Philippe de Villiers : «Le pronostic vital de la France est engagé»
Sonia Mabrouk recevait sur CNews mardi soir Philippe de Villiers pour évoquer son parcours hors du commun dans la nouvelle émission Destin d’Exception :
Affaire Crépol : Damien Rieu convoqué par la Division du crime organisé
Est-ce Damien Rieu qui a assassiné le jeune Thomas à Crépol ? Pas du tout, son crime c’est d’avoir… divulgué l’identité des assassins.
🔴⚠️ [RT SVP]
Je suis auditionné aujourd’hui par la Division du crime organisé (DCOS) pour avoir défendu votre droit à la vérité en révélant les noms des accusés du meurtre de THOMAS à CRÉPOL.
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« Quel est le signal ? La prochaine fois, si vous révélez les noms de suspects de meurtre, de francocide, vous aurez des ennuis judiciaires, vous aurez une procédure, vous aurez besoin d’un avocat. » : @DamienRieu pour Frontières. pic.twitter.com/7PjbJoeoWH
— Frontières (@Frontieresmedia) March 19, 2025
Je viens de sortir d’audition du « 36 », par la Direction de la lutte contre la criminalité organisée et la délinquance spécialisée.
Les avocats des meurtriers de Thomas et la Justice tentent de faire diversion et de les victimiser en expliquant que la divulgation de leur… pic.twitter.com/aF89n6xeHu
— Damien Rieu (@DamienRieu) March 19, 2025
Suppression du CESE ou encore du bla bla ?
Pour rappel, le CESE avait refusé les 700 000 signatures de la Manif pour Tous.
10 ans après, il y a désormais des “débats sur la suppression de cette institution”.
Un rapport de la Cour des comptes sur le train de vie des membres de la troisième Chambre, ajouté à la candidature putative de son président, Thierry Beaudet, pour Matignon l’été dernier, ont relancé les débats sur la suppression de cette institution. Lorsque le nom de Thierry Beaudet pour Matignon a circulé, deux propositions de suppression du CESE ont été déposées par la droite et le RN. Et un amendement du macroniste Charles Rodwell prévoyant de diviser par deux le nombre de ses membres (de 175 à 87).Puis, dans le Canard Enchaîné du 12 mars, quelques passages d’un rapport confidentiel et assaisonné de la Cour des comptes sur le train de vie de l’assemblée.
Mais cette agitation devrait, comme d’habitude, faire plouf. Depuis 2010, une dizaine de tentatives de suppression ont été poussées. Avec ses 175 membres rémunérés entre 3 708 et 4 508 euros bruts par mois – pour deux jours de présence effective par semaine, qu’il est possible d’effectuer en partie à distance – qui n’ont produit en 2024 que 25 avis (31 en 2023, 17 en 2022), un budget de fonctionnement de 45 millions d’euros en 2024, le CESE semble ne servir à rien qu’à engraisser des parasites. Mais le CESE est protégé par un verrou constitutionnel : la supprimer nécessite un vote des trois cinquièmes des parlementaires ou un référendum.
Chronique des cinglés
Inspira Health a quatre hôpitaux et huit centres de santé dans le New Jersey. Quand une mère vient faire soigner son bébé, elle doit remplir un « questionnaire sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre » du bébé, auquel l’administration de l’hôpital s’adresse :
Chez Inspira Health, notre mission est de fournir une prestation de soins sûre et humaine qui améliore la santé et le bien-être de notre communauté en plaçant la sécurité de nos patients et le soutien de nos employés au cœur de toutes nos actions. Afin de renforcer notre capacité à remplir notre mission et à nous conformer à la législation récemment adoptée par l’État, nous vous demandons de nous fournir les informations ci-dessous concernant votre orientation sexuelle et votre identité de genre. Veuillez remplir ce questionnaire et le remettre au membre du personnel chargé de votre inscription.
Mais ensuite c’est la mère qui doit répondre :
Quel sexe a-t-il été assigné à votre bébé à la naissance ?
□ Féminin
□ Masculin
□ Je préfère ne pas répondre.Est-ce que vous identifiez votre bébé comme
□ Fille, garçon, transgenre fille/trans femme/homme vers femme
□ Transgenre homme/trans homme/femme vers homme
□ Queer, ni homme ni femme exclusivement
□ Catégorie additionnelle de genre/autodécrite ; veuillez spécifier :
……………
□ Je préfère ne pas répondre.Qu’est-ce qui, dans ce qui suit, décrit le mieux votre bébé ?
□ Lesbienne ou gay
□ Hétérosexuel
□ Bisexuel
□ Autodécrit, veuillez spécifier :
…………….
□ Je préfère ne pas répondre.
Autre délire, en Europe cette fois.
Lizza Mügge, professeur en sciences sociales et comportementales à l’université d’Amsterdam, spécialisée dans l’intersectionnalité, le genre, la diversité, le transnationalisme, est la « coordinatrice scientifique » du projet MEN4DEM, qui cible « les idéologies d’extrême droite souvent liées à la xénophobie, au racisme, à l’antisémitisme, à la misogynie, à l’homophobie, à la transphobie et, plus généralement, à l’hostilité envers les groupes marginalisés ». Le projet est chargé « d’élaborer des stratégies fondées sur des données probantes pour lutter contre les formes néfastes de masculinité politique » afin de « fournir des outils concrets aux décideurs politiques, aux praticiens, aux groupes de la société civile et aux partis politiques afin de créer un environnement politique plus sûr et plus inclusif pour tous ».
C’est financé à hauteur de 3 millions d’euros par Horizon Europe, le programme-cadre de recherche et d’innovation de l’Union européenne.
La famille demeure la brique élémentaire des solidarités
VIVA ! Le Forum vient de commander à l’IFOP un sondage qui fera l’objet d’une analyse par Jérôme Fourquet en ouverture de ce grand rassemblement des 22 et 23 mars au Parc floral de Vincennes.
La vie n’est certes pas un long fleuve tranquille. Devant les accrocs de la vie, la famille est toujours plébiscitée comme une valeur refuge. En cas de coup dur, les Français se tourneraient d’abord vers la famille (citée à 73%), loin devant les amis (cités à 40%). Mais tout le monde n’a pas la chance d’être entouré par les siens.
Alors que la « dépression sociale » gagne du terrain, que les structures de soin et d’accompagnement sont débordées et fragilisés, comme la psychiatrie, l’aide sociale à l’enfance, l’accueil des personnes dépendantes ou handicapées…, on note dans ce sondage des raisons d’espérer car la générosité des Français reste vive. Ils répondent positivement, à 76%, à l’idée de s’engager à passer du temps avec une personne isolée. Certes, un déclaratif n’est pas un engagement effectif. Ils sont quand même 27% à affirmer qu’ils sont « tout à fait disposés » à offrir une heure pour une telle cause. Ce gisement de générosité est un signe fort pour les associations toujours en recherche de bénévoles. Sommes-nous en face d’une réaction vigoureuse et salutaire d’hommes et de femmes généreux, prêts à agir concrètement face aux souffrances générées par l’isolement ? Pour permettre concrètement cette mise en action, des associations existent, capables de mettre en relation des personnes de bonne volonté avec ceux qui en ont besoin.
