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Vente de foetus : Donald Trump évoque une enquête sur Planned Parenthood

Le président Donald Trump, lors d’une réunion à la Maison Blanche avec des ambassadeurs, a répondu à une question concernant l’enquête sur les ventes potentiellement illégales de parties de bébés avortés par Planned Parenthood, en disant : « Nous allons l’examiner. »

Kristan Hawkins, présidente de Students for Life of America, a salué la déclaration de M. Trump, appelant à une action immédiate pour exclure Planned Parenthood de l’argent des contribuables.

« L’idée de tirer profit des organes de bébés avortés devrait rendre tout le monde malade jusqu’au plus profond de soi. Planned Parenthood doit être exclu et privé de TOUT l’argent des contribuables IMMÉDIATEMENT ».

La question découle d’une controverse survenue en 2015, lorsque le Center for Medical Progress a publié des vidéos montrant comment des responsables de Planned Parenthood discutaient de la vente de parties de bébés avortés, ce qui a suscité l’indignation générale des Américains favorables à l’avortement.

Les enquêtes menées à la suite des vidéos de 2015, notamment celle menée en 2016 par le House Select Investigative Panel, ont mis en évidence des violations de l’éthique par le géant de l’avortement et recommandé des poursuites pénales, mais elles n’ont pas abouti.

Planned Parenthood a toujours nié les allégations, affirmant que les dons de tissus fœtaux étaient destinés à la recherche médicale et respectaient les lois fédérales, qui autorisent le remboursement des coûts mais interdisent les profits.

25 mars – 2 avril : Neuvaine de prière à Jean Paul II à l’occasion des 20 ans de sa mort

Samedi 2 avril 2005, veille de la Miséricorde Divine, Jean Paul II nous quittait après un beau et long pontificat. Jean Paul II priait 7 heures par jours. Il a guidé l’Eglise le regard fixé sur Jésus et Marie.

Du 25 mars au 2 avril 2025, une neuvaine nous est proposée pour confier à Saint Jean Paul II tant d’intentions personnelles, de l’Eglise, du monde. Particulièrement les intentions concernant la vie et la famille. “Je voudrais que l’on se souvienne de moi comme ayant été le Pape de la famille”, aimait-il dire; Tout comme “je considère l’Evangile de la Vie comme le document central de mon pontificat”. Il nous a tant appris, tant donné !

Avec confiance, adressons-nous à Saint Jean Paul II pour recevoir de Dieu notre Père, tant de grâces.

Chaque jour une dizaine du chapelet et la prière pour la vie :

O Marie,
aurore du monde nouveau,
Mère des vivants,
nous te confions la cause de la vie:
regarde, ô Mère, le nombre immense
des enfants que l’on empêche de naître,
des pauvres pour qui la vie est rendue difficile,
des hommes et des femmes
victimes d’une violence inhumaine,
des vieillards et des malades tués
par l’indifférence
ou par une pitié fallacieuse.
Fais que ceux qui croient en ton Fils
sachent annoncer aux hommes de notre temps
avec fermeté et avec amour
l’Evangile de la vie.
Obtiens-leur la grâce de l’accueillir
comme un don toujours nouveau,
la joie de le célébrer avec reconnaissance
dans toute leur existence
et le courage d’en témoigner
avec une ténacité active, afin de construire,
avec tous les hommes de bonne volonté,
la civilisation de la vérité et de l’amour,
à la louange et à la gloire de Dieu
Créateur qui aime la vie.

Colloque sur l’Evangile de la Vie à Pau samedi 29 mars

L’Académie pour la vie du diocèse organise samedi 29 mars à Pau un colloque pour célébrer le 30ème anniversaire de l’encyclique Evangelium vitae de saint Jean Paul II, dont les intervenants sont Mgr Aillet, Mgr Laffitte,  Tugdual Derville, Jean-Marie Le Méné et Aude Dugast.

Il sera possible de suivre les interventions en direct ici.

 

90% des jeunes catholiques français prient le chapelet

SOURCE : https://leconservateur-media.fr/2025/03/25/90-des-jeunes-catholiques-prient-le-chapelet-en-france-dossier/

Face à l’augmentation des catéchumènes en particulier des jeunes qui se baptisent, qui reviennent à l’Eglise , ou de la participation des jeunes au Carême, à la messe des Cendres. (voir nos articles sur ces sujets). Nous avons voulu savoir combien d’entre eux pratiquent la prière du chapelet dont son importance ne semble pas assez mise en avant. Pour ce faire voici un sondage réalisé par Le Conservateur sur un panel de jeunes présents dans des aumôneries étudiantes, jeunes professionnels et des jeunes catholiques pratiquant en France.

90 % DES JEUNES INTERROGÉS PRIE LE CHAPELET

Nous avons posé comme première question aux jeunes interrogés s’ils prient le chapelet, en discriminant leur sexe. A notre grande surprise, femme (90%) comme homme (87%) le prie à grande majorité, 90 % des interrogés.

Sondage réalisé par Le Conservateur (voir sur le site https://leconservateur-media.fr/2025/03/25/90-des-jeunes-catholiques-prient-le-chapelet-en-france-dossier/)

Cela démontre une connaissance pour la prière du chapelet et donc une pratique de cette prière chez ces jeunes sans distinction de sexe. Afin de pousser un peu plus loin nous avons voulu connaitre la fréquence.

LES FEMMES PRIENT LE CHAPELET QUOTIDIENNEMENT

Les femmes de 18-30 ans pratiquent la prière du chapelet 1 fois par jour pour la moitié d’entre elles (50% des sondées). Nous retrouvons 20 % le faire plusieurs fois par mois et 20 % le faire 1 fois par trimestre.

Quant à ces messieurs, bien moins disciplinés que ces dames et au gré de leur envie. Ils ne sont que 14 % à le faire quotidiennement (en comparaison à 50% des femmes). Mais notons qu’ils sont 43% à avoir répondu le faire plusieurs fois par mois et quasiment 30 % à le faire au moins plusieurs fois par semaine.

Une différence de pratique qui s’explique par un élément anthropologique : Selon l’institut Pew Research Center près de 84% des femmes à travers le monde déclare appartenir à une religion, contre 80% des hommes. Cette différence de 4%, représenterait près de 97 millions de croyantes supplémentaires, une différence non négligeable. De cette information il nous est possible de penser que les femmes ont un rapport plus particulier à la foi et sa pratique. Toujours selon cet institut, les femmes sont plus nombreuses que les hommes à revendiquer que la foi est « très importante » dans leur vie. C’est donc sans surprise qu’elles sont une majorité à prier le chapelet tous les jours comparé aux hommes. Pour autant les résultats globaux démontrent une ferveur et un goût pour la prière du chapelet tout sexe confondu.

IMPACT DU COURANT DE L’EGLISE ?

Suite à notre précédent article sur l’engouement des jeunes pour la messe en latin et leur besoin de retour à la tradition (voir notre article). Nous avons approfondi notre étude afin de savoir si le courant liturgique impact la pratique de la prière du chapelet et notamment sa fréquence.

Ci-dessous le résultat du sondage à la question de l’identification du rite/liturgie atteste le constat dressé dans notre précédent article (voir notre article). Les jeunes ne sont plus attirés par les courants charismatiques et progressistes qui semblent être désuets, rappelant la France soixante-huitarde avec sa population que cherche à fuir la jeunesse qui retourne vers l’Eglise pour puiser l’exigence, la rigueur, le cadrage, l’identité et la transcendance qu’apporte la rencontre avec le Christ. C’est donc sans étonnement que nous retrouvons la moitié de notre panel (homme/femme) dans le rite tridentin. Les jeunes tradis —NDLR: intégristes titreraient d’autres médias #humour— sont-ils plus assidus à la prière du chapelet ?

