche.

Plusieurs entreprises ont dû faire face à des réactions négatives après avoir soutenu les initiatives DEI et LGBTQ, notamment Target, qui a annoncé en août 2023 qu’elle revoyait à la baisse ses prévisions de ventes et de bénéfices pour le reste de l’année, après avoir essuyé des critiques sur la sortie de produits LGBTQ pour les enfants. Target a annoncé en mai qu’elle ne vendrait sa collection LGBTQ « Pride » qu’en ligne et dans certains magasins, après que les boycotts ont coûté au détaillant près de 13 milliards de dollars en valeur de marché l’été précédent. Le cours des actions du détaillant a également chuté en 2016 en raison des boycotts, après qu’il a introduit une politique permettant aux clients de choisir le vestiaire ou les toilettes correspondant à leur identité de genre.

Bud Light a perdu 1,4 milliard de dollars de ventes de bière aux États-Unis en 2023 en raison des boycotts provoqués par cette décision marketing.

D’autres grandes entreprises sont récemment revenues sur leurs politiques liées à la DEI, notamment Lowe’s, Ford et Stanley Black & Decker. Le grand constructeur aéronautique Boeing a également supprimé toute sa division DEI en octobre.

50 personnalités s’engagent pour la liberté d’expression et la libération de Boualem Sansal

Appel des 50 pour exiger la libération de Boualem SANSAL :

Nous sommes hommes et femmes qui partageons tous un profond respect pour l’immense écrivain Boualem Sansal.

C’est à ce titre que nous nous exprimons ici à l’initiative de ses amis Français d’Algérie qui partagent avec lui l’amour de leur terre natale. Nous en appelons solennellement au Président de la République Emmanuel Macron pour qu’il exige, avec fermeté, de son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune la libération de notre ami écrivain franco-algérien, grand prix de l’académie française (2015).

Nous souhaitons rappeler combien cet homme à la plume brillante incarne le courage, la sincérité, le panache, l’amour de la langue française.

Boualem Sansal a toujours témoigné d’une profonde affection pour tous ceux qui, nés sur cette terre d’Algérie, sont ses frères de cœur et sont aujourd’hui terriblement meurtris par son arrestation.

Nous les 50 signataires, appelons à être 500, 1000, 10000 à exiger la libération de Boualem Sansal.

Signataires :

Philippe DE VILLIERS (écrivain, fondateur du Puy du Fou), Gilles-William GOLDNADEL (avocat), Arnaud BENEDETTI (rédacteur en chef de la Revue politique et parlementaire), Jean-Pax MEFRET (journaliste, écrivain et auteur-compositeur-interprète), Pascal PRAUD (journaliste), Gabrielle CLUZEL (journaliste), Olivier VIAL (directeur du CERU), André BERCOFF (journaliste), Jean TENNERONI (ancien officier général), Loris CHAVANETTE (historien), Jean SEVILLIA (journaliste),  Geoffroy LEJEUNE (journaliste), Charles MILLON (ancien Ministre des Armées françaises), Robert MENARD (maire de Béziers), Elisabeth LEVY (journaliste), Vincent HERVOUËT (journaliste ), Sabrina MEDJEBEUR (essayiste), Jean-Marc PUJOL (avocat fiscaliste), Louis ALIOT (maire de Perpignan), Maurice CALMEIN (président fondateur du Cercle algérianiste), Eric NAULLEAU (essayiste), Dimitri CASALI (historien), Suzy SIMON-NICAISE (présidente nationale du Cercle algérianiste), Xavier DRIENCOURT (ancien ambassadeur de France en Algérie), Maurice HALIMI (avocat), Guillaume PERRAULT (journaliste), Jean-Pierre LLEDO (cinéaste, auteur), Véronique JACQUIER (journaliste),  Daniel LECONTE (réalisateur), Alain VIRCONDELET (écrivain), Stéphane ROZES (essayiste), Jean-Jacques JORDI (historien spécialiste de l’Algérie), André BONET (secrétaire général du prix Méditerranée), Frédéric PONS (journaliste et écrivain), Daniel BONOCORI (ancien officier général), Guillaume ZELLER (journaliste) , Françoise CLAVERIE (présidente du Centre Méditerranéen de Littérature),  Grégoire FINIDORI (conseiller honoraire à la Cour de cassation), Olivier Dard (historien, professeur à Sorbonne-Université), Julien TELLIER (journaliste), Evelyne JOYAUX (Docteur ès-lettres, auteur), Gilles BROCHARD (journaliste), Maud KOFFLER (journaliste), Henri-Christian GIRAUD (essayiste), Thierry ROLANDO (président honoraire du Cercle algérianiste), Arnaud FOLCH (journaliste), Bernard SASSO (Docteur en Histoire) , Roger VETILLARD (médecin et écrivain), Gérard GUIBILATO (ancien cadre dirigeant d’une grande école), Hubert RIPOLL (psychologue, essayiste).