La culture « no kids » est un sentiment qui se développe principalement dans la jeune génération. Mais nous sommes loin d’un phénomène d’ampleur. La première leçon de ce sondage est l’acquiescement massif des Français à l’idée d’un impact positif de l’arrivée d’un enfant sur le bonheur de ses parents (90%). Cette opinion augmente chez les personnes ayant déjà vécu l’accueil d’un enfant (93% chez les personnes ayant un enfant, 98% pour celles ayant plusieurs enfants). Et les Français sans enfant sont encore 80% à partager cette opinion. A l’heure de nouvelles baisses de la natalité, la représentation d’un idéal de vie reste celle avec des enfants autour de soi. Par ailleurs, on n’observe pas de différences substantielles dans les réponses selon les préférences partisanes, les professions, le niveau d’étude ou le lieu d’habitation. Il s’agit là d’un consensus transversal à toute la société.
C’est la raison d’être de VIVA Le Forum, initiative portée par 17 associations. Ce rendez-vous original de deux jours est conçu pour rencontrer, écouter, échanger, soutenir, et proposer des initiatives positives. Parce que les angoisses de la vie et la détresse ne sont pas une fatalité, les organisateurs, rejoints dans un village de 50 associations, désirent ardemment œuvrer au bien commun.
L’OQTF algérien du jour
Un adolescent de 14 ans a été violemment agressé alors qu’il marchait dans la rue à Plaisir dans les Yvelines à proximité de son collège. Selon Le Parisien, le jeune homme a été attaqué par un homme muni d’une hachette.
Le suspect a pris la fuite. Agé de 34 ans, il s’agit d’un ressortissant algérien qui a fait l’objet, en 2024, d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Il a été expulsé en juillet avant de revenir clandestinement en France.
Jérôme Vitry, délégué départemental Alliance Police 78, précise que le suspect
“est toujours activement recherché par les services de police. Tout a été déclenché au niveau national”. “La victime a eu des plaies extrêmement profondes, notamment au niveau de la nuque. Il y avait une volonté de tuer. C’est un acte d’une extrême gravité ! L’adolescent a échappé à un cheveu de la mort”.
La République des copains : Dominique Voynet recasée sur le nucléaire !
Dominique Voynet a été nommée au Haut Comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire (HCTISN), encore un machin qui mériterait d’être dissous.
En 1997-2001, elle expliquait comment elle avait sabordé le nucléaire français à Bruxelles :
🔴ALERTE INFO
Dominique Voynet vient d’être nommée au HCTISN : Haut Comité pour la Transparence et l’Information sur la Sécurité Nucléaire.
En 1997-2001, elle expliquait comment elle avait sabordé le nucléaire français à Bruxelles.pic.twitter.com/Vxgc6h3NjK
— Jon De Lorraine (@jon_delorraine) March 19, 2025
Une incompétente notoire :
Bonne nouvelle : on peut apprendre de nouvelles choses tous les jours. Par exemple que la fusion nucléaire consiste à faire fusionner des molécules de façon « aléatoire », grâce à un métal inconnu au bataillon, le « nobrium ». L’histoire est en marche. pic.twitter.com/pWS7fsvQ3z
— Etienne KLEIN (@EtienneKlein) February 10, 2023
Rappelons qu’en 2014, le conseil des ministres a nommé Dominique Voynet inspectrice générale des affaires sociales. En 2018, elle avait été missionnée par Edouard Philippe, alors Premier ministre, en Guyane et à Mayotte.
Ces politiciens sont comme le sparadrap du capitaine Haddock : ils nous pourrissent la vie et on ne parvient pas à s’en débarrasser.
«Droit au retour» pour les étrangers expulsés d’Europe
Lundi 17 mars 2025, la Cour européenne des droits de l’homme a refusé de rejuger une affaire dans laquelle elle a créé un véritable «droit au retour» pour les étrangers expulsés d’Europe. Explications de l’ECLJ :
L’ECLJ avait alerté sur une nouvelle jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) créant un «droit au retour» pour les étrangers expulsés d’Europe. C’était l’affaire Sharafane c. Danemark, jugée le 12 novembre 2024. L’ECLJ était tierce-partie dans cette affaire et dans deux autres similaires jugées le même jour.
Le 29 janvier 2025, le Danemark a demandé un renvoi de cette affaire en Grande chambre. Autrement dit, il a « fait appel », devant la formation solennelle de la CEDH. Selon le Gouvernement danois, l’arrêt Sharafane « soulève des questions graves et sérieuses touchant à l’interprétation et à l’application de la Convention [européenne des droits de l’homme], notamment en ce qui concerne le droit souverain de l’Etat de contrôler l’entrée, le séjour et l’expulsion des étrangers » alors même que ce droit est « un droit international bien établi ».
La décision du collège de la Grande chambre
Le 17 mars 2025, le collège de la Grande chambre a rendu sa décision et a définitivement rejeté la demande du Danemark. La CEDH confirme ainsi que le « droit au retour » des étrangers expulsés est un principe qui fait jurisprudence et qui a vocation à être appliqué dans tous les pays d’Europe.
Cette décision du 17 mars est une très mauvaise nouvelle. En effet, les arrêts du 12 novembre 2024 remettent en cause la compétence des États en matière d’immigration. Pour examiner la proportionnalité d’interdictions de retour temporaires, la CEDH évalue « les perspectives [des requérants] d’être réadmis au Danemark »[1]. C’est par un examen de la politique d’immigration de l’État que la CEDH procède à cette évaluation. Si les perspectives sont suffisantes, la CEDH considère que l’expulsion est conforme à la Convention européenne[2]. Si les perspectives sont insuffisantes, du fait d’une politique d’immigration perçue comme trop restrictive, la CEDH considère que l’expulsion n’est pas conforme à la Convention européenne, du fait du risque qu’elle soit « de facto permanente »[3]. Dans les deux cas de figure, la Cour oblige les États à garder sur leur territoire les délinquants et criminels étrangers.
Par ces nouveaux principes jurisprudentiels, la CEDH se substitue aux États dans la détermination de leur politique d’immigration et de sécurité publique, plutôt que de respecter leur marge d’appréciation. De plus, elle juge une décision d’un État non pas au regard de son contenu immédiat et certain, mais à partir d’une conjecture sur une conséquence potentielle et éventuelle de cette décision dans un futur éloigné. Or, il est impossible de préjuger de ce que sera la politique migratoire de tel ou tel pays à l’avenir, ni de l’évolution des circonstances personnelles des étrangers expulsés. Si un étranger souhaite revenir à l’issue de son interdiction de territoire, il pourra en faire la demande et aura la possibilité d’exercer un recours contre un éventuel refus de visa. Un tel recours ferait alors l’objet d’un examen, dans les circonstances d’alors, par les juridictions du pays européen concerné ainsi que par la CEDH.
L’action de l’ECLJ en vue d’un revirement de jurisprudence
Certes, la CEDH a confirmé que le « droit au retour » des étrangers expulsés faisait jurisprudence. Elle a déjà appliqué ce principe dans des affaires danoises d’expulsion des trafiquants de drogue. Mais il est important de travailler dès maintenant à obtenir un revirement de jurisprudence. C’est pourquoi, l’ECLJ intervient dans une nouvelle affaire pendante devant la CEDH, Abukar c. Danemark (n°24837/24).