Oui. 83 % des femmes qui nous ont déclaré être du rite tridentin font le chapelet 1 fois par jour et les 17% des femmes restantes le font plusieurs fois par semaine. Aucune d’entre elles n’a répondu autre que ces deux réponses. Quant aux hommes tradi interrogés, ils sont 90% à faire le chapelet plusieurs fois par mois. Nous constatons une différence avec ceux qui se revendiquent « classique« . Elles ne sont que 33 % des jeunes femmes interrogées à faire le chapelet quotidiennement, 42 % d’entre elles déclarent le faire plusieurs fois par mois ou semaine et les 25 % restantes tous les trimestres. Ces jeunes messieurs « classique » sont divisés en deux moitiés, l’une prie le chapelet au trimestre et l’autre plusieurs fois par mois ou semaine. Les 5% des femmes d’un mouvement plus progressiste déclarent le faire plusieurs fois par mois.

IMPACT DE L’ÉDUCATION RELIGIEUSE ?

Enfin il est intéressant de regarder le milieu où ont grandi notre jeune panel catholique. Homme comme femme, à part quasi égale, sont 35-38% d’entre eux nés dans une famille n’étant pas pratiquante. Ils sont des recommençant baptisés, des nouveaux baptisés ou simplement des catéchumènes. Toujours indifféremment du sexe ils sont entre 65-62% à venir d’une famille catholique pratiquante. Mais est-ce que cela à un incident sur la prière du chapelet ?

Une fois de plus, oui. Tout sexe confondu, 75 % des jeunes catholiques déclarant être proche de la messe tridentine sont issus de famille pratiquante, élevé dans le dogme de l’Eglise. Ils sont 83% à prier quotidiennement ou plusieurs fois par semaine le chapelet. Mais 57 % des jeunes qui prient le rosaire tous les jours ou plusieurs fois hebdomadairement n’ont pas grandis dans des familles pratiquantes.

EN GÉNÉRAL ? ET DANS LE MONDE ?

Les statistiques sur la récitation du chapelet varient selon les régions et les époques. Une étude menée par le Pew Research Center en 2018 révélait qu’environ 30 % des catholiques pratiquants aux États-Unis récitent régulièrement le chapelet. Cependant, dans certains pays comme le Portugal, la Pologne ou le Mexique, où la dévotion mariale est particulièrement forte, ce pourcentage peut être plus élevé. En France, la pratique est plus marginale, bien que certaines communautés continuent à réciter le rosaire de manière régulière, notamment dans le sud du pays où le culte mariale est très présent. — NDLR: Quid de Lourdes, Sainte-Marie de la Mer, la Bonne Mère…—.

POURQUOI LA PRIÈRE DU CHAPELET EST IMPORTANTE ?

La prière du chapelet est considérée comme un moyen puissant d’intercession et de méditation. — NDLR: Un prête nous avez confié que c’est une arme atomique qu’on avait dans la poche, à se servir pour combattre le mal.—Elle permet des grâces spirituelles et même à des indulgences. Depuis l’époque de Léon XIII (fin du XIXe siècle), plusieurs papes ont encouragé cette pratique. Saint Jean-Paul II, dans sa lettre Rosarium Virginis Mariae (2002), a ajouté les « mystères lumineux » pour enrichir la méditation du rosaire. Il insistait sur son importance en déclarant :

« Sans la méditation de l’Évangile, la prière du rosaire n’a pas de sens. » (Rosarium Virginis Mariae, 2002) .
Léon XIII considérait également le rosaire comme une prière capitale pour l’Église :

« Nous mettons dans le Rosaire la plus grande espérance. Plaise à Dieu que cette sainte pratique de piété soit partout rétablie dans son antique honneur » (Jucunda Semper, 1894)
Saint Pie X recommandait aussi cette prière comme une arme spirituelle :
« Le Rosaire est la prière la plus belle et la plus riche en grâces parmi toutes les prières après la Messe » .
ORIGINE DU CHAPELET

Le chapelet est une prière mariale ancienne, étroitement liée à la méditation de la vie du Christ. Son origine remonte au XIIIe siècle avec Saint Dominique, fondateur des Dominicains. Dans la tradition de l’Eglise, la Vierge Marie lui à révélé cette prière comme un moyen efficace de lutter contre l’hérésie albigeoise 1. Le chapelet était alors appelé Psautier de la Vierge, car il comportait 150 Ave Maria en référence aux 150 psaumes bibliques. Ce n’est qu’au XVe siècle, grâce au dominicain Alain de la Roche, que le chapelet a pris la forme du rosaire que nous connaissons aujourd’hui, comprenant la méditation des mystères de la vie du Christ.

1. 145 Le cistercien Bernard de Clairvaux organise une mission de prédication à Toulouse et dans l’Albigeois . Il découvre à Verfeil une dissidence religieuse qui revendique une filiation apostolique et rejette les sacrements de l’Église. Il la nomme l’hérésie des « albigeois ». Laurent ALBARET, enseignant A.T.E.R. à l’université d’Artois, doctorant à l’université de Lyon-II-Lumière, président du Centre de valorisation du patrimoine médiéval

EN RÉSUMÉ

La fine analyse de feu Sa Sainteté Benoît XVI est validée par ce sondage. 90% des jeunes de 18-30 ans pratiquent la prière du chapelet et régulièrement dans son ensemble. De manière générale la jeune génération à compris d’elle-même la puissance de cette prière, comme le démontre cette étude, il ne suffit pas d’être élevé dans une famille catholique pratiquante pour trouver de la ferveur à la prière du chapelet.

Limite de l’étude : À noter qu’une majorité de femmes qui se revendiquent tradi prie le chapelet quotidiennement, cela a un impact sur les chiffres globaux de l’étude. Il faut ajouter que plus de la majorité des membres de notre panel sont originaires ou vivent dans le sud de la France où la dévotion mariale est présente comme mentionné plus haut. Enfin les jeunes nous ont confié par rapport à la fréquence de la prière du chapelet que le calendrier ou la période liturgique influence fortement cette prière. Ils auront tendance à plus prier le chapelet en Carême que pendant le mois de juillet par exemple.

« Le Rosaire est sans aucun doute un des signes les plus éloquents de l’amour que les jeunes générations nourrissent pour Jésus et pour sa mère Marie. » Benoît XVI

Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.

30 ans de l’Encyclique de Jean Paul II, l’Evangile de la Vie sur la beauté de l’amour humain

Aujourd’hui, il y a 2025 ans, un événement considérable, qui a changé la face du monde s’est produit.

Un Evénement-Avènement : la conception de Jésus dans le sein de la Vierge Marie.

“Et Verbum caro factum est !”

Dieu notre Père envoie son Fils unique pour nous sauver, pour nous racheter de nos péchés. Pour sauver nos âmes et nous ouvrir la Porte de la Vie Eternelle.

Aujourd’hui, 25 mars 2025, journée-coeur de l’Année Sainte de l’Incarnation que nous vivons.

Aujourd’hui, 25 mars 2025, 2025ème Journée mondiale de l’enfant à naître.

Aujourd’hui, 25 mars 2025, nous fêtons les 30 ans de l’Encyclique de Jean Paul II, l’Evangile de la Vie sur la beauté de l’amour humain, la beauté du don de la vie et ses exigences pour que ce don soit accueilli, vécu, défendu, protégé depuis ce premier instant de la conception, jusqu’à son entrée dans la gloire, pour chaque être humain.

Jean Paul II invite à une grande prière pour la vie ; un réveil et une mobilisation générale des consciences ; encourage à se former face aux défis de ce monde dans lequel nous vivons ; à nous engager concrètement par une charité inventive et audacieuse, au service de la vie humaine.

Il dira lui-même que l’Evangile de la Vie est “le document central de mon pontificat”

Et bientôt, prions pour cela, que la solennité de l’Annonciation soit élevée à une fête d’obligation.