Rififi à La Croix

François Morinière, président du directoire du groupe Bayard depuis le 1er novembre, a fait face le 25 novembre au comité social et économique (CSE) des syndicats qui s’opposaient au rachat de l’ESJ Paris, école de journalisme, en compagnie des groupes de Vincent Bolloré, Bernard Arnault, Rodolphe Saadé, Pierre Gattaz… Morinière s’est voulu rassurant : le groupe se retirera, a-t-il affirmé, si les « standards professionnels et déontologiques » ne sont pas au rendez-vous dans cette école.

Le Monde révèle que François Morinière vient d’embaucher Alban du Rostu en tant que « directeur de la stratégie et du développement » du groupe Bayard. Avant de rejoindre Bayard, Alban du Rostu a été investisseur en fusions acquisitions, consultant chez McKinsey et directeur général du Fonds du Bien Commun finançant des projets dans les secteurs de l’éducation, de la solidarité, de la culture et du patrimoine. Par ailleurs, François Morinière est, depuis la fin 2023, le président du fonds de dotation de la Nuit du bien commun, l’événement de charité imaginé en 2017 par Pierre-Édouard Stérin.

François Morinière a assuré devant les représentants syndicaux, qu’Alban du Rostu n’aurait « pas de rôle éditorial du tout » et qu’il se concentrerait sur « l’évolution des métiers dans le groupe ».

Ghislain Lafont, longtemps à la tête du conseil de surveillance du groupe Bayard, vient de prendre la présidence du Fonds du bien commun pour le compte de Pierre-Édouard Stérin. En 2017, il s’était porté candidat aux élections législatives, dans le cadre de l’appel du maire de Neuilly Jean-Christophe Fromantin, et avait eu le courage de répondre aux questions que nous lui avions posées. Il déclarait alors :

j’imagine que certaines personnes pourraient s’étonner que je réponde à ce blog, qui est l’objet de critiques et de divers commentaires. Je le lis de temps à autre et n’ait jamais trouvé rien à redire de grave qui justifie de tels jugements. En France, nous  sommes champion pour mettre les gens et les idées dans des cases et des étiquettes, qui peuvent avoir bon dos. Je vais partout et répondrais à cela : Et pourquoi pas ? Et si d’autres supports médias (presse, radios tv etc.) de quelques couleurs et sensibilités politiques, religions, etc., que ce soient,  m’invitaient à venir leur parler, je viendrais. Dans la mesure ou je resterai maitre de mes propos et qu’ils soient bien repris tels quels. C’est le cas de ce blog, puisque je l’ai demandé préalablement à ses responsables qui m’invitent à y parler et que cela m’a été confirmé.

27 novembre 1830 : la médaille miraculeuse

Le 27 novembre 1830, la sainte Vierge apparaît à sainte Catherine Labouré et lui demande de faire frapper une médaille. Elle promet :

« Les personnes qui la porteront avec confiance recevront de grandes grâces. »

Le magazine Gloria met en ligne un article extrait du numéro du mois de novembre.

Un rapport parlementaire examine les causes de non-exécution des OQTF

Le député Brigitte Klinkert analyse dans un rapport parlementaire du 16 octobre l’incroyable fiasco de l’éloignement des sans-papiers en France.

Ce rapport entre dans le détail de la mécanique de l’impuissance publique de la France pour renvoyer les immigrés clandestins. Le rapport met en lumière plusieurs facteurs :

  • Obstruction des pays d’origine : Notamment les pays du Maghreb, où la délivrance des laissez-passer consulaires (LPC) est extrêmement lente ou souvent refusée, bloquant ainsi l’expulsion.
  • Annulations judiciaires massives : Les libérations des centres de rétention administrative (CRA) ont augmenté, passant de 1934 en 2019 à 8141 en 2023, souvent faute de perspective d’éloignement due aux LPC.
  • Refus d’embarquer : Même lorsque la justice valide une expulsion, les migrants refusent souvent d’embarquer dans les avions de retour, avec un taux stable en 2024.
  • Durée de rétention : Malgré une augmentation de la durée moyenne de rétention, Klinkert doute que prolonger encore la rétention apporterait des résultats significatifs, car les pays sources ajustent leur coopération en conséquence.
  • Politique des visas : La restriction des visas comme moyen de pression sur les pays d’origine, en particulier l’Algérie, n’a pas donné les résultats escomptés, entraînant même des tensions diplomatiques.
  • Budget et infrastructures : La lutte contre l’immigration irrégulière voit son budget réduit, et les promesses d’augmentation des places en CRA sont mises en doute face aux difficultés administratives et de recrutement.

Extraits :

La faible exécution des OQTF résulte essentiellement du faible taux de délivrance des LPC. En 2023, sur un total de 2 120 annulations d’éloignements, 96 % de ces annulations ont été dues à des refus de délivrance de LPC [Laissez-passer consulaires] (2 041), émanant essentiellement des autorités des pays du Maghreb.

En Angleterre, si vous lisez 1984 ou Le Seigneur des anneaux c’est que vous êtes d’extrême-droite

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