Dans cette affaire, le requérant en voie d’expulsion, Ahmed Kvadrani Abukar, est un Somalien de 37 ans entré au Danemark à l’âge de 8 ans. M. Abukar a été condamné 24 fois par la justice, dont 14 fois à une peine d’emprisonnement, pour des actes de délinquance en lien avec la drogue et les armes blanches ainsi que pour des vols et violences. Depuis un jugement de la Haute Cour danoise, devenu définitif le 1er mai 2024, M. Abukar est en voie d’expulsion vers la Somalie, avec une interdiction de retour d’une durée de douze ans. Il conteste cette expulsion devant la CEDH, en invoquant son droit au respect dû à sa vie privée.
Selon la nouvelle jurisprudence de la CEDH sur le « droit au retour » des étrangers expulsés, le Danemark doit maintenant démontrer aux juges européens que M. Abukar aura la possibilité de revenir sur le sol danois à l’issue des douze ans.
Dans ses observations écrites, versées au dossier le 30 janvier 2025, l’ECLJ montre la nécessité pour la CEDH d’un revirement de jurisprudence, afin de respecter le droit des États d’expulser des délinquants étrangers sans avoir à organiser leur retour en Europe après quelques années.
L’ECLJ a commenté la décision de la CEDH du 17 mars 2025 dans sa nouvelle chronique hebdomadaire sur « Ligne droite », matinale de Radio Courtoisie :
Transmissio a besoin de soutien
En ce jour de la Saint Joseph, Transmissio vous sollicite pour l’aider à porter un projet ambitieux pour accompagner les familles que vous pouvez retrouver sur www.transmissio.org
Pourquoi ?
Contrairement à ce que laisse entendre la presse, Transmissio est totalement indépendante des Académies de St Louis et du Domaine de Chalès, qu’elle loue pour réaliser son projet de Vacances familiales avec le Bon Dieu.
Transmissio est une initiative de laïcs, pèlerins de Chartres, animés par le désir de servir, et qui ne bénéficient d’aucune ressource particulière autre que leur bonne volonté.
Comment ?
Transmissio accompagne les familles soucieuses de se donner les moyens de nourrir un foyer fécond et une transmission solide à leurs enfants.
Dans une société liquide et sur-connectée qui nous affecte tous, Transmissio propose aux familles de retrouver une unité de vie autour de l’essentiel : mieux connaître pour mieux aimer le Bon Dieu.
Loisirs, formation, chrétienté sont les trois piliers de Transmissio ; les tarifs inscriptions ont été établis de telle manière à ce que toute famille puisse vivre ce temps de ressourcement.
Cependant, le montant de ces inscriptions ne couvre qu’un tiers des dépenses réelles (location du site, logistique, formation).
Transmissio a besoin de vous pour porter cet élan de soutien aux familles !
En faisant un don de 200€, vous parrainez 1 personne et cela ne vous coûte que 68€ après défiscalisation.
Nous accueillons pour cette première édition 550 personnes : vous pouvez parrainer autant de personnes que vous le pouvez/voulez ! Pour nous aider, rendez-vous sur ce lien.
Nos enfants d’aujourd’hui sont les générations de demain : Saint Joseph, protégez nos familles !
L’Œuvre d’Orient : changement de Directeur général
Communiqué de l’Oeuvre d’Orient :
Après 15 ans à la tête de L’Œuvre d’Orient, Mgr Pascal Gollnisch, qui aura bientôt 73 ans, a demandé à être déchargé de ses fonctions de Directeur général de l’association.
Actuellement secrétaire général de la Conférence des Évêques de France, Mgr Hugues de Woillemont est nommé Directeur général de L’Œuvre d’Orient à compter du 1er septembre 2025 par le Conseil d’administration de l’Association, sur proposition de l’Archevêque de Paris Mgr Laurent Ulrich et en accord avec Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre.
Sous la direction de Mgr Pascal Gollnisch, L’Œuvre d’Orient, œuvre d’Église, membre de la Réunion des Œuvres d’Aide aux Églises Orientales (ROACO) au Vatican, et plus ancienne association française de soutien aux chrétiens d’Orient, s’est considérablement développée en France et à l’international.
Elle a tissé un réseau de représentants sur le territoire français, en Europe avec la création d’Associations Sœurs et dans les vingt-trois pays où elle intervient, au Proche et Moyen-Orient, dans l’Est de l’Europe, la Corne de l’Afrique et le sud de l’Inde.
Mgr Gollnisch a été à l’origine de la création de l’Institut chrétiens d’Orient et du lancement du Fonds des écoles chrétiennes francophones d’Orient, cogéré par l’État français et L’Œuvre d’Orient. Il a développé une action de plaidoyer auprès des organisations internationales destinée à les sensibiliser à la cause des chrétiens d’Orient. Il a mis en place une structure apte à répondre aux défis auxquels sont confrontés les chrétiens d’Orient, par une professionnalisation des équipes et de son mode de fonctionnement. L’Œuvre d’Orient développe aujourd’hui près de 1200 projets avec près de 39 millions d’euros collectés. La mission ancienne d’envoi de volontaires s’est renforcée avec l’appel du terrain ces dernières années.
Convaincu qu’en aidant les chrétiens d’Orient, c’est l’Orient tout entier qui est soutenu, Mgr Gollnisch a eu à cœur de resserrer les liens de communion et de bâtir des ponts de part et d’autre de la Méditerranée entre les Églises d’Orient et l’Église de France, entre la France et les chrétiens d’Orient.
À ce titre, Mgr Gollnisch a œuvré pour renforcer l’Ordinariat des catholiques orientaux en France, en tant que vicaire général.
Depuis sa création en 1856 par des professeurs en Sorbonne, L’Œuvre d’Orient est aux côtés des chrétiens d’Orient. Elle aide les communautés chrétiennes à agir auprès de tous, quelle que soit leur appartenance religieuse, dans les sociétés auxquelles elles appartiennent. Au cœur de lignes de fractures qu’ils traversent, les chrétiens d’Orient sont des acteurs de paix au service de l’ensemble de la population dans le domaine de l’éducation, la santé et l‘action sociale (hôpitaux, dispensaires, orphelinats…) et du patrimoine.
L’Œuvre d’Orient agit grâce à la générosité de 80 000 donateurs et à un solide réseau de congrégations er de partenaires présents dans ses pays d’intervention. Elle répond par un soutien indéfectible aux crises majeures de ces pays, notamment en Irak, en Syrie, en Arménie, en Ukraine, au Liban, et plus récemment en Éthiopie et en Terre Sainte.
L’archevêque de Paris Mgr Laurent Ulrich, Ordinaire des catholiques orientaux de France, et le Conseil d’administration de l’association remercient Mgr Pascal Gollnisch « pour le travail extraordinaire qu’il a accompli à la tête de L’Œuvre d’Orient et pour le soutien sans relâche qu’il a apporté aux chrétiens d’Orient ».
Ordonné prêtre le 26 juin 1999 pour le diocèse de Nanterre, après une école de commerce et une formation au séminaire des Carmes, Mgr Hugues de Woillemont, 55 ans, occupait depuis septembre 2020 les fonctions de Secrétaire général et porte-parole de la Conférence des évêques de France (CEF).