Source : Evangile de la vie

La Petite maison dans la prairie sur Netflix : tout ce qu’il faut savoir

SOURCE : https://leconservateur-media.fr/2025/03/24/reboot-la-petite-maison-dans-la-prairie-netflix-tout-ce-quil-faut-savoir/

LA PETITE MAISON DANS LA PRAIRIE FAIT SON GRAND RETOUR SUR NETFLIX

Netflix a confirmé qu’un reboot* de La Petite Maison dans la Prairie était en préparation. Cette nouvelle version modernisée de la série culte sera produite par CBS Studios en collaboration avec Anonymous Content Studios. L’objectif est de revisiter les aventures de la famille Ingalls avec « un regard contemporain », tout en conservant l’esprit familial et optimiste qui a marqué des générations de téléspectateurs. —NDLR : Aï ! On sent tous venir le coup—

*Reboot : Un reboot ou redémarrage est une nouvelle version d’une série de films, de jeux vidéo ou d’une série télévisée.

UNE ADAPTATION FIDÈLE MAIS MODERNISÉE

Le projet sera dirigé par Rebecca Sonnenshine, scénariste connue pour The Boys et Vampire Diaries. Elle a exprimé son enthousiasme à l’idée de revisiter cette histoire, ayant été inspirée par les livres de Laura Ingalls Wilder dès son enfance. Trip Friendly, fils du producteur original de la série, est également impliqué et souhaite adapter cette œuvre emblématique pour le public du XXIe siècle . Espérons échapper à une catastrophe anachronique woke comme La Chronique des Bridgerton.

UNE SÉRIE TOUJOURS POPULAIRE

Depuis sa diffusion initiale entre 1974 et 1983, la série a conquis un large public à travers le monde. Avec 205 épisodes, elle a été traduite en 27 langues et vendue à 73 millions d’exemplaires. En 2024, elle cumulait encore plus de 13 milliards de minutes visionnées sur des plateformes de streaming, prouvant son succès intemporel. Un sacré défi à relever avec une réadaptation à la sauce 2025.

DES ATTENTES ÉLEVÉES

Le casting n’a pas encore été révélé, mais Netflix promet une adaptation à la fois respectueuse de l’œuvre originale et ancrée dans des thématiques actuelles. Les spectateurs nostalgiques espèrent retrouver l’authenticité et les valeurs de la série d’origine, tandis que les nouvelles générations découvriront cette fresque historique revisitée. Prions !

L’attente est donc immense pour ce retour qui devrait marquer une nouvelle ère pour La Petite Maison dans la Prairie. Reste à voir comment Netflix parviendra à séduire à la fois les anciens fans et le nouveau public !

Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.

Remise du prix 2025 de l’association des chevaliers pontificaux à CAP DSE

Lu sur le site des Chevaliers pontificaux :

En 2021 l’association des Chevaliers pontificaux a ajouté à ses objectifs statutaires la diffusion des enseignements des Papes, en particulier à travers la diffusion et la mise en œuvre de la Doctrine Sociale de l’Église. Pour répondre à cet objectif, l’association a soutenu en 2022 un certain nombre de projets pilotes, puis a créé en 2023 le “Prix des chevaliers pontificaux”. Ce prix a pour caractéristique de reconnaître des initiatives qui insistent sur la formation, sur la démultiplication, et qui contribuent ainsi à l’évangélisation par la Doctrine Sociale de l’Église, comme le disait Saint Jean-Paul II.

La première édition, en 2023, a récompensé plusieurs lauréats : l’association “Ora et Labora” (promotion de la finance éthique), l’association ICHTUS, les associations “SOS Calvaires” et “Le Rocher – Roubaix”. En 2024, le prix a été remis à “Parcours Zachée”, organe de formation et de promotion de la Doctrine Sociale de l’Église.

Pour le prix 2025 notre Jury a décidé de reconnaître l’initiative Cap DSE, lancée en 2020 par la Confédération Nationale des Associations Familiales Catholiques, confédération qui à travers les associations locales regroupe aujourd’hui 50 000 familles.

Lors de la remise du prix 2025 l’initiative Cap DSE, a été représentée par deux vice-présidents de la Confédération Nationale des Associations Familiales Catholiques, M. Jean-Joseph Bodet et M. Antoine Harmel, ce dernier au titre spécial de l’AFC de Chartres, exemple de mise en œuvre de ce cycle de formation.

Les 2 vice-présidents des AFC, MM. Harmel et Bodet

En présence de Mgr Migliore, Nonce apostolique en France, le président de l’association des Chevaliers pontificaux, le général Jean-Pierre Beaulieu, a remis à M. Bodet un trophée-souvenir aux armes des Chevaliers pontificaux, et à M. Harmel un chèque pour aider l’AFC de Chartres dans son action au service de la Doctrine Sociale de l’Eglise.

Allocution du nonce apostolique

Robert F. Kennedy accueille des enfants porteurs de la trisomie à l’occasion de la Journée mondiale de la trisomie 21

Robert F. Kennedy Jr., secrétaire d’État à la santé et aux services sociaux, a célébré la Journée mondiale de la trisomie 21 en organisant dans ses locaux une manifestation en faveur des enfants nés avec un chromosome supplémentaire, délivrant ainsi à la nation un message pro-vie sans équivoque et sans complaisance.

« Ce fut une joie de passer du temps avec tant d’enfants et de familles merveilleux qui sont venus à HHS pour nous rendre visite, Cheryl et moi ». « Votre force, votre amour et votre joie sont une véritable source d’inspiration.

« Nous aimons ces enfants », a déclaré Mme Kennedy dans une vidéo publiée sur X. »Ils sont incroyablement adorables et précieux. »

« Notre travail ici à HHS est de nous assurer que ces enfants réalisent tout leur potentiel », a déclaré M. Kennedy.

Une mère a déclaré :

« Ces enfants sont une telle joie. Ils apportent tellement à votre vie ». « Ils enrichissent votre vie de tant de façons.

Une autre :

« Aux femmes enceintes qui attendent un enfant trisomique, je dirais simplement : vous allez vivre un voyage incroyable ».

Une troisième :

« N’ayez pas peur ». « C’est une vie pleine de joies inattendues.

Un père :

« Cette administration soutient vraiment les personnes handicapées et leurs familles et comprend vraiment certaines des difficultés que nous rencontrons et les aides dont nous avons besoin ».

Anna Lulis, militante pro-vie, a félicité Mme Kennedy pour avoir « humanisé [les enfants] dans l’un des endroits les plus importants de la planète ».

Défendez la vie avec SOS Tout-Petits

COMMUNIQUE DE SOS TOUT-PETITS

Le samedi 5 avril à 11 h. en l’église Saint Eugène-Sainte Cécile, 4 rue du Conservatoire, Paris (9 ème), une messe sera célébrée par Monsieur l’abbé Guy Pagès

  • pour le Docteur Xavier DOR, Président d’honneur et fondateur de SOS Tout-Petits décédé le 4 avril 2020
  • et pour le Docteur Luc PERREL, son vice-président décédé le 26 octobre 2017

Nous aurons aussi comme intentions particulières la défense de la Vie humaine dès la conception et la persévérance de tous ceux qui militent pour cette cause, en particulier SOS Tout-Petits.

Chacun est invité à assister ou à s’unir par la prière à cette messe.

Prochains Rosaires et Chapelets de SOS Tout-Petits :

  • Chapelet le vendredi 4 avril à 18:00 à Maisons-Laffitte, en face de la mairie, av. de Longueil (près du RER) ( 5 ème anniversaire du décès du Docteur Dor)
  • Rosaire le samedi 5 avril à 14:30 à Paris, au croisement Montparnasse-Observatoire (RER B Port-Royal) (le jour même de la messe)
  • Chapelet le vendredi 16 mai à 18:00 à Versailles, Place du Marché, croisement rue de la Paroisse – Maréchal Foch
  • Rosaire le samedi 24 mai à 14:30 à Paris au croisement Montparnasse-Observatoire (RER B Port-Royal)

« L’avortement et l’infanticide sont des crimes abominables » (Vatican II Gaudium et spes)

Pitié pour les femmes enceintes qu’on pousse à l’avortement au lieu de les secourir !

