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Culture de mort : Euthanasie / Pays : Espagne

Une “affaire Vincent Lambert” en Espagne

Une “affaire Vincent Lambert” en Espagne

Alors qu’une Espagnole de 54 ans atteinte d’une sclérose en plaque a reçu l’accord de la commission pour se faire euthanasier, sa mère s’y oppose. Par l’intermédiaire de la Fondation espagnole des avocats chrétiens, elle a porté plainte pour « incitation au suicide » contre l’hôpital public de Santiago et la commission de garantie et d’évaluation de l’euthanasie qui a approuvé la demande de sa fille.

Elle estime que les conditions légales requises pour recourir à l’euthanasie ne sont pas remplies. Selon elle, sa fille n’est pas « dans la pleine utilisation de ses facultés mentales » et « ne souffre pas de douleurs constantes et insupportables », la preuve étant qu’elle ne prend aucun médicament contre la douleur.

Informée le 1er novembre que l’euthanasie de sa fille aurait lieu le lendemain, la mère a refusé d’ouvrir aux médecins venus chercher sa fille pour l’emmener à l’hôpital.

La Fondation des avocats chrétiens qui a demandé des mesures conservatoires au tribunal soutient le fait que la mère dispose d’une procuration pour représenter sa fille.

La demande de suspendre l’euthanasie a été transmise au parquet.

Source : Gènéthique

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4 commentaires

  1. Décider ‘démiurgiquement’ de sa mise à mort mais plus encore de la date et de l’heure programmées. Cela va être un casse-tête cette programmation. Il va falloir créer des abattoirs spécialisés. On peut même imaginer : rdv, mise à mort, crémation avec recyclage du CO2, bonus écolodingo. L’industrie de la mort a de l’avenir avec les camps de concentrations des cendres. La Sécu Sociale va financer ces abattoirs car elle gagne de l’argent en économisant des soins aux vivants ‘âgés’. Je propose une subvention à mourir qui sera versée aux héritiers. On trouvera facilement le personnel motivé par le salaire de ces camps de la mort. Il y aura même des filières de médecins disposés à signer ces ‘bons de sortie’ nécessaire à l’entrée dans l’abattoir. Sans oublier la filière parallèle aiguillée vers les dons d’organes lors des morts programmées. Avocats et autres médecins charognards ! il y a du fric à se faire pour monter ces structures soutenues par la Sécurité très Sociétale. Vive la mort organisée, ses gains sonnants, ses manques à gagner.

  2. Avec une différence importante. Vincent Lambert n’a pas été en mesure de demander une euthanasie et n’avait fait qu’évoquer plusieurs années auparavant qu’il ne voulait pas survivre comme légume, ce qui est très vague. C’est sa femme qui a demandé l’euthanasie, tout en ayant une relation adultérine en Belgique.

    • Cela reste très choquant, la femme qui avait déjà “refait sa vie ” comme on dit et demandait la mise à mort de Vincent Lambert.
      Car elle bénéficiait de toutes les attentions, tandis que la mère aimante de Vincent, Madame Viviane Lambert, était exposée aux vexations.
      Pendant qu’elle plaidait pour son fils devant la Commission de l’ONU, les autres avaient déjà décidé sa mort. Viviane Lambert en est morte elle aussi.

  3. On comprend à lire l’article que la personne se trouve au domicile de sa mère. En effet, sa mère a refusé d’ouvrir sa porte aux envoyés de l’hôpital

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