Aumônier de jeunes de 2000 à 2003, vicaire et curé dans les paroisses de Sèvres, Chaville et Ville d’Avray, il a été Directeur du service diocésain des pèlerinages de Nanterre pendant six ans. Nommé Vicaire général du diocèse de Nanterre en 2011, il occupera ces fonctions auprès de Mgrs Gérard Daucourt, Michel Aupetit et Matthieu Rougé jusqu’en 2020, avant de rejoindre la CEF. Il a été administrateur diocésain du diocèse de Nanterre de janvier à septembre 2018.
Au cours de son mandat de Secrétaire général de la CEF, il a effectué, aux côtés du Président de la CEF, Mgr Eric de Moulins-Beaufort, archevêque de Reims, de nombreux déplacements en présence de Mgr Pascal Gollnisch à la rencontre des communautés chrétiennes d’Orient (i.e. : Liban, Irak, Égypte et Éthiopie prochainement…). En septembre 2022, quelques mois après le début de la guerre en Ukraine, il s’était en particulier rendu à Kiyv, avec Mgr de Moulins Beaufort, porter l’amitié de l’Église de France au peuple ukrainien.
Il prendra ses fonctions le 1er septembre 2025 comme Directeur général de L’Œuvre d’Orient et vicaire général de l’Ordinariat des catholiques orientaux de France.
Aujourd’hui, à la veille du jubilé des 170 ans de L’Œuvre d’Orient en 2026, 17 millions de catholiques orientaux vivent dans les pays où agit l’association.
Plus que jamais, les chrétiens d’Orient ont besoin de notre soutien.
L’Œuvre d’Orient en chiffres :
- 78 000 donateurs particuliers français,
- Association de loi 1901, apolitique, reconnue d’intérêt général bénéficiant du label don en confiance.
- 400 communautés chrétiennes bénéficiaires locales (réparties dans 23 pays où l’association agit) au service de tous.
- 1 200 actions financées par an
- 38,5 millions d’euros collectés en 2024
- 400 établissements scolaires dans lesquels + de 400 000 élèves sont scolarisés
- 3 millions de malades
- Un réseau de plus de 300 bénévoles partout en France
- 100 volontaires en mission chaque année
- Un accueil pour les réfugiés
Forum Viva: J-4
C’est ce week-end !!
Derniers jours pour s’inscrire !
A vous les familles souvent démunies pour éduquer vos enfants,
A vous les couples qui aspirez à une relation durable et vivante,
A vous les femmes marquées par l’épuisement maternel,
A vous les aidants qui soutenez un proche,
A vous les jeunes qui peinez à trouver un sens à votre vie,
de conférences, ateliers, soirée festive et village des initiatives concrètes et donnez un nouvel élan à votre quotidien !
Découvrez tout le programme.
Edouard Philippe sur la laïcité et le voile dans le sport
Ce mardi 18 mars 2025, Edouard PHILIPPE, maire du Havre et Président du parti Horizon, candidat à la présidentielle pour 2027 était au micro de Sonya MABROUK sur CNEWS. Sa parole est rare de son propre chef, ce qui est saluable dans un monde où le sur-commentaire et le bal des politiques sont assourdissants. Prendre l’exemple de nos anciens sur la raréfaction de la parole est une excellente résolution. Pour autant, ses propos laissent perplexe :
VOILE ISLAMIQUE DANS LE SPORT
Nous attendions avec intérêt la parole de l’ancien Premier Ministre d’Emmanuel MACRON, alors que dans ses propres rangs la question divise. Edouard PHILIPPE est contre l’interdiction. Il explique «qu’une interdiction serait contraire à ce qu’est la laïcité en France». Pour lui, la décision devrait être prise par les fédérations sportives, « si elles devaient être prises », en ajoutant dans « le cadre de compétitions sportives ». Plus incroyable, il minimise l’idéologie islamique dans le port du voile tout en évitant «toute naïveté». — NDRL : Et en même temps….Quand tu nous tiens — «Le voile n’est pas toujours un symbole de l’entrisme», a-t-il insisté.
Sonya MABROUK insiste sur le problème de l’avancée des idéologies islamiques dans la société et que la laïcité devait être un rempart et non un catalyseur. Le maire du Havres répond en disant que nous ne devons pas faire « un concordat avec l’islam« . Le problème est là. Les lois, les moeurs et la laïcité sont des conceptions d’occidentaux pour les Occidentaux. Aujourd’hui, la grille de lecture des personnes orientales est différente. Il faut urgemment trouver une nouvelle façon de s’adresser aux Orientaux dans des réponses qu’ils comprendront. Le problème réside dans l’idéologie universaliste des sociétés multiculturelles. Tous n’ont pas la même grille de lecture. Une justice occidentale pour les Occidentaux ne fonctionnera pas pour des Orientaux.
METTRE UN TERME AUX ACCORDS DE 1968
Édouard PHILIPPE, candidat à l’élection présidentielle, qualifie l’«hypocrisie» du gouvernement algérien, qui a rejeté, hier, la liste de ses ressortissants dangereux que la France souhaite expulser. Il persiste et signe «mettre un terme aux accords de 1968» tout en nuançant et acquiesçant à « la réponse graduée » que le gouvernement veut mettre en place. Sans expliquer la réelle peur de frapper et frapper fort dès maintenant.
HORIZON COMMUNISTE ?
Sonya MABROUK lui demande si l’extrême gauche est dangereuse et si elle ferait le choix de voter Rassemblement National en cas de duel. La réponse se dissimule derrière des calculs électoralistes. « Je suis élu dans une commune où une bonne partie de l’électorat est et vote communiste. J’ai des élus communistes {…} Nous nous combattons {…} mais quand il y a des sujets d’intérêts républicains ils ne se trompent pas toujours de combat » Sonya MABROUK, dans sa vivacité, lui rétorque aussitôt que » Il y a quelqu’un qui était à droite, c’est Eric CIOTTI qui est parti vers le RN, est-ce qu’il y a quelqu’un qui est à droite qui est parti vers les communistes?« .
En effet, l’Horizon, c’est la ligne lointaine que nous n’atteignons jamais. Quid de la présidentielle à venir, nous suivrons bien évidemment sa campagne de près.
Pour finir, doudou comme l’appellent ses intimes, fini l’interview en répétant que la grandeur de la France s’est forgée dans les siècles passés grâce à la politique et non à l’attachement identitaire. Monotone litanie technocratique.
Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.
La Hongrie interdit les manifestations de provocation LGBTQXYZ
Le Parlement hongrois a voté une loi qui interdit tout rassemblement qui violerait la loi de 2021 qui interdit de promouvoir auprès des mineurs « l’homosexualité et le changement de sexe », donc la soi-disant « marche des fiertés ». Les contrevenants s’exposent à une amende de 500 €, qui sera « reversée aux fins de protection de l’enfance ».
La loi précise que seuls les événements « respectant le droit des enfants à un développement physique, mental et moral correct peuvent avoir lieu ».
Le texte a été adopté par une très large majorité de 136 voix contre 27.
La messe, la situation dans les diocèses : Quimper
Jean-Pierre Maugendre a rencontré récemment des fidèles de la communauté traditionnelle de Quimper. Il a pu faire le point sur la situation après que la Fraternité Saint Pierre a été chassée de l’apostolat qu’elle assurait depuis 6 ans dans les églises Saint Matthieu à Quimper et Sainte Sève, à proximité de Morlaix.