« Je vous le dis : quiconque se sera déclaré pour moi devant les hommes, le Fils de l’homme aussi se déclarera pour lui devant les anges de Dieu… » (St Luc 12-8)

Algérie : Emmanuel Macron cède tout et humilie Bruno Retailleau

Dans Le Figaro, on apprend que le président algérien oppose Emmanuel Macron et son gouvernement :

Dans un entretien avec des journalistes de médias publics, retransmis samedi soir à la télévision algérienne, le président Abdelmadjid Tebboune a qualifié la situation politique en France de « brouhaha », de « capharnaüm », et a tenu à l’isoler de sa relation avec Emmanuel Macron, « son unique point de repère ».

L’affaire semble se résoudre avec le concours de l’imam de la Grande Mosquée de Paris :

Jean-Noël Barrot s’est rendu à l’iftar de la Grande Mosquée de Paris , à l’invitation de son recteur, Chems-Eddine Hafiz, aujourd’hui sorte d’ambassadeur informel depuis le retrait de l’ambassadeur d’Algérie à Paris en juillet.

Mais la France recule sur tous les sujets :

La suspension des accords de 2007, annoncée par Bruno Retailleau le 17 mars comme une étape de « réponse graduée » contre Alger, n’est d’ailleurs toujours pas entrée en vigueur. L’exemption des visas pour les détenteurs de passeports diplomatiques et de service repose sur un accord intergouvernemental, qui ne peut être suspendu de manière unilatérale. Le ministère des Affaires étrangères doit notifier à l’Algérie sa décision. Alger n’a encore rien reçu.

Quant à l’expulsion des clandestins et autres OQTF, on n’en parle même plus :

Il va notamment être difficile de remettre sur la table  la liste des ressortissants algériens  en situation illégale en France que Paris voudrait expulser vers l’Algérie.

Le “fait religieux”

Admirez le choix de l’image par BFM pour illustrer l’islamisation :

 

Euthanasies en hausse, aussi aux Pays Bas

Aux Pays-Bas, 9 958 personnes sont décédées par euthanasie en 2024, ce qui représente une augmentation de 9% par rapport à l’année 2023, selon les données des comités de suivi régionaux. Ainsi, les euthanasies ont représenté 5,9% de l’ensemble des décès en 2024 quand ce taux était de 5,4% l’année précédente.

En 2024, 427 patients atteints de démence ont été euthanasiés. En outre, 219 cas ont concerné des personnes atteintes d’« un ou plusieurs problèmes psychiatriques ». Parmi eux, une était mineure et 30 autres avaient moins de 30 ans. En 2023, on avait recensé 138.

L’augmentation des euthanasies chez les jeunes adultes est une « source d’inquiétude » ces dernières années. L’année dernière, le parti de coalition NSC a demandé une enquête sur le nombre croissant de demandes d’euthanasie émanant de personnes souffrant de problèmes de santé mentale, « en particulier de jeunes femmes ».

A peine sortis de garde à vue, deux mis en cause à nouveau arrêtés

Les médias ont beaucoup parlé de ce refus d’obtempérer à Paris ce week-end qui a fait 13 blessés dont 10 policiers. Les images spectaculaires semblent sortir d’un film de Luc Besson.

On apprend aujourd’hui que “deux des trois mis en cause à nouveau arrêtés”.

Les deux hommes ont été contrôlés rue Notre-Dame-des-Champs (VIe), alors que le conducteur roulait sans permis. Il sortait à peine de sa garde à vue, après s’être rendu responsable du spectaculaire carambolage de samedi. Ils étaient, à eux deux, en possession de 1500 euros en liquide.

Qui les a laissés ressortir aussi vite ?

Manifestation à Nîmes : l’extrême-droite mais pas que…

SOURCE DU SITE : https://leconservateur-media.fr/2025/03/24/manifestation-a-nimes-lextreme-droite-mais-pas-que/

Ce samedi 22 mars 2025, plusieurs centaines de manifestants (600 environ) se sont rassemblés à Nîmes pour une marche contre « l’extrême droite », le racisme et le fascisme. L’événement a été organisé par un collectif regroupant 48 associations, syndicats et partis politiques d’extreme-gauche, dont la Ligue des droits de l’Homme, Amnesty International, la CGT, la FSU, Europe Écologie-Les Verts, La France Insoumise, le Parti Socialiste et le Parti Communiste .

La manifestation a débuté à 14h30 sur la place de la Maison Carrée, avec un cortège qui a défilé à travers le centre-ville en scandant des slogans contre le député Gardois Yoann GILLET. Le plus choquant été l’appel au meurtre de Jordan BARDELLA « BARDELLA au feu, le RN au milieu« .

Nous avons essayé de comprendre comment ils comptaient « dégager » l’extrême droite, comme inscrit sur leurs pancartes, en leur posant directement la question. Les réponses sont systématiquement les mêmes « par les urnes »; « Mélenchon au pouvoir »; « interdire Cnews »; « rééduquer les électeurs du RN qui sont pauvres et n’ont pas l’intelligence de comprendre que l’immigration n’est pas un problème, c’est le grand capital ».

Quand on les interroge, ils nous parlent peu de l’extrême-droite ou de la motivation de cette manifestation, en revanche des sujets marronniers reviennent chez les militants comme le pouvoir d’achat, les services publics menacés, « le grand capital ».

Retrouvez notre reportage sur Youtube ⤵️

https://youtu.be/FIEuPI_jo4s

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Le divorce et l’esprit soixante huitard en procès dans Le Monde

Décidément, l’idéologie Mai 68 s’effondre. Le quotidien Le Monde dresse le portrait de situations devenues banales :

« J’ai grandi comme beaucoup d’enfants de parents divorcés de ma génération : mon frère cadet et moi habitions chez notre mère et voyions notre père un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires. Il habitait Paris, et nous avions l’habitude de prendre le train pour parcourir les 300 kilomètres qui nous séparaient de lui.

Mon père multipliait les relations amoureuses avec des femmes sans rien nous cacher, je dirais même sans rien nous épargner. Je me souviens d’une semaine à la Toussaint où mon frère et moi étions allés chez lui. Il habitait un studio de 25 mètres carrés dans lequel il était difficile de nous accueillir, nous y étions trop à l’étroit. Pendant ces vacances, chaque soir, nous allions dormir dans un endroit différent. Nous étions comme des petits paquets qu’il trimballait.

Quand j’étais jeune adolescente, il fréquentait depuis un certain temps une femme qui avait une fille de mon âge. Pour lui, il allait de soi que nous serions copines. Or cette fille m’angoissait beaucoup. Elle était terriblement hostile et agressive vis-à-vis de moi. Je crois qu’elle était jalouse parce que sa situation familiale était compliquée ; elle me semblait souffrir de gros problèmes psychologiques. Mais c’était le cadet des soucis de mon père, qui avait estimé que c’était une bonne idée de nous inscrire en colonie de vacances ensemble un été. Ce fut tellement difficile et douloureux pour moi que je suis partie avant la fin.

Pour Noël, cette année-là, mon frère cadet et moi prenons le train afin de rejoindre notre père à Paris. Nous avons 13 et 11 ans. Il vient nous chercher à la gare et nous montons dans sa voiture. Nous lui demandons le programme des vacances, ce qu’il a prévu, ce que nous allons faire : il n’en sait rien. C’est à chaque fois pareil. […] Le 24 dans l’après-midi, nous ne savons toujours pas ce que nous allons faire pour le réveillon. Il ne nous a rien dit. Pour des enfants, Noël, c’est important… Je sens bien qu’il n’ose pas aborder la question. A 18 heures, l’air penaud, il nous annonce : « Bon, on y va. » Chez elle. Il nous fait comprendre qu’il n’a pas le choix. Il est comme incapable de se dépatouiller de ce dilemme, de choisir entre cette femme et ses propres enfants. Il se comporte comme un gamin, et nous met, nous, enfants, devant ses problèmes d’adulte.

Je redis non. Je ne me souviens pas de mes mots, mais j’affirme clairement que je n’irai pas. Je me souviens du visage de mon frère, 11 ans à l’époque, perplexe, pris entre sa sœur et son père, deux personnes auxquelles il tient. […] Je rentre dans le studio de mon père après le dîner, seule. Je dois dormir ici, sans personne, la nuit de Noël. Je ressens une très grande solitude, et je décide tout de suite que je partirai le lendemain matin. […]

Mes parents ont grandi avec les idéaux de Mai 1968. Ils ont voulu à raison casser les codes, tenter de nouvelles formes d’amour. Je les respecte immensément pour leurs combats politiques, et j’ai hérité d’eux de nombreuses convictions. Mais, dans le cas de mon père, le prix à payer était trop élevé. Il ne savait pas poser de frontières entre son monde d’adulte et le nôtre. Tout était mélangé, brouillé. […]

Découvrez un extrait du thriller psychologique Nefarious

A l’occasion de la sortie évènementielle du film Nefarious au cinéma sur 2 dates uniques les 28 et 30 mars, voici un extrait du film.

Voici le commentaire de Bruno de Seguins Pazzis :

Une prison dans l’Etat de l’Oklahoma. Le jour de son exécution, Edward Wayne Brady, un tueur en série condamné à la chaise électrique subit une dernière évaluation psychiatrique par le docteur James Martin au cours de laquelle il révèle être possédé par un démon. Il affirme qu’avant la fin de la journée, le psychiatre aura lui- même commis trois meurtres…

Avec : Sean Patrick Flanery (Edward Wayne Brady et Nefariamus / « Nefarious »), Jordan Belfi (Dr James Martin), Tom Ohmer (le directeur de la prisonTom Moss), Glenn Beck (Glenn Beck), Daniel Martin Berkey (le père Louis), Mark De Alessandro (Dr Alan Fischer),Cameron Arnett (l’administrateur Styles), James Healy Jr. (le gardien de la porte), Sarah Hernandez (le caporal Mendez), Jarret LeMaster (l’officier Wilson), Grifon Aldren (le sergent Wilborn), Eric Hanson (l’assistant du directeur Anderson), Stelio Savante (le détective Russo), Robert Peters (le Dr Stewart), Tina Toner (Renee Davenport), Maura Corsini (Melanie Carter). Scénario : Cary Solomon et Chuck Konzelman d’après le roman « A Nefariuos Plot » de Steve Deace. Directeur de la photographie : Jason Head. Musique : Bryan E. Miller.

Au cœur du combat eschatologique…

Les scénaristes et réalisateurs Cary Solomon et Chuck Konzelman auxquels on doit Unplanned 2019, une magistrale démonstration de l’horreur qu’est l’avortement, se livrent avec Nefarious à un exercice assez surprenant. S’agissant de disserter sur l’existence du diable au travers de quelques exemples qui marquent notre époque, ils convoquent à cet effet le genre du « thriller et même celui du film d’horreur. Précisons toutefois que ces thèmes modernes apportent une profondeur que l’on ne trouve généralement pas dans les films de possession. Il faut admettre le résultat est assez percutant et convaincant même si ce n’est pas sans quelques défauts. La manière de pointer et de traiter les péchés phares de notre époque est brillante parmi lesquels l’euthanasie et l’avortement, Des péchés qui amènent à une réflexion sur la présence de la mort dans les sociétés contemporaines. Le film peine un peu dans une première partie très riche, trop riche sans doute, en dialogues qui sont également très rapides, ce qui peut rendre le suivi un peu difficile en sus d’un côté répétitif qui ralentit le rythme du film. Mais c’est à peu près le seul défaut majeur du film car le récit avançant, le spectateur est de plus « scotché » devant un affrontement qui s’intensifie progressivement et qui illustre l’histoire séculaire de la lutte entre le bien et le mal jusqu’à un « twist » final plutôt brillant qui lance à la figure du spectateur l’avertissement que cette guerre entre le bien et le mal ne se termine jamais du moins pas avant la fin des temps.

S’agissant d’un quasi huis-clos, la qualité de l’interprétation est essentiel et Jordan Belfi et Sean Patrick Flanery, des comédiens peu connus en Europe, remplissent parfaitement le contrat avec une mention spécial pour Sean Patrick Flanery dont le rôle est plus complexe qu’il n’y parait s’agissant de changer de personnalité durant la confrontation selon qu’il est dans un moment où il est ou non possédé. Avec ce personnage les cinéastes transcendent la représentation typique d’un démon. Il incarne une malveillance ancienne et intelligente dotée d’une profonde
compréhension de la nature humaine et de la moralité. Ce démon n’est pas seulement une présence chaotique ; il corrompt subtilement ses victimes, ciblant leur âme et leur état psychologique. Comme on le voit à travers sa manipulation de Brady, Nefarious exploite efficacement les vulnérabilités du docteur James Martin Martin, obligeant les personnages et le public à affronter leurs peurs les plus sombres et leurs dilemmes moraux. De son côté le personnage du docteur James Martin représente une perspective rationnelle juxtaposée à l’influence chaotique de Nefarious, forçant le spectateur à une réflexion plus large sur l’intersection entre la foi et la science.

Distrayant et prenant par son côté « thriller », intelligent par la modernité de son appréhension du mal, Nefarious est un film chrétien qu’il faut voir et encourager, avec toutefois une réserve pour les plus jeune en raison d’une séquence difficilement supportable, celle de l’exécution du condamné. Suspense psychologique et réflexion théologique.

Nul Monseigneur Liénart pour hurler que l’on incite au mal ? Nul Premier ministre pour dissoudre LFI ?

De Bertrand du Boullay à propos de l’affiche de LFI caricaturant Cyril Hanouna :

Je fais partie de la génération qui fut instruite des abominations nazies. J’ai lu des livres innombrables à ce sujet. Je fus aussi instruit sur la façon dont s’y prirent les dirigeants de ce parti politique pour faire monter l’antisémitisme dans la population allemande : ces caricatures infâmes dans la droite ligne de celles du XIXe en France, notamment durant l’affaire Dreyfus, mais pas que…

Je ne peux, dès lors, qu’être effrayé que des gens en 2025 osent reprendre à leur compte cette façon de représenter « le juif », car c’est cela qui est en jeu. On me dit qu’en sus d’Hanouna, d’autres furent caricaturés par LFI, comme Pascal Praud par exemple… Pardon… Mais cela n’a rien à voir ! Aucun de ses traits n’a été forcé. Il apparaît sous un jour peu sympathique mais rien de plus. Alors qu’Hanouna voit son faciès déformé d’une façon non équivoque : c’est le juif à honnir, comme l’était le juif de l’Allemagne nazie.

Alors qu’importent les excuses d’un parti qui fit explicitement appel aux musulmans vivant en France lors des dernières élections. Oui, peu m’importe que ces gens-là s’auto-excusent ou pas. Peu m’importe même qu’Hanouna obtienne réparation et que l’affiche soit déclarée antisémite par l’Injustice républicaine. Ce qui me fait hurler est que cette affiche puisse exister et qu’on la voie sans doute dans les rues ce samedi.

Elle me fait hurler car, en la montrant, on réveille ou l’on crée un antisémitisme que je vois comme insoutenable. Insupportable ! Le risque n’est bien sûr pas de développer des sentiments anti-juifs chez les adeptes de la religion de Mahomet, car il leur est intrinsèque. Le risque est, bien sûr, de les développer chez certains Français qui ont eu maille à partir un jour dans leur vie avec un tenant de la religion mosaïque. Ou de l’encourager au sein d’une certaine aristocratie et de milieux catholiques au sein desquels il restait enfoui… mais en veille.