« Jésus accomplit son plan et ses desseins. »
Butch Wilmore, astronaute de la NASA coincé dans l’espace pendant 286 jours, glorifie Jésus-Christ alors qu’il se prépare pour son voyage de retour sur Terre :
“Jesus is working out His plan and purposes.”
Butch Wilmore, a NASA astronaut who was stuck in space for 286 days, glorifies Jesus Christ as he prepares for his return journey to Earth. pic.twitter.com/VXcnulHyDc
— Sachin Jose (@Sachinettiyil) March 18, 2025
“Rupture républicaine du jeûne du ramadan”
C’est l’Allahicité :
Vendredi 14 mars 2025, à l’invitation d’Hakim Miftah, président de la section normande de l’Union des Mosquées de France, Sébastien Jallet, préfet de l’Orne, a participé à une rupture républicaine du jeûne du ramadan pic.twitter.com/pct475Yh7u
— Préfet de l’Orne 🇫🇷 (@Prefet61) March 18, 2025
Etonnamment, les laïcards de la “Libre Pensée”, prêts à poursuivre les élus qui mettent des crèches, sont devenus bien silencieux.
Gouverner par la peur
Le gouvernement prépare un livret qui sera distribué à la population pour expliquer les pratiques à adopter pour se préparer et réagir en situation de crise : accident industriel, événement climatique grave, attaque cyber, ou conflit armé. Il sera envoyé à tous les foyers d’ici à cet été.
Emmanuel Macron nous rejoue le couplet “nous sommes en guerre”.
Composé d’une vingtaine de pages, le guide s’articule en trois parties :
- “Se protéger” pour “sensibiliser la population française à la notion de solidarité”. Cette première partie du livret indique “le kit de survie” à avoir chez soi en cas de grave crise : au moins six litres d’eau en bouteille, une dizaine de boîtes de conserve, des piles et d’une lampe torche en cas de coupure d’électricité, du paracétamol, des compresses, un sérum physiologique dans sa salle de bain. Mais pas de masque ??
- La deuxième partie du livret est consacrée aux gestes à adopter en cas de menace imminente : fermer toutes les portes du foyer en cas d’accident nucléaire (sic).
- La dernière partie, nommée “Engagez-vous”, explique comment s’inscrire dans une réserve, qu’elle soit militaire, numérique ou communale.
Macron et ses médias entretiennent ainsi la psychose.
Face à la menace russe ? Ou en prévision des prochaines émeutes des populations immigrées ?
Notre supplication à Dieu : Parce Domine
D’Aurelio Porfiri, éditeur et écrivain catholique italien, pour le Salon beige:
Il y a des moments dans notre existence où nous traversons une profonde crise personnelle, ou même une crise en tant que membres d’une société. Existe-t-il des chants qui peuvent répondre à ce que nous vivons ? Certes, il y en a plusieurs, mais celui qui me vient à l’esprit est Parce Domine, une antienne grégorienne souvent accompagnée de quelques vers en forme métrique.
La mélodie austère du chant grégorien nous aide à exprimer notre supplication à Dieu, notre invocation pour qu’Il écoute Son peuple. En effet, il est dit : « Pardonne, Seigneur, pardonne à Ton peuple, ne sois pas toujours irrité contre nous. » Cette invocation nous fait comprendre le ton que ce chant donne à notre prière. Dans la première strophe, il est dit :
“Apaisons la colère vengeresse, pleurons devant le Juge ; invoquons-Le d’une voix suppliante, prosternés, disons tous ensemble : Pardonne, Seigneur…”
Ces paroles semblent éloignées du catholicisme bienveillant auquel nous avons été habitués ces dernières décennies. Certes, parler de « colère vengeresse » peut nous sembler dur, mais en réalité, l’accent est mis sur nos péchés : c’est l’homme qui imagine Dieu en colère contre nous à cause de notre infidélité constante. Le texte parle donc de Dieu, mais pour parler de nous.
Dans le livre de Nahum (1, 1-8), il est écrit :
“Le Seigneur est un Dieu jaloux et vengeur, le Seigneur se venge et il est plein de fureur. Le Seigneur se venge de ses adversaires et garde rancune à ses ennemis. Le Seigneur est lent à la colère, mais grand par sa force ; il ne laisse pas impuni. Dans la tempête et l’ouragan est son chemin, et la nuée est la poussière de ses pieds. Il menace la mer et il la dessèche, il assèche tous les fleuves. Le Bashân et le Carmel languissent, la fleur du Liban se flétrit. Devant lui, les montagnes tremblent, les collines vacillent ; la terre se soulève devant lui, le monde et tous ses habitants. Qui résistera devant son indignation ? Qui tiendra tête à l’ardeur de sa colère ? Sa fureur se répand comme un feu, les rochers se brisent devant lui. Le Seigneur est bon, il est un refuge au jour de la détresse ; il prend soin de ceux qui se réfugient en lui, même quand l’inondation survient. Il anéantit ses adversaires et poursuit ses ennemis jusque dans les ténèbres.”
C’est une image très différente de celle à laquelle nous sommes habitués. Pourtant, il n’y a pas de contradiction entre un Dieu miséricordieux et un Dieu juste. Si nous comprenions cela, nous comprendrions déjà beaucoup de choses.
Dans la deuxième strophe de Parce Domine, il est dit :
“Par nos fautes, nous avons offensé ta clémence. Toi qui pardonnes, répands sur nous ton indulgence.”
Dieu est là pour nous pardonner, même si nos fautes ont mis sa patience à l’épreuve. Nous avons la chance de savoir que la miséricorde de Dieu est infinie précisément parce que sa justice est également infinie. Mais nous devons chercher à comprendre, au fil de l’histoire, en quoi nous devons nous corriger pour ne pas attirer à nouveau le châtiment sévère de Dieu.
Dans la troisième strophe, il est dit :
“Accorde-nous un temps favorable. Donne-nous de laver par les larmes notre cœur immolé, car ta charité est toujours vivante.”
Et le temps favorable que nous vivons est précisément celui du Carême.
Dans la quatrième strophe, il est dit :
“Écoute, ô bon Créateur, nos supplications et nos pleurs qui s’élèvent en ce saint jeûne quadragésimal.”
Et c’est bien de supplications et de larmes dont nous devons parler, d’angoisses et d’inquiétudes, de la peur pour notre avenir. Voilà, il n’y a que la supplication et l’invocation pour tenter d’attirer l’attention de Dieu sur notre misère présente.
Dans la dernière strophe, il est dit :
“Toi qui lis les cœurs, tu sais combien notre force est faible ; à nous qui nous tournons vers toi, montre ta miséricorde.”
Cette strophe est particulièrement belle, car elle affirme que Dieu, qui lit les cœurs, sait combien nous sommes faibles. Ce n’est qu’en reconnaissant que nous vivons dans le péché, en reconnaissant notre fragilité, que nous pouvons espérer obtenir quelque chose. L’orgueil et l’arrogance ne nous aideront pas dans les difficultés actuelles.
La belle mélodie du premier mode, simple mais solennelle, semble justement réitérer cette invocation, en se répétant presque d’une demi-phrase à l’autre. Une phrase ascendante sur les mots « ne in aeternum » semble presque suggérer cette nécessité qu’a l’homme de la miséricorde de son Créateur.