Oui, diffuser cette affiche c’est accroître l’antisémitisme et surtout inciter à le mettre en œuvre. J’apprends jeudi soir qu’un attentat fut commis hier contre l’hypermarché cacher de Vincennes… Cette affiche en est directement la cause ! Alors peu m’importent les excuses de Mélenchon ou leur absence. Je ne leur pardonnerai jamais de réveiller l’antisémitisme ! De le faire comme Gœbbels le fit. De conduire des gens que je vomirais à brûler des commerces ou des lieux revendiqués comme juifs, et bientôt peut-être de brûler du juif tout court…

Alors monte ma colère quand tout le monde s’en fiche ! Eh, quoi ? Nul monseigneur Liénart pour hurler que l’on incite au mal ? Nul président pour dire l’horreur que lui suscite cette affiche, et pour guider le peuple ? Nul Premier ministre pour dissoudre LFI ? Nul ministre de la Justice, de la Culture ou de l’Éducation pour faire interdire cette affiche ? Nul appel d’une autorité médiatique, sociologique, philosophique religieuse ou profane pour descendre dans la rue demain contre cette explicite incitation à la haine ? C’était bien la peine de se soulever contre Carpentras… Piètres êtes-vous ! Lâches êtes-vous…

Dieu vomit les tièdes !

Bertrand du Boullay

Gérald Darmanin, imam de la République

Dans un long entretien au JDD, essentiellement consacré aux prisons (“Nous avons, en France, quelque 82 000 détenus pour 62 000 places”) et à la délinquance, notamment des étrangers “plus de 19 000 détenus étrangers, soit 24,5 % de la population carcérale“), Gérald Darmanin se fait interprète officiel de l’islam et donc imam :

En aucun cas il ne faut confondre l’islam, immense religion, profondément respectable et l’islamisme qui veut la fin de notre civilisation pour lequel on ne peut avoir aucune faiblesse. […] Les prescriptions de l’islam sont très claires : on s’adapte au pays dans lequel on vit. […] Comme tous les croyants, les musulmans croient en la famille, au respect des règles. Ils devraient soutenir ou voter pour des mouvements politiques de droite, qui sont eux conservateurs et en soutien à l’économie de marché.

A quel endroit se situe donc le curseur entre islam et islamisme ?

En 2024, les étrangers représentent 8 % de la population française, mais ils sont responsables de 13 % des violences sexuelles, 18 % des homicides, 27 % des vols violents et 38 % des cambriolages.

Suite aux déficits, même un département de gauche commence à baisser les subventions à la culture

Les départements sont exsangues. Pour rappel, les mineurs isolés étrangers leur coûtent 2 milliards par an.

Le département d’Ille-et-Vilaine, pourtant à gauche, va baisser ses subventions à la culture et au sport de 50 % cette année, afin de préserver sa capacité d’investissement et continuer de financer les politiques sur le handicap ou la protection de l’enfance. Les festivals, salles de concert ou encore les clubs sportifs vont devoir se serrer la ceinture. Le conseil départemental a mis sur pied un plan d’économies de 30 millions d’euros. L’effondrement du marché immobilier a plongé les finances dans le rouge. Dans le même temps, les dépenses sur le handicap continuent d’augmenter sous l’effet du vieillissement de la population.

L’entretien des routes sera diminué, les salaires sont gelés et les agents absents ne seront pas remplacés. 50 % des subventions versées dans les secteurs du sport et de la culture sont supprimées. Le théâtre national de Bretagne, l’Antipode, les Trans Musicales, les autres festivals, les radios associatives, les clubs sportifs vont tous voir leurs subventions à la baisse.

Ce budget sera examiné en session du 19 au 21 mars par l’ensemble des élus du département. Le conseil départemental n’a plus d’épargne, contre 110 millions d’euros d’épargne il y a deux ans.


Trisomie 21 : l’hypocrisie woke

Prête à défendre les quêtes identitaires les plus étranges, soucieuse de lutter contre le “racisme d’extrême-droite”, l’idéologie woke s’est montrée, une fois encore, tout à fait silencieuse à l’occasion de la journée mondiale de la trisomie 21, le 21 mars dernier. N’y aurait-il pas pourtant à ce sujet des injustices à réparer et des petits à défendre ? Voici ce qu’écrit le père Danziec dans Valeurs Actuelles :

Le cinéaste-acteur Artus avait dit d’eux qu’ils possédaient « un p’tit truc en plus ». Son film éponyme, sorti le 1er mai 2024, rencontra – à la surprise générale – un immense succès populaire. Et bien que reparti bredouille de la soirée des César, son titre de gloire est plus précieux que n’importe quel trophée : 10,8 millions. Comme le nombre de spectateurs qui s’est laissé toucher par les aventures de trisomiques en colonie de vacances. « Un p’tit truc en plus », la formule est heureuse et, scientifiquement ajustée. En effet, un être humain possède, normalement, 46 chromosomes dans chacune de ses cellules, organisés en 23 paires. Dans le cas de la trisomie 21, une exception survient, puisqu’un chromosome supplémentaire apparaît. Les personnes atteintes possèdent alors 47 chromosomes, en l’occurrence trois copies du chromosome 21, au lieu de deux. Le fameux « p’tit truc en plus »…

Le wokisme, au mépris de la nature humaine

Nous savons que la pensée woke censure ses détracteurs, telle la suspension de la parution de l’ouvrage collectif Face à l’obscurantisme woke (PUF), notamment sous la pression de l’historien-artificier de la cérémonie d’ouverture des derniers Jeux Olympiques, Patrick Boucheron. Nous oublions peut-être trop rapidement cependant que la défense woke de la multiplicité des identités de genre confine parfois au grotesque. En juin 2018, sur le plateau d’Arrêt sur images, le « Qu’est-ce qui vous fait dire que je suis un homme ? » lancé par un administrateur – barbu ! – de l’Inter-LGBT à un Daniel Schneidermann déboussolé avait fait le tour des dîners en ville et des machines à café en entreprise. Plus récemment, en septembre 2024, les humoristes Damien Gillard et Cécile Giroud de l’émission belge Le Grand Cactus sur la RTBF ont raillé, avec un indéniable talent, les revendications ubuesques qui peuvent jaillir des questions de genre. En plagiant le tube d’Indochine 3ème sexe – réintutilé pour l’occasion “128ème sexe”, tout est dit – le duo s’amusait à ouvrir la boite de pandore de la dictature du ressenti : « Garçon, fille ou thé à la menthe, peu importe, je suis non-genré. (…) Je suis une bille ou un héron. Moi un lapin qui se sent poisson. (…) Et j’ai envie d’être un merlu. Et j’ai envie d’être un zébu. Je suis une fraise de Cavaillon. Moi, un melon qui vient de Wépion. » Au-delà de la satire, c’est en fin de compte l’impasse intellectuelle du wokisme qui se trouvait légitimement pointée du doigt. A la question vertigineuse de savoir ce qui fonde l’identité de la personne humaine, la réponse reste en suspens : le wokisme passe son tour en refusant de soumettre à la nature des choses.

La réflexion du professeur Jérôme Lejeune, pour ceux qui auraient la liberté intérieure de s’y arrêter, donnerait sans aucun doute à réfléchir. Sa méditation sur la vie, sur l’origine de l’homme, sur l’identité et la spécificité de la personne humaine se révèle d’une épaisseur précieuse pour notre temps en manque de boussole. La pensée lumineuse du professeur Lejeune s’explique par son expérience de médecin, de chercheur, de généticien ; certes. Mais c’est surtout sa destinée de découvreur de la trisomie 21 qui lui donne toute sa hauteur. En 1959, à 32 ans seulement, il décelait que le “mongolisme” résulte en réalité d’une aberration chromosomique. La trisomie 21 n’est donc pas une maladie au sens classique du terme mais la conséquence d’une particularité génétique. Fort de sa science et de sa considération pour son prochain le plus faible, qui s’enracine dans une foi intense, le professeur Lejeune pose un diagnostic clair et précis quant à la trisomie 21. Ni maladie infectieuse ni pathologie dégénérative, il s’agit d’une caractéristique chromosomique constitutive de la personne dès sa conception. « On ne guérit pas un chromosome de trop, mais on peut aider ceux qui le portent à vivre pleinement ». Le principe est simple : ce n’est pas parce que l’on détecte sur un embryon un chromosome en plus que ce dernier a moins de droits à être aimé et respecté.

Racisme chromosomique

Dans mon ministère de prêtre, moi à qui l’Eglise demande de faire le sacrifice de la paternité biologique, je peux témoigner – comme tant d’autres – combien les enfants trisomiques sont plus enfants que les autres. Immensément affectueux et d’une simplicité confondante, leur candeur et leur innocence leur confèrent un charme spécial et inouï, « plus facile à chérir qu’à décrire » dira le professeur Lejeune.

Il faut le dire, la trisomie 21 a valeur de révélateur. Elle place chacun de nous devant le défi de notre propre humanité. Elle est un test d’amour à portée évangélique. Jérôme Lejeune n’eut de cesse de combattre l’idée reçue que les enfants atteints de trisomie 21 deviendraient nécessairement malheureux : « C’est une contre-vérité absolue ! » répétait-il. Leur bonheur ou leur malheur, comme pour tous les hommes, dépend d’abord de l’amour parental et du respect que leur accorde la société.

Parce que chaque petit trisomique est, dès sa conception, caractérisé par cette anomalie chromosomique, il appelle sur ce qui le constitue non pas rejet ou éradication, mais un amour sans condition, plus fort que nos peurs face à la différence. Contre ce racisme chromosomique, il appartient à chacun, dans son for intérieur, de se lever. S’il n’est pas permis de tuer un être humain en raison de la couleur de sa peau ou de sa religion, l’on peut pourtant éradiquer aujourd’hui un petit d’homme en fonction de son anormalité. L’avenir jugera sévèrement notre époque aux consternations risibles et aux oublis coupables. Et elle saluera les prophètes qui, contre vents et marées, auront été des voix criant dans le désert immoral. Et appelant surtout à sortir au plus vite de celui-ci.

Encore un mort suite à une OQTF non appliquée

L’accusation a requis vendredi 30 ans de réclusion contre un homme jugé devant les assises des Hauts-de-Seine pour avoir percuté mortellement une piétonne et gravement blessé un piéton sur le parvis de La Défense en 2021, au volant d’un véhicule volé.

Le 3 février 2021, il a dérobé une camionnette électrique avant d’engager un trajet meurtrier de 61 mètres au cours duquel il a percuté deux piétons. Son expertise psychologique a révélé un état dépressif sévère et des idées suicidaires. Après avoir heurté un muret, le conducteur a pris la fuite à pied. Il a été interpellé sur les quais du RER grâce à des témoins l’ayant identifié. Il était sous l’emprise de l’alcool et des stupéfiants.

Sans domicile fixe et en situation irrégulière au moment des faits, cet homme de nationalité angolaise faisait l’objet d’une mesure de reconduite à la frontière. Il avait été condamné en 2014 à dix ans de réclusion pour viol. Placé en rétention à sa sortie de prison en 2020, il n’avait pas regagné son pays d’origine, faute de délivrance d’un laissez-passer consulaire.

Yellowstone: succès d’une série anti-woke

Lu dans le Figaro:

En refusant de s’incliner devant les diktats des obsessions identitaires de son époque et en s’attachant à raconter une Amérique enracinée dans des traditions méprisées par les élites, ce cow-boy réalisateur de la série Yellowstone [Taylor Sheridan] a séduit des dizaines de millions de spectateurs tout en étant boudé par l’intelligentsia culturelle.

Yellowstone est une série qui a connu 5 saisons et 53 épisodes, est diffusée entre juin 2018 et décembre 2024, et raconte la vie d’une famille habitant un ranch du Montana se battant contre les politiciens et les promoteurs immobiliers. Le dernier épisode a été suivi, le soir de sa diffusion, par 13,1 millions de téléspectateurs.

Forum Viva: le Manifeste

VIVA ! ce sont 17 associations au service des Fragilités, de la Vie et de la Famille qui appellent à un sursaut des pouvoirs publics et de chaque Français pour faire grandir une société de la relation qui soit attentive aux plus fragiles d’entre nous.

Couples

Alors que chaque année, le nombre de divorces représente la moitié du nombre de mariages, alors qu’un quart des jeunes mineurs vit dans une famille monoparentale, nous constatons ces fragilités qui surajoutent des souffrances psychiques, éducatives, sociales et économiques à la vie de tous les jours ; nous appelons à une préparation, un accompagnement et un renforcement du soutien au lien conjugal.

Accueil de la vie

Alors qu’un couple sur deux aimerait accueillir un enfant de plus, qu’un couple sur huit consulte pour des difficultés à concevoir et que le recours à l’avortement, dont celui des enfants handicapés, est le plus haut d’Europe, en l’absence de toute prévention ; nous appelons à des politiques de soutien économique des couples et au développement de solutions éthiques afin qu’ils puissent accueillir les enfants qu’ils souhaitent. Nous appelons à une éducation affective et sexuelle des jeunes qui leur transmette le sens des responsabilités et nous demandons à ce que les femmes enceintes soient effectivement soutenues, tout au long de leur grossesse.

Parents

Alors que beaucoup de parents se trouvent démunis devant les défis de l’éducation de leurs enfants (exposition aux écrans, aux substances addictives, aux abus et aux violences, aux idéologies…), nous appelons à un engagement de tous pour que les parents et les familles soient encouragés et que chaque nouvelle génération puisse grandir et s’épanouir dans un environnement sûr où elle pourra déployer ses talents.

Personnes fragiles

Alors que la mort sociale touche plus de 500 000 de nos concitoyens[1], que les structures de soin et d’accompagnement social sont débordées, qu’il s’agisse du système de santé dans son ensemble, de la psychiatrie en particulier, de l’aide sociale à l’enfance, des possibilités d’accueil des personnes dépendantes ou handicapées… nous appelons à une réaction vigoureuse pour une meilleure prise en charge de toutes les fragilités et à une société plus inclusive.

Personnes âgées

Alors que les personnes de plus de 60 ans seront 20 millions en 2030 et près de 24 millions en 2060, nous appelons à prendre en compte le vieillissement de la population, à refuser que les plus âgés vieillissent seuls et à l’écart et à chercher ensemble les voies d’une intégration fraternelle des différentes générations. Nous appelons de nos vœux une société pleinement humaine qui refuse de donner la mort, investisse effectivement dans les soins palliatifs et accompagne dignement chacun jusqu’à son dernier souffle.

Nos 17 mouvements témoignent que s’engager pour et avec les autres permet d’envisager à nouveau le monde avec espérance. Cette démarche invite à passer de la déploration à l’action, ouvre l’avenir et redonne une place dans la société à ceux qui en sont privés.

Nous invitons chacun à s’engager en actes et en vérité, où qu’il soit, selon ses capacités et le temps dont il dispose, pour faire advenir une société respectueuse de toute personne, une société du lien et de l’attention aux autres.

Les signataires :

Anne-Charlotte Rimaud – Alliance VITA

Laetitia et Jean-François Vié – Amour & Vérité

Pascale Morinière – Associations Familiales Catholiques

Cécile Edel – Choisir la Vie

Claude Fruchart – CLER Amour et Famille

Franck Meyer – CPDH Comité Protestant évangélique pour la Dignité Humaine

Gregor Puppinck – ECLJ European Center for Law & Justice

Jean-Marie Le Méné – Fondation Jérôme Lejeune

Emmanuel Belluteau – Fondation OCH, au service des personnes malades ou handicapées et de leurs proches

Thomas Schmitz – ICHTUS

Clémence Carbonell – La Maison de Rosalie

Nicolas Tardy-Joubert – Marche pour la Vie

Bernard et Marie-Thérèse Chevin – Mère de Miséricorde

Dr David Valancogne – Méthode Billings Woomb France

Sr Marie Thomas Fabre – Les Petites Sœurs des Maternités Catholiques

Olivier Susplugas – TeenSTAR France

Monique Lecoufle – La Vigne de Rachel

Bruno Vercken, Damien Desjonquères – Viva ! le Forum

[1] D’après le baromètre sur la solitude et l’isolement des Petits Frères des Pauvres. La mort sociale est l’absence de relation avec les différents cercles de sociabilité : famille, amis, voisins, associations.