Sur le site de l’Union des catéchistes (unionecatechisti.it), je trouve cette belle méditation inspirée de notre antienne :
“L’Écriture Sainte est remplie de faits prouvant que Dieu accepte les petits moyens de pénitence et qu’Il pardonne souvent de nombreux péchés en échange de modestes actes de mortification ou de prière, comme ce fut le cas des Hébreux dans le désert, infestés par des serpents venimeux et sauvés en regardant simplement le serpent de bronze élevé sous la forme d’une Croix par Moïse, sur l’ordre de Dieu, au milieu du campement. C’était un symbole du Divin Crucifié. Nous savons qu’un seul mot de repentir sincère, jailli d’un cœur aimant et pénitent, suffit à obtenir un généreux pardon et à entendre, comme pour Madeleine : « Beaucoup t’a été pardonné parce que tu as beaucoup aimé. »”
Faisons nôtre, avec confiance, cette prière fervente.
La mortification – Réussir son Carême
La mortification n’est plus un terme très à la mode. Penser aux fins dernières nous permet pourtant d’orienter notre vie vers “la fin de toutes choses” : le Bien. Le bonheur se trouve dans ce pour quoi nous sommes créés, et nous sommes faits pour le Ciel, pour la vision béatifique.
Nos vies sont marquées par le péché originel. La cause de chacun de nos péchés, c’est un amour désordonné de soi. Toute la vie spirituelle consiste à “commencer son Ciel sur la Terre”, pour mettre Dieu à la première place.
La mortification proposée par l’Eglise pendant le Carême permet la mort du Vieil Homme, pour faire vivre Dieu en nous. “Ce n’est plus moi qui vit, c’est le Christ qui vit en moi” (Saint Paul). Détachons-nous de tout ce qui est uniquement de la Terre, sacrifions tout ce qui n’est pas un moyen pour aller à Dieu et y conduire les autres.
Arnaud et Vincent, de la Fraternité Saint-Ephrem, nous proposent cette conférence sur la mortification, donnée au groupe des Jeunes Professionnels de Lille.
Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.
Le RGPD, cheval de Troie de la folie LGBTQXYZ
Une femme qui se prend pour un homme, de nationalité iranienne, venue demander l’asile en Hongrie, enregistré comme femme, avait demandé en 2022 la modification du registre de l’asile. La justice hongroise avait réclamé « la production de preuves d’un traitement chirurgical » pour modifier le registre.
Le 13 mars, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a considéré que la Hongrie doit « enregistrer “l’identité vécue” des personnes transgenres », invoquant le « droit à l’exactitude des données » :
« En vertu du RGPD (Règlement général de protection des données) et du principe d’exactitude énoncé par celui-ci, la personne concernée a le droit d’obtenir la rectification des données collectées la concernant ». « Selon le droit européen », « l’identité de genre vécue et non celle assignée à la naissance » « permet d’identifier un individu ». « Un Etat membre ne peut invoquer l’absence de procédure de reconnaissance juridique de la transidentité pour faire obstacle à l’exercice du droit de rectification ». « Si l’état civil reste du domaine des Etats, les pays membres “doivent toutefois respecter le droit de l’Union, y compris le RGPD, lu à la lumière de la charte” européenne des droits fondamentaux ».
En 2020, la Hongrie a interdit l’inscription du changement de sexe à l’état civil et la reconnaissance juridique de « l’identité de genre » des personnes se déclarant transgenres.
Le grand remplacement n’existe pas mais, selon BFM, la pénurie d’œufs s’explique par le ramadan
Le journaliste de BFM :
“Le ramadan peut expliquer la pénurie d’œufs dans certains supermarchés ?”
Réponse de la vice-présidente de la fédération des marchés de France :
“Tout à fait, au moment du ramadan, les gens consomment énormément d’œufs. Ils cuisinent. Ils font leurs gâteaux. Il y a une grosse consommation d’œufs actuellement.”
🇫🇷🥚FLASH | Le ramadan serait l’une des causes de la “pénurie” d’œufs que connaît actuellement la France. (BFM TV) pic.twitter.com/n2i10VXtis
— Cerfia (@CerfiaFR) March 17, 2025
« Pour von der Leyen, la plus grande menace contre l’Europe est… la désinformation. Pas l’immigration de masse ? C’est absurde. »
Rod Dreher a été interrogé sur Boulevard Voltaire, suite à la sortie de son livre « Comment retrouver le goût de Dieu dans un monde qui l’a chassé » :
Un chercheur du Planned Parenthood reçoit 495 307 dollars pour étudier comment « le pouvoir et l’oppression » sont liés à « l’accès » à l’avortement
Un chercheur de Harvard qui travaille également pour Planned Parenthood reçoit 495 307 dollars des National Institutes of Health (NIH), agence nationale de recherche médicale, pour étudier comment « le pouvoir et l’oppression » sont liés à « l’accès » à l’avortement… Elizabeth Janiak, professeur à Harvard, est également directrice de la recherche en sciences sociales pour la Planned Parenthood League of Massachusetts, ainsi que directrice du laboratoire de recherche sur la contraception et l’avortement au Brigham and Women’s Hospital. L’étude est active jusqu’en août 2026, à moins qu’elle ne soit annulée avant cette date.
Les responsables des NIH ont refusé de répondre aux demandes concernant la fréquence à laquelle l’agence subventionne des projets reposant sur un « cadre intersectionnel » (l’intersectionnalité est l’affirmation selon laquelle les intérêts des diverses factions identitaires de la gauche politique sont tous interdépendants, y compris l’avortement sur demande, l’agenda LGBT, la redistribution des richesses, la « réforme » de la justice pénale, l’immigration illégale et le sentiment anti-occidental).
De nombreuses utilisations de l’argent des contribuables par l’extrême gauche sont actuellement examinées par l’administration Trump, notamment les activités pro-avortement et pro-censure de l’Agence américaine pour le développement international (USAID), la « diversité, l’équité et l’inclusion et la propagande néo-marxiste de lutte des classes » de la Fondation nationale des sciences, et les milliards versés à des organisations non lucratives de gauche dans le domaine de l’« énergie verte » par l’Agence de protection de l’environnement.
Le nouveau site web du ministère américain de l’efficacité gouvernementale (DOGE) revendique actuellement des économies totales estimées à 115 milliards de dollars, même si l’on peut se demander si ces économies se concrétiseront réellement.
La Révolution dévore ses enfants : Louis Boyard mis à l’écart par ses alliés
Trahi par les siens. Un mois et demi après avoir été battu au second tour de la municipale partielle de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) par la LR Kristell Niasme, l’Insoumis Louis Boyard est confronté à une fronde.
Cinq des sept anciens colistiers élus à ses côtés lancent leur propre groupe d’opposition : «Dignité et solidarité», qui sera présidé par Mamadou Traorén qui embarque avec lui Mohamed Ben Yakhlef – militant pro-Hamas qui s’était réjoui des massacres terroristes du 7 Octobre en Israël -, Juliette Gbagbo, Insaf Chebâane, ainsi que Alpha Camara.
Isolé avec Fadwa Sadak, Louis Boyard ne peut pas constituer un autre groupe, trois élus étant nécessaires selon le règlement du conseil municipal.