Jubilé des premiers samedis de Fatima : 5 avril à la Grande Chartreuse

Dans le cadre du Jubilé international 2025 des 1ers samedis de Fatima (voir www.jubile2025-fatima.org), le quatrième premier samedi du mois de l’année, le 5 avril prochain, va se dérouler à La Grande Chartreuse où est situé le sanctuaire  Notre Dame de Casalibus. Ce samedi se fera en union de prière avec de nombreux monastères.
De façon exceptionnelle la messe sera célébrée par Dom Dysmas Prieur Général de l’ordre des Chartreux.
 
La méditation portera sur le Portement de Croix car nous serons la veille de la semaine de la Passion. Elle sera mise en ligne une semaine avant sur le site.
Pour les fidèles qui peuvent venir n’oubliez d’indiquer sur le lien suivant combien vous serez.   https://jubile2025-fatima.org/chartreuse/
Pour tous les autres vous êtes invités à réaliser le 1er samedi du mois dans votre paroisse ou une église proche de chez vous.

Terres de Mission : L’âme chrétienne de la France n’est pas morte

Terres de Mission reçoit Camille Renard, présidente de l’association Les Eveilleurs, à l’occasion de la grande soirée organisée par cette association à l’Espace Bernanos de Paris, le 27 mars, pour célébrer la restauration de Notre-Dame de Paris: “Si Notre-Dame m’était contée…”.

Puis, le Père Jean-François Thomas, présente le livre qu’il vient de publier sur l’âme chrétienne de la France: “La France en son âme” (Via Romana), qui étudie à la fois la longue histoire des saints dans notre pays, mais aussi les conditions de renaissance de cette âme chrétienne toujours vivante sous les cendres…

“Face à l’obscurantisme woke” : suite à la polémique, les PUF cèdent

Les Presses universitaires de France (PUF) vont finalement publier l’ouvrage collectif intitulé Face à l’obscurantisme woke, dirigé par Emmanuelle Hénin, Xavier-Laurent Salvador et Pierre Vermeren, le 30 avril prochain.

La parution du livre, initialement prévue pour le 9 avril, a été suspendue par censure :

« Nous estimons que les conditions nécessaires à un accueil serein de ce livre collectif ne sont plus réunies aujourd’hui, le projet de cet ouvrage ayant été conçu il y a deux ans dans un contexte bien différent ».

Dans un message transmis aux trois codirecteurs de l’ouvrage, la maison d’édition expliquait :

« Certains journalistes, et pas des moindres, voient dans le soutien du projet Périclès de Pierre-Édouard Stérin à l’Observatoire de l’éthique universitaire, dont certains d’entre vous font partie, un motif de guerre contre le livre, mais surtout contre les PUF. » « L’affaire devient clairement politique et dans ces conditions, mon rôle est de préserver les PUF de tout ce qui pourrait leur nuire. Je suis dans l’obligation de surseoir à la publication. »

La gauche n’a plus le monopole de l’édition…

Miracle eucharistique de Douai

Don Emmanuel Rousselin est prêtre de la communauté Saint-Martin, docteur en théologie, et curé de la paroisse Saint-Maurand Saint-Amé, où s’est produit ce miracle eucharistique.

Le 14 avril 1254, jour de Pâques, un prêtre de Douai distribuait la communion. Soudain il eut un geste maladroit et fit tomber une Hostie consacrée. Il se baissa immédiatement pour la ramasser, mais l’Hostie consacrée s’éleva toute seule et se posa sur l’ostensoir. Peu après un enfant merveilleux apparut, et tous les fidèles présents purent Le contempler. Aujourd’hui encore, on peut vénérer l’Hostie du Miracle.

La colonisation française a mis fin à l’esclavage en Algérie

Le magazine Geo rappelle qu’entre le VIIe siècle et le début du XXe, les arabes et les ottomans ont mené des razzias en Afrique subsaharienne et en Europe afin d’alimenter en esclaves le monde musulman.

Selon les études, le nombre total de personnes réduites en esclavage dans le monde musulman, entre le VIIe siècle et le début du XXe siècle, varie de 12 millions à 17 millions. […] Quant aux Européens capturés par les Barbaresques en Méditerranée entre le XVIe siècle et la fin du XVIIIe siècle, les travaux les plus récents avancent le nombre de 850 000 personnes. Il s’agit d’ailleurs alors moins d’une traite organisée que d’une guerre de course faite d’attaques et de raids sur les navires ennemis, et certains captifs peuvent être libérés contre rançon. Des chiffres plus fiables donnent cependant une idée de l’ampleur globale de ces traites pour le seul XIXe siècle : 442 000 Africains de l’Est sont vendus dans l’océan Indien, 492 000 autres sont transportés, via la mer Rouge, d’Éthiopie vers le Moyen-Orient. Enfin, 1,2 million de personnes originaires d’Afrique de l’Ouest sont convoyées vers le Maghreb et l’Égypte.

Par ailleurs, Le Point souligne que la colonisation française a mis fin à l’esclavage en Algérie.

Comme toutes les sociétés ottomanes, la Régence d’Alger se caractérisait par une forte stratification sociale. À l’opposé de la caste militaire turque qui dirigeait le pays – et dont le bilan en Algérie est rarement interrogé – se trouvaient les esclaves noirs. Mais de ceux-là, il n’est presque jamais question dans les débats qui animent les éditorialistes. Depuis la polémique déclenchée par le journaliste Jean-Michel Aphatie, qui avait comparé la conquête de l’Algérie aux massacres d’Oradour-sur-Glane, aucun commentateur n’a jugé utile de revenir sur la condition des « nègres » avant et après l’arrivée de la France, ni sur celle des autres minorités persécutées par les musulmans. Preuve que les oppressions n’intéressent pas en tant que telles.

[…] Qu’en est-il alors des esclaves noirs dans la Régence d’Alger ? Dans les années 1840, l’administration française estimait leur nombre à un peu plus de 18 000. Certains demandaient la protection de la France dès leur arrivée sur le sol algérien. […]

En 1857, averti de la persistance de ce trafic, le maréchal Jacques Louis Randon émit la circulaire suivante : « Des ventes d’esclaves viennent d’avoir lieu sur les marchés de l’Algérie. Je n’ai pas besoin de vous rappeler que ce commerce est contradictoire à la loi ; mais je dois vous recommander de veiller avec la plus scrupuleuse attention à ce que les prescriptions de cette loi soient respectées. Les nègres ou négresses qui seraient introduits en Algérie pour y être vendus devront être immédiatement remis en liberté sans que les trafiquants aient à réclamer aucune indemnité. »

Sous la IIIe République, des rapports signalent que deux mille esclaves transitaient annuellement par le Mzab. Preuve de la difficulté à éradiquer cette institution, on recensait encore des propriétaires musulmans d’esclaves dans la région d’Alger au début du XXe siècle, et dans les régions reculées du Sahara algérien après l’indépendance. Comme dans la plupart des sociétés du Maghreb, c’est à mesure que l’emprise coloniale européenne se consolidait que les traites négrières refluèrent. Pourquoi l’Algérie, et avec elle les sociétés musulmanes, n’ont-elles pas été capables de s’attaquer à cette infâme institution de leur propre initiative, en dehors de toute pression occidentale ? Cette question mériterait d’être posée, surtout lorsque l’on compare si facilement la colonisation européenne au nazisme. Pourtant, elle reste soigneusement évitée, comme si l’histoire elle-même craignait de troubler un récit devenu intouchable.

Couillet : l’orgue de l’église Saint-Basile désossé par des voleurs de métaux

Le bas d’un vitrail de l’église Saint-Basile, à Couillet en Belgique, pourtant sécurisé avec des planches en bois, a été brisé. Une grande partie des tuyaux, composés d’étain et de plomb, qui ornent le buffet de l’orgue ont disparu.

6 avril : marche pour la vie à Lyon

Dans quinze jours, aura lieu une journée de mobilisation, de joie et de témoignage, une journée où chaque pas portera un message d’espérance et de vérité.

Rendez-vous place Louis Pradel à 15h.

Ensemble, nous marcherons pour dire au monde que la Vie mérite d’être protégée et célébrée.

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