Le Rosaire est notre arme spirituelle pour mettre fin à l’holocauste de l’avortement
Will Goodman, militant pro-vie, a encouragé les téléspectateurs de la War Room de Steve Bannon à prier pour les juges qui « se tiennent devant Dieu comme responsables de la protection des droits des enfants à ne pas être assassinés ». Il a exhorté les téléspectateurs de l’émission War Room de Steve Bannon à utiliser « l’arme spirituelle » du Très Saint Rosaire pour lutter contre « l’holocauste qui se produit et qui tue des millions et des millions d’enfants ».
« Nous devons nous battre ici pour les enfants à naître, pour la protection des femmes et des enfants », a déclaré M. Goodman, encourageant les téléspectateurs à “se mettre à genoux pour aller à l’assaut du ciel”.
L’animateur de la War Room a manifestement apprécié de renouer avec le sauveteur de la Rose Rouge avec lequel il a purgé une peine dans la prison fédérale de Danbury, dans le Connecticut. Bannon a été placé derrière les barreaux le 1er juillet 2024 pour purger une peine de quatre mois pour avoir refusé de se conformer à la commission du Congrès du 6 janvier 2022, dirigée par des démocrates.
Goodman a été condamné avec le père David Nix, le père Fidelis Moscinski et un autre militant pro-vie. Le 13 juillet 2019, les militants sont entrés dans un établissement pratiquant l’avortement et ont prié dans la salle d’attente alors qu’elle était « bondée » de clients.
« Elles se préparaient à tuer leurs enfants. Nous leur offrions des roses avec un message positif, leur faisant savoir qu’il y avait des gens qui pouvaient les aider dans ce moment de crise. » « Nous ne quittions pas la salle d’attente. Nous continuions à prier pour que leurs enfants ne soient pas tués et que nous soyons là pour eux ».
Les Red Rose Rescuers ont été reconnus coupables d’intrusion. Les roses rouges distribuées à l’intérieur du centre d’avortement étaient accompagnées d’un message disant :
« Vous êtes faite pour aimer et pour être aimée … votre bonté est plus grande que les difficultés de votre situation. Les circonstances de la vie changent. Une nouvelle vie, aussi minuscule soit-elle, apporte la promesse d’une joie qui ne se répète pas ».
Avec quelques commentaires, Bannon a rappelé la première fois qu’il a vu Goodman dans la cour de la prison et l’a décrit comme ressemblant à « Saint Antoine ou Jean Baptiste » avec sa barbe de l’époque et « ce regard à mille lieues ».
Goodman a levé sa main droite, enveloppée d’un chapelet de perles noires, et a affirmé :
« Je tiens dans ma main le chapelet que j’ai reçu à Danbury, béni par l’aumônier de l’endroit. Et il est puissant. » « Le rosaire est notre arme spirituelle. Nous devons nous battre ici pour les enfants à naître, pour la protection des femmes et des enfants ». « Il suffit de s’agenouiller et d’appeler le ciel à l’aide. Il s’agit d’un holocauste qui tue des millions et des millions d’enfants ». « Et nous devons prier pour la conversion des pauvres pécheurs et la réparation pour les attaques contre la vie et pour une justice authentique, et pour que ces juges se convertissent parce qu’ils se tiennent devant Dieu comme responsables de la protection des droits des enfants à ne pas être assassinés ».
L’hommage de la Fondation Jean Jaurès au magazine Frontières : la République est en danger !
La fondation Jean-Jaurès, gavée de subventions par l’Etat, utilise l’argent du contribuables pour cracher son venin contre le jeune magazine Frontières, qui vient bousculer l’entre-soi de la bien-pensance gauchiste.
Raphaël LLorca dénonce donc “Une matrice politique anti-républicaine” :
À l’étude, qualifier la ligne éditoriale de Frontières d’« identitaire » est à la fois réducteur et trompeur : c’est fortement diluer sa radicalité politique. Du point de vue idéologique, Frontières est l’un de ces espaces où se recycle aujourd’hui l’essentiel de la pensée des « maîtres de la contre-révolution » (Maistre, Bonald, Maurras) et où se forgent les nouveaux concepts de l’extrême droite contemporaine. Ce qui compte dans le combat politique, disait Maurras, c’est la « propagande imprimée ». Comparaison n’est pas raison, bien sûr. Mais comme on va le voir, on retrouve à l’intérieur des pages de Frontières la même critique implacable des principes de 1789, la même hantise de la décadence, le même attachement aux traditions, la même rhétorique guerrière contre l’étranger, la même condamnation de l’« anti-France », la même aspiration au rétablissement violent de l’ordre.
Plongeons plus avant dans la matrice politique de Frontières. Je distinguerai trois éléments principaux, qui font de cette publication un authentique organe de propagande anti-républicaine.
Un violent rejet des Lumières
C’est systématique : dans ses éditos, ses interviews, ses reportages, tout concourt chez Frontières à un violent rejet de ce qui constitue la philosophie politique des Lumières. Commençons par le plus explicite. Dans un entretien délirant publié dans le sixième numéro, l’essayiste Laurent Obertone, auteur de La France Orange mécanique, explique que la démocratie « est la forme la plus aboutie de la tyrannie, dont la République n’est que le nom de scène ». « Par son cirque électoral conditionné, poursuit-il, la démocratie donne au citoyen l’illusion de contrôler le pouvoir », avant de parler d’un « fascisme domestique, qui appelle toujours plus de maître et toujours moins de soi ». La démocratie aurait enfanté une nouvelle espèce humaine, entièrement assujettie : homo domesticus. De façon très explicite, Laurent Obertone explique qu’« on ne peut plus tout miser sur le jeu électoral, conçu pour nous posséder », qu’« une victoire politique ne suffira jamais » et qu’il faudrait que « nos forces vives » cessent de « se contenter de subir et d’assister à leur perte sans montrer davantage les dents, sans chercher de nouvelles issues et lutter un peu plus âprement ». Le refus du cadre démocratique de la lutte politique est explicitement affirmé. […]
La critique radicale de Frontières s’attaque en réalité à tous les cadres de nos démocraties libérales. La justice ? « Conceptuellement, elle existait avant les Tribunaux. Elle était tout simplement aux mains des citoyens », écrit dans une tribune Pierre-Marie Sève, directeur de l’Institut Justice, un think tank « en guerre contre le laxisme judiciaire » : il explique que dès lors que le système judiciaire est « persuadé de détenir lui-même la source de son pouvoir, alors l’autodéfense n’est que la suite de l’histoire ». La notion de vivre-ensemble ? « Elle traduit déjà un phénomène de réalité séparatiste, explique dans un entretien Georges Fenech, ancien député UMP. Dire que l’on va vivre ensemble, c’est sous-entendre que l’on n’est pas les mêmes. Cela veut dire qu’il faut s’accommoder de l’autre et tolérer l’autre, alors que nous ne devrions faire qu’un seul peuple, une seule nation, une seule culture ». Les journalistes ? Des médiocres au service du « camp du bien », explique Garen Shnorhokian, ancien candidat aux législatives pour le parti Reconquête !, dans un papier format « carte blanche », particulièrement acharné contre les journalistes qui couvrent l’extrême droite et qui seraient, selon lui, d’une hypocrisie sans nom. Racontant un pot tenu à Valeurs actuelles, il décrit : « Ils se jettent sur les amuse-gueules et les coupes de champagne offerts par des politiciens qui les répugnent, tels des charognards affamés. La morale, oui, mais l’estomac d’abord ! ». Dans cet univers profondément anti-libéral et anti-démocratique, l’animalisation des journalistes passe comme une lettre à la poste.
Contre les barbares : une France pour deux peuples
La dénomination de « barbares », maintes fois utilisée par Maurras dans ses textes pour désigner ce qu’il appelait les « quatre États confédérés » (juifs, protestants, francs-maçons et « métèques »), est récurrente dans les articles de Frontières. On la retrouve abondamment lors des émeutes urbaines de l’été 2023, comme on l’a vu plus haut, mais aussi au lendemain de l’assassinat du jeune Thomas à Crépol, en novembre 2023. Une large part du deuxième numéro, paru le 8 décembre 2023, y est consacré. Le fait divers est qualifié de « razzia » : « comme à l’époque des Barbaresques, les incursions peuvent aujourd’hui frapper le fin fond des campagnes », y lit-on. […]
Que la République contre-attaque, vite !
À l’issue de cette plongée dans les publications de Frontières, un enseignement se dessine : la République est de nouveau confrontée à des menaces explicitement anti-libérales et anti-démocratiques portées par des publications d’extrême droite, parmi lesquelles Frontières occupe – tant sur le fond que sur la forme – une position centrale d’avant-garde, au sens militaire du terme.
Cette place croissante prise dans le débat public par un magazine comme Frontières pose question : jusqu’où tolérerons-nous l’influence, de plus en plus forte chaque jour, d’une entreprise concertée de démolition de nos piliers démocratiques ? Une fois leur projet politique radical exposé au grand jour, comment comprendre que des acteurs politiques et institutionnels de premier plan, comme David Lisnard, l’actuel président de l’Association des maires de France, acceptent d’y figurer ? Comment accepter enfin qu’ils puissent prospérer sans rencontrer aucune opposition des pouvoirs publics ?
Les forces républicaines de ce pays devraient prendre au sérieux la menace que fait peser ce type de publications sur la paix civile et les intérêts fondamentaux de la Nation. En fait, on serait tenté de conseiller à la République de faire de Frontières un exemple, de démontrer à ces anti-républicains que notre régime ne se caractérise pas par la faiblesse qu’ils lui prêtent. Lorsqu’un « média » s’attaque aussi frontalement à la République, la République a le devoir de se défendre, vigoureusement. Dans sa confrontation avec Frontières, notre régime politique rencontre une épreuve de force à laquelle le demi-siècle passé l’a déshabituée, et qu’il doit aujourd’hui affronter à nouveau. Faute d’adversaires d’ampleur du côté de l’extrême droite anti-libérale et anti-démocratique, la culture de combat des républicains s’est peut-être émoussée. Au sortir de la lecture de Frontières, il faut souhaiter qu’elle se refasse, urgemment.
Nous connaissons le refrain révolutionnaire : pas de liberté pour les ennemis de la liberté…
Cultiver le bonheur
Chaque jour, nous enchaînons les activités, profitons de petits plaisirs, cherchons à rendre notre quotidien plus agréable. Un bon film, une sortie au restaurant, un moment de détente… et pourtant, au fond, une question persiste : est-ce vraiment cela, le bonheur ?
Parfois, malgré tout ce que nous avons ou faisons, quelque chose manque.
Une joie plus profonde, une paix qui ne dépende pas des circonstances. Alors, nous essayons de combler ce vide par du confort, du divertissement, du succès…Mais ces plaisirs s’effacent vite !
Et si le bonheur ne se trouvait pas là où nous l’attendions ?
Pendant 8 jours, du 20 au 27 mars, l’application de prière Hozana propose un parcours inspirant pour cultiver un bonheur durable qui repose sur des bases solides : Dieu !
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📌 Une réflexion inspirante sur un aspect clé du bonheur
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Rupture du jeûne durant le match Angers-Monaco : la pirouette de la FFF
Selon la Fédération française de football, la rencontre a été arrêtée à la 13e minute par l’arbitre Willy Delajod après la blessure de l’Angevin Himad Abdelli. Plusieurs joueurs des deux équipes ont alors mangé et bu.
Selon un porte-parole de de la FFF, cette pause n’est en rien liée à un motif religieux, interdite par la Fédération française de football, contrairement à ce qui se pratique dans d’autres compétitions européennes telles que la Premier League au Royaume-Uni ou la Bundesliga en Allemagne. Le club d’Angers a confirmé cette version dans un communiqué :
«Nous déplorons les accusations infondées relayées par certains médias, insinuant que cette blessure aurait été feinte pour permettre la rupture du jeûne. La réalité est tout autre.»
Cambrai : un abbé de 96 ans agressé dans sa résidence par deux voleurs
Quand les bornes sont franchies, il n’y a plus de limites (Pierre Dac)
🚨[Info @frontieresmedia] À Cambrai, un abbé de 96 ans a été agressé dans sa résidence par deux individus entrés par effraction. Après l’avoir frappé au visage, scotché la bouche et ligoté à une chaise, les deux individus lui ont volé un calice, deux chéquiers et un tableau.
— Jules Laurans (@Jules_Laurans) March 17, 2025
“L’avenir appartient aux patriotes et aux nations souveraines, et non aux empires mondialistes.”
La Hongrie célébrait samedi l’anniversaire de sa révolution de 1848. Extraits du discours de Viktor Orban qu’il a lui-même publiés sur X :
En 1848, on nous appelait le passé. Ils l’ont répété en 1956. Aujourd’hui, les mondialistes répètent le même mensonge. L’histoire tourne. L’avenir appartient aux patriotes et aux nations souveraines, et non aux empires mondialistes.
They called us the past in 1848. They said it again in 1956. Now the globalists repeat the same lie. History is turning. The future belongs to patriots and sovereign nations, not to globalist empires. pic.twitter.com/cR1q4OmgWw
— Orbán Viktor (@PM_ViktorOrban) March 17, 2025
Bruxelles cherche à nous plier à sa volonté, en confisquant nos droits et en imposant son programme mondialiste. Nous refusons de céder. Au contraire, nous allons récupérer ce qui nous appartient et transformer l’UE de l’intérieur. L’histoire va changer, les comptes vont être réglés, la Hongrie tient bon !
Ce à quoi nous sommes confrontés est plus qu’un combat de la Hongrie pour la liberté : c’est un combat pour l’avenir de l’Europe. L’empire bruxellois cherche à remplacer les peuples d’Europe et à effacer nos valeurs chrétiennes. Malgré tous leurs efforts, nous les avons retenus aux frontières de la Hongrie. Mais tenir bon ne suffit pas. En tant que Patriotes pour l’Europe, nous allons repousser l’ennemi, récupérer ce qui nous appartient et façonner l’avenir de l’Europe de l’intérieur. La bataille pour l’âme du monde occidental se poursuit.
La Hongrie entre dans l’histoire avec la plus importante baisse d’impôts en Europe et dans le monde occidental ! Nous construisons la première économie familiale au monde : les mères d’un seul enfant sont exonérées d’impôt sur le revenu jusqu’à l’âge de 30 ans. Deux enfants ou plus ? Pas d’impôt sur le revenu à vie ! Assurer l’avenir des familles hongroises pour les décennies à